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J'aimerais que tu répondes au moins à ces questions-là : 1) Des élus de collectivités territoriales disposant d'une représentation territoriale équilibrée au sein de la Nation par quels argument ne devraient-t-ils pas saisir les sages du Conseil Constitutionnelle sur une norme de contrôle de constitutionnalité sur un principe de QPC extrajudiciaire à priori ? Quand on connait le rôle de la norme de contrôle de constitutionnalité par le Conseil constitutionnel comme par exemple sur la laïcité républicaine d'intégration des droits de conviction des minorités nationales ou d'assimilation à une identité culturelle souveraine à l'école républicaine laïque de Jules Ferry. Que dis-tu de ton argument de représentation du jacobisme populaire du législateur souverain et des dérives du ressentie de l'opinion publique par la défiance du politique ? Le législateur populaire est-il un représentant de la Nation ou un auto-souverain d'une fédération d'une circonscription législative de territoires de proximité? Quant est-il de l'expérimentation par la différenciation politique des territoires de proximité ? Du travail de proximité ? A lire sur internet avant d'exposer un point de vue lapidaire du tout-fédéralisme jusqu'à pouvoir penser aller jusqu'à même une Europe des régions souveraines par distorsion de ma construction de mon raisonnement .
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Je ne nie pas le principe de légalité préfectoral, mais êtes-vous pour une politique de différenciation par l'expérimentation des territoires de proximité pour autant quant à vous et contre la primauté des accords d'entreprise dérogatoires sur les accords de branches qui facilitent cette parlementarisation territorial ? Quant est-t-il d'ailleurs de la démocratie locale ?
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Tu ne me dis pas pourquoi tu es hostile au fonctionnement de la démocratie territoriale au Sénat pour le fédéralisme par la souveraineté des collectivités territoriales en préférant la souveraineté populaire de nos concitoyens. Même si je n'ai pas le sujet de cette thématique, j'y vois des difficultés de développement des bassins de l'emploi de l'économie locale et territoriale et d'une défiance du politique face à l'hyper-présidentialisation monarco-républicain de la dérive de nos institutions de la Vème République de nos jours. Mais aussi face au populisme d'opportunités politiques par l'instrumentalisation des populations de masse et l'opinion publique. Voilà ce qui explique cela dans mes hypothétiques solutions pour contrer l'extrême-droitisation des mœurs publics. Comment faire entendre ma voix dans le débat public en restant anonyme pour ne pas m'inonder dans le système du tout-électoralisme.
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Je voudrais déjà que tu réagisses sur plusieurs points de réflexion-clés, que je vais développer maintenant: 1) Face à l'extrême-droitisation de l'opinion publique qui met en danger notre liberté contractuelle par la redéfinition de notre ordre public et nos bonnes mœurs par la droite, et connaissant-toi même le rôle du contrôle de constitutionnalité du domaine de la loi ou du règlement par les sages du Conseil constitutionnel : ne trouves-tu pas nécessaire que nos élus locaux qui disposent d'une représentation territoriale équilibrée au sein de la Nation puissent se saisir d'une QPC extrajudiciaire à priori comme par ailleurs les 60 parlementaires des deux assemblées législatives pour renforcer le cadenas de la démocratie plurielle? 2) L'argument de la fracture territoriale et sociale des territoires de proximité face à la verticalité du pouvoir politique par la norme de droit ne suffit-il pas à te convaincre de la nécessité d'une représentation de la démocratie territoriale au parlement ? Quitte même à la rendre plus fonctionnelle par l'ouverture du droit d'éligibilité au Sénat à la société civile. Face à une probable disparition du Sénat dans les années à venir car la sagesse de l'assemblée de la représentation territoriale semble plus devoir reposer, non pas sur une consultation réelle des territoires insuffisants selon moi au sein de leur pouvoir du régalisme du régime de semi-assemblée législative d'aujourd'hui, mais davantage reposer sur des conventions citoyennes dont les arbitrages pouvant être à la fin aléatoires. 3)Existe-t-il une forme des élections législatives avec la conservation des circonscriptions législatives dans le lien indéfectible du développement des territoires et de l'électeur de proximité pour pouvoir en assurer la méritocratie républicaine de circonscriptions législatives. Et des élections législatives à scrutin paritaire à la proportionnelle préférentielle intégrale avec une prime majoritaire à l'échelle régionale pour mettre fin au système des apparatchiks de l'investiture des partis politiques . Selon vous: est-ce la bonne méthode pour renouer le lien entre l'électeur et le politique. 4) Autre idée: instaurer un référendum révocatoire à mi-mandature d'une assemblée délibérante de proximité et d'initiative citoyenne à la majorité renforcée ou qualifiée pour que cela reste un mépris social exceptionnel. Est-ce là-encore la bonne méthode ?
