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Guerre en Ukraine - Sujet général
Fersi a répondu à un(e) sujet de Promethee_Hades dans International
Intégrer la Russie, l'Iran, le Pakistan, l'Afghanistan et l'inde mais aussi le Brésil et encore d'autres régimes politiques stratégiques stables dans le commandement intégré de l'OTAN pour en faire un lieu d'échanges diplomatiques plutôt que de va-t-en-guerre ne devrait au contraire pas être un scandale tant leurs populations civiles se sécularisent de plus en plus. Après, cela n'est pas contraire à nos valeurs humanistes de liberté de d'opinion , non ? -
Guerre en Ukraine - Sujet général
Fersi a répondu à un(e) sujet de Promethee_Hades dans International
Peut-être même ordonner un cessez-le-feu en coordination avec un accord entre le Vatican et l'Eglise orthodoxe russe à titre de paix symbolique et d'autres puissances émergentes ou qui pratique l'islamisme politique modérée et qui dont nos relations diplomatiques sont une cause des actes d'attentats sur notre territoire national. Sachant que la population civile de ces pays se sécularisent de plus en plus trouvant notre modèle de laïcité à la française comme un modèle d'excellence. A lire ces actualités : https://r.search.yahoo.com/_ylt=AwrIAX7AYEljOBcAFB.PAwx.;_ylu=Y29sbwMEcG9zAzMEdnRpZAMEc2VjA3Ny/RV=2/RE=1665782081/RO=10/RU=https%3a%2f%2ffr.isna.ir%2fnews%2f1401072111011%2fL-Iran-sera-un-partenaire-in%C3%A9branlable-dans-le-renforcement-d-un/RK=2/RS=VWugvCoqRohWvds1VMI0kEJPc.Q- https://r.search.yahoo.com/_ylt=AwrIQZEbYUljT2EA6AWPAwx.;_ylu=Y29sbwMEcG9zAzIEdnRpZAMEc2VjA3Ny/RV=2/RE=1665782171/RO=10/RU=https%3a%2f%2fwww.senat.fr%2fcolloques%2factes_laicite%2factes_laicite_mono.html/RK=2/RS=FVbdhJh.rqKmHnQkK1lKNgDfuy0- -
Guerre en Ukraine - Sujet général
Fersi a répondu à un(e) sujet de Promethee_Hades dans International
Au-delà de toutes les critiques du vieillissement du modèle du monde occidentale, je pense qu'il nous faut trouver un arbitre international pour pouvoir les préparer par des accords-cadres sur une zone de République à statut autonome de libres frontières russo-ukrainiennes pour s'en faire deux alliés plus que deux ennemis dans d'autres conflits mondiaux. Et en faisant de nos idéaux de progrès économique du marché intérieur un partenariat de coopération culturelle dans l'innovation économique et le transfert de technologies réciproques dans le cadre du développement de l'africanus-eurasiatique Tout en ayant un positionnement militaire stratégique au sein du commandement intégré de l'Otan en faisant de l'Europe de la défense par l'intégration des commandements intégrées des chefs d'états-majors des pays membres ou sous accord de libre-échange avec l'Union européenne une des priorités dans le projet commun de l'Europe. Peut-être est-il aussi utile pour la diplomatie mondiale d'intégrer la Russie, la Turquie et l'Iran en plus de l'inde et du Pakistan ou encore de l'Afghanistan dans le commandement intégré de l'OTAN sur les enjeux transnationaux et de faire reposer la monnaie de réserve de taux d'échange sur un taux moyen de devises mondiale beaucoup plus équitable pour toutes les parties prenantes à l'économie mondiale que la seule first Amérique post-trumpiste. Et enfin de faire jouer des mécanismes de référendum d('initiative partagée avec des conditions de participation citoyenne au sein du parlement européen plus souples et un veto de citoyenneté européenne. -
Re-bonjour Monsieur pluc89, Je vais me reprendre ici pour être un peu plus clair: Je trouve géniale l'idée d'appliquer la règle des 20/80 de Kiss Cool pour les hauts fonctionnaires plutôt que de frapper les agents des collectivités territoriales ou de la fonction publique hospitalière aujourd'hui en pleine politique de grand bond culturelle de notre nation dans le cadre du droit à l'expérimentation des collectivités territoriales et de la légitimation par une 0forme d'éthique de la démocratie de proximité dans l'administration de nos territoires de proximité : Régions, départements, métropole, communes.... Je trouve par contre dommage qu'il n'y ait pas une politique de fusion des collectivités territoriales réunies aux seins des intercommunalités de coopération ou de développement des communes rurales ou d'agglomération en une entité juridique à statut autonome dans une réforme de la carte territoriale à conduire en concertation avec les partenaires sociaux dans le cadre de l'identification des zones d'attractivité économique et sociale des bassins d'emplois écologiques pour éviter les effets doublons du mille-feuille administratif. A la première condition bien sûr que l'on rentre dans cette logique d'organiser des élections locales de mid-term pour préserver le lien social entre les riverains des territoires de proximité et l'action publique des territoires de proximité dans les enjeux de la Mondialisation de consommation citoyenne de proximité en eux-mêmes. Ensuite, à la seconde condition que l'on ouvre le droit d'éligibilité aux élections sénatoriales à la société civile académique toute entière pour rendre notre démocratie territoriale plus fonctionnelle en faisant jouer le rôle que représente la réalité de la méritocratie républicaine ayant un rattachement directe avec la démocratie de proximité en rendant le vote électronique aux élections sénatoriales obligatoire et anonyme pour n'avoir aucune logique de partis de masse. Comme c'était d'ailleurs ce qui a causé la chute des institutions parlementaires de notre histoire de la IVème République avant le coup d'Etat permanent des institutions de la Vème République. Et en admettant en outre un droit d'initiative populaire de dissolution du Sénat par la majorité de deux-tiers des électeurs des circonscriptions sénatoriales des territoires de proximité. Voire un droit à une initiative d'empêchement à législature dans la refonte du découpage de la carte électorale des circonscriptions législatives et sénatoriales de scrutin majoritaire de listes paritaires. Le peuple n'est-il pas souverain ? Et à la troisième condition de rendre alors ensuite plurale le droit au parrainage des candidats aux élections présidentielles. Pour ne pas dépendre d'un droit d'éligibilité aux élections présidentielles qui ne dépend que des seules logiques de couleurs politiques et faire émerger dans le paysage politique d'autres courants politiques de partis républicains dans une démocratie libérale aux idées plurielles. Pour faire fonctionner au mieux la règle du 20/80 de Kiss Cool, je préconise qu'il faudrait mettre fin au régime statutaire des hauts fonctionnaires en optimisant la contractualisation de leurs conditions de travail dans une pure logique de flexisécurité face au poids du prélèvement à l'impôt sur nos concitoyens. Ce que d'autres appellent la pression fiscale. C'est justement alors là que doit d'ailleurs se jouer le rôle de la justice fiscale par le nombre de hauts fonctionnaires à statut spécial qu'il faudrait revoir entre autre pour le poids de la pression fiscale. Un autre enjeux est de redonner une réelle indépendance et impartialité aux magistrats du