LionelSp

Sur TF1 maintenant, « Les Russes occupent Tchernobyl qui alimente en électricité l’Ukraine… les soldats Ukrainiens mort (Marins) seront décorés par le Kremlin »

Ce tableau reprend l’ensemble des organisations directement liées à la CEI (TSC, Eurasec) et indirectement liée (CEC, GUAM) ainsi que les adhésions à la CEI. Pays Adhésion à la CEI Ratification de l’adhésion à la CEI (adhésion concrète) Ratification de la Charte de la CEI Statut actuel au sein de la CEI Participation à l’Eurasec, reprenant le programme économique de la CEI Ratification du traité de sécurité collective, reprenant le programme politico-militaire de la CEI Participation au GUAM, tentant de se dégager de la tutelle politico-militaire russe Participation à la Communauté économique centre-asiatique (CEC), tentant de se dégager de la tutelle économique russe Biélorussie 8 décembre 1991 10 décembre 1991 18 janvier 1994 Membre fondateur Membre (depuis 2000) 31 décembre 1993 - - Russie 8 décembre 1991 12 décembre 1991 20 juillet 1993 Membre fondateur Membre fondateur (depuis 2000) 15 mai 1992 - Membre (depuis 2004) Arménie 21 décembre 1991 18 février 1992 16 mars 1994 Membre État observateur (depuis 2003) 15 mai 1992 - - Azerbaïdjan 21 décembre 1991 24 septembre 1993 14 décembre 1993 Membre - 24 septembre 1993, puis annulation en 1999 Membre fondateur (depuis 1997) - Kazakhstan 21 décembre 1991 23 décembre 1991 20 avril 1994 Membre Membre fondateur (depuis 2000) 15 mai 1992 - Membre fondateur (depuis 2002) Kirghizistan 21 décembre 1991 6 mars 1992 12 avril 1994 Membre Membre fondateur (depuis 2000) 15 mai 1992 - Membre fondateur (depuis 2002) Moldavie 21 décembre 1991 8 avril 1994 27 juin 1994 Membre État observateur (depuis 2002) Non ratifié Membre fondateur (depuis 1997) - Ouzbékistan 21 décembre 1991 1er avril 1992 9 février 1994 Membre Membre (2006-2008), puis État membre auto-suspendu (depuis 2008) 15 mai 1992 Membre (1999-2005), puis ancien membre (depuis 2005) Membre fondateur (depuis 2002) Tadjikistan 21 décembre 1991 26 juin 1993 4 août 1993 Membre Membre fondateur (depuis 2000) 15 mai 1992 - Membre fondateur (depuis 2002) Turkménistan 21 décembre 1991 26 décembre 1991 Non ratifié Membre à part entière (1991-1993), puis État participant (1993-2007), et ensuite État associé (depuis 2007) - Non ratifié - - Mongolie - - Pas encore ratifié État observateur au sein de certains organes de la CEI - - - - Géorgie 3 décembre 1993 3 décembre 1993 19 avril 1994, puis annulation en 2008 Membre à part entière (1993-2008), puis ancien membre (depuis 2008) - 9 décembre 1993, puis annulation en 1999 Membre fondateur (depuis 1997) État observateur (depuis ?) Ukraine 8 décembre 1991 10 décembre 1991 Non ratifié Membre fondateur (1991-1993), puis État participant (1991-2018), puis ancien membre (depuis 2018) État observateur (depuis 2000) Non ratifié Membre fondateur (depuis 1997) État observateur (depuis ?)

Un point de vue similaire au mien, (le forum est un courant permanent, j’en remets une couche) Contrairement aux pays baltes qui ont eu le droit et le choix post Urss de quitter définitivement avec une adhésion à l'Otan, L'Ukraine jusqu'à un passé récent est restée dans le giron Russe. Le " choix " Post Urss, la période Post-URSS de L'Ukraine est celle de L'eurasie et de la CEI, membre fondatrice de la CEI des états indépendants aux seins des fédérations Russes (jusqu'en 2014), DONT l'objectif était le maintient et la continuité de la politique de L'Ex-URSS. Il est absolument certain que le " choix " aujourd'hui entre un « conflit et un accord » clairement et distinctement défini, était entre les mains ukrainiennes et occidentales. Le " Test " de cette opposition en réponse à une conciliation, ET "compte tenu des informations précédentes" (rareté psychologique), deux choses différentes, Pays - Région, donne acte que le temps, n'aurait été qu'une hostilité plus grande ou une perte culturelle du système Russe.

