Aller au contenu

Petit ours

Membre
  • Compteur de contenus

    5 438
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    2

Tout ce qui a été posté par Petit ours

  1. Oui après la rue c'est pas un défiler de mode sinon c'est vraie que beaucoup de gens sont mal habiller mais bon chacun est libre de faire ce qu'il veux je crois. bonne soiré
  2. En général je trouve les robes plus classe que les pantalons (ou pire les habits de sport) mais je trouve que c'est étrange d’être fier que ses filles attire beaucoup les hommes...enfin je sais pas
  3. http://www.slate.fr/story/181665/titiou-changement-climatique-fin-monde-habitudes-vie-quotidienne-tension-absurde Il y a comme une odeur d'absurdité dans l'air, comme un arrière-goût de paradoxe dans les bouches. ....
  4. http://leplus.nouvelobs.com/contribution/538395-jouets-habits-sports-filles-et-garcons-ne-sont-pas-a-egalite.html Jouets, habits, sports : filles et garçons ne sont pas à égalité La menace du stéréotype Fille ou garçon, les enfants partent avec un potentiel identique. Mais en grandissant ils vont, par une accumulation de détails, se conformer aux statistiques et stéréotypes de genre. En leur faisant adopter différents styles de comportement, cette éducation et socialisation différenciée va développer des centres d’intérêt différents. Ainsi, les jeunes femmes et jeunes hommes vont finir par se calquer, même inconsciemment, aux rôles traditionnels des sexes. Aux femmes, l’intérieur, le ménage, la famille. Aux hommes, les branches scientifiques et techniques. Le fait que les stéréotypes soient connus de tous n’aide pas à les éviter : la "menace du stéréotype" est présente et provoque à terme une répétition du stéréotype. Par exemple, on a fait passer un test de mathématiques assez basique à des adolescents, où il fallait répondre le plus vite possible vrai ou faux à une affirmation mathématique. À un premier groupe, on a dit qu’il s’agissait d’un test de maths. À un second d’un test cognitif, sans jamais employer le mot "mathématiques". Les garçons réussissaient le test de manière équivalente, quel que soit le groupe auquel ils appartenaient. Mais les filles, souvent considérées comme plus littéraires et peu scientifiques (constat souvent appuyé par les professeurs, même à compétences équivalentes), ont moins bien réussi lorsqu’elles savaient qu’elles passaient un test de maths. Sachant qu’elles faisaient partie d’un groupe avec une réputation peu scientifique, la peur de confirmer cette réputation a entravé leur raisonnement. C’est le serpent qui se mord la queue : nombreux sont ceux qui pensent qu’il s’agit de la réalité, que ces différences de comportement et de faculté sont même génétiques, alors que c’est une reproduction statistique des étiquettes sexistes – même si l’égalité des chances est une notion fortement ancrée en Occident et que les adultes, enseignants ou parents, ont l’impression de ne pas éduquer les enfants différemment suivant leur sexe. La menace du stéréotype Fille ou garçon, les enfants partent avec un potentiel identique. Mais en grandissant ils vont, par une accumulation de détails, se conformer aux statistiques et stéréotypes de genre. En leur faisant adopter différents styles de comportement, cette éducation et socialisation différenciée va développer des centres d’intérêt différents. Ainsi, les jeunes femmes et jeunes hommes vont finir par se calquer, même inconsciemment, aux rôles traditionnels des sexes. Aux femmes, l’intérieur, le ménage, la famille. Aux hommes, les branches scientifiques et techniques. Le fait que les stéréotypes soient connus de tous n’aide pas à les éviter : la "menace du stéréotype" est présente et provoque à terme une répétition du stéréotype. Par exemple, on a fait passer un test de mathématiques assez basique à des adolescents, où il fallait répondre le plus vite possible vrai ou faux à une affirmation mathématique. À un premier groupe, on a dit qu’il s’agissait d’un test de maths. À un