siège de l'organisation judiciaire par principe inamovibles de par leur statut et gardiens des libertés individuelles. Je suis même d'accord avec l'idée que l'effondrement du service public de la justice équitable de proximité conduit à un recul de l'état de droit dans la politique de notre cohésion sociale dans notre nation. Je milite d'ailleurs pour un parquet indépendant. Mais se posent alors d'autres enjeux comme les renvois préjudicielles en QPC qui ne peuvent être réglée que par un délai différé. Y compris même quand on est convaincu de la nécessité de la mise en place d'un principe de QPC extrajudiciaire soulevée d'office par nos élus locaux disposant d'une représentation territoriale équilibrée au sein de la Nation comme remparts républicains aux noms de nos intérêts légitime supérieures face à l'arbitraire de notre pouvoir exécutif. Même si je ne confond pas l'auto-souveraineté qui relève du mandat représentatif du législateur républicain avec la légitimité politique pour administrer une collectivité territoriale d'un élu local en vertu d'une démocratie de proximité. Il me semble aussi que supprimer le Sénat qui joue un rôle primordial dans le lien entre la fonction de décentralisation de l'administration des collectivités territoriales et de la substituer par une chambre de démocratie semi-directe par représentation citoyenne tirée au sort et de le remplacer par un comité de consultation d'avant-projet de réforme pour avis comme les autres organisations d'action sociales me semble être une erreur monumentale. De même il existe des enjeux sur les remontées de décisions de justice contradictoires auprès des juridictions suprêmes de nos deux ordres de juridiction. A l'inverse: que représente la part de la spécialisation de nos juridictions d'instance ou d'appel de proximité? Je milite aussi pour une justice de proximité plus équitable énergétiquement auto-souveraine. Idem pour les administration d'inspection fiscale ou du travail déconcentrées. Je suis aussi favorable à ce que le Conseil constitutionnel puisse se saisir d'un comité d'experts ayant prêté serment le cas échant devant la nation pour donner un avis éclairé et avisé en cas de question complexe de norme de contrôle de constitutionnalité. Mais aussi pour plus de politique de remontée de terrain non pas uniquement pour une centralisation de la verticalité du pouvoir politique. Aussi, je suis en faveur d'un droit de veto citoyen sur des normes relevant du domaine réglementaire et non pas du domaine de la loi. Cela passe par cette théorie entre autre.
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Guerre en Ukraine - Sujet général
Fersi a répondu à un(e) sujet de Promethee_Hades dans International
Pourquoi ne pas négocier une sortie de crise par un médiateur international en faisant des territoires russophones des républiques autonomes de libre frontières russo-ukrainiennes ? -
Bonjour Monsieur Pluc89, Surtout, pourquoi pas appliquer la règle 20/80 de Kiss Cool sur les hauts fonctionnaires plutôt que de frapper le personnel des collectivités territoriales ou de la fonction publique hospitalière en pleine politique de droit à l'expérimentation des collectivités territoriales et de légitimation par une forme d'éthique de la démocratie de proximité dans l'administration de nos territoires de proximité : Régions, départements, communes? A la première condition bien sûr que l'on rentre dans cette logique d'organiser des référendums de mid-term locaux pour préserver le lien social entre les riverains des territoires de proximité et les territoires de proximité en eux-mêmes . Et à la seconde condition que l'on ouvre le droit d'éligibilité aux élections sénatoriales à la société civile toute entière pour rendre plus efficiente notre démocratie territoriale en faisant jouer une réelle méritocratie républicaine en rendant aussi le vote aux élections sénatoriales anonymes pour n'avoir aucune logique de partis de masse. Comme c'était d'ailleurs ce qui a causé l'échec des institutions au cours de notre histoire de la IVème République avant le coup d'Etat permanent des institutions de la Vème République. Et à la troisième condition est de rendre plural et encore anonyme le droit au parrainage des candidats aux élections présidentielles. Pour ne pas dépendre d'un droit d'éligibilité aux élections présidentielles qui dépend des seules logiques de couleurs politiques et voir émerger d'autres partis républicains dans une démocratie aux idées plurielles. Tout en prenant en compte leurs convictions politiques. Je vise bien sûr la classe politique locale sans étiquette mais pas que. Pour faire fonctionner cette règle du 20/80 de Kiss Cool, il faudrait mettre fin au régime statutaire des hauts fonctionnaires par une optimisation de la contractualisation de leurs conditions de travail dans une logique de flexisécurité face au prélèvement à l'impôt de nos concitoyens. Et devrait permettre de redonner une réelle respiration à l'indépendance et à l'impartialité des magistrats du siège de l'organisation judiciaire par principe inamovibles de par leur statut. Je suis même d'accord avec l'idée que l'effondrement de la justice équitable de proximité conduit à un recul de l'état de droit dans notre Nation. Mais alors quiz des renvois préjudicielles en QPC si ce n'est pas par un délai différé ? Y compris même dans le cadre de la mise en place d'un principe de QPC extrajudiciaire soulevée d'office par nos élus locaux disposant d'une représentation territoriale équilibrée au sein de la Nation comme remparts républicains aux noms de nos intérêts légitime face à la tyrannie de notre pouvoir exécutif. Même si je ne confond pas l'auto-souveraineté du législateur populaire avec la légitimité politique pour administrer une collectivité territoriale d'un élu local en vertu de la démocratie de proximité. Il me semble aussi que supprimer le Sénat qui joue le rôle de représenter les territoires de leur fonction de décentralisation de l'administration politique par une chambre de démocratie directe d'une représentation citoyenne tirée au sort du je-m'en-foutiste et le remplacer par un comité de consultation d'avant-projet de réforme pour avis me semble être une erreur. De même quiz des remontées de décisions de justice, parfois contradictoires, auprès des juridictions suprêmes de nos deux ordres de juridiction? A l'inverse: quiz de la spécialisation des juridictions d'instance ou d'appel? Veut-on d'ailleurs une justice de proximité plus équitable et souverainement positive en énergie ? Idem pour l'administration d'inspection fiscale ou du travail déconcentrée ? Moi, je suis aussi favorable à ce que le Conseil constitutionnel puisse se saisir d'un comité d'experts ayant prêté serment devant la nation pour avis en cas de question complexe de norme de contrôle de constitutionnalité. Mais pour une politique de remontée de terrain de bas en haut et non pas pour une centralisation de la verticalité politique. Aussi je suis en faveur d'un droit de veto citoyen sur des normes administratives réglementaires. Cela passe par cette théorie entre autre.