Les Ukrainiens ont triomphalement accueilli les nazis pendant la dernière guerre, ils ont levé un armé d'Ukrainiens, tous volontaires. Leur expansion vers l'est, c'est pareillement ' à l'époque' confrontée aux Donbass. (cf. citation Wikipédia) Contrairement aux pays baltes qui ont eu le droit et le choix post Urss de quitter définitivement avec une adhésion à l'Otan, L'Ukraine jusqu'à un passé récent est restée dans le giron Russe. Le choix Post Urss, La période Post-URSS de L'Ukraine est celle de L'eurasie et de la CEI, membre fondatrice de la CEI des états indépendants aux seins des fédérations Russes (jusqu'en 2014), DONT l'objectif était le maintient et la continuité de la politique de L'Ex-URSS. Dire qu'un Pays est envahi est une mauvaise représentation de la situation.

Les Ukrainiens ont triomphalement accueilli les nazis pendant la dernière guerre, ils ont levé un armé d'Ukrainiens, tous volontaires. Leur expansion vers l'est, c'est pareillement ' à l'époque' confrontée aux Donbass. (cf. citation Wikipédia) Contrairement aux pays baltes qui ont eu le droit et le choix post Urss de quitter définitivement avec une adhésion à l'Otan, L'Ukraine jusqu'à un passé récent est restée dans le giron Russe. Le choix Post Urss, La période Post-URSS de L'Ukraine est celle de L'eurasie et de la CEI, membre fondatrice de la CEI des états indépendants aux seins des fédérations Russes (jusqu'en 2014), DONT l'objectif était le maintient et la continuité de la politique de L'Ex-URSS. Dire qu'un Pays est envahi est une mauvaise représentation de la situation.

Le pays de Bretagne a choisi il y a huit jours de prendre son indépendance, ils ont un drapeau, une langue, maintenant une nation. Ils ont massé des hommes armés aux portes de rennes. Les CRS " Russe " se sont mobilisés pour reprendre les villes de St Brieux, de vannes... Contrairement aux pays baltes qui ont eu le droit et le choix post Urss de quitter définitivement avec une adhésion à l'Otan, L'Ukraine jusqu'à un passé récent est restée dans le giron Russe. Le choix Post Urss, La période Post-URSS de L'Ukraine est celle de L'eurasie et de la CEI, membre fondatrice de la CEI des états indépendants aux seins des fédérations Russes (jusqu'en 2014), DONT l'objectif était le maintient et la continuité de la politique de L'Ex-URSS. Dire qu'un Pays est envahi est une mauvaise représentation de la situation. Par ailleurs, l'évolution récente est celle d'une hostilité grandissante à l'égard des Russes. Il est absolument certain que le choix entre un « conflit et un accord » clairement et distinctement défini, était entre les mains ukrainiennes et occidentales. Ceci donne acte que le temps, n'aurait été qu'une hostilité plus grande ou une perte culturelle du système Russe. L'Ukraine jusqu'à un passé récent est restée dans le giron Russe, Jusqu'à présent rien ne remet en cause, ces situations, encore dans le giron et Autres pays. (deux choses distinctes)