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Bonjour Soltages, Tu me confirmerais peut-être que la vie est rose plutôt que bleu. Je ne te croirais que par des arguments contradictoires dans ma manière de pensée. Est-ce qu'il y a aura un réchauffement climatiques de degrés avec la fin des airs bolaires d'ici la fin du siècle ? Est-il juste de parler de jeunesse du climat tellement les enjeux climatiques sont importantes sur nos surcoûts sociétaux? Est-t-il juste de traiter Monsieur Jean-Marc Jancovici de climatologue sceptique ou d'écologue punitif avec la mise en place de la Taxe carbone ? Et enfin qu'est-ce que les relevés des marégraphes et sur quel site en ligne les consulter? Tu préfères peut-être le conservatisme en dépit d'être progressiste? Comment expliquer alors l'évolution des dynamiques démographiques sur la planète Terre ?
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Sans compter la levée des tarifs du bouclier énergétique. Ce que je n'ai pas dis pour l'instant par soucis d'anonymat, c'est que je suis étudiant moi aussi. Et des alarmes d'urgence climatique comme l'exprime aux détails près l'expert en climatologie et professeur des mines émérite Monsieur Jean-Marc Jancovici me fait froid dans le dos. Sans compter la sécurité alimentaire par la précarité de vie de nous autres étudiants. Ou l'usure à la longue des machines-outils et son impact sur l'inflation des prix de la grande distribution.
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Arrêtez un peu de vous combattre voyant, et discuter plus d'universalisme culturel ou de métissage des cultures anthropocentrées. L'un ne renvoyant pas à l'autre. Vous voulez quoi à travers cette notion d'islamogauchiste: définir le périmètre de la morale publique aux larmes et au sangs ou inciter à de l'assimilation à une culture identitaire d'assimilation quand vous ne savez-mêmes pas répondre à mes questions sur le républicanisme des mœurs sans être un expert sur le sujet
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Je vais reprendre mes réponses pour être plus clair avec toi, même si j'ai des problèmes de carence d'alphabétisation comme de milliers d'élèves apprentis en alternance: 1) La vérité est pourtant la tienne. La vérité est celle du chômage précaire en déqualification professionnelle et de la perte d'autonomie au travail à l'heure de l'allongement de la durée de l'âge légale de mise à la retraite au cumul emploi-retraite. Voir à la monétisation des RTT dans une Europe d'ultra-concurrence et primautés des libertés économiques de circulation sur les droits collectifs (droit de grève, etc...). Faute d'une réduction et d'un partage équitable de la durée de temps de travail à 32 heures hebdomadaires de temps de durée hebdomadaire effectif, afin de réduire la fatigue au travail et d'accroitre les rendements avec un moindre coût des taux d'absences au travail. De l'abstention, des bulletins nuls ou blancs et des non-inscrits sur les listes électorales à la présidentielle qui traduit une difficulté d'insertion sociale d'une partie de la classe populaire ou du moins d'une frange importante de la population de l'électorat français , l'autre frange ne croyant mêmes plus aux hommes et femmes politiques de convictions. Pour comprendre cela, il faut comprendre la gentrification dans les quartiers des bienlieus et des zones rurales peu desservies en termes de transports en commun par planification à la demande. C'est un système démocratie dysfonctionnelle sans doute, mais peut-être aussi un système oligarchique des parties de classes politiques occidentales de monopole d'investiture de partis à coup sûr. Pourquoi ne pas s'emparer de ces sujets de réflexion à bras le corps pour l'exercice de notre citoyenneté et en exigeant plus de Codes d'Honneurs pour le droit de l'éthique en politique ou même pour avoir une plus grande transparence de la ligne éditoriale du journalisme d'opinions au nom de notre liberté d'auto-réception. Condition sine qua non à l'exercice de nos libertés individuelles par le droit à l'information. Je suis aussi pour une justice de proximité pour tous, et non pas une justice parlementaire de l'entre-soi. J'ai même longtemps défendue l'idée d'instaurer un veto citoyen onusien avant le va-t-en-guerre des impérialistes mondiaux et qui nous engagent de plus en plus dans une guerre asymétrique et des forces de positions militaires avec un très mal-équipement militaire contre la cybercriminalité et le renseignement de stratégie d'influence comme le contre-espionnage entre autres mais pas