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Bonjour, nous ne vivons certainement pas en bon état de vieillesse à un âge de précarité au travail des jeunes travailleurs, ou en une perte d'autonomie au travail pour les vieux travailleurs, pour nous imposer l'obligation de travailler dans telle ou telle branche professionnelle. Sans devoir imposer comme contrepartie aux employeurs de nos entreprises le devoir de proposer un travail de plus en plus digne . Il devrait en être de même pour les travailleurs précaires en situations de handicaps dans le cadre du travail inclusif. Car le marché du travail est un marché ultra-concurrentielle d'offres et de demande de compétences en contrepartie d'une rémunération et d'autres avantages. C'est comme cela qu'il faut comprendre comment doit fonctionner le marché du travail de manière efficiente. Il faut aussi mieux partager le temps de la durée journalière de travail pour augmenter le taux de contribution sociale par travailleur. Tout en valorisant la valeur travail. Plutôt que d'inciter à "travailler plus, pour gagner plus". Tout au plus faut-il mieux partager équitablement la durée journalière de travail pour monter en piques de productivité en entreprise. Tout en optimisant sa capacité à être sombre en consommation d'énergie par parc de machine industrielle. Il en va ainsi de la fidélisation de notre salariat d'entreprises françaises face au débauchage et en faire une pratique anti-concurrentielle. A l'heure où je saluts le fait que des marchandises libres provenant de la production d'une entreprise étrangère ou du commerce nationale d'un Etat membre qui pratiquent l'esclavagisme au travail a été prescrits à nos frontières européennes. Et où l'esclavage sexuel ou le proxénétisme sont aujourd'hui des activités économiques illicites. Quiz d'ailleurs de la primauté de l'adoption plénière des mineurs isolés en fonction des couples de même sexe et de la liberté de conviction religieuse du mineur isolé. Mais laissant ce débat dérangeant pour notre classe politique à part faute pour nous de faire un mauvais pas de côté par rapport à cette thématique de la retraite dans ce qui peut peut-être s'apparenter à du déterminisme social par une activité économique licite de marchandisation des êtres-humains. En outre, le législateur républicain se vertu même à incorporer l'obligation de reclassement de l'employeur après un licenciement pour inaptitude professionnelle dans l'entreprise par une disposition dans le Code du Travail. En définissant, ce faisant par là-même, le travailleur comme une partie faible du contrat de travail qui le lie à son employeur ayant des impératifs privés d'ordres économiques et libéraux différents de ceux de son salarié partie à la relation contractuelle de travail en ayant des intérêts sociaux en vertu du lien de subordination juridique qui les lie tous les deux. Les facteurs de production, c'est donc quasiment la même chose que la propriété lucrative. Car, le travailleur loue sa force de travail au profit de la reconnaissance hiérarchique de son employeur en termes de retours de compétences en direction des ressources humaines. Ce n'est pas un hasard que les impératifs économiques ont été mis au-devant de la scène au début du Traité de Rome à travers les quatre grandes libertés économiques de circulation au sein du marché intérieur. Il apparait que cette disposition législative populaire s'impose dans toutes les entreprises. Y compris même dans ce qui constituent les unités économiques et sociales, mais aussi lorsqu'il y a une délégation de compétence au profit d'un sous-représentant du chef d'entreprise ou même du chef d'établissement. Le droit au travail et au logement plus dignes sont mêmes des acquis sociaux du CNR, au lendemain de la victoire par les alliés de la Seconde guerre mondial. Qui sont aujourd'hui reprises par le juge constitutionnel comme des principes républicains opposables à tous. Les résistants avaient alors bien compris que le régime du Troisième Reich était un régime populiste qui promouvait de privilège des races ethniques et le nationalisme populiste d'antisystème face à l'écroulement de la devise allemande de l'ère du tournant libéral de la Mondialisation et d'une dette souveraine allemande en pleine chute libre dans le marché des taux de changes. Ce n'est que par l'austérité conduite par l'Allemagne de l'ère post-Traité de Versailles en étant obligés de précariser le marché du travail allemand pour payer la dette des destructions massives des grandes infrastructures des différentes routes de la Mondialisation que le nationalisme socialiste allemand a pu emporter la victoire aux élections conduisant le Troisième Reich au pouvoir. Veut-on à nouveau faire répéter l'Histoire du nationalisme populiste allemand ou italien en puissance dix ? Si l'on y rajoute comme autre variable l'injustice sociale auquel fait face à la précarité énergétique des logements d'habitat indigne les classes sociales occidentales les plus vulnérables au sein d'une société d'hyperconsommation occidentale du lien conformisme très fort avec une forte décroissance et perte d'emplois. Quitte même à renverser la tendance de la politique de l'emploi de notre gouvernement au pouvoir par la mise en place, du moins aux seins de l'écosystème de proximité de nos entreprises françaises les plus stratégiques fortes pourvoyances de nouveaux emplois techniques, renforcer le système du bonus-malus en fonction du taux horaires des contrats-courts pour un ratio d'emploi en contrat-courts soumis à la négociation collective d'entreprise en vertu du principe de faveur de la primauté des accords dérogatoires d'entreprises sur les accords de branches professionnelles pour les salariés. Cela est nécessaire pour l'attractivité économique et sociale de notre marché économique et social ultra-concurrentiel comme peut l'être le marché européen qui mise tout sur le progrès économique au noms des consommateurs et qui tend en fait à renforcer notre défense de dissuasion technico-militaire de pointe d'intégration commune de nos jours. Je suis tout-à-fait en revanche contre ce système pour les contrats saisonniers ou de fins de carrière et contre un système qui induit une décote de sa pension de retraite. Par une baisse drastique des allocations de substitution comme peuvent l'être la précarisation des allocations chômages ou des allocations familiales par une politique de baisse du quotient familial. Même si je ne suis pas vertueux, je pense qu'il faut laisser ces politiques à une pratique de la négociation collective du laisser-faire collective à l'anglosaxonne, et notamment pour faire face à la réforme sur la dépendance du grand âge à venir, pour une politique d'entrée sur le marché du travail de l'offre et de la demande d'emploi et une politique d'attractivité économique et sociale de notre soi-disant nation-stratopause efficiente et qui a une incidence importante sur la gestion de l'évolution de carrière et notamment des travailleurs les plus vulnérables d'entre-nous. Pour une politique aussi de dépressurisation fiscale par tête de foyer d'impôt sur le revenu. Qui s'impose pour la politique de gestion des fins de carrière et de la montée en compétitivité de notre balance commerciale extérieure et de notre politique d'éthique entrepreneuriale pour des causes d'entreprenariat d'utilité publique qui