LionelSp

Guerre des donbass 2013 : 10000 morts Russophone Régiment Azov — Wikipédia (wikipedia.org) ladiplomatie.fr

Le pouvoir central Pro-russe semble avoir réussi aujourd’hui à intégrer une minorité locale, qui aurait eu sans cela, des rapports avec des radicalisations islamistes, plaques tournantes officieuses de ventes d’armes et liens avec al Kaida (Cf Wiki). La radicalisation ayant été contrée, ils ont redonné les rênes de gouvernances, à terme de cette intégration fédérale, à la minorité ethnique locale. Pouvoir fédéral et gestion locale, comme globalité du modèle.

Il y donc bien une « Opposition » culturelle et psychologique qui ne correspond pas à une « localité culturelle », intervention externe, « de ne pas négocier ». (merci pour les applaudissements de cette remarque de psychologie, faite par messire et serviteur présent, il y a quelques jours) L’option 2 du pari reprend ainsi le dessus 1 _ Cyanure en sous-sol (Radicalisé) 2_ Ile paradisiaque offshore (Acheté et planifié) 3_ Nouveau citoyen de Bretagne voisin de ben laden junior (et rdv dans 40 ans pour la nouvelle indépendance de la Bretagne) (exilé)

« Ces accords assuraient de jure la continuité de fonctionnement de facto de l'exécutif politique et militaire de l'URSS qui, à ce moment, était toujours (pour encore trois jours) le sujet de droit international au sein duquel la CEI s'est constituée et élargie. »

Cf. définition des accords, et de territorialité de ces Régions qui ne sont PAS définies de la même manière.

Il y a des élections présidentielles en Russie, la guerre de l'Ukraine contre les dondass est de 2013, les accords en question définissent UNE culture et une réponse par rapport à cette culture

L’Ukraine, « Modèle de république socialiste soviétique », qui a choisi ce modèle ‘social ‘ au sortir de L’URSS et est engagée par les accords de Minsk. Le 21 décembre 1991, L’ukraine et huit autres anciennes républiques soviétiques rejoignent la CEI lors de la signature du traité d’Alma-Alta (Kazakhstan). Ce qui n’a encore rien à voir avec une république démocratique occidentale. (" Le problème n'est pas celui de la psychologie d'un Américain qui casse la figure de son voisin, pour de l'eau d'arrosage qui coule en contrebas de sa sortie de garage en béton ", c'est-à-dire que le problème en regard de ceci est ordinairement un partage " collectif", d'ethnie gérable par l'Ukraine. Wikipédia « Ces accords assuraient "de jure" la continuité de fonctionnement de l'exécutif politique et militaire de l'URSS qui, à ce moment, était toujours (pour encore trois jours) le droit international au sein duquel la CEI s'est constituée et élargie. »

Tu mets combien sur mon pari sur Zelenski ? 1 _ Cyanure en sous-sol (Radicalisé) 2_ Ile paradisiaque offshore (Acheté et planifié) 3_ Nouveau citoyen de Bretagne voisin de ben laden junior (et rdv dans 40 ans pour la nouvelle indépendance de la Bretagne) (exilé)

Vous en concluez quoi ? S'il faut relire tous les posts, c'est un peu lourd. Pour ma part, il y un parallèle d'attitude et de psychologie de l'Ukraine entre la situation présente (radicale), et celle de l'invasion nazie (pareillement confrontée à l'est du pays) Un dirigeant Européen qui conduit son pays à la guerre, pour ce genre de problème à l’origine « insignifiant », maintient d’une confrontation territoriale, est normalement démissionnaire.

Alors le pari est encore ouvert : 1 _ Cyanure en sous-sol (Radicalisé) 2_ Ile paradisiaque offshore (Acheté et planifié) 3_ Nouveau citoyen de Bretagne voisin de ben laden junior (et rdv dans 40 ans pour la nouvelle indépendance de la Bretagne) (exilé)

Pourquoi pas (Mais Ancien d'URSS). J'en reste à une escarmouche et aux choix et raison de l'escarmouche.

Il faut citer vos références publiques, d'une information qu'un clampin ne doit pas avoir en sa possession, si elle est en votre possession, c'est qu'elle est sans doute une propagande. En tout état de cause : le choix de poursuivre une guerre dont l'issue est inéluctable est celui encore de Zelenski. L'embrasement mondial serait plutôt la "decomplexation" de Zelenski dans le fait que l'occident s'embarque dans cette galère pour rien ! « Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a refusé la proposition américaine d’être exfiltré de la capitale dont se rapprochent les Russes. « Le combat est ici. J’ai besoin de munitions, pas d’un chauffeur »" C'est l'option Cyanure en sous-sol de Kiev qui apparait à l'horizon, psychologie radicalisée.

