-
Compteur de contenus
1 381 -
Inscription
-
Dernière visite
Type de contenu
Profils
Forums
Blogs
Calendrier
Vidéos
Quiz
Movies
Tout ce qui a été posté par Jean-EB
-
Tenez : Global warming of 1.5°C An IPCC Special Report on the impacts of global warming of 1.5°C above pre-industrial levels and related global greenhouse gas emission pathways, in the context of strengthening the global response to the threat of climate change, sustainable development, and efforts to eradicate poverty On trouve ce lien dans l'article que vous commentez ci-dessus et qui selon vous, « mise à part de remuer [sic] la peur, [ne] propose rien .... circuler y a rien à voir....on brandit des menaces mais pour le reste à savoir les solutions y a pas grand chose si ce n'est de diminuer l'impact ....». Quand on ouvre les liens donnés on obtient un peu plus de réponses. Et encore, avec la page des rapports spéciaux du GIEC : IPCC, publications (cliquer à droite sur l'onglet rapports spéciaux du GIEC ou bien descendre au deuxième tiers de la page environ pour accéder aux rapports spéciaux). Bonne lecture, Jean
-
Je ne vais pas reprendre point par point ce que vous dites. Le simple fait d'ouvrir votre discours par une citation tronquée pour lui faire dire l'inverse ce que dit tout l'article montre le peu de sérieux dont vous faites preuve. Je mets par contre le paragraphe entier, celui que vous coupez au beau milieu d'une phrase à dessein : Enfin, l’adaptation demande non seulement un large soutien sous forme d’aide technologique et financière (États, collectivités locales, entreprises, etc.), mais aussi un accompagnement des changements des comportements pour l'ensemble des parties prenantes (pas seulement les citoyens donc). Il ne suffira pas d’allumer la climatisation ou de dessaler l’eau de mer si le monde se réchauffe encore de quelques degrés. Il est donc indispensable de tordre le cou à l’idée d’une adaptation facile et sans casse. Jean
-
Je vois que vous avez des gros problèmes de logique et de grandes lacunes sur chacun des sujets que vous abordez. Que vous abordez sans jamais donner aucune référence bibliographique d'ailleurs. Cela n'est guère étonnant quand 4000 pages de sciences ne sont pour vous que le résultat, je vous cite, de « blablas ». Laissez donc l'adaptation biologique et la sélection naturelle à ceux qui maîtrisent le sujet et convenez que ce que l'on appelle adaptation est polysémique et fait l'objet d'études dans bien des disciplines des sciences, sciences humaines et sociales comprises. Vous retenez la définition qui vous arrange, en l'agrémentant en plus d'une interprétation toute personnelle (« s'adapter ça ne signifie pas adopter des contraintes à l'humanité , c'est pas ça l'adaptation ... lol pi en plus ça n'aura aucun effet, l'adaptation c'est ça », s'en suit la définition de l'adaptation biologique), alors que les définitions sont multiples. Voir ici par exemple : Le concept d'adaptation : polysémie interdisciplinaire et implication pour les changements climatiques - Simonet, Natures Sciences Sociétés, 2009 Bonne lecture, Jean
-
Ah oui ça aussi. Je rappelle que nous discutons ici des bases physiques du changement climatique et de son évolution constatée. C’est donc purement descriptif et non prescriptif. Dire que c’est ridicule n’a pas grand sens à moins de pousser la logique jusqu’à trouver ridicule que la constante g de l’accélération de la pesanteur à la surface de la Terre soit égale à 9,80 mètres par seconde carrée ou bien encore que le Carbone ait 6 protons dans le noyau. Jean
-
Je ne vais pas relever toutes les contradictions dans votre texte. Je me contenterais des deux dernières phrases, la première d’entre elles demandant ironiquement où est le péril quand celle qui suit affirme que nous nous adaptons ou que nous disparaissons. Peut-être que pour vous disparaître n’est pas un péril mais souffrez qu’une part importante de l’humanité envisage plus sereinement l’autre terme de l’alternative. Je note aussi que ce genre de discours je l’entends plus souvent chez les personnes les plus éloignées des dangers que chez celles qui subissent déjà de plein fouet les impacts du changement climatique. C’est humain peut-être mais ça n’en reste pas moins un discours qui tient le réel assez éloigné des préoccupations, du moment qu’elles ne sont pas les nôtres. Quant au fait qu’il serait ridicule de « remettre en question l’évolution d’une espèce et son environnement », sous-entendu « continuons ainsi », c’est pour le moins une vision