sert des causes sociales comme la lutte pour la fin de la faim en entreprise dans le monde. Ou encore par une prise en charge de la mobilité réduite ou de la mobilité durable par nombre de kilométrage par jour en lien avec la politique de Community manager en donnant du sens à nos entreprises mondiales qui va bien au-delà de la problématique du bien vieillissement de salariat en entreprise face à la misère sociale notamment entre autres dans des milieux marginaux comme des centres pénitenciers de réinsertion sociale par le travail. Ne serait-ce que pour revaloriser au plan interprofessionnel la prime de pénibilité au travail conventionnelle adaptée par un principe de faveur aux niveaux des accords dérogatoires d'entreprises pour s'adapter à la décentralisation des politiques sociales. L'objectif étant d'améliorer le système de retraite par répartition sans passer par une inflation des normes Les problèmes des violences sexistes et des inégalité de traitement des rémunérations salariales entre les hommes et les femmes à un emploi équivalent sont aussi des problèmes à signaler. En effet, veut-on avoir recours plus souvent à la pratique de l'avortement dans une société post-gallicane comme peut l'être la nôtre dans son histoire? Même si je suis bien conscient que notre droit bascule aujourd'hui vers un droit laïc, je pense que l'on peut parfaitement bien se poser cette question-là sur la transformation idéologique de notre société contemporaine que l'on souhaite voir un jour advenir pour le bien commun. Je dirais même pourquoi pas ne pas admettre un rallongement de la durée de temps du congé payés de parentalité et avec un régime semi-hybride de celui existant en cas de congés payés de parentalité acquis et de système de revenu de substitution par le chômage technique en cas de congés payés de parentalité non-acquis . C'est peut-être quand même mieux qu'un don de congés payés dont est titulaire tous travailleurs au-delà de la réalisation d'un certain nombre d'heures de travail. Je serais même d'avis de réduire la durée légale journalière de temps de travail pour prévenir les risques de fatigue chronique au travail. Cela fait partie de mon entière liberté d'opinion. C'est surtout pour alimenter la libre prestations des services numériques depuis le lieu de l'établissement du siège social à l'étranger qui nous volent des parts de marchés au sein du marché de la spécialisation dans la tertiarisation de l'économie mondiale. A commencer par ce qui concerne la prédation en capitaux d'actionnaires majoritaires étrangers sur nos plus grandes places financières européennes. Je suis même convaincu par un modèle de finance beaucoup plus éthique et territorialisée du coup de pouce de l'écogeste pour retrouver notre souveraineté plurielle axée sur notre politique de légitimation par la décentralisation de la démocratie locale pour maitriser tous les grands enjeux de la Mondialisation de proximité sur le social et autres (danger de mise sur le marché de produits défectueux sur la santé publique, environnement et technopoles de l'écogeste, politique de la ville intelligente et sobriété énergétique des chaines d'approvisionnement logistiques et de production d'écoproduits, maitrise par de la béta de l'étalement urbains des grandes villes, etc.). Je crois même que l'on a un leadership mondial à gagner dans ce domaine-là de l'industrie durable de la performance 4.0 En supprimant un fonctionnaire sur deux partis à la retraite et en participant ainsi à dégrader le service public pour une soi-disant dépense-utile ou aussi dite dépense publique productive. De même que la contractualisation précaire des contrats de travail du secteur privé au secteur public des agents contractuels des services publics de proximité a lui aussi conduit nos dirigeants politiques à poursuivre la logique de la loi de privatisation des grands monopoles publics de l'énergie, du secteur de l'accès au crédit , etc... Pour quelle justification du respect du principe de continuité du service public défendu par le juge constitutionnel face à ses usagers si ce n'est par une taxe-flatte attirant les capitaux des investisseurs étrangers par une perte de souveraineté nationale et une politique accrue de délégation de service public ou de contrat de partenariat aller-retour de connivences en respectant le principe de subsidiarité de la machine de l'Etat de droit inscrite dans notre Constitution française? Une CSG d'un point supplémentaire sur les dividendes d'actions de préférences perçues sur la place de Paris 1) Imposer le mi-temps pré-retraite en cas de franchissement d'un seuil plancher de barrière par foyer d'imposition sur le revenu à revoir en cas aussi de prise de participation ou d'intéressement en entreprise et en cas d'ouverture à un droit à la participation aux élections professionnelles pour que les organisations syndicales soient légitiment représentatives dans le monde du travail. 2) Avec un écart de salaire entre un coefficient de 1 à 3, si l'on considère qu'il y a plusieurs parties prenantes dans l'entreprise. 3) Avec une formation continue de montée en compétences par une obligation de négociation collective par un délai supplétif de deux fois par ans entre les partenaires sociaux.
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Bonjour, nous ne vivons certainement en bon état de vieillesse à un âge de précarité au travail des jeunes travailleurs ou en perte d'autonomie au travail pour les vieux travailleur pour nous imposer l'obligation de travailler dans telle ou telle branche professionnelle sans devoir imposer en contrepartie aux employeurs le devoir de proposer un travail plus digne. Il devrait en être de même pour les travailleurs précaires en situation de handicap. A l'heure où les marchandises libres provenant de la production d'une entreprise étrangère ou d'importation nationale qui pratique l'esclavagisme au travail a été abolit à nos frontières européennes. Et où l'esclavage sexuel ou le proxénétisme sont aujourd'hui illicites. D'ailleurs, le législateur républicain a même œuvré dans ce sens en incorporant l'obligation de reclassement de l'employeur après un licenciement pour inaptitude professionnelle dans l'entreprise par une disposition dans le Code du Travail et en définissant ce faisant par là-même du travailleur une partie faible du contrat de travail qui le lie à son employeur ayant des impératifs privés d'ordres économiques et libéraux différents de ceux de son salarié partie à la relation contractuelle de travail en vertu du lien de subordination juridique qui les lie. Même si les impératifs économiques ont été mis au-devant de la scène dès le début du Traité de Rome à travers les quatre grandes libertés économiques de circulation du marché intérieur, il apparait que cette disposition législative nationale s'impose dans toutes les entreprises, y compris même dans les unités économiques et sociales, mais aussi lorsqu'il y a une délégation de compétence au profit d'une sous-direction représentative de l'employeur d'une entreprise ou même d'un chef d'établissement. Cette délégation de compétence peut certes entrainer des difficultés de reclassement en cas de plans de redressement et même plus tard de recrutement en fonction de ce qui constitue la politique sociale de l'entreprise plus ou moins de services numériques ou spécialisée dans l'économie