second d’un test cognitif, sans jamais employer le mot "mathématiques". Les garçons réussissaient le test de manière équivalente, quel que soit le groupe auquel ils appartenaient. Mais les filles, souvent considérées comme plus littéraires et peu scientifiques (constat souvent appuyé par les professeurs, même à compétences équivalentes), ont moins bien réussi lorsqu’elles savaient qu’elles passaient un test de maths. Sachant qu’elles faisaient partie d’un groupe avec une réputation peu scientifique, la peur de confirmer cette réputation a entravé leur raisonnement. C’est le serpent qui se mord la queue : nombreux sont ceux qui pensent qu’il s’agit de la réalité, que ces différences de comportement et de faculté sont même génétiques, alors que c’est une reproduction statistique des étiquettes sexistes – même si l’égalité des chances est une notion fortement ancrée en Occident et que les adultes, enseignants ou parents, ont l’impression de ne pas éduquer les enfants différemment suivant leur sexe. De la robe à dentelle à la gestion de l’échec La majorité des chaînes de vêtements suivent la même logique que celle des magasins de jouets, notamment en termes de logique de construction de la boutique, avec des rayons séparés. Même le rayon bébé, censé être neutre, devient de plus en plus différencié. Il est ainsi de plus en plus difficile de trouver un body tout blanc. Souvent, on verra une fleur brodée ou le dessin d’un petit camion, rappelant de quel sexe ce vêtement relève. Les notions d’indépendance et d’autonomie sont encore une fois poussées chez les garçons : ils ont à leur disposition des habits avec des boutons pressions, scratchs et fermetures éclair, tandis que les filles ont des vêtements avec de vrais boutons et parfois des robes qui se boutonnent à l’arrière. Il est aussi plus facile d’apprendre à marcher, à quatre pattes puis debout, avec des vêtements pratiques, souvent réservés aux garçons, que des robes à volant ! Les filles ont en effet aussi plus souvent des tenues avec de la dentelle et des tissus délicats, ce qui conditionnera leurs activités : au parc, on incitera les petites filles à être soigneuses ("Fais attention à ta robe, ne grimpe pas à l’arbre !") et elles seront donc moins actives que leurs camarades de sexe masculin. Il en découle que les activités sportives des enfants sont différentes selon le sexe auquel ils appartiennent. En règle générale, les petites filles vont faire moins de sport que les garçons, et, quand elles en font, elles le pratiquent de manière moins intensive et moins compétitive. Les garçons vont davantage se tourner vers les sports d’équipe (foot, basket), tandis que les filles préfèreront les sports individuels (gymnastique, danse). L’esprit de compétition sera ainsi prévalent chez les garçons. La pratique du football est souvent suivie de l’entrée dans un club et de matchs de compétition le week-end. Même lors de l’entraînement, la pratique de mini-matchs est courante. Les garçons développent l’idée que l’on gagne lorsque l’on a battu son adversaire et, en ayant perdu et gagné moult matchs, ne vivent pas l’échec comme perturbant pour leur estime d’eux-mêmes. À l’inverse, chez les filles, la pratique de la compétition est plus rare et, lorsqu’elle existe, le niveau athlétique est bien plus élevé que dans un petit club de foot, donc concerne une minorité d’enfants. Le spectacle de fin d’année de danse remplace le classement : les filles ne se battent donc pas contre un adversaire, mais contre elles-mêmes, pour se surpasser. Et l’échec est vécu comme beaucoup plus dévastateur. Et lorsque les filles pratiquent des sports collectifs, ce sont souvent, comme le volley, des sports où un filet scinde le terrain en deux. Le contact inter-joueurs, c’est-à-dire entre des joueurs de deux équipes, est donc inexistant. Avec un filet, on va moins au combat ; pour gagner, on n’a pas besoin comme au foot d’investir le terrain de l’adversaire, de chercher le contact physique.