Le choix de cesser la guerre du donbass était celui de Zelensky pendant huit ans, le choix de déposer les armes est celui de Zelensky, le choix de ne pas embraser (sans faute d'orthographe d'un s en trop) la région est celui de l'occident. " L'idée de la perte " du donbass pour une ex-république soviétique, ne doit sans doute pas être une chose insupportable à une culture territoriale et à des faits "collectifs", sans une volonté belliqueuse de Zelensky, ou une haine naissante insupportable à l'encontre des Russes, ou un calcul planifié. Guerre de l'Ukraine contre le donbass

Île tropicale genre paradis offshore peut-être ?!

Ou en Bretagne avec Ben laden

Il reste à Zelensky de s’enfermer dans son bunker sous Kiev bombardée et de faire avaler une pilule de cyanure à ses proches et sa descendance pour avoir refusé de déposer les armes.

Il parait inconcevable que cette province Russe d’Ukraine, « Modèle de république socialiste soviétique », qui a choisi ce modèle ‘social ‘ au sortir de L’URSS et est engagée par les accords de Minsk entretienne culturellement maintenant (en 10 ou 15 ans) une haine à l’égard de la Russie. Le choix de déposer les armes, n’est pas un choix de vie de mort de la population d’Ukraine. Ce jusqu’au boutisme de guerre, deuxième choix d’opposition frontal, est effectivement un parallèle d’idéologie Radicalisée, qui, à terme d’un développement militaire, pouvait certainement représenter un conflit majeur pour la Russie. La culture Russe n’est pas barbare ou radicalisée. Le calcul politique d’avoir maintenu un conflit dans les Donbass par l’armée ukrainienne (10000 morts depuis 2013) est un prétexte pour embarquer aujourd’hui le reste du monde pour le fait de cette reprise de contrôle russe. Maintenant l'hostilité occidentale dans ce conflit, " Dossier à charge contre la Russie" (et Jeu politique du sentiment contre la guerre) est aussi le choix d'une aggravation.

Le HuffPost Il y a 31 minutes (de 23.35) Ramzan Kadyrov “Je saisis l’occasion pour conseiller au président Zelensky, jusqu’à ce qu’il soit l’ancien président de l’Ukraine, d’appeler notre président, le commandant en chef Vladimir Vladimirovitch Poutine, et de lui présenter ses excuses”, Poutine n'y a pas que des ennemis, comme j'ai pu l'expliciter.

Effectivement il y a un rapprochement avec la Tchétchénie, mais aussi des différences. Le pouvoir central Pro-russe semble avoir réussi aujourd’hui à intégrer une minorité locale, qui aurait eu sans cela, des rapports avec des radicalisations islamistes, plaques tournantes officieuses de ventes d’armes et liens avec al Kaida (Cf Wiki). La radicalisation ayant été contrée, ils ont redonné les rênes de gouvernances, à terme de cette intégration fédérale, à la minorité ethnique locale. (Pouvoir fédéral et gestion locale) Remarquez que le système territorial local, est celui de « Teip », qui n’est pas à l’instar des oblasts pas une propriété au sens occidental. La politique de l’Ukraine indépendante, pouvait quant à elle, pendant huit ans, mettre un terme à un conflit par conciliation, en regard d’une volonté revendicative aux yeux du monde (propriété territoriale, considérée occidentale ment comme une intrusion de frontière par l’occident). Si ce qui a été effectivement refusé aux Russes, concernant L’Ukraine, sont ces demandes clairement établies, de non-adhésion et une reconnaissance des Donbass, la responsabilité de l’intervention est, me semble-t-il celle de l’Ukraine et du refus occidental, c’est-à-dire un prétexte occidental dans l’usage choisi et condamné d’avance d’une intervention russe. (critère « d’activité politique » et de désaveux occidental)

Charmant problème psychiatrique. Wikipedia " À la fin de 1918, les Alliés interviennent dans le sud de l'Ukraine pour soutenir les Blancs . Odessa, Sébastopol et d'autres localités côtières sont occupées par les Français, mais l'intervention tourne court en raison du manque de moyens engagés et de l'hostilité de la population (mars-avril 1919) L'Ukraine est envahie par l'Armée rouge et ramenée dans le giron soviétique les documents déclassifiés montrent qu'il a pour le moins utilisé ces famines, s'il ne les a pas sciemment provoquées, pour briser la paysannerie et le nationalisme ukrainiens18, même si le peuple russe a lui aussi été victime des mêmes famines. À l'été 1941, l'Ukraine est envahie par les armées allemandes. À leur arrivée, les Allemands sont reçus en libérateurs par une partie de la population ukrainienne, surtout par la population de la partie de la Pologne envahie par Staline en 1939 puis intégrée à l'Ukraine. Le 28 avril 1943, le haut commandement de la Wehrmacht annonce la création de la division SS Galicie constituée de volontaires ukrainiens ; les historiens estiment que plus de 220 000 Ukrainiens se sont engagés aux côtés des forces allemandes durant la Seconde Guerre mondiale pour combattre le régime soviétique (Polizei, U.V.V., Hiwis ou Waffen-SS). Mais, au fur et à mesure de leur progression vers l'est du pays, et notamment en raison des mauvais traitements infligés à la population19, les occupants allemands rencontrent une forte résistance de la part de la population locale, laquelle perdure jusqu'au retour des Soviétiques en 1944. En représailles, les Allemands traquent les partisans, et brûlent des centaines de villages et des milliers de maisons avec leurs habitants. La population juive d'Ukraine est anéantie par l'application de la solution finale En 1944, l’Armée rouge libère la plus grande partie de l’Ukraine. En juin 1945, la Ruthénie subcarpathique, prise à la Tchécoslovaquie, rejoint à son tour l’Ukraine soviétique, formant l’oblast de Transcarpatie. Quant aux indépendantistes — présents essentiellement dans les régions ouest —, ils continuent une résistance locale armée contre l'URSS jusqu'en 1954. En 1954, le 1er secrétaire du Parti communiste d'Union soviétique, Nikita Khrouchtchev qui a passé sa jeunesse en Ukraine, transfère la péninsule de Crimée à la République soviétique socialiste d'Ukraine pour marquer le 300e anniversaire du traité de Pereïaslav marquant l'union entre la Russie et les provinces formant l'Ukraine d'alors. L'Ukraine est considérée comme un modèle des républiques soviétiques. Notamment, Léonid Brejnev, le principal dirigeant de l'URSS pendant 18 ans entre 1964 et 1982, est d'origine ukrainienne. C'est seulement vers 1989 que la libéralisation du régime soviétique et la libération des détenus politiques permettent aux Ukrainiens de s'organiser pour défendre leurs droits à la souveraineté. le 16 juillet 1990, la Déclaration sur la souveraineté politique de la République d'Ukraine. C'est le premier pas vers l'indépendance complète de l'Ukraine. Celle-ci est proclamée le 24 août 1991 et confirmée par le référendum du 1er décembre 1991 : 90,5 % des électeurs votent en faveur de l'indépendance. Le 8 décembre 1991, la dislocation de l'URSS est actée par l'accord de Minsk, signé par les dirigeants russe, ukrainien et biélorusse. Accord de Minsk : Ce document3 entérine la dislocation de l'Union soviétique et donne naissance à la Communauté des États indépendants (CEI). Le préambule invite par ailleurs d'autres républiques à rejoindre les trois membres fondateurs de cette nouvelle entité. Signataire · Boris Eltsine, président de la République socialiste fédérative soviétique de Russie ; · Stanislaw Chouchkievitch, président de la République socialiste soviétique biélorusse ; · Leonid Kravtchouk, président de la République socialiste soviétique d'Ukraine. Le 21 décembre 1991, huit autres anciennes républiques soviétiques rejoignent la CEI lors de la signature du traité d’Alma-Alta (Kazakhstan). Les trois pays baltes, qui désirent intégrer l’Union européenne, ainsi que la Géorgie4, refusent d’adhérer à la CEI. 2013 : Une guerre civile, dite guerre du Donbass, éclate ensuite dans l'est de l'Ukraine majoritairement russophone, qui entraîne plus de dix mille morts "

Donc cette situation est similaire à celle à d'aujourd'hui et est la raison principale. ?!? Vous ne seriez pas Flic par hasard ? Ok je veux bien croire qu'il y ait eu un problème, je n'ai pas lu les infos sur cette autre situation, donc votre appréciation est la même pour cette situation, " Si tu as déféqué à côté hier, c'est que tu défèques à côté aujourd'hui. "

Wikipedia " Le 28 avril 1943, le haut commandement de la Wehrmacht annonce la création de la division SS Galicie constituée de volontaires ukrainiens ; les historiens estiment que plus de 220 000 Ukrainiens se sont engagés aux côtés des forces allemandes durant la Seconde Guerre mondiale pour combattre le régime soviétique (Polizei, U.V.V., Hiwis ou Waffen-SS). Mais, au fur et à mesure de leur progression vers l'est du pays, et notamment en raison des mauvais traitements infligés à la population19, les occupants allemands rencontrent une forte résistance de la part de la population locale, laquelle perdure jusqu'au retour des Soviétiques en 1944. En représailles, les Allemands traquent les partisans, et brûlent des centaines de villages et des milliers de maisons avec leurs habitants. La population juive d'Ukraine est anéantie par l'application de la solution finale 2013 : Une guerre civile, dite guerre du Donbass , éclate ensuite dans l'est de l'Ukraine majoritairement russophone, qui entraîne plus de dix mille morts "

c'est pour cela que je le dis !