de proximité. Le droit au travail et au logement plus dignes sont mêmes des acquis sociaux du CNR au lendemain de la victoire à coups de boucherie humaine de Seconde guerre mondiale. Les résistants avaient bien compris que le régime du Troisième Reich était un régime populiste de privilège des races ethniques et de nationalisme populaire d'antisystème face au roulement de la dette souveraine allemande par l'austérité conduite sous la direction des alliés victorieux de la Première Guerre mondiale envers l'Allemagne de l'ère post-Traité de Versailles pour payer la dette des destructions massives des grandes infrastructures des routes de la Mondialisation. Veut-on à nouveau faire répéter l'Histoire du nationalisme populaire si l'on y rajoute comme autre variable l'injustice sociale auquel fait face à la précarité énergétique les classes sociales occidentales les plus vulnérables de notre société d'hyperconsommation occidentale du lien conformisme? Quitte même à renverser la tendance de la politique de l'emploi de nos entreprises françaises les plus stratégiques en renforçant le système de bonus-malus du nombre de recours aux contrats-courts pour un ratio d'emploi serait soumis à la négociation d'entreprise en vertu du principe de faveur de la primauté des accords dérogatoires d'entreprises sur les accords de branches professionnelles. Pourquoi pas dans un marché ultra-concurrentiel comme le marché européen au nom d'une idéologie libérale du progrès économique pour les consommateurs qui tend en fait vers le progrès de la défense de dissuasion technico-militaire de pointe de nos jours? Je suis tout-à-fait contre ce système pour les contrats saisonniers ou de fins de carrière et contre un système induit de décote de pension de retraite par une baisse drastique des allocations de substitution comme ce qui constituent les allocations chômages ou les allocations familiales par politique de baisse du quotient familial. Je suis aussi pour une politique de gestion paritaire du traitement du chômage et de la politique d'aides sociales ou de soutient familiales face à la réforme sur la dépendance à venir. Pour la politique d'entrée sur le marché du travail par la politique de l'offre et de la demande d'emploi et la politique d'attractivité économique et sociale de notre soi-disant nation-stratopause et qui a une incidence sur l'évolution de l'offre de formation professionnelle accessible pour toutes les couches populaires les plus vulnérables en termes de bilans coûts-avantages. En ce qui concerne aussi la politique de dépressurisation fiscale par tête de foyer de revenus fiscalisables qui s'impose pour la politiques de gestion des fins de carrière et de la montée en compétitivité de notre économie de balance commerciale extérieure et de politique d'éthique entrepreneuriale de la fin de la faim dans le monde. Qui comprend à la fois une politique sociale de laisser-faire collective et de prise en charge de la mobilité durable par kilométrage en lien avec la politique de Community manager de nos entreprises mondiales et qui va notamment bien au-delà de la problématique du bon vieillissement des collaborateurs en entreprise. Ne serait-ce que pour revaloriser au plan national la prime conventionnelle de pénibilité au travail par zone d'activité de production en entreprise par une politique d'incitation à l'emploi par le laisser-faire collective. Le but étant d'améliorer notre système de retraite par répartition sans passer par une inflation des normes. Les problèmes des violences sexistes et de l'inégalité de rémunération salariale entre les hommes et les femmes à un emploi équivalent sont aussi à signaler. En effet, veut-on avoir recours plus souvent à la pratique de l'avortement dans une société post-gallicane dans son histoire ? Même si je suis parfaitement conscient que notre droit est aujourd'hui devenu un droit laïc, je pense que l'on peut se poser ce genre de question sur quelle transformation idéologique de notre société contemporaine l'on souhaite voir advenir pour le bien commun. Je dirais même pourquoi pas ne pas admettre un rallongement de la durée de temps du congé de parentalité et un régime semi-hybride de celui existant en cas en cas de congés parentalité acquis et de système de chômage technique en cas de congés parentalité non-acquis . C'est quand même mieux qu'un don de congés payés dont est titulaire. Cela fait partie de ma liberté d'opinion. C'est surtout pour alimenter les phénomènes des prestations de services numériques depuis le lieu du siège social à l'étranger qui nous piquent des parts de marchés au sein du marché de la spécialisation dans la tertiarisation de l'économie mondiale. A commencer par ce qui concerne les plus grandes places financières européennes. Je suis convaincu par un modèle de finance plus éthique et territorialisée du coup de pouce de l'écogeste pour retrouver notre souveraineté plurielle plus axée dans la politique de légitimation par la décentralisée politique de la démocratie locale pour maitriser tous les grands enjeux de la Mondialisation de proximité sur le social et autres (santé publique, environnement et technopoles de l'écogeste, politique de la ville intelligente et sobriété énergétique des chaines d'approvisionnement logistiques et de production d'écoproduits , etc.). Je crois même que l'on a un leadership mondial à gagner dans ce domaine de l'industrie de la performance. Le un fonctionnaire sur deux partis à la retraite non-remplacé à participer à dégrader notre service public pour une soi-disant dépense-utile ou productive. De même que la contractualisation des contrats de travail du secteur privé au secteur public des agents contractuels des services publics de proximité a lui aussi conduit nos dirigeants politiques à poursuivre la loi de privatisation des monopoles publics de l'énergie, du secteur du crédit bancaires, etc... Pour quelle justification du respect du principe de continuité du service public face aux usagers de ces services si ce n'est par une taxe-flatte attirant les capitaux des investisseurs étrangers et une politique accrue de délégation de service public ou de contrat de partenariat aller-retour de connivences ? Une CSG d'un point de plus sur les dividendes d'actions de préférences perçues sur la place de Paris 1) Imposer le mi-temps pré-retraite en cas de franchissement d'un seuil plancher de barrière d'imposition sur le revenu à revoir en cas de prise de participation ou d'intéressement de salariat-retraité en entreprise et en cas de droit à la participation aux élections professionnelles pour que les organisations syndicales soient vraiment représentatives dans le monde du travail. 2) écart de salaire entre 1 et 3 3) Formation continue de montée en compétences négociable tous les deux ans.
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La commission médicale est-elle une commission paritaire ? La S/S est-ce la section syndicale ou le Service de santé de l'entreprise ? Et sous des formes numérisées avec les enjeux du développement durable et de la politique de transition digitale de l'entreprise ? Quant est-t-il des contrats d'insertion professionnelle ou d'apprentissage par le télétravail à l'heure de la hausse des demandes du forfait mobilité transport? Idem pour les membres permanents ou alternants des fondations reconnues d'utilités publiques ?