Un peu de lecture barbante … Si vous envoyez balader un président qui globalement gouverne depuis 20 ans une superpuissance millénaire, avec une certaine réussite et normalisation, pour les quelques demandes qu’il formule auprès d’un pays qui n’a pas dix ans d’age comme nation et est issue d’une libéralité consentie de cette superpuissance, vous pourrez toujours vous étonner de prendre des revers de manches et du jamais vu dans la figure. Cette psychologie est la discussion d’une intention comme intelligence, qui peut caractériser un milieu social, occidental, économique, politique. Si un avocat, Sarkozy par exemple, utilise son savoir de ‘Com’ d’avocat dans son rapport social, insupportable aux gens ordinaires, avec un dirigeant Russe, il n’est pas étonnant qu’il se soit fait envoyé pendre par Poutine, et se prenne un retour méthodologique. Cette culture psychologique est structurellement un typage communautaire et consciemment ou non une méthode. La répétition de ceci est une agression ‘intelligente’ de même ordre, difficile à mettre en évidence. Si M. Untel me fait uniquement la remarque d’une faute d’orthographe, la chose est ordinaire et transparente, si M. Untel passe vingt ans à souligner publiquement mon orthographe et que le rapport social est limité à ceci, l’intention d’agression est celle, soit par nature psychologique ou psychiatrique collective, soit intentionnelle et toujours difficile à mettre en évidence. Le caractère de s’opposer ou de refuser et beaucoup d’autres formes, comme être ceci culture, est dans cette similitude transparente ou méthodologique. L’intelligence d’exercer une psychologie est une agression, son appréciation relève ensuite des différences culturelles. Trump a été ‘sommé’ de ne pas utiliser les chansons de X ou Y pour ses meetings. Cette réponse « d’opposition typique » occidentale est le questionnement de cette culture, normalité inconsciente de dire non (Culture), nous nous allons, nous nous sommes, ou celle méthodologique intelligente, spécialistes de psychologies, de conduire à une rupture, à une réaction. Il est absolument certain toutefois que le choix entre un « conflit et un accord » clairement et distinctement défini, était entre les mains ukrainiennes et occidentales. Le choix « culturel » de s’opposer a été émis, avec « fermeté » (culture de ‘directorat’) Il est absolument certain que le choix entre poursuivre un conflit à mort et une reddition est entre les mains ukrainiennes. Le choix « culturel » de s’opposer a été émis, « en continuant » avec « fermeté », et avec un appel à l’escalade. S’il n’y a pas une volonté d’escalade, sortir d’une culture d’opposition, semble être un effort occidental à mener et de prendre conscience que la demande initiale Russe était quoiqu’on en dise « peu importante et justifiable ». Cette opposition à ceci est donc interprétable comme agression selon un contexte que l’on ne connait pas. L’intelligence globale de ceci, jeu de dupe, jeu de rôle global, comme entente et intérêt particulier, relève également de ce genre méthodologique.

Il faut préciser « Sens premier 1 Antiq. » Rarement le sens qu'on lui donne, le reste est totalitarisme, caporalisme, fascisme, tyrannie, autoritarisme… donc la remarque est un peu caractéristiquement désobligeante "d'avoir à comprendre"... c'est une psychologie culturelle.

Quoi ?

C'est ironique ? L'Arménie n'est pas dans un 'carcan' Russe, elle est au même niveau de contrainte Russe, adhérent à la CEI, et ne se plaint pas. Elle ne militarise pas contre la Russie...

Oui, effectivement, mais encore une fois, il n’y a aucune demande formulée par les Russes au regard de l’Europe. Les conséquences de cette obstination occidentale sont cet unique résultat. Il y a bien une réponse " Butée " occidental et Ukrainienne, Tout comme la vie sociale en Europe donne lieu à ce genre d'aspect culturel par rapport à des positions, des postures… Si une petite fille ne cesse de patauger dans sa mare, la bonne mère la retire du bassin, et lui supprime l’accès à sa bassine.

Logique de votre opinion uniquement.

Rendre les armes est aussi une option qui n'est pas actée, face à l'évidence, face à une culture similaire, non des aliens barbares, même histoire que les Russes, même langue… Encore un jusque-boutisme imputable à l'Ukraine, qui semble plus belliqueuse que de raison.