  5. https://positivr.fr/stereotypes-genre-choix-jouets-bebes-experience/ Jouets pour bébés : les stéréotypes de genre choisissent pour nous Pour réaliser une expérience, les vêtements d’un petit garçon et d’une petite fille ont été inversés. Résultat : les jouets vers lesquels se tournent automatiquement les adultes sont clairement choisis selon les stéréotypes de genre intégrés par la société. Cette femme donne à la « petite fille » des jouets mous. Elle reste sur le tapis de jeu et ne lui propose pas de jouets qui permettent de développer la perception de l’espace ou la confiance physique. Et, même lorsque l’enfant choisit un petit robot, elle lui propose un autre jouet plus moelleux. J’ai toujours cru que j’étais plus ouverte d’esprit que cela. Et je pensais : ce sont des jouets d’enfants, peu importe le genre. » L'influence des stéréotypes genrés se fait sentir dès le berceau http://www.slate.fr/story/117355/influence-stereotypes-genres Les adultes, qu'ils aient ou non des enfants, ont tendance à attribuer un sexe aux bébés en entendant seulement leurs cris. C'est ce que révèle une étude publiée le 14 avril dans la revue BMC Psychology. Menée par David Reby, Florence Levréro, Erik Gustafsson et Nicolas Mathevon, chercheurs en psychologie et en neuro-éthologie sensorielle affiliés à l'université du Sussex, l'université Lyon-Saint-Étienne et le Hunter College de New York, elle détaille cinq expériences qui montrent que s'il n'y a pas de différence significative entre les voix et les cris d'enfants avant qu'ils n'atteignent la puberté, une majorité d'adultes va assigner un sexe et des caractéristiques genrées aux bébés en les entendant, et ce même s'ils ne sont âgés que de quelques mois. Les propriétés acoustiques de la voix humaine et son identité sonore, nous rappellent les chercheurs, dépendent largement de sa fréquence fondamentale (ou F0). Cette fréquence fondamentale, ou hauteur tonale, dépend elle-même de la fréquence vibratoire des cordes vocales situées à l'intérieur du larynx et de la capacité de résonance du canal vocal supralaryngé. Avant la puberté, la physiologie des garçons et des filles étant relativement identique à cet endroit, on n'observe pas de réelle différence dans leur signature vocale. Par contre, avec l'allongement du canal vocal bien plus marqué chez les garçons à l'adolescence, les hommes adultes ont en moyenne une F0 moitié plus basse que celle des femmes – et, par conséquence, une voix perçue comme plus «grave». De même, plus un bébé criera dans les aigus, plus les adultes s'alarmeront de son état. Et quand, avant de leur faire entendre le cri, les chercheurs disent aux adultes qu'il s'agit d'un garçon, ce sont les hommes qui ont davantage tendance à estimer que le bébé va mal –alors que tous les cris avaient été enregistrés pendant que les nourrissons pataugeaient joyeusement dans leur bain. On savait déjà que les «stéréotypes genrés peuvent influencer le comportement des parents, remarque David Reby, mais c'est la première fois que nous observons le phénomène sur la base des cris des bébés. Nous voudrions maintenant voir si ces attributions stéréotypiques peuvent affecter la manière dont les bébés sont traités et si les parents choisissent, sans s'en rendre compte, des habits, des jouets ou des activités différentes suivant la hauteur des cris de leurs bébés».
  6. Bah si sont rêve c'est de joué avec un aspirateur rose je la laisserais faire je ne suis pas un dictateur Je ne pense pas que beaucoup de filles est envie de travailler sur des chantiers après je sais pas si ça serait accepté par ses collègue.
  7. Les garçon sont médecin/vétérinaire les filles joue a mère au foyer... jamais ma fille ne jouera avec un jeux de ménage ou ce genre de trucs... Je ne sais pas si les bûcheronne ou les femmes qui font des travaux sont courante...
  8. Certaines filles le font déjà il y'a des hommes qui font de la danse et des filles du judo par exemple Oui mais pour un simple jouet ou une couleur d'objet c'est vraiment stupide c'est même plus une question de tradition.