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Pour qu'il ne puisse plus perte intégralement pris en charge, il faudrait changer la loi. Si elle l'était, évidemment que oui ... Mais tu as raison pour les médicaments par exemple: on assiste depuis une dizaine d'années un un grand nombre de déremboursement de médicaments, les médicaments bisons type placébo et là c'est bien normal, mais également des déremboursements de molécules 'faiblement' actives où, je prends un exemple, ils ont le culot de mettre pour les otites externes supputées des gouttes auriculaires contenant corticoïdes + antibiotiques dérembousées alors que les mêmes contenant juste l'AB sont encore remboursées à 30% (le reste nécessitant d'avoir une mutuelle). Bonjour, merci pour ces explications. 1) Je parlais de la hausse récente des exonérations de charges sociales sur le forfait d'aides à la mobilité des aides-soignantes à domicile et autres éducateurs spécialisés dans l'emploi social me semble-t-il : A) Est-ce que cela est réellement suffisant pour déprécariser les conditions de travail de ses personnels de santé à domicile et à quelles hauteurs d'après toi faudrait-t-il les exonérer de charges de cotisations sociales pour ne trop affaiblir le financement de la caisse maladie de la sécurité sociale ? B) Où faire le rattrapage du prélèvement de l'impôt sur les cotisations sociales si ce n'est en partie sur les heures supplémentaires? C) Faut-il partager les tâches de travail en équipe et réduire le temps de travail pour mieux prévenir les Burn out et autres maladies professionnelles liées à la répétition de tâches ? D) D'ailleurs comment distingue-t-on le Burn out d'une forme grave d'une fatigue chronique au travail ? E) Serait-il judicieux d'avoir une loi sur une prise en charge intégrale par la sécurité des frais santé des retraités allocataires d'une pension de minimum vieillesse ou des travailleurs aux SMICS ou en cas de perte d'autonomie au travail? F) Pour quels catégories de prises en charges médicales ? Les travailleurs qui perçoivent la prime de précarité ... 2.A) Trouver-vous opportun d'avoir une garantie de fonds de solidarité minimum pour les accidents de trajets domicile-travail ? Pour faire reposer la responsabilité des accidents de trajets sur les collectivités territoriales de manière à faire jouer la garantie permanente de l'Etat. B) Pour quels endettements publics et surtout quelle possibilité de rachat de dettes souveraines par la BCE ? Oui, je veux parler des dépassements d'honoraires. C'est sans doute un problème de disponibilités de réserve de forces mobiles d'intervention. Quoiqu'ils en soit, ces quartiers populaires deviennent de vrais "zones de non-droits" au sens le plus misérable du terme. Sont-ils politiquement et électoralement représentés et par qui ou y-a-t-il dans ces quartiers populaires une défiance du politique ? Même avec une formation continue ? Quand est-il du bien-être en entreprise aux seins des PME-ETI de chaines d'approvisionnement et de sous-traitances notamment entre autres ?
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Je ne prétends pas tout savoir.
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Bonjour @Saturne06 Mes questions portent sur le fait de savoir si: un accident du travail va-t-il à l'avenir être intégralement prise en charge par la caisse maladie de la Sécurité Sociale à un moment où on assiste à un affaiblissement de notre modèle de protection sociale par des hausses historiques d'exonérations de charges sociales ? Le travail précaire est-il le plus "accidentogène" et donc le plus touché même s'il recouvre un public de travailleurs suffisamment large ? Pour les accidents de trajet domicile-travail aller-retour : répondent-telles aux critères sociaux de l'accident du travail non-simulés ? Et va-t-il y avoir une hausse des frais d'horaires de dépassement avec les déserts médicaux des quartiers populaires comme des zones de ravitaillement rurales avec le numérus clausus en école de médecine? Pour qu'elles prises en charges des prestations sociales face aux inégalités d'accès aux soins de santé de proximité ou de résultats d'aides à la mobilité en entreprises de proximité ? C'est là où nous ne sommes pas tout-à-fait d'accords concernant les accidents du travail simulés. Et d'autant plus concernant le manque de médecins dans la médecine préventive au travail (concernant la simulation des accidents du travail , principalement)
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questions sociales de la précarité*
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Puisque l'on vous dit que les questions de la précarité est le critère qui atteint aussi les personnes sous prestations sociales que les travailleurs précaires, est-ce que vous nous croyez en toute franchise à la fin? Y compris en cas d'accident du travail (tomber d'un échafaudage de chantier, développer une forme grave de pulmonie en étant exposé à la poussière au travail de construction de chantier, se meuler le bras, etc...). Qui c'est alors qui paye le reste à charge en cas d'hospitalisation consécutive à un arrêt maladie ? Vous ou la caisse maladie de la Sécurité sociale ?
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Sans compter "la rentabilité des collectivités territoriales" par la dépense publique utile ou productive. Qu'est-ce que cela veut-dire ? Une promotion des contrats de partenariat aller-retour ou de concessions de services publics à de l'entreprenariat d'utilité publique ( politiques d'insertion sociale des personnes les plus exclues du marché du travail, politique de lutte contre l'obsolescence programmée en fin de garantie ou d'extension de garantie d'un produits par de l'artisanerie de réparation durable de proximité, voire le développement des territoires d'écoquartiers, etc... même si je ne prétends pas tout savoir.
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Il y différents courants dans un partis politique, cela est certain. Qui va succéder l'actuel Président de la République Emmanuelle Macron maintenant qu'il ne peut plus briguer un troisième mandat consécutif ? La triangulaire entre l'ex-premier ministre populaire et maire du e la ville du Havre Edouard Philippe, la Première Ministre Elisabeth Borne et l'ex centriste d'RPR Philippe Bayrou parait être une bataille politique sans fin . Et surtout, pour quelle politique d'innovation sociale de la consommation et du retour à un emploi stable ? Là aussi, ça craint .
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Pourtant, c'est suffisant clair!
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Laquelle, celle du: "travailler plus pour gagner plus" ? Ou celle de travailler avec des améliorations des conditions de travail des emplois précaires? A choisir! Pour d'autres encore, le lien de subordination qui se créée entre l'employeur et le salarié en entreprise relève encore d'une dépendance économique. Ce n'est quand même pas une blague. La NUPES est une coalition politique d'une gauche plurielle et ouverte sur les questions de société de précariat depuis ces débuts. On parle même des emplois les plus productifs: à entendre comme les emplois les plus à même d'avoir de forts potentiels de rendements de services écosystémiques. Finalement, tout le monde s'y retrouve.