Wikipedia " À la fin de 1918, les Alliés interviennent dans le sud de l'Ukraine pour soutenir les Blancs . Odessa, Sébastopol et d'autres localités côtières sont occupées par les Français, mais l'intervention tourne court en raison du manque de moyens engagés et de l'hostilité de la population (mars-avril 1919) L'Ukraine est envahie par l'Armée rouge et ramenée dans le giron soviétique les documents déclassifiés montrent qu'il a pour le moins utilisé ces famines, s'il ne les a pas sciemment provoquées, pour briser la paysannerie et le nationalisme ukrainiens18, même si le peuple russe a lui aussi été victime des mêmes famines. À l'été 1941, l'Ukraine est envahie par les armées allemandes. À leur arrivée, les Allemands sont reçus en libérateurs par une partie de la population ukrainienne, surtout par la population de la partie de la Pologne envahie par Staline en 1939 puis intégrée à l'Ukraine. Le 28 avril 1943, le haut commandement de la Wehrmacht annonce la création de la division SS Galicie constituée de volontaires ukrainiens ; les historiens estiment que plus de 220 000 Ukrainiens se sont engagés aux côtés des forces allemandes durant la Seconde Guerre mondiale pour combattre le régime soviétique (Polizei, U.V.V., Hiwis ou Waffen-SS). Mais, au fur et à mesure de leur progression vers l'est du pays, et notamment en raison des mauvais traitements infligés à la population19, les occupants allemands rencontrent une forte résistance de la part de la population locale, laquelle perdure jusqu'au retour des Soviétiques en 1944. En représailles, les Allemands traquent les partisans, et brûlent des centaines de villages et des milliers de maisons avec leurs habitants. La population juive d'Ukraine est anéantie par l'application de la solution finale En 1944, l’Armée rouge libère la plus grande partie de l’Ukraine. En juin 1945, la Ruthénie subcarpathique, prise à la Tchécoslovaquie, rejoint à son tour l’Ukraine soviétique, formant l’oblast de Transcarpatie. Quant aux indépendantistes — présents essentiellement dans les régions ouest —, ils continuent une résistance locale armée contre l'URSS jusqu'en 1954. En 1954, le 1er secrétaire du Parti communiste d'Union soviétique, Nikita Khrouchtchev qui a passé sa jeunesse en Ukraine, transfère la péninsule de Crimée à la République soviétique socialiste d'Ukraine pour marquer le 300e anniversaire du traité de Pereïaslav marquant l'union entre la Russie et les provinces formant l'Ukraine d'alors. L'Ukraine est considérée comme un modèle des républiques soviétiques. Notamment, Léonid Brejnev, le principal dirigeant de l'URSS pendant 18 ans entre 1964 et 1982, est d'origine ukrainienne. C'est seulement vers 1989 que la libéralisation du régime soviétique et la libération des détenus politiques permettent aux Ukrainiens de s'organiser pour défendre leurs droits à la souveraineté. le 16 juillet 1990, la Déclaration sur la souveraineté politique de la République d'Ukraine. C'est le premier pas vers l'indépendance complète de l'Ukraine. Celle-ci est proclamée le 24 août 1991 et confirmée par le référendum du 1er décembre 1991 : 90,5 % des électeurs votent en faveur de l'indépendance. Le 8 décembre 1991, la dislocation de l'URSS est actée par l'accord de Minsk, signé par les dirigeants russe, ukrainien et biélorusse. Accord de Minsk : Ce document3 entérine la dislocation de l'Union soviétique et donne naissance à la Communauté des États indépendants (CEI). Le préambule invite par ailleurs d'autres républiques à rejoindre les trois membres fondateurs de cette nouvelle entité. Signataire · Boris Eltsine, président de la République socialiste fédérative soviétique de Russie ; · Stanislaw Chouchkievitch, président de la République socialiste soviétique biélorusse ; · Leonid Kravtchouk, président de la République socialiste soviétique d'Ukraine. Le 21 décembre 1991, huit autres anciennes républiques soviétiques rejoignent la CEI lors de la signature du traité d’Alma-Alta (Kazakhstan). Les trois pays baltes, qui désirent intégrer l’Union européenne, ainsi que la Géorgie4, refusent d’adhérer à la CEI. 2013 : Une guerre civile, dite guerre du Donbass, éclate ensuite dans l'est de l'Ukraine majoritairement russophone, qui entraîne plus de dix mille morts "

Un peu d'histoire wikipedia " À la fin de 1918, les Alliés interviennent dans le sud de l'Ukraine pour soutenir les Blancs de Dénikine dans la guerre civile russe. Odessa, Sébastopol et d'autres localités côtières sont occupées par les Français, mais l'intervention tourne court en raison du manque de moyens engagés et de l'hostilité de la population (mars-avril 1919) L'Ukraine est envahie par l'Armée rouge et ramenée dans le giron soviétique "