anthropologique à prétention normative assez fruste. Qui frise la palinodie quand on termine l’intervention en évoquant une adaptation possible. Pour le reste, en écartant la pub incongrue pour Red Bull dont j’ai du mal à voir le lien logique dans la conversation, je ne suis pas loin de penser comme vous. À quelques nuances près, dont une de taille : vous vous lamentez sur la prétention de l’Homme à vouloir régenter le monde et à l’orienter vers une « sauvegarde douteuse » quand moi je le vois hic et nunc détruire une grande part des écosystèmes et de la biosphère. C’est en définitive assez surprenant de votre part de déplorer ce qui vient, d’après vous et avec vos dons de divinations (« la justice sociale sous le règne de l’écologie n’existera jamais », etc.), et de ne pas voir ce qui est. Je finis enfin par un article qui nuance fortement l’argument de l’adaptation : Non, l’Homme ne s’est pas toujours adapté PS : oui j’ai relevé un peu plus d’une contradiction. J’ai échoué à m’en tenir à ce que je souhaitais au départ, cependant on peu en aligner encore quelques-unes. Jean
-
Je parlais évidemment de mettre un lien vers l’article. Je vous accorde bien volontiers l’honnêteté mais je ne suis pas prêt à prendre l’information pour argent comptant. Il y a en effet bien des causes qui nous font rapporter mal ce qu’on lit. C’est pour cela que discuter d’une chose connue de tous et non d’un seul est plus sérieux. C’est je pense assez vrai ce que vous dites. Il est très difficile de faire changer l’opinion que quelqu’un a d’un sujet. Je ne déroge d’autant pas à la règle que jusqu’ici les raisons que j’en change sont maigres, pour ne pas dire absentes. Jean
-
Ce serait intéressant de connaître un peu la teneur de l’article. Jean
-
Deux affirmations, aucune preuve. Je sais que c’est une habitude chez vous mais là ça vire à la manie. Voulez-vous que je vous montre des courbes analogues issues du rapport complet d’août 2021 ? Affirmer que la version pour le « grand public » ne dit pas la même chose que le rapport complet (non « grand public » donc) est aussi péremptoire que mal fondé. Ou alors prouvez-le svp. Mais bon, j’ai bien compris que les preuves sont dans vos cartons et qu’elles n’en sortiront pas. Quand même, j’attends encore vos références et les preuves du complot (les études éliminées dont vous parlez). Jean
-
Et pourquoi retrouve-t-on cette courbe dans le dernier rapport du GIEC (août 2021) ? C'est fou de vouloir plier le réel pour le faire correspondre à ce que l'on croit. Et, je me répète, merci d'apporter la preuve de ce que vous dites. Je suis assez peu sensible à l’argument d'autorité. D'autant que cette autorité ne vous confère aucune expertise en matière climatique il me semble. En tout cas aucune en regard des climatologues sur lesquels s'appuient les publications du GIEC. Vous pouvez bien me faire un laïus destiné à noyer le poisson, votre capacité à citer vos références m'étonnera toujours lorsqu'elle se borne à dire « ce sont plusieurs revues auxquelles je suis abonné » mais « je ne conserve pas ces revues ». Selon la bonne vieille formule d'Euclide reprise par Hitchens, ce que vous affirmez sans preuve je n'ai besoin d'aucune preuve contraire pour le rejeter. Jean
-
Je ne doute pas que vous ayez des « lectures diverses et variées ». Je vous proposais seulement de nous en faire part. Je m’étonne en revanche que vous insinuiez, sans le moindre début d’une petite preuve, que je ne lirais que « certaines publications journalistiques » ou encore « [des] articles à sensations produits par des journaleux en mal d’audience ». Je comprends en revanche très bien l’artifice rhétorique qui consiste à se mettre dans le camp du lecteur avisé et de mettre son interlocuteur dans celui du consommateur de presse à sensation. Quand bien même cet interlocuteur donne des références issues d’articles revus par les pairs et attend toujours celles du scientifique que vous dites être. Bref, les affirmations sont là, les références se font attendre. Jean
-
Voilà bien des affirmations qui réclament des sources. Quant à dire que le GIEC n’invoque plus les courbes que je donne c’est ... comment dire ... culotté ! En effet la figure que je montre provient de l’AR6 publié en ... août 2021. Vous ne pouviez pas viser plus mal. J’ajoute en passant que quand on accuse des scientifiques d’avoir « bricolé » des courbes (ce qui constitue une fraude scientifique) on doit donner des arguments plutôt costauds. Non seulement ils ne sont pas costauds ici mais ils sont même carrément absents, ces arguments. Vous voudrez bien aussi citer les noms des paléoclimatologues dénonciateurs s’il vous plait, ainsi que les références de leurs travaux. Merci. C'est tellement facile de claquer des affirmations sorties du chapeau. Jean