que. J'envisage même une pacification de la paix social des peuples européens, pour pouvoir faire de la citoyenneté européenne un instrument de droit d'initiative de référendum d'initiative partagée avec le parlement de l'Union européenne. Comme cela peut-être le cas par exemple à l'échelle de plusieurs peuples d'entités territoriales des Etats-membres de l'Union européenne pour parachever ce que j'ai coutume d'appeler l'Europe sociale des cultures face au tout-intégration fédérale. De même que j'ai longtemps défendu l'idée d'un commandement intégré des pays membres ou des pays sous accord d'association de libre-échange avec l'Union européenne de codévelopper l'Afrique Eurasie pour rendre le commerce prospère autour du bassin méditerranéen sans avoir aucune complaisance avec les autres puissances étrangères extérieures comme les USA ou l'Angleterre qui n'ont n'en pas plus que nous. Il suffit de regarder en quoi consiste le project ocean Pacific pour s'en convaincre. Pour en revenir à ton sujet: L'extrême-droite renie-t-elle la souveraineté populaire pour la substituer à une souveraineté d'assimilation identitaire et à quelle identité renvoie-t-elle si ce n'est le Saint siège de l'Etat du Vatican, sans faire de blague pour respecter les catholiques ?Autrement dit, la question est de savoir: comment distingue-t-on la notion de l'individualisme de celle de la notion de l'identitarisme qui ne se confondent pas? Y compris dans un dictionnaire de vocabulaire d'alphabétisation. Ou encore entre ce que constitue le culturalisme ethnique et occidentralisantrisme pour le dire tout autrement me semble-t-il face au racisme et à la politique de l'anti-immigrationnisme d'asile ? Est-ce renier le principe républicain du droit d'asile inscrit dans notre Constitution française ? Et le débat peut-il s'élargir à une redéfinition de l'ordre public et aux bonnes mœurs par le législateur souverain auxquels on ne peut pas déroger par convention selon la loi fondamentale ? Voire sur les enjeux de la laïcité d'intégration des droits de conviction des minorités nationales ou d'une laïcité assimilation à une culture identitaire souveraine dans des frontières aussi tenues que le monde de l'entreprise et de la vie privée ? Et qui peut avoir un impact sur les critères de représentativité du syndicalisme négociateur. Voilà le danger de l'extrême-droitisation des mœurs publics pour moi liberticides dans une société façonnée par son ordre social de libertés individuelles. Qu'a-tu à répondre de cette réflexion de fond là ?
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C'est pourtant la vérité. La vérité des chômeurs précaires, de l'abstention, des bulletins nuls ou blancs et des non-inscrits sur les listes électorales de la présidentielle d'une partie de la classe populaire ou du moins d'une frange de la population, l'autre ne croyant plus aux politiques. Système démocratique dysfonctionne peut-être, mais système oligarchique des classes politiques occidentales à coup sûr. Sinon, comment expliquer que l'on délaisse le monopole de l'investiture aux élections politiques aux mouvements politiques sans pouvoir en en débattre entre nous dans une réflexion liée à l'exercice de notre citoyenneté et du droit de l'éthique en politique? Je suis ainsi pour une justice de proximité impartiale et équitable pour tous. J'ai même longtemps défendu l'idée d''un veto citoyen avant le va-t-en-guerre des impérialistes et qui nous engage dans une guerre de plus en plus asymétrique et des forces de positions militaires très mal-équipées contre la cybercriminalité et le contre-espionnage entre autres. J'envisage même une pacification des peuples européens, pour faire de la citoyenneté européenne un droit d'initiative de référendum d'initiative citoyenneté partagée avec le parlement de l'Union européenne à l'échelle de plusieurs territoires des Etats-membres de l'Union européenne pour parachever le tout-intégration. De même que j'ai longtemps défendu l'idée d'un commandement intégrés des pays membres ou sous accord d'association de libre-échange avec l'Union européenne et un co-développement d'Afrique Eurasie sans avoir aucune complaisance avec les autres puissances étrangères extérieures. Pour en revenir à ton sujet: renie-t-on la souveraineté populaire par une souveraineté d'assimilation identitaire et à quelle identité renvoie-t-elle ?Autrement dit la question de savoir: comment distingue-t-on l'individualisme de l'identitarisme ? Ou encore entre culturalisme ethnique et l'anthropocentrisme pour le dire tout autrement me semble-t-il ?
