Beebee

On dirait les regards de Jean Rochefort et Johnny Hallyday. Donc les pantoufles seraient plutôt pour Johnny?

Exact, excellent film

La dernière pour ce soir :

La couleur pourpre de Spielberg (ou alors ça y ressemble bcp!)

Oui... il passe sur ARTE ce soir.

Une suivante : (j'ai pleuré, mais pleuré, mais pleuré)

Un homme d'affaire qui semble être poursuivi.... La Firme?

Je ne savais pas que (pour ceux qui n'auraient pas vu l'épisode "Star") était capable d'aller si loin dans l'auto dérision. J'adore.... Je garde les autres pour plus tard.

Peut-être parce que le film peut laisser cette impression de flou, d'apesanteur, de parenthèse enchantée ( mes impressions perso) . Cette jolie gambette est celle d'un des acteurs fétiches de Wes Anderson dont nous parlions il n'y a pas si longtemps. Quant à l'actrice qui partage l'affiche avec "jolie gambette", elle n'était pas encore, à 19 ans, la star internationale abonnée aux blockbusters de l'univers Marvel et aux campagnes de pub dans le domaine du luxe qu'elle est devenue.

Tout part d'une fausse accusation de vol d'une bague que Linda prend très mal. Pour se faire pardonner cette injustice, sa mère lui propose de choisir ce qu'elle voudrait. C'est simple, Linda veut manger du poulet aux poivrons. Seulement voilà, jour de grève générale, quand même le petit épicier du bas de la tour est fermé, où trouver un poulet? Mort de préférence? Comment dire que ça ne va pas être simple Dire que nous n"étions que 6 dans la salle....

C'est un film que je ne connais pas : Je relance avec une ambiance à l'opposé de la précédente : Comme il faut bien classer le film, il est placé dans la case comédie dramatique. Je le trouve perdu entre les deux Bon week end (nous nous échappons quelques heures)

En "trichant", c'est l'ex d'Olivier Marchal. Problème, je ne connais aucun de ses films.... Ça ne doit pas être compliqué d'en trouver un avec Daniel Auteuil

Suis allée voir sur Internet. Connais pas. Après, en 2017... c'était compliqué . Un Scorsese de retard, je note.

Mais je n'ai pas d'idée pour le film "morbide, violent et réaliste" Je ne dois pas l'avoir vu.

Sur l'affiche, on dirait Daniel Auteuil.

Des moines, oui. Pas une secte.

Cette perception du viol était surtout une façon d''éviter aux hommes agresseurs (plus de 95% des cas) d'être poursuivis et ou condamnés, faut appeler un chat, un chat. Certains pays continuent d'exonérer les violeurs s'ils épousent leur victime. Et un bon nombre le doivent au code napoléonien de 1804 () https://www.rfi.fr/fr/hebdo/20170908-tunisie-jordanie-liban-viol-femme-loi-abolition-code-penal-522-femme On s'éloigne un peu de ta question mais je pense que la prise en compte de la parole de la victime est intimement lié à l'importance du statu de la femme (et de l'enfant, mais c'est encore une autre affaire malheureusement) dans la société. @al-flamela raison de parler du consentement sexuel qui est devenu, dans les sociétés occidentales, condition sine qua non à toute relation intime (voeux pieux?). Ce qui change tout en cas d'agression sexuelle : c'est la victime qui, normalement, devrait être au coeur du processus juridique. Au vu des témoignages lus ici, ce n'est pas gagné.

C'est un discours furieusement féministe à mes yeux. Et ce n'est pas grave de le dire, ni de l'être

C'est le but d'une infox : 10 secondes pour pondre une bouse, des heures si on veut apporter la preuve que les faits sont faux. Et, en face, ceux qui veulent croire la bouse la croiront de toute façon.... Haut les

Il donne une tentative d'explication vers 5'.

Il est bien connu que c'est à coup de "compassion" sur Twitter que la prévention et la lutte contre le viol progresse.... Si tu veux des noms d'associations qui font un peu plus que "réagir médiatiquement", j'ai plein d'adresses à te fournir sur la région lyonnaise.

Traduction : ce ne sont pas des victimes. Le corps de la femme est à disposition pour tripotages, baisers "volés" (en fait forcés), caresses appuyées. Maintenant @Garlaban, remplace corps de la femme par corps de l'enfant. J'espère que tu ressens un petit malaise. Puis, remplace par ton corps avec en face non pas Adriana Karembeu (trop facile) mais le gros Bébert qui vient de sortir de prison et qui a faim. Imagine ce qu'est le non consentement. Et on en reparlera du "nouvel ordre moral metoo".

Tout à fait.... Je reste donc dans "tiré d'un fait réel":

On accuse les "néoféministes" de misandrie et il est reproché à cette hystérique de Caroline de Haas de voir en chaque homme (un sur trois plutôt ?) un agresseur potentiel. Je vois que tu es nettement plus sévère avec ton genre que n'importe quelle féministe de base.

Ce lien remonte à 2021 sur une affaire qui a été finalement jugée et dont le présumé innocent a été reconnu coupable. Si Marianne sort un article mettant en cause la méthodologie dans l'affaire qui nous intéresse ici, avec sources et preuves à l'appui, on en reparlera. Je persiste et je signe : sortir cet article datant de 3 ans n'est qu'une façon de remettre en cause la parole des 7 plaignantes et c'est clairement prendre parti pour une présomption de culpabilité envers elles. Ce n'est pas toi qui est allé l'exhumer, je ne confonds pas. Ce qui me trouble dans cette histoire, bien plus qu'un article sorti il y a plus de 3 ans par le journal dont Natacha Polony est directrice de la rédaction , est la position de Christophe Robert, le président de la fondation Abbé Pierre: