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Tout ce qui a été posté par Persil-Fleur
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Excuse-moi, je parlais de la Maire de Paris... mais, c'est un avis tout personnel (que beaucoup partagent ) et ça sort du sujet Pour le reste, comme tu l'as bien compris, il ne s'agit pas du Code des Impôts, mais des chiffres cumulés au niveau du pays et de la moyenne par foyer hétéro ou par foyer homo.
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Mes hommage Cher Plouj... je n'ai pas encore basculé du côté obscur de la force... pour l'instant... mais peut-être m'en donneras-tu envie Il ne s'agissait donc pas de mon cas personnel. Les couples homos bénéficient effectivement des mêmes aides en théorie. Mais en pratique, les statistiques leur sont défavorables et font qu'ils en récupèrent beaucoup moins.
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Il est bien connu que les célibataires et les homos subissent une injustice au niveau des impôts. Je suis surpris de te l'apprendre. De même que cela me surprend que tu ne saches pas qu'au niveau de la France entière les homos ont un taux de présence dans leurs foyers d'enfants au moins 5 ou 6 fois inférieur à celui d'un couple hétérosexuel. D'autant qu'ils réussissent rarement à avoir plus d'un enfant dans leur foyer. Par ailleurs, de nombreuses études en France comme à l'étranger, font état d'un salaire très supérieur à la moyenne, d'un taux de consommation très supérieur à la moyenne (d'où une participation à la TVA encaissée par le pays très supérieure à la moyenne, un peu comme les riches ISF). C'est la raison pour laquelle dans les villes moins dogmatiques et incompétentes que Paris, comme Shanghaï par exemple, on a une vraie politique de revalorisation du centre ville pour y créer de l'emploi. Après le concept de "smart city", ils travaillent à présent le concept redoutablement efficace sur l'emploi de "smart people". A savoir que ces villes tentent de se rendre les plus attractives possible envers une frange de population connue pour être créatrice d'emplois. Cette population permettant ensuite de drainer des entreprises vers ces gens là, et donc vers le centre ville et donc des emplois pour tous dans la foulée, et de la richesse économique pour tous. Ces "smart people" que ces villes s'arrachent pour les séduire, avec des plans personnalisés pour créer les conditions d'attractivité pour chaque catégorie de personnes (discothèques, restaurants roof top, incubateurs, habitat smart city, écosystème bio, musique,...) sont principalement les stars, les entrepreneurs, les homos, les musiciens, les start-ups,...
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Ben oui ... on ne les voit jamais manifester dans la rue (ils se feraient lyncher)... ils restent donc silencieux. mais, ça ne les empêche pas d'agir. Dans un "long" continuum, et pas que pendant quelques mois, puisque ça dure depuis des années au même rythme et en s'accélérant selon les chiffres de la Direction Générale des Impôts. Cette longue action invisible et silencieuse nous coûte encore plus cher que les beuglards actuels, malgré la casse des matériels publics, le coût des blessés, et les 15 milliards d'aide accordés. Ces Français aiment autant la France que les gilets jaunes. Et ils la quittent avec désespoir (ainsi que l'indiquent les fiscalistes, sinon l'exode serait encore plus massif) pour éviter qu'on leur pique le capital pour lequel la plupart ont travaillé dur pendant de nombreuses années. Un peu comme se sentiraient les gilets jaunes si on décidait de leur piquer leur livret A et une grande partie de leurs économies. Sauf qu'ils ne pourraient pas quitter la France et se feraient donc tondre jusqu'à la dernière pièce. Ce gâchis de démagogie populaire nous coûte à tous 25 milliards par an.
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Euh... ce n'est pas parce qu'on ne paie pas un impôt qu'on ne s'interroge pas s'il est déficitaire et qu'il nous coûte indirectement de l'argent. Si on m'expliquait que les homos subissent un impôt supérieur aux autres puisqu'ils ne bénéficient pas des prestations d'éducation des enfants et d'aides sociales aux enfants, qu'ils consomment plus de TVA que les autres et qu'ils créent plus d'emplois, et que cette injustice d'impôt les conduit à quitter massivement le pays nous coûtant 25 milliards, je n'aurais aucun souci à leur consentir une réduction d'impôt. Par bonheur pour l'instant, ça ne semble pas être le cas... Nos hommes (et nos femmes) sont probablement plus beaux que ceux des voisins
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Euh je ne crois pas non... les analyses et les chiffres très simples dont j'ai parlé, je n'en ai vu aucune trace à la télé. Si les gens avaient réellement compris que l'impôt payé par ceux qui restent est très largement dépassé par la perte d'impôts des mille foyers ISF qui arrêtent de payer l'impôt chaque année, et que cela creuse d'environ 25 milliards d'euros notre déficit budgétaire annuel, il n'y aurait plus le moindre débat. Personne n'a envie de perdre 25 milliards, même pour faire ch... des gens qu'on n'aime pas. S'ils comprenaient que le paiement actuel du taux de l'ISF correspond à une augmentation de 300% par rapport au taux initial, il ne parleraient plus de justice sociale non plus et seraient d'accord pour a minima réviser le taux à la baisse en maintenant "tout" l'ISF tel qu'il était avant. Car si on augmentait de 300% leur facture d'électricité en janvier, ils hurleraient autrement plus fort que les gilets jaunes actuels. Ce que font les contribuables ISF en nous privant massivement de leur "bel argent" et de leurs impôts dans un long cri silencieux mais très coûteux. Comme le doute persiste chez les gilets jaunes et qu'ils continuent à réclamer bêtement le retour de l'ISF, ça signifie que Macron n'a pas su leur expliquer les vrais enjeux et les vrais chiffres. Et qu'ils n'ont rien compris du tout
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Euh, rassure-nous... tu n'as pas voté Macron au moins ? Ca nous ennuierait que tu aies un peu de sang facho sur les mains C'est sûr que Jéjé Roro a l'air d'un gars cool et calme. Le mec qui manifeste paisiblement en toutes circonstances dans les zones autorisées. Pas le genre, comme son grand copain Drouet mis en examen pour port d'arme prohibée, à emmener avec lui une arme pour casser du flic, casser des vitrines ou casser la tête à qui que ce soit. Pas le genre du tout à foncer sur les flics avec une arme, ou à mentir sur ce qui lui est réellement arrivé. Même pas le genre de gars à aimer tous ces violents fachos et leurs poings levés... Pourtant, c'est dommage car sa photo « posée » et manifestement mise en scène par lui, confiée à la télé hier soir et que j'ai vu dans l'après-midi sur le net a été censurée (démocratiquement) et retirée de sa page facebook et du net par ses amis. Jéjé le pacifiste posait dans un fauteuil à la sortie de l'hôpital vêtu tout d'un noir costume fasciste ou révolutionnaire corse, il levait le poing serré devant lui. Ses 4 camarades dont une femme étaient debout dans l'escalier autour de lui et levaient tous le poing serré vers nous et vers le ciel. Ces 5 poings dressés avec des mines très agressives, type « règlement de compte », on aurait dit un groupe de mafieux corses clandestin défiant l'autorité préfectorale, ou un groupe fasciste rejetant l'autorité démocratique. La photo faisait peur et était très violente, à l'image de l'individu. D'ailleurs, il a également retiré des photos de sa page facebook son premier réflexe publié depuis son lit d’hôpital, ce même poing levé pour en découdre de façon physique avec l’Etat et ses représentants. Mais, cette photo été captée par des gens inspirés et n’a pas pu être totalement censurée et éliminée du net par lui et par ses amis,… la voici : Par contre, il a conservé sur sa page facebook ce poster qui doit lui paraître une douceur toute pacifique et démocratique envers la France :
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Ben non... sont pas invisibles : les Partis Jaunes fleurissent partout dans les champs, comme des jonquilles. Et ils sont loin d'être sans saveurs Ingrid, Jacline et Lalanne ! La liste du capitaine Haddock n'a pas de chef, pas de tête de liste, pas de programme... mais beaucoup de saveur ! C'est un vrai gilet jaune, pas de doute là dessus...
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Moi aussi... on ne peut rien capter... on entend de vagues mots incompréhensibles sortant de la foule : "han !" "ouch !" "grrr" " afeuéasang !" "suotiran !" "outamis lamatrak ?" "prenssadanlkul !" "mac rond, des mille fions !" " oukélebarbeocul ?" "passmoilébrochettJozé " ...