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Je suis d'accord avec toi. L'effet majoritaire législatives de la présidentielle n'a pas eu lieu et la Nupes et le RN ont pu être représentée à l'Assemblée nationale. De plus, Mélenchon et Marine Le Pen ont fait un très bon score à la présentielle par leur forme de rhétorique populiste contestataire ou de radicalité à gauche pour Mélenchon. Avec la convergence des luttes sociales. Tout en étant pragmatique sur le fond. Alors que ni la zémouristation des idées politiques ni la primaire des républicains après plusieurs discussions n'ont pris au score à la présidentielle avec moins d'un quart pour l'ensemble des voix exprimés à eux deux. C'est ma lecture de mon analyse de la présidentielle et des législatives avec des mots cde vulgarisation entre les soi-disant deux-extrêmes politique de la diabolisation ou la complaisance de la communauté musulmane après la guerre asymétrique que délivrent nos armées en Lybie comme le terme islamogauchiste ou extrême-droitisation des mœurs publics. Je ne suis qu'un citoyen lambdas. Pour l'écologie de progrès, je crois que le nationalisme populiste et la déviance du politique, ou plus exactement la souveraineté d'assimilation identitaire dans une société du primat de l'individu souverain par l'étatisation, a détruit nos écosystèmes naturels par le tout-productivisme et le conformisme. Ainsi, parle-t-on de la propriété lucrative ou la rentabilité économique. Et ce que j'attends par-là ce cons les conditions de vie animale ou végétale qui survivent en milieu naturel du fait de la surexploitation de l'Homme. Je ne sais même pas si certaines espèces animaux ont le même système respiratoire ou digestif que nous ou que les plantes qui produisent de la photosynthèse à l'état actuel de nos connaissances scientifiques et techniques, mais ce serait alors une véritable grande découverte scientifique. Rien n'est plus sûr. Tout comme la captage des microparticules de gaz à effet de serres piégés dans l'atmosphère par du partenariat public-privés. Mais les catastrophes naturelles du réchauffement climatique au-delà de 2 degrés Celsius de la couche terrestre et de la montée des eaux descentes, avec tout son lot d'inégalités sociales au sein de l'économie mondiale et sa mutation par l'économie de sobriété énergétique de croissance et d'innovation de proximité, me paraissent aujourd'hui de plus en plus certaines. De convictions de devoir de citoyen, je crois à une période de déglaciation à l'ère de la disparation de l'Humanité dans le millénaire suivant le 21ème siècle. Je prévois en tout cas le dépassement du néocapitalisme moderne dérégulée comme les GAFAM par une consommation de proximité et d'images de marques éthiques. Etes-vous d'accord qu'une économie de spécialisation par l'innovation territoriale pouvant être internationalisée par la suite par l'exportation si c'est possible ? Et pourquoi ne pas l'appliquer à de l'écologie schumpetérienne de proximité ?
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La souveraineté de l'individu par l'étatisation a aussi détruit les écosystèmes naturels par le tout-productivisme matériel. J'attends par-là les conditions de vie animale ou végétale en milieu naturel. Je ne sais même pas si des espèces animaux peuvent avoir le même système respiratoire ou digestif que les plantes qui produisent de la photosynthèse à l'état actuel des connaissances scientifiques et techniques, mais se serait une véritable grande découverte. Rien n'est sûr. Mais la catastrophe du réchauffement climatique au-delà de 2 degrés Celsius de la couche terrestre et de la montée des eaux descentes avec tout son lot d'inégalités sociales au sein de l'économie mondiale et sa mutation par l'économie de sobriété énergétique de proximité me paraissent de plus en plus certaines. De convictions de citoyen, je crois à une période de déglaciation à la disparation de l'Humanité dans le millénaire suivant le 21ème siècle. Sans pouvoir en faire trop, mais il faut quand même que l'on puisse s'adapter un temps soit-il possible face au réchauffement climatique immédiat et parer à une plus grande vigilance dans la sécurisation des risques du nucléaire avec un projet comme le projet européen Euratom ni plus ni moins. Sans compter pouvoir parler de la possibilité d'une collision des astres ou de l'aspiration de la Terre dans l'antimatière par un trou noir, ce qui me parait plus que hautement probable. La planète Mars a connu le même milieu de vie anthropique que notre milieu de vie antrophique sur la planète Terre. On en est pas encore dans l'analyse des fossiles accrochées aux pierres des couches zoologiques de la planète Mars.