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Pour s'adresser à quel électorat ? 1) Les travailleurs précaires ou invisibles (travailleurs indépendants de livraison de repas à domicile ou salarié membre d'un conseil d'administration d'une SA, voire salarié franchisé ou actionnaire minoritaire, etc...) ou les travailleurs en pertes d'autonomie (travailleurs âgé ou en situation d'inaptitude à un poste de travail sans possibilité de réintégration, etc...) dans leur généralité ? 2) Et qu'attend-t-il alors pour proposer faire une proposition de loi sur la revalorisation et l'indexation de la prime de pénibilité emploi (emploi ayant pour vocation de porter des charges très lourdes ou des mouvements répétitifs dans sa journée de travail) des travailleurs les plus vulnérables sur les prix de l'inflation par référence aux prix de l'alimentation de base, etc...? 3) Sur le droit aux soldes des congés payés et du droit au relogement en préemption par l'activité économique pour les travailleurs mobiles (saisonniers ou intermittents du spectacle, voire CDD précaire à mi-temps ) ? 4) Ou encore quand est-il de son logiciel sur la revalorisation de la prime de précarité versus sur la monétisation des jours de RTT et sur la détaxation de l'assiette sur les prélèvement des cotisations sociales sur les heures supplémentaires des travailleurs sociaux ou de professions réglementées libérales (éducateur spécialisé en motricité ou en troubles de l'éducation, aide-soignante à domicile, etc.) ? 5) Quelle est aussi sa position sur le travail dominical (le travail le dimanche en magasin de pièces de rechange ou de vente de services construction de l'habitat sur chantiers ) dans le commerce de proximité ou autres ? 6) Sur la rupture d'égalité à l'accès à la santé de proximité (prestation de santé et déserts médicaux) en fin de carrière (travailleur en âge de mise à la retraite, voire chômeurs précaires en fins d'annualités de cotisation chômage , etc...)par mutualisation de notre modèle de protection sociale assurantielle? Etc. Bref, je dis banco ! Allons-y! Ceux-ci n'est qu'un constat de la complexité des problèmes du marché du travail à mon niveau avec quelques exemples. Pour ou contre un dialogue social de proximité (unions de branches de métiers locales en lien avec la spécialisation de l'économie du terroir ou territoriale au sein de chaque territoire de proximité )
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Et quand est-il de la coalition de la majorité législative relative dans le jeu de la succession du Président de la République Emmanuelle Macron entre Renaissance et les autres groupes parlementaires, etc.? Ou encore, pour des vocations à succéder poste pour poste à Marine Le Pen en cas de friction des RN ? La rentrée s'annonce mouvementée, ça c'est certain. Pour s'adresser à quel électorat ? 1) Les travailleurs précaires ou invisibles ou les travailleurs en pertes d'autonomie dans leur généralité ? 2) Et qu'attend-t-il alors pour proposer une proposition de loi sur la revalorisation et l'indexation de la prime de pénibilité emploi des travailleurs les plus vulnérables sur les prix de l'inflation ? 3) Sur le droit aux soldes des congés payés et du droit au relogement en préemption par l'activité économique pour les travailleurs mobiles ? 4) Ou encore quand est-il de son logiciel sur la revalorisation de la prime de précarité versus sur la monétisation des JRTT et sur la détaxation de l'assiette des prélèvement des cotisations sociales sur les heures supplémentaires des travailleurs sociaux ? 5) Quelle est aussi sa position sur le travail dominical dans le commerce de proximité ou autres ? 6) Sur la rupture d'égalité à l'accès à la santé de proximité en fin de carrière par mutualisation de notre modèle de protection sociale assurantielle? Etc. Bref, je dis banco ! Allons-y!
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Je reprends notre discussion, dont je présents les prémisses de la refondation de la gauche des territoires au sens où toi tu l'entends comme une gauche fédérale à tort me semble-t-il. 1) D'abord, les territoires de notre République nationale permettent l'encrage local des politiques publiques régaliennes, et les assemblées délibérantes des collectivités territoriales représentent bien évidemment beaucoup plus que de simples entités administratives d'aménagement d'un territoire de proximité donné. Ils permettent aussi l'expérimentation par la différenciation des politiques de proximité (politique de la vile, de l'instruction publique du collège ou du lycée, l'innovation dans la politique de l'emploi et le développement des entreprises territoriales ou de la politique de soutenabilité du commerce de proximité, etc.) . Ils sont à ce titre-là à la pointe de l'innovation des politiques publiques par leur ancrage territorial. Et notamment en ce qui concerne par exemple le déploiement progressif de la 5G ou d'autres techniques d'expérimentation encore comme les classes inversées dans les écoles républicaines populaires. Il me parait même que supprimer le Sénat pour faire des territoires de proximité des corps intermédiaires de consultation dans des commissions de réforme ou d'avant-projets de réformes me parait être une erreur hasardeuse et à ne surtout pas faire pour le bon fonctionnement de notre démocratie libérale occidentale. Quitte même à rendre la démocratie territoriale peut-être un peu moins déficiente par l'ouverture du droit d'éligibilité aux élections sénatoriales à la société civile en plus de la classe politique, ou d'instaurer un vote électronique des élus locaux aux élections sénatoriales, voire encore même de permettre une présence de l'assemble des parlementaires des deux chambres législatives par visioconférence dans les l'hémicyclique ou dans les séances des commissions parlementaires. N'oubliant pas au passage l'existence d'un turnover des sénateurs d'un-tiers comme dispositif à pourquoi adjoindre avec un droit de priorité ou d'un droit de réponse pour renforcer nos institutions publiques sous la Vème République. Cette "sagesse de l'assemblée" par la représentativité territoriale du Sénat me parait être primordial pour l'ancrage territorial des politiques publiques régaliennes ou de proximité , quelles qu'elles soit. Et ce pourquoi pas en renforçant la légitimité de nos élus locaux par des référendums révocatoires à mi-mandature des élus locaux sous initiative populaire à la majorité qualifiée. Voire sur une consultation des usagers de proximité en amont de tous projets de concession de service public "d'entreprenariat utilité publique" pour un simple avis. Même si je suis faveur de la priorité de la navette parlementaire à l'Assemblée nationale et d'un modèle de bicaméralisme plus rationalisé. Je te le concède. Mais, il faut comprendre la logique propres à nos institutions publiques sous la Vème République. Je crois d'ailleurs qu'il n'est pas du tout pertinent d'avoir une chambre haute acquise à la faveur populaire par une assemblée de citoyens tirés au sort. Quiz d'ailleurs du statut de la Corse ou des territoires républicains ultra-marins en dehors de la métropole et de la Région Ile de France ? Quiz à l'inverse des politiques de verticalité régalienne pour acquérir une souveraineté énergétique nationale comme par l'implantation de nouvelles centrales nucléaires à basse GSS ? Voire du respect du principe de précaution face à l'apparition d'une épidémie dévastatrice d'une population française régionalisée ? 2) La question du principe de l'exercice de la QPC extrajudiciaire, par des élus locaux disposant d'une représentation territoriale équilibrée sur le modèle de la représentativité des branches professionnelles, me parait quant à elle être une question importante pour leu des circonstances de possibilité de cas d'ouverture à un contrôle de constitutionnalité des sages du Conseil constitutionnel pour pouvoir protéger nos droits et libertés fondamentales (liberté de la presse régionale, liberté de promouvoir des laboratoires de partenariat public-privé, etc...) face à l'instrumentalisation de masse de l'opinion publique par l'électoralisme des élections politiques à échéances régulières et de l'émotion procurée par les attentats perpétrés sur notre territoire national, comme remparts républicains. 3) Enfin, qu'entends-tu par le terme de circonscription de région de petite taille ? A quelle échelle régionale te réfères-tu ? A une intercommunalité de communes de France comme par exemple ? 4) Quelles différences fais-tu entre un Etat-régional et un Etat-fédéral ? Une coopération ou une intégration européenne de défense ? Je pense que tu dois y voir des distinctions.
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Ils ont pourtant tous faits parties de la droite chiraquienne, non? A l'heure de l'hyperpresidentialisation manarco-républicaine face à la collaboration que peut offrir le Premier Ministre dans nos institutions de démocratie imparfaite des opinions ?