-
Euh... c’est vous qui avez employé le terme. Ça s’appelle aussi être responsable. Nos sociétés sont actuellement responsables du changement climatique. Je ne vois rien de choquant à le dire, et rien de moralement condamnable dans le fait de vouloir trouver des voies pour remédier à ce changement climatique qui met en péril des millions de vies et menace de nombreuses espèces et écosystèmes. Agir autrement sous le fallacieux prétexte que nos sociétés ne devraient souffrir aucun reproche (pour reprendre le terme employé par vous) me semble être une attitude d’enfant gâté qui mène à un avenir douloureux pour une fraction de l’humanité qui, elle, est beaucoup moins « gâtée », socio-économiquement j’entends. Jean
-
Ce n'est absolument pas ce que disent les travaux actuels. En moyenne globale il faisait plus froid aux dates que vous mentionnées. Il est même dit que les températures moyennes n'ont jamais été aussi élevées depuis 100 000 ans. source de la figure : résumé pour les décideurs « Climate Change 2021 - The Physical Science Basis - Summary for Policymakers », IPCC, août 2021 Nous sommes plutôt d'accord même si je ne me proposais pas d’évaluer la validité du modèle dans sa dimension scientifique. Tout simplement car je n'en ai pas les conséquences. Jean
-
Bin si puisque le père de la téhorie Gaia est un des représentant et fondateur de la doctrine de l'écologisme . nous sommes dans une doctrine , pas dans une science , et donc comme dans toute doctrine il existe un endoctrinement et forcément une croyance . Vous me citer en tronquant la citation. La citation complète a un sens totalement différent. ??? ah ok parce que je relève que "pollution" est un terme emprunté à la religion , c'est moi qui fait de la religion ??? lol C'est quoi ce tour de passe passe ..... je vais t'horrifier : Ce n'est pas moi qui emploie ce terme. En plus on admettra que le sens commun aujourd'hui, et l'usage du terme, ne renvoient pas à une dimension religieuse. [1] L'écologisme c'est vaste, la sacralisation de la Terre comme vous dites, qui en soi n'est pas nécessairement une mauvaise chose a priori, ne résume pas toute la pratique de l'écologisme. [2] Pointer les causes du réchauffement, et ici les activités humaines, ne revient pas à condamner l'Humanité. Bien au contraire, elle vise à constituer un corpus de connaissances à même de donner à l'Humanité une base solide pour lui construire un avenir vivable. On a fait plus rude en matière de condamnation. Vous confondez le descriptif et le normatif. [3] Concernant les preuves demandées il me semble avoir mentionné un petit rapport de 4000 pages. Si vous ne voulez pas vous pencher dessus cela vous regarde mais ne venez pas me demander des preuves alors que des heures de lecture vous sont proposées. [3 bis] La dialectique du bourreau et du condamné n'est pas la mienne. [4] J'ai dit que l'hypothèse Gaïa est loin de faire l'unanimité. Je n'ai jamais dit que ce n'est pas un modèle. Vous me faites dire cela parce-que vous amputer mes phrases. Jean
-
Et de nombreuses espèces. Jean
-
@Elbaid1il faudrait déjà définir ce qu'est l'écologie selon vous. Je note que vous dites "ce courant de pensée " et que vous nous présentez ensuite Gaïa, toujours sans rien définir, à part que celle-ci "virer[ait] à la croyance et à un culte mortifère vis à vis de l'espèce humaine qui non seulement remet en question un modèle humain mais en plus souhaite presque son extinction, son éradication et ou en tous les cas une réduction draconienne de celui ci." C'est doublement amusant : 1) - Gaïa n'est pas un modèle (ou une vision du système Terre si l'on veut) retenu par les climatologues en l’occurrence et, plus généralement, les multiples courants de l'écologie politique sont loin de retenir tous ce modèle (quand ils savent qu'il existe). Mais bon, c'est plus pratique de réduire la réalité à une dimension, je comprends bien l'usage de l'homme de paille ici. 2) - Quand on alerte sur les dangers du réchauffement climatique en cours "on souhaite presque [l'] extinction de [l'espèce humaine] ". Cocasse. On notera encore l'usage du vocabulaire spécifiquement religieux, alors même que la production de la connaissance dont nous discutons procède d'une méthode