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La plupart de ces produits faisaient l'objet d'une titrisation. C'est à dire qu'ils étaient sortis de leur contexte, dématérialisés et injectés dans de nouveaux produits financiers sous forme d'obligations, à côté d'autres types de produits. Il n'était donc pas si facile que ça de repérer leur qualité propre noyée dans la masse. Mais, un problème réel de compétence a été soulevé. D'autant que les agences ont participé à la création des produits, étant alors juges et parties. Les banques étant leurs plus gros clients, elles se trouvaient en situation de dépendance. Ensuite, il n'est pas si facile non plus de prouver que les agences de notation savaient à partir de telle date, et n'ont rien dit. Il y a eu beaucoup de remue-ménage. On a fait plus que leur tirer les oreilles "gentiment"...
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Et pourtant, ce n'est pas faute de lui tendre la perche... à défaut de lui tendre l'andouille
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Bonsoir Jimmy, Si tu as bien lu mes inters précédentes sur la Bourse et encore plus sur les krachs boursiers, tu constateras par toi-même qu'il n'y a aucune possibilité de rente en Bourse. L'affirmation classique : "en face d'un perdant en Bourse il y a forcément un gagnant" est inexacte. Quand la Bourse baisse fortement, tout le monde perd. En face d'un perdant très lourd, il y a éventuellement un perdant moins lourd. En 2008, 25 000 milliards de dollars sont partis en fumée. Tous ceux qui avaient investi dans une période pas suffisamment ancienne (une ou deux dizaines d'années avant 2008) ont perdu leur culotte. Cela a ruiné des centaines de milliers de personnes. Riches comme moins riches, comme gros institutionnels. Certaines places boursières ont presque disparu. La Bourse de Reykjavik a perdu 94 % de sa valeur, Moscou a perdu 72 %, tout comme Bucarest. Cela a plombé l'économie réelle. Des dizaines de millions de personnes aux USA avaient investi leur retraite en fonds boursiers. Riches cadres, comme employés moyens. Ils ont vu leur retraite disparaître. Ils ont dû reprendre un emploi et travaillent actuellement jusqu'au bout de leurs forces pour se nourrir, 85 ans, 90 ans... y compris les anciens riches. Si la Bourse ne le permet qu'à toute petite échelle, comment les gens s'enrichissent, alors ? Mis à part les héritiers, ils créent des entreprises... et ceux d'entre eux qui ne capoteront pas, qui ne végèteront pas, et qui seront suffisamment talentueux (ou chanceux) pour réussir à embarquer du personnel motivé dans leur aventure, pour passer les multiples crises de la concurrence, pour surpasser les difficultés financières, pour finir par faire des bénéfices au bout de nombreuses années de galère, réussiront à en tirer une forme de richesse. Mais, les statistiques sont là également pour montrer que cette réussite n'a rien d'une rente. L'immense majorité des entreprises investissent pendant des années avant de réussir à atteindre le point mort (l'équilibre financier). Elles font des pertes pendant trois, quatre, cinq ans en moyenne. Et il faut réussir à les financer. La majorité des entreprises meurent pendant cette période difficile. Si l'on ose une comparaison militaire pour faire prendre conscience de l'hécatombe des entreprises qui meurent en tentant d'avancer, on peut dire cela : 2 052 299 soldats alliés ont été engagés dans la bataille de Normandie, on dénombre 37 000 tués et 163 000 blessés, soit 10% de perte si l'on cumule le tout. A l'inverse, les entreprises confrontées au bourbier de la difficulté d'avancer commercialement et financièrement dans le monde économique impitoyable actuel, tombent presque toutes aux premiers âges du développement, cumulant 85% de perte. C'est comme si 1 745 000 soldats étaient morts en débarquant... et non 37 000 tués et 163 000 blessés . C'est donc une véritable boucherie économique que connaissent les entreprises. Amazone a perdu de l'argent pendant plus de 8 ans. Au point que les investisseurs ont failli lâcher l'entreprise à plusieurs moments cruciaux pour sa survie. Pourtant, son fondateur a réussi à maintenir