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Oui, Jospin a créé un pôle d'alliances politiques de centre néoconservateur qui va de la gauche caviar (Hollande, Fabius, DSK et Jack Lang) pour arriver à la droite néoconservatrice des territoires de province (Juppé, Villepin, Chirac, Pasqua) . Pour quels bilans de politique sociale aujourd'hui derrière ? Je reste presque neutre sur la question faute de pouvoir rester circonspect dans la mesure du possible sur la question de la misère sociale et notamment de la crise syndicale face à la question sociale de la dignité au travail à la crise du logement social. Les problèmes sont encore très loin d'être résolues par nos hommes et femmes politiques de toute couleur de courant politique. A l'heure où l'on parle davantage de problème d'urgence climatique sont prendre en comptes ces paramètres-là qui conduisent tout droit au discourt de l'ultrasécuritaire sans rien comprendre à la crise des nerfs du malaise sociale. Ce n'est qu'un point de vue à contredire. Pourquoi pas ?
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Je vais éclairer mes idées en argumentant pour chacune d'entre elles, faute de réponses suffisant précises de ta part et en connaissant très bien ton hostilité pour le fédéralisme. 1) Face à l'extrême-droitisation des mœurs publiques, qui met en danger notre liberté contractuelle par la redéfinition complète de notre doctrine de l'ordre public et des bonnes mœurs par le centre-droit du social libéralisme d'écologie de marché , et connaissant-toi même en quoi consiste le rôle du contrôle de constitutionnalité dans le domaine de la loi ou dans le domaine du règlement que souhaite préserver le Conseil constitutionnel dans son rôle d'arbitre du fonctionnement des institutions publiques : ne trouves-tu pas nécessaire à la politique de décentralisation des territoires de métropoles et d'ultra-marins que nos élus locaux qui disposent d'une représentation territoriale équilibrée au sein de la Nation sur le modèle des branches de fédérations professionnelles puissent se saisir d'un principe de QPC extrajudiciaire à priori ? Comme le peuvent par ailleurs les 60 parlementaires des deux assemblées législatives pour pouvoir renforcer le cadenas de la démocratie des idées et des pensées plurielle par la légitimation de la démocratie de proximité au cœurs même de la politique de la décentralisation politique intégrée de notre Etat de droit? Il s'agit ici de donner plus de poids au contrôle de la norme constitutionnelle face à des dérives du pouvoir exécutif ou même du pouvoir législatif par effet de majorité législative après l'élection présidentielle. Et non pas comme tu le dis toi-même de porter atteinte à l'intégrité de notre territoire de notre République nationale pour éviter de nous conduire tout droit à la désunion nationale et à sa substitution par la création d'une Europe des technopoles de régions. Quant est-il d'ailleurs du statut de la Corse et des territoires ultra-marins qui constituent notre première puissance de façade maritime au monde comme par exemple du statut de l'indépendance de la Nouvelle-Calédonie ? A contrario, veut-on aller plus loin que la majorité sénatoriale de droite par l'inscription dans la Constitution française actuelle, non pas des principes de subsidiarité et de la règle d'or de la dépense publique utile ou productive face au recul des services publics de proximité les plus essentiels, faute de liberté d'autonomie budgétaire de nos collectivités territoriales. Mais le principe d'organiser la politique de la Nation sous la forme d'une décentralisation différenciées pour donner une plus grande efficacité à notre démocratie de proximité pour revitaliser l'économie entre les partenaires économiques locaux et territoriaux et à chaines de valeurs neutres en gaz à effets de serres . Si je pars dans ta logique, outre mesure, peut-on parler d'auto-souveraineté des territoires de proximité en considérer que le principe de la libre administration des collectivités territoriales le rende ainsi ? Ou ranger alors le principe de la différenciation par l'expérimentation des territoires zéro chômeurs de longue durée exercée par les collectivités territoriales pour te prendre un exemple concret ? Et surtout, es-tu hostile à la République des territoires et pour quelles raisons? 2) L'argument selon lequel il existe depuis la droite chiraquienne une fracture territoriale et sociale ou même numérique des territoires de proximité face à la verticalité du pouvoir politique par la norme de droit ne suffit-il pas à te convaincre de la nécessité d'avoir une représentation plus juste de la démocratie territoriale au parlement ? Quitte même à la rendre beaucoup plus fonctionnelle par un scrutin plurinominal et ouvrir le droit d'éligibilité au Sénat à la société civile. Face à une probable disparition du Sénat dans les années à venir. Car la dite "sagesse de l'assemblée" qui représente les territoires républicains de proximité semble plus devoir reposer, non pas sur une consultation des territoires comme corps intermédiaires quelconques insuffisants pour renforcer leur pouvoir sur la non-rupture du régalisme de proximité au sein d'un régime parlementaire de semi-assemblée de raison, mais davantage reposer sur des conventions d'expertises citoyennes de lobbying à pas forcé dont les arbitrages pouvant être à la fin très aléatoires. Pourquoi alors supprimer le Sénat dans l'intérêt pour moi est de représenter les territoires par un pacte républicain en commun pour le remplacer par une chambre haute composée de citoyens tirés au sort anarchiste plutôt que conservateur dans les progrès humains ? Quiz du clonage dans le droit de l'éthique de la santé ou de la retranscription sur les registres de l'état civil du sexe neutre et plus polémique encore du lien de parenté homosexuel par affiliation ? Voire même sur les enjeux reposant sur le régime juridique de la politique pénale du plaider-coupable de la mineure délinquance isolée et de la nécessité d'avoir en réflexion propre la présence d'un conseil de famille en cas de péril imminent pour l'intérêt familial du mineur isolé ou du majeur incapable ? Pourquoi ne pas privilégier plutôt davantage un modèle de référendum d'initiative partagée par un vote au congrès à la majorité qualifiée des deux assemblées législatives et d'au moins un tier de nos concitoyens sur ces questions-là ou sur d'autres questions encore ayant la faveur de la volonté populaire dans l'intérêt général ? A défaut d'avoir un modèle d'ordre social de de société démocratique imparfaite par son populisme ambiant. Pourquoi alors ne pas instaurer un référendum révocatoire d'initiative populaire à mi-mandature d'une assemblée délibérante de proximité pour faire jouer le jeu de l'alternance politique dans la politique de la ville de proximité ? Est-ce que c'est la bonne méthode ? A lire s'il vous plait !
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Je ne vois pas le message que vous voulez me délivrer à travers le post de cette vidéo. Simplement, si la représentation des territoires au Sénat les rendent auto-souverains en eux-mêmes, pourquoi ne pas parler d'une auto-souveraineté du législateur populaire en vertu de sa représentation nationale de la souveraineté populaire et en dépit de la défiance du politique envers l'opinion publique? C'est à mon sens mélanger les choux et les radis. Bien sûr que je prone une démocratie territoriale, mais ce n'est pas la même chose qu'une République fédérale ni même un Etat régional. Bon sang de dieu !