rationnelle longuement élaborée et en rupture complète avec les explications théistes et religieuses du monde. Le reste, tellement foutraque et allant en tous sens sans daigner développer une pensée suivie, je le laisse passer. Ah si ! une remarque : on critique Gaïa dans un message et dans celui d'après on lit ceci : "Responsable mais pas coupable , je plaide la légitime défense face à une nature qui ne lui a pas fait de cadeau dans son supposé jardin d'Eden qui devait fonctionnait comme une horloge .....". Ou comment critiquer une hypothèse qui assimile la Terre à un organisme et quelques lignes plus bas personnifier la Terre. Et encore la sémantique religieuse. Jean
-
Je vois, je vois... Vous ne lisez rien, vous ne voulez rien lire, mais vous avez un avis tranché parce que le GIEC émet sans doute du CO2 et que vous avez été à la plage. Remarquons aussi que vous utilisez des mots à tort et à travers pour tenter de décrédibiliser une démarche scientifique en la faisant passer pour un discours religieux. À vous lire la connaissance que nous avons aujourd’hui de l’évolution climatique aurait à voir avec la bible, le sermon, le dogme, Mathusalem, maintenant le sacerdoce. Cela dit par celui qui n’a rien lu, et qui donc ne fournira aucune source autre que son doigt mouillé disant « Ecce Veritas », mais qui sait que « grosso modo le constat d’une évolution climatique n’a rien d’extraordinaire puisque c’est ainsi depuis la nuit des temps », quand bien même un rapport de 4000 pages (des blablas et des rapports incohérents d’après un titre que j’ai lu, vous dira le même béotien) qui analyse et synthétise 14000 publications vous dit le contraire et pointe la responsabilité de l’Homme. Une belle inversion que celle du forumeur qui propose ses croyances en se faisant passer pour un sceptique et prétend qu’une démarche heuristique partagée par des milliers de scientifiques n’est qu’un dogme défendu par des fidèles. Jean
-
Pour les propositions il suffit de lire des livres, des études, des rapports (ceux du GIEC par exemple), des retours d’expériences grandeur nature (mais à petite échelle géographique malheureusement). Vous pouvez aussi assister à des conférences. Vous devriez y trouver assez facilement une suite largement plus cohérente que celle que vous imaginez à grand renfort de paralogismes. Votre deuxième paragraphe indique que vous n’avez rien fait de tout ça. Ou que vous n’avez rien retenu. Le reste c’est toujours la même chose. Je me bornerais à dire que vous confondez critique et condamnation. Et en plus vous êtes omniscient ! En effet vous tenez pour vrai que ceux qui condamnent ne se remettent pas en question. Je ne sais pas comment vous faites pour arriver à cette conclusion. Ou plutôt si, je sais : cela vous est utile pour valider votre vision du monde, peu importe le rapport au réel. Jean
-
On dirait un bêtisier. C’est quoi l’objectif ? Dire les plus grosses absurdités sans que ça se voit ? En deux paragraphes enchaînés vous arrivez à dire « hop ! des peuples insulaires disparaîtront et ils iront gonfler les rangs des réfugiés climatiques après un petit tour en avion et c’est pas grave » et « non je veux pas déménager sous prétexte que l’eau monte sur les côtes du Roussillon ». Le reste est à l’avenant, avec notamment ce sempiternel sophisme du faux dilemme qui consiste à présenter l’ecologie comme un retour à la bougie (bon vous avez fait un effort et choisi une variante, celle des animaux de ferme qui chaufferont nos logis), grossière caricature que personne ne propose, et présenter, en contraste, la situation actuelle comme seule possible. Jean
-
Il semble que vous ayez parfaitement tort : Première figure du résumé pour les décideurs « Climate Change 2021 - The Physical Science Basis - Summary for Policymakers », IPCC, août 2021 Jean
-
Peut-être êtes-vous devin, moi non. Mais si vous voyez l’avenir ainsi, et puisque vous m’informez de l’inéluctabilité de celui-ci, cela, au contraire, renforce mon « envie d’écologie » maintenant dans l’espoir d’adoucir un peu le fatal destin. Jean
-
Si vous voulez. Mais ces deux catégories sont loin, très loin même, de circonscrire toutes les visions du monde, les philosophies, les pratiques, les attitudes, les tempéraments, les politiques, les sociologies les idéologies, les convictions. Jean
-
@Elbaid1 et @Blaquièrevous pouvez rester dans ce manichéisme si cela vous chante mais le monde restera plus complexe et vous ne réduirez pas un monde nuancé à deux catégories fantasmées. Jean