l'entreprise vivante et à poursuivre 8 années d'investissements continus sans aucun retour pour les investisseurs de tous types et à créer toujours plus d'emplois, jusqu'à atteindre 524 000 salariés. Aujourd'hui, Amazon gagne beaucoup d'argent. C'est plus que mérité. Au bout de 10 ans, 85% de ceux qui ont créé une entreprise ont déposé le bilan. Ils ont perdu tous leurs investissements et ils sont bien souvent ruinés par les cautions bancaires sur l'entreprise. J'ai malheureusement vu mourir tant d'entreprise autour de moi. Sur les 15% qui survivent, la majorité végète. Elle réussit tant bien que mal chaque mois à boucler les salaires, en ne payant pas ou peu le dirigeant assez souvent. Je connais de nombreux patrons qui ne se sont pas payés pendant 10 ans, avant de toucher un peu plus que le smic. Mais qui payaient les salaires des employés chaque mois. Une toute petite partie explose et "fait fortune" après avoir travaillé 400 ou 500 heures par semaine pendant des années. Rappelle-toi que sur 4 millions d'entreprises en France, seules 465 étaient cotées en Bourse en 2017... (une infime minorité : 0,01%) Et pour que ces 4 millions d'entreprises existent en France aujourd'hui et fournissent tant bien que mal l'emploi des Français, il a fallu que près de 27 millions d'entreprises meurent. A savoir des milliards d'euros d'investissement avancés par tant de personnes et de familles... qui sont partis à la poubelle. Alors, cette réussite n'est pas usurpée. Elle est le résultat d'un travail acharné, de prises de risque financières totalement folles, de talents hors pair de capitaines de navire dans la tempête mondiale pour maintenir une entreprise à flot par vents et marées. Que ces gens là soient riches ne me choque pas. On peut tous faire comme eux en démocratie si on en est capables. Beaucoup n'avaient pas un sou au départ et ont lourdement emprunté auprès de banques et convaincu des investisseurs de les suivre. La première question est : en serions-nous capables ? Serions-nous capables d'être autre chose que des salariés, de créer une entreprise et des emplois ? La deuxième question est : une fois qu'ils sont riches, s'ils peuvent penser aux employés fidèles et dévoués pour les intéresser financièrement à la réussite de l'entreprise, c'est une bonne façon de boucler l'aventure. De plus en plus d'entreprises permettent aux employés d'accéder au capital et de partager les fruits des bénéfices. C'est une bonne chose.
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Bonsoir Pierrot, En fait il s'agit d'une fausse vérité colportée par les banques dans les années 1980/2000 et qui perdure dans les esprits. Les banques prétendaient que si vous aviez un horizon de placement de 20 ans, vous étiez toujours gagnants. Et cela était censé vous rapporter environ 12% par an, selon les statistiques bancaires. En 2000, j'ai effectué une étude précise pour vérifier cette affirmation. En effet, il serait fantastique qu'un tel placement magique existe (rapportant 12% par an sur 20 ans) à la fois pour les riches et pour les revenus moyens en vue de la retraite. Malheureusement, la magie reste réservée au monde de Disney. Cette affirmation des banques était totalement fausse et mensongère. En réalité, les banquiers cherchaient à attirer le plus grand nombre de riches et de moins riches vers leurs départements titres et bourse. La banque se fiche que la Bourse monte ou baisse. La banque est gagnante dans tous les cas, puisqu'elle touche une commission à l'achat comme à la vente. C'était un miroir aux alouettes. Voici les résultats affligeants de mon étude en 2000 : De 1900 à 1920, la Bourse en France a progressé en moyenne de 0% par an sur 20 ans. Dans le même temps, malgré des périodes d'inflation négative, l'inflation a progressé de 158% . La seule année 1920 a connu une inflation de 39,5 %. Sur 20 ans, on a donc perdu la totalité du capital investi en Bourse, et bien plus encore. Pour 1000 francs investis, on se retrouve avec -580 francs au bout de 20 ans. Une ruine ! De 1920 à 1940, la Bourse a progressé en moyenne de 4% par an sur 20 ans. Sur la même période, l'inflation était légèrement supérieure à 5% par an. Sur 20 