  9. Le problème vient surtout des parents je me rappel d'une mère qui c'était moquer de sont fils a décathlon le petit de 4/5 ans voulait un vélo rose princesse . Certains parents ne laisse pas leurs enfants être ce qu'ils sont Si on observe des bébé a la crèche il joue avec tous sans se demander si c'est pour les petites filles ou les garçon c'est leur éducation qui va leur apprendre que les poupée les princesse c'est pour les filles et les robots les dinosaures et les voitures pour les gars... pour certain c'est effrayant même les habits des bébés si on va dans un rayon sois c'est des pull bleus avec des camions et des ballons de foot/basket sois des robe rose a paillettes quand je vois mes photos de naissance dans les année 2000 j'avais des habits blanc jaune gris vert maintenant je trouve que les bébé on des habits plus genrés
  10. Je pense que je ne ferais qu'un(e) enfant déjà en tant qu'enfant unique je m'imagine mal aimé deux ou trois enfants et ensuite je pourrais me concentré à 100% sur sont éducation Je respecte le choix des personnes qui n'en veule pas pour moi ne pas avoir d'enfants quand on en veux pas est le plus grand cadeau qu'on puisse leur faire
  11. hier je n'avais qu'une heure de cours l'après midi donc j'ai sécher après j'évite de le faire je veux avoir le bac et de toute façon quand on vient pas il envoie un message bon je leur est donné mon numéro mais au bout d'un moment il convoque les parents...
  12. Je pense que c'est bien c'est assez stupide de vouloir faire des jouets "rose fille" et bleus garçon" même pour des choses stupide comme des menus enfants ou des kinder rose (traumatisme d'enfance" ) on pourrais faire des jeux avec des couleurs plus neutre comme l'orange le jaune le vert le gris.... oui et ?
  13. Je m'enfiche de savoir qui est français depuis Charlemagne l'esclavage une guerre mondial ou encore 2 3 4 5 ou 35 générations c'est juste que quand on dit de nationalité français,de papiers français ça sous entent bien qu'il ne le sont pas VRAIMENT et qu'il y'a le bon et le mauvais grains les vraie citoyens et les autres ma mère est d'origine normande depuis au moins 15 générations sauf que comme elle a aussi des origines américaine et que mon géniteur est arabe/latino (et je suis un "troue du c de banlieues) donc je suis plus français qu'une personne d'origine portugaise depuis 3 génération mais moins qu'un "Martiniquais de souche" comme vous dites c'est juste stupide vous en avez jamais marre de dire du grand n'importe quoi?
  14. Elle défend les noirs sérieusement ? Je crois qu'ils non pas besoins de sa pitié.....
  15. Trump n'est pas raciste ? eu si elle le dit en même temps marion lepen c'est un peut le chaudrons qui se moque de la marmite Après je ne suis pas raciste j'ai une amie plus noire qu'une arabe "je trouve une femme noir belle donc voila"
  16. Par ce qu'ils ne sont pas blancs donc pour lui il ne seront jamais français et après ce sont les "autre" qui ne sont pas intégrer....
  17. J'habite la bas (enfin en banlieue) donc oui il y a des endroit ou il y'a beaucoup moins de blanc mais en dehors des grandes villes la majorité des gens le sont en tous cas quand je vais voir la famille de maman en Province je suis le seule non blanc sur plusieurs kilomètre
  18. Au final le capitalisme n'est pas la meilleurs des choses mais c'est moins "pire" que le communisme et ses 100 millions de mort et de dictature d'Etat . Je préfère la liberté a "l'égalité"
  19. Je pense que la situation de la planète inquiète beaucoup de personne mais pour moi on ne fait pas assez de choses pour l’environnement. Pour la liberté on est loin de certains pays mais on pourrait faire mieux. Pour la tolérance....il y'a beaucoup de racisme de xénophobie d’homophobie de sexisme.... Pour les institutions je pense que c'est un peut dépasser mais il ne faut pas oublier que les soins ou l'école sont public donc il faut faire des chois dans beaucoup de pays c'est bien plus avancé mais voila c'est payant je pense qu'il faut faire des choix j'ai fait ma maternel/primaire dans une école priver mais comme c'était dans une zep il n'avait pas de grand moyens au collège une grosse catastrophe Pour les soins médicaux c'est pareille
  20. Finalement booba et karis vont pouvoir faire de la politique bientôt un Octogone ?
×