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Bonjour Belluga, Les philosophes des Lumières étaient loin de deviner ce qui pouvaient être des facteurs d'inégalités sociales par ce qu'ils avaient coutume d'appeler "le régénéraissence de de l'individu" en un primat de l'individu souverain au détriment de l'intérêt collectif https://r.search.yahoo.com/_ylt=AwrIQZH0H_likQMAhQOPAwx.;_ylu=Y29sbwMEcG9zAzEEdnRpZAMEc2VjA3Ny/RV=2/RE=1660522612/RO=10/RU=https%3a%2f%2fwww.pratiques-sociales.org%2fprimat-de-lindividu-et-crise-du-collectif%2f/RK=2/RS=XvyD42xcc89j3cmvXEDuUrzcxKE-
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A commencer par la mise en place des conventions citoyennes en amont des commissions de réforme ou l'indépendance du parquet à l'égard du garde des sceau dans son initiative d'opportunité des poursuites à la scandinave me semble-t-il entre autres idées
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Bonjour Dede2b, Entre l'embourgeoisement des parlementaires et le rationalisme des pouvoirs du parlement face aux enjeux des pouvoirs de l'hyper-présidentialisation , il n'y a qu'un pas. Je ne parles même pas des financements participatifs pour mener une campagne politique et être élu au sein du Parlement. Le Président de la République Emmanuelle Macron avait même parlait à la jeunesse républicaine française, sur les médias indépendants tic toc me semble-t-il , des lobbying comme des groupes de pressions. Non, je parlais plutôt d'une gauche socialiste libérale d'écologie de progrès schumpetérien par la croissance et l'innovation de territoires de proximité. Voire aussi du néomarxiste . Ces deux gauches, sont peut-être irréconciliables sur certains points comme la non-prolifération du parc de l'énergie du nucléaire civile , mais peuvent cependant se concilier me semble-t-il à travers une gauche plus ancrée dans la conviction à la base des mouvements politiques. On peut aussi citer l'humanisme de gauche et à commenter par l'art ou du mouvement littérature francophone . Sans devoir oublier les films au cinéma. Je ne suis pas assez exhaustif, faute de les connaître tous. Après, pour un ex-syndicaliste: faut-il définir la représentativité syndicale par du laisser-faire-collectif ou une tradition étatique par la volonté du législateur souverain au regard du fait que les droits de l'Homme sont inaliénables et imperceptibles ? Ou encore: que l'on doit appliquer une laïcité d'intégration ou une laïcité d'assimilation dans la vie en collectivité comme l'entreprise et noms du respect de convictions à tous? Là où pourrait se déchirer l'extrême-droite pour la succession de la ligne politique du Rassemblement nationale à celles du lepénisme des esprits. En toile de fonds, en reniant les valeurs universalistes de notre souveraineté populaire sur une souveraineté d'assimilation identitaire. Et en confondant à la va-vite les notions d'identitarisme, de communautarisme, de culturalisme, d'universalisme plurielle, de républicanisme, etc... là où la gauche peut y répondre par l'inscription de ce thème et de celui d'une décentralisation différenciée face à la verticalité du pouvoir politique et des modes de scrutin de liste paritaire à la proportionnelle préférentielle intégrale avec une prime majoritaire aux législatives et d'une ouverture du droit d'éligibilité au Sénat à la société civile avec un mide-term aux sénatoriales dans la droite lignée de l'héritage du mitterrandisme populaire. Ou encore même que les élus locaux disposant d'une représentation territoriale équilibrée puisse avoir un droit de saisine du Conseil constitutionnel pour une norme de contrôle de constitutionnalité me semble-être en soi un objectif raisonnable. J'espère, avec un veux peut-être pieux, que la Nupes se transforme en un giga-think thank à sa base militante pour se réinventer. La droite, je la vois plutôt en faveur d'une droite des territoires de la règle d'or au principe de subsidiarité en favorisant les agents économiques de proximité, en passant par l'attribution de marché à de l'entreprenariat de concession d'utilité publique, à de la spécialisation de l'économie du terroir au sens large du partenariat du particularisme local , etc...
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Il y aussi une gauche de conviction, non ?