L’Ukraine n'a aucune histoire de nation et est une Ex-province de l’URSS. Elle était jusqu’à récemment, membre fondatrice de la CEI, membre de l'Eurasie et a été le berceau de dirigeants de L'URSS (Léonid Brejnev), ceci jusqu’à début 2000. Les demandes Russes, en accord conditionné pour cette indépendance, n’étaient qu’une Non-adhésion à l’otan et une autodétermination de deux régions. La réponse à cette demande a été une militarisation de L’Ukraine, un sentiment Anti-russe, une revendication militaire de régions (cosaque-russes), huit ans de guerre ukrainienne contre une peuplade et un refus brutal occidental d’accéder aux demandes. Les accords étant rompus, aujourd’hui elle est envahie, et elle sera démilitarisée comme nation par les Russes. Le choix de la bonne entente était pourtant très accessible, et leur maintient comme nation possible, sans cette brutale opposition frontale, ukrainienne et occidentale. Elle est à nouveau une province Russe. Le jusque-boutisme " du refus ", est une psychologie "d'idéologie politique commerciale" représentative. L'intelligence de ceci, peut aller jusqu'à, l'injustice, la négation d'évidence, l'illogisme, l'imposition d'une position dominante. Elle est considérée par rapport à une non-réplique, une certitude de non réplique, un sentiment globalisé de non-réplique (culturel). C'est la réplique qui est inversement considérée. Tuer n'est pas jouer, mais jouer c'est être bloqué par cette globalité. " Faites nous rire juridiquement de vous opposer à une firme qui vous doit 100 dollars ", Faites nous rire (Ce monsieur nous sollicite, nous, haute sphère) de demander une non-adhésion à l'Otan, et une indépendance de région cosaque-russes. La communauté, le bon sentiment, la culture, l'opinion électorale internationale est derrière nous ! Le jusque-boutisme est ce refus, de crier au scandale, ou l'intelligence culturelle de broder autour d'une table sur les 5000 pages d'accords multi-parties au 28ième sommet… " Crier au scandale publiquement du nazisme imputé à quelqu'un, Crier au scandale de défendre la république, .... " il y a intelligence ou psychologie acquise.

Vas-y Vladimir, mets-leur-en plein de c.l !

Ravi de constater qu’il ne s’agissait pas d’une pantomime d’entente tacite, et que l’Ukraine, qui veut « vaincre les Russes, se militariser et prétexte pour cela de la propriété ‘ridicule’ d’une ex-collectivité » paie les conséquences de cet abrutissement psychiatrique, dont la solution mineure, sans conséquence, était de ne « Pas Être armé, à proximité », chose que l’occident devrait avoir conçu normalement. C’est une imbécilité politique de l’Ukraine et une démission intellectuelle de l’occident dans ses rapports unidirectionnels, superficiels, dirigistes de leurs groupements, sans réflexion qu’une idiote unanimité de moutons qui suivent, pour infliger une qualité paternaliste « de sanctions ».

Ok pour l'attractivité, mais les oligarques russes ne sont pas pauvrets non plus, économiquement parlant, les baltes de l'époque auraient pu peut-être nous informer, maintenant, c'est un peu spéculatif par rapport à la situation. Sans être Russe, c'est "oligarquement" une situation favorable, comme rapprochement occidental nécessaire et 'suffisant'...

On s'éloigne beaucoup du problème d'aujourd'hui et des demandes actuelles. Les pays baltes, me semble-t-il ont choisi librement et en plein accord avec l'ex-URSS de quitter les fédérations Russes pour adhérer à l'OTAN. (Wikipédia). La Pologne ne me parait pas faire partie de ces Ex-région D'URSS. On est dans le hors sujet de l'actualité. Nb: Plutôt qu'avec les Russes = il faut lire, Plutôt que d'être en bonne entente avec les Russes, c'est-à-dire que cet impératif urgent et militarisant, ne serait plus d'actualité.

Une référence à citer, comme source ?

Le propos est de définir l'agressivité de l'Ukraine, qui est russe culturellement, pour 20 Km d'une région occupée historiquement depuis 1 millénaire par des Russe-cosaques, et encore aujourd'hui par le fait d'une résistance de Peuple. La revendication de l'Ukraine, (qui n'a aucune histoire de nation), membre fondatrice de l'Eurasie, berceau de dirigeants de L'URSS, revendicative militairement depuis huit ans de 20km de terre, peut-elle Concevoir son histoire, un terrain, comme une ex-gestion collective, et non pas comme une Propriété occidentale ? Tous les incidents sont LE prétexte de ce " Petit merdier revendicatif entretenu ", par ces nouveaux occidentaux, qui ne comprennent plus rien, (par psychiatrie ou idiotie culturelle), unique raison d’une intervention Russe aujourd’hui, et une unique raison qui pourrait justifier une crainte de ladite intervention pour adhérer à l’Otan, plutôt qu’avec les Russes, pour une ‘défense’ qui serait alors imaginaire.