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J'ai parlé dans un autre post de thématique de gauche anarchique, de gauche populaire, de gauche contestataire, etc.... Je n'assimile pas toutes les gauches à une seule gauche, ce qui est très vulgaire de le faire comme vous. Mais allons-y: la gauche, c'est quoi pour vous ? Pour moi c'est le contrat social de Rousseau en tant que souverain populaire jusqu'à l'école publique laïque de Jules Ferry . Es-je torts de dire que vous ne savez pas définir sans confusion l'identitarisme, le communautarisme, le ségrégationnisme social, le culturalisme et l'universalisme plurielle à la perfection ? Et de dire que notre pays de démocratie libérale fonctionne avec une souveraineté populaire et non une souveraineté d'assimilation identitaire? Ou encore que les symboles de la République sont des principes républicains au sommet des libertés fondamentales et ceux-ci bien au-delà des Traités internationaux ou des règlements et directives européens en façonnant notre identité nationale comme l'ADN de nôtre république à tous? A lire aussi le Préambule de la Constitution française de 1958. Ce sera tout pour moi !
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J'ai bien compris: le Peuple français est-il une communauté nationale par essence de culture plurielle aux origines diverses depuis ses institutions républicaines ou de démocratie libérale si tu préfères? L'élève en classe de CP te pose les question autour de la réflexion de savoir: à quoi se rattache l'identitarisme, le communautarisme, le culturalisme ou l'universalisme plurielle ? Et est-ce que les Français ont le droit de faire partie de la minorité nationale du peuple étant de confessions musulmanes ou catholiques et protestantes ? En quoi la souverain populaire du peuple français doit être supplanter par une souveraineté d'assimilation culturelle à une identité et quoi se rattache cette identité dans une démocratie libérale de conviction politique de l'individu comme la nôtre depuis le début du Nouveau Régime et du Siècle des Lumières ? Voilà, c'est ce qu'à à dire ton "CP" de ton un peu vulgaire dans un débat où je mets en avant la neutralité de l'Etat de droit comme d'ailleurs à d'autres époques "Indigène" ou "sale juive" https://r.search.yahoo.com/_ylt=AwrIQ2fDfPdiWEQAPAmPAwx.;_ylu=Y29sbwMEcG9zAzIEdnRpZAMEc2VjA3Ny/RV=2/RE=1660415300/RO=10/RU=https%3a%2f%2fwww.contrepoints.org%2f2013%2f01%2f27%2f111921-la-democratie-et-lindividu/RK=2/RS=t5s3lIBG_bBcBZ6Dss2RDwAiCKU-
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Je te pose des questions de réflexion concrètes en lien avec mes convictions citoyennes. Je ne prends en otage personne. Je dis: 1) Renoncez-vous à la souveraineté populaire pour une souveraineté identitaire ? 2) A quelle identité souveraine renoncez-vous aux droits des minorités nationales en tant que souverains populaires ? 3) Comment identifiez-vous l'idée d'identitarisme, de communautarisme et de culturalisme, voire d'universalisme plurielle ? Je pense que tous les forumeurs ici savent se documenter en ligne. Et je tiens à dire et à répéter avec force que je ne fais que vous posez ces trois questions, et non pas de prendre en étau la gauche politique ou même la gauche culturelle. Je manque d'intellectualisme pour cela. C'est donc pour ces raisons-là que je m'ouvre d'esprit en vous posant ces trois questions de manière abstraite de toute confusion. Du reste, ni le Président de la République, ni l'ancien Premier ministre Edouard Philippe, et encore moins le Président du Sénat en vertu de son obligation de neutralité, ne doivent-ils bénéficier d'un effet majoritaire au parlement si je vous suis dans la logique de vos convictions personnelles? Du reste, ce ne sont que des broutilles apartisanes à l'heure d'un parlementarisme fort, non ?
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Peut-on revenir à mon post ? Pour ma part, je défends l'idée d'une société de consommation d'image de marque éthique dans laquelle toutes les parties prenantes de l'entreprise de proximité participeraient à la contribution à la solidarité nationale par une levée d'impôt à la source des cotisations sociales sur les revenus du capital et sur les revenus du travail. Est-ce une bonne politique pour soutenir notre modèle de protection sociale face à l'égalité d'accès aux soins des usagers du service public hospitalier. D'ailleurs, je pense que pour avoir moins de pression fiscale, il faut plus de progressivité sur l'impôt de n'importe quelle nature qu'il soit, N'est-ce pas vrai pour le recordisme de marché , voire le néo-marxisme qui est une variante du socialisme ?
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Bonjour, je vais être plus explicite avec vous: Pourquoi ne pas instaurer un veto citoyen au sein du conseil de sécurité onusien pour éviter les guerres climatiques et privilégier la diplomatie politique des relations internationales et limiter l'ingérence des puissances militaires de la communauté internationales aux seins des affaires internes qu'en cas de motifs d'impérieuse nécessité pour régler le problème de l'autodétermination des peuples ? Voire de réformer a la marge du nationalisme de la raison des superpuissances du G20 une initiative de réforme citoyenne partagée en intégrant ainsi le parlementarisme et la citoyenneté dans la gestion des relations internationales ? Même le Général De Gaulle aurait été cosignataire d'une convention internationale de citoyenneté partagée au nom de sa pensée politique du gaullisme social. Plutôt qu'une politique de militarisation qui pousse nos confrères de plus en plus vers du populisme D'Etats en guerre a front tireur. Je suis donc favorable au moins a une possibilité de réforme d'initiative citoyenne partagée à la marge de la négociation des Traites internationaux entre pays belligérants et pour un système d'épargne salariale solidaire plus universalistes. En plus d'ajouter à cela des coopératives agricoles et des programmes de recherche et de développement entre les pays D'Afrique Eurasie pour le développement d'une agriculture durable plus coopérativité Nord-Sud-Ouest-Est et plus de collaboration dans la recherche de l'innovation de la sobriété énergétique ou des crises sanitaires épidémiques dans la poursuite et l'élargissement à d'autres pays d'Afrique du projet de construction d'une Union méditerranéenne par Nicolas Sarkozy . Afin de parvenir à un co-développement de l'Afrique Eurasie. Comme cela peut-être le cas par exemple de l'innovation dans l'imprimerie numérique à bas coût ou des flotte de véhicules autonomes en énergies grâce à l'IA, etc... A l'heure où l'on parle d'une neutralité en carbone des chaine de valeurs, pourquoi ne pas aller jusqu'à notamment une filière de production de processus d'oxydation de l'athmosphosphère ou de captage des microparticules de gaz à effet de serres piégés dans l'atmosphère par nos chaînes de valeurs. En bref, inverser la donne.
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Bonjour, Pourquoi ne pas assimiler l'escroquerie politique de l'Etat de droit au sens large par une pénalisation comme un crime contre l'Etat, la République ou la nation avec des peines planchers ? Même chose pour la substitution du délit de favoritisme politique contre le gré du bon sens commun en un crime contre l'Etat, la République ou la Nation ? Car ils brisant le lien du pacte républicain ou du contrat social entre l'électeur et le politique. Pour les élections législatives, je te propose un scrutin de liste paritaire à la proportionnelle préférentielle intégrale avec une prime majoritaire à l'échelle régionale dans des circonscriptions législatives plus large pour renforcer la méritocratie républicaine dans le parlementarisme de circonscription législative et le mandat représentatif de l'électeur. Pour les élections sénatoriales, pourquoi ne pas proposer une ouverture du droit d'égibilité au Sénat à la société civile et un droit plural du parrainage des candidats à la présidentielle pour faire mieux fonctionner la démocratie territoriale de proximité. Une fusion des collectivités territoriales s'organisant en intercommunalité de coopération ou de développement et un référendum révocatoire pour mauvaise gestion à mi-mandature de nos élus communaux ou municipaux seraient-aussi souhaitables dans une société de migration interne ou externe de l'individu. Est-ce que vous d'accords avec toutes ces orientations institutionnelles majeures de la réforme de l'Etat de droit ou non ? Et pourquoi ?
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Pour revenir au principe de QPC extrajudiciaire: est-ce que cela va dans le sens de l'intérêt commun du collectif ? Et faut-il que il s'agisse d'une QPC à priori ou à posteriori pour être un peu plus sérieux ? Pareils pour le reste !