Personne ne semble faire un "Topo", historique, économique, culturel, ethnique, qui justifie les demandes Russes, comme mesurées et conciliatrices. Ce Pays d'Ukraine, qui n'a aucune histoire comme nation, ne parait avoir qu'un conflit armé à proposer, à offrir au monde, en conciliation. La réponse de postures ou d'impostures intellectuelles de l'Occident, identique unanimité aveugle, moutons de Panurge, dirigiste dans sa volonté, est un jeu de coq conscient, ou une culture psychiatrique malade Européenne. Il est inconcevable que ce soit un " Dossier purement à charge ", et de considérer une idiotie adverse. Beaucoup d'éléments pèsent dans l'autre sens.

La manipulation des mass media et de la psychologie des Masses, est le fait d’une intelligence qui peut toutefois venir « des trois côtés ». La scénarisation semble palpable dans ce jeu implicite ou explicite sans enjeu véritable. Il y a une préparation planifiée qui parait poindre et être synchronisée séquentiellement. L’histoire dans le récit et l’histoire comme action débute avec l’épisode Biden junior, financé grassement par l’Ukraine… la suite est celle qui perdure aujourd’hui dans les renvois d’ascenseurs, la balle (du jeu implicite) est dans le camp adverse, pourvu que chacun adhère au scénario, se sente concerné… Le maintient d’un litige, maintient d’une distance, l’élaboration de ‘castes sociales’, est un intérêt particulier… Celui aussi également d’en connaître l’orientation, maîtres d’une direction qui n’est pas possible avec une bonne entente, qui se maintient elle-même. L’Ukrainien n’a-t-il pas dit au sortir d’une réunion, qu’il « attendait ses grillades en plein air ». Si ceci se termine absolument dans le happy end d’une sauterie politique mondiale, il est évident que cela aura été un fruit pourri bien organisé, à chacun son portrait accroché au mur de son palais administratif et de sa cuisine psychologique personnelle, pure manipulation du ‘multi-plat’ global.

Les demandes Russes sont insignifiantes au regard de la globalité fonctionnelle. Ce que possède en droit "libre" et en territoire les Ukrainiens, est dans une normalité. Ce bornage de refus Occidental n'est qu'une pacotille qui bloque la situation. La légitimité des demandes est celles administrative et historique, de la province russe d'Ukraine par rapport à son émancipation Occidentale, et ces demandes sont mineures en regard de ce qu'ils ont actuellement. On dirait des fillettes hystériques et capricieuses qui se roulent par terre, pour un bout de chiffon !

La Russie et l’Eurasie, ont donné le droit de se séparer, ils sont positivement d’accord sur genre de chose, ceci est un accord. Mais à partir de cet accord, L’Ukraine réclame des propriétés et des conditions qui ne sont plus acceptables. A titre de comparaison « culturelle », l’Arménie fait partie de la CEI, fédération d’Eurasie. Le méchant détachement de L’Ukraine, n’est pas une raison de Tyrannie, ou d’oppression, c’est un calcul politique.

Surmontons l'insupportable éparpillement de ce fil (intentionnel ?), pour trouver la suite constructive culturelle de quelques informations intéressantes. J'ai pu parler de " notions culturelles ", qui ne correspondent pas à celles occidentales, Notions de Régions Eurasiennes par rapport aux Frontières, frontières abusivement utilisées par L'Ukraine (Province Eurasienne et fédération socialiste de Russie) pour revendiquer des territoires. Ces Régions sont sans doute équivalentes à celles Françaises, Si la Ville de Lyon fait sécession de l'empire Français, Les frontières de Rhône-Alpes-Auvergne ne sont pas une Base légale de frontières, et clermont-ferrand ne saurait être une ville séparatiste. Wikipedia " Un oblast est une unité administrative de type existant en Russie, en Ukraine, au Kazakhstan, au Kirghizistan et en Bulgarie. Ces régions n'ont pas d'existence légale. L'oblast de Louhansk fut créée le 3 juin 1938. Elle porta le nom d'« oblast de Vorochilovgrad » jusqu'en 1958, puis à nouveau de 1970 à 1990, suivant les changements de nom de sa capitale, Louhansk. " L'administration est déléguée à des centres administratifs. Les régions ne constituent pas des Frontières au sens Occidental. L'octroi de la Crimée en particulier, est un transfert " En 1954, le 1er secrétaire du Parti communiste d'Union soviétique, Nikita Khrouchtchev transfère la péninsule de Crimée "