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L'idée de l'obligation de neutralité du Président du Sénat m'est venu du fait que le chef de l'Etat doit-être l'arbitre des institutions de la Vème Républicaine. D'où mon avis d'apartisanerie politique du président du Sénat en tant que deuxième personnage dans l'ordre protocolaire de la présidence de notre Etat de droit. Est-ce que vous êtes d'accord avec moi sur ce point-là de nos institutions républicaines. Et est-ce que vous êtes d'accord à ce que des élus de nos collectivités territoriales disposant d'une représentation territoriale équilibrée au sein de notre Nation puisse avoir un droit de saisine du Conseil constitutionnel sur une norme de contrôle de constitutionnalité ? Par une QPC extrajudiciaire à priori ou à posteriori, là est tout le débat à avoir. Car le Conseil constitutionnel est le garant de nos institutions et que nos élus locaux disposent d'une légitimité politique par notre démocratie de proximité. Si l'on suis bien la logique du sociologues Bourdieau qui est l'une de mes références pour moi dans la conduite de la Réforme de l'Etat.
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Pour cela, il y travail des mineurs est contrôl
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Bonjour Pheldwyn, je tiens à te dire que je suis désolé décorché ton nom par erreur. Je vais reprendre mon argumentation pour être plus clair avec toi. Si tu me permets de te tutoyer: Pourquoi parle-t-on des émeutes dans les banlieue et des mouvements contestataires comme Nuit Debout ou les alertes sociales de SOS racisme. Certes, on est dans une démocratie républicaine libérale de souveraineté populaire et non pas d'une souveraineté identitaire qui renvoie sous prétexte d'ethnie sociale supérieure assimilatrice comme les autres mouvements racistes ou de politique plutôt fascistes depuis la dernière guerre mondiale fasciste . Je sais bien que les symboles de la République prîmes sur le principe républicain de la laïcité, mais veut-on se faire instrumentaliser par l'extrême-droitisation par effet de banalisation des débats publics, telle une force de la construction l'opinion publique, en optant pour une laïcité d'intégration des minorités nationales en entreprise ou dans le cambât pour la question sociale du syndicalisme de la fin de la moitié du 21ème siècle ? Ou pour une laïcité d'assimilation identitaire ? Cela revient pour l'Etat de droit à imposer ou à changer les convictions personnelles de chaque citoyen au sein d'une communauté nationale par essence de culture populaire plurielle. En remettant ainsi en cause la notion de citoyenneté politique me semble-t-il. Et n'ayant pas des conséquences non-négligeables pour la représentativité du syndicalisme à la française qui doivent respecter les principes des valeurs républicaines pour disposer d'une section syndicale cette fois-ci pour la citoyenneté professionnelle. Et pour le tournant de la décennie à venir d'une redéfinition de l'ordre public et des bonnes mœurs auxquels on ne peut pas déroger par la liberté contractuelle par la force du législateur souverain pour aller jusque-là. D'ailleurs comment distingue-t-on la notion de la communauté nationale de la question de l'identitarisme ? Ou encore comment distinguer de souveraineté pluraliste de la souveraineté identitaire ? Après cela, on peut tout-à-fait d'accord dire qu'il y a une gauche populaire, une gauche anarchiste et une gauche contestataire. Sinon, on ne parlerait pas de gauche plurielle, non ? Mon constat à moi, c'est que ni la zémourisation des idées politiques, et ni la primaire des républicains plusieurs fois repris par des relais de médias d'influence politique, n'a pris. Y compris, si on prend en compte les abstentionnistes ou les non-inscrits sur les listes électorales. Et l'effet de majorité législative conçue par les institutions de la Vème République n'a eu lieu. Mais en plus de cela que la Nuppes à pu être représentée politiquement au parlement. Alors même que la Vème République est conçue sous un modèle d'hyper-présidentialisation monarcho-républicain et n'est pas un régime parlementaire dans la conduite de la politique de la Nation. D'ailleurs, parle-t-on du domaine réservé au chef de l'Etat. Si ce n'est du domaine exclusivement réglementaire. Bref, de ce qui consiste en de la verticalité du pouvoir politique face à la fracture sociale et territoriale des territoires de proximité. C'est pour cela qu'en tant que citoyen lambda je réclame une décentralisation différenciée entre autres concepts politiques. Pour les acquis sociaux, il y a qu'à voir les mouvements gauchistes de l'Histoire de France et de la question sociale entre autres. Comme j'ai d'ailleurs citer quelques mesures de gauche comme l'abolition de l'esclavage dans nos droits humains à vocations universalistes. Est-ce que le Président du Sénat doit-il avoir une obligation de neutralité en tant que deuxième personnage protocolaire de la présidence de la République ? Je ne sais pas§ Je suis désolé d'intervenir sur ce poste, mais la proprité lucrative ou la notion de rentabilité économique ou de rente devrait sans doute te surprendre.