ans, votre capital a donc perdu une grande partie de sa valeur, plus de 20%. De 1940 à 1960, la Bourse a progressé en moyenne de 25% par an sur 20 ans. Sur la même période, l'inflation a progressé en moyenne de 19% par an. Après 40 ans de pertes cumulées, votre capital a enfin rapporté du 6% par an sur 20 ans. C'est l'âge d'or de la Bourse. Mais pour connaître cela, il faut une guerre mondiale qui détruit une grande partie du pays. Et une période de reconstruction totale pendant 15 ans, boostant l'économie française. On ne reverra pas un tel âge d'or boursier de sitôt (on peut l'espérer). Ce sont les gains de cette période qui ont fait illusion statistiquement pendant de nombreuses années. De 1960 à 1980, la Bourse en France a progressé en moyenne de 0% par an sur 20 ans. Sur la même période, l'inflation a progressé en moyenne de 7% par an. Sur 20 ans, on a donc perdu la totalité du capital investi en Bourse, et bien plus encore. Pour 1000 francs investis, on se retrouve avec -400 francs au bout de 20 ans. On est ruinés ! De 1980 à 2000, la Bourse a progressé en moyenne de 7% par an sur 20 ans. Sur la même période, l'inflation a progressé en moyenne de 4,77% par an. Sur 20 ans, on a donc gagné environ 2,23 % par an. C'est pas mal, mais il n'y a rien de fantastique. Les dividendes versés, très aléatoires et peu élevés en moyenne, ne viennent pas contredire cette faible performance de la Bourse. On ne devient pas riche, et on ne booste pas sa richesse existante avec de tels taux. D'autant que si l'on varie un peu la période on tombe forcément sur un krach boursier. Le krach de 2008 a ainsi anéanti toute la bonne période 1980-2000 avec le "krach du siècle". Les taux faramineux de 12% que garantissaient (oralement et parfois par écrit) les banques de 1980 à 2000 sont totalement mensongers. En 2002/2003, suite à plusieurs études comme la mienne, de nombreuses banques ont été condamnées en justice pour non information du niveau de risque élevé, de la part de professionnels de la Bourse. Et les particuliers concernés ont été indemnisés. Malheureusement, la majorité des autres perdants ont fait faillite sans réussir à poursuivre les banquiers. Depuis les banques ne véhiculent plus ce type de mensonges. Elles prennent bien soin de vous avertir des risques lourds que présente un investissement en Bourse. Et elles vous font signer un document comme quoi vous reconnaissez avoir été avertis de ce risque, et êtes prêts à perdre votre capital. La Bourse n'est donc absolument pas un investissement rentable à long terme. C'est un investissement hautement risqué, pour lequel vos chances de gain sont en réalité inférieures à vos chances de perte. C'est ce que montrent les études sérieuses. Et mon étude se base sur la totalité des titres boursiers en France, ce qui lisse le risque. Dans la réalité un portefeuille boursier de riches comme de peu riches ne dépasse pas 20 à 25 titres. Ce qui augmente considérablement le risque. Et davantage encore depuis la révolution digitale. Aucune entreprise, fut-elle géante, n'est plus à l'abri d'une crise majeure ou d'une faillite. Le " too big to fail" a montré ses limites et n'est plus d'actualité. Tant de riches et de particuliers ont été ruinés pour avoir investi au plus haut, un ou deux ans avant un krach majeur. Or, les krachs sont récurrents chaque fois, qu'une mauvaise nouvelle secoue la planète.
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Euh non... au contraire l'optimisation fiscale est une activité parfaitement légale. Il y a des fiscalistes dont c'est le métier d'utiliser les lois fiscales les plus favorables pour payer le moins d'impôts possible. Certains (très) riches continuent à payer beaucoup d'impôts après optimisation. D'autres exagèrent un brin. A une période, Pinault (le père) était non imposable. C'était légal. Mais pas nécessairement moral... ou solidaire.
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Flûte alors... je m'étais accroupi, me faisant tout petit, entre deux barils de lessive Persil chez Super U. Guettant Lena. Soudain, elle arrive dans le couloir. Glissant de son pas aérien. Elle s'arrête à ma hauteur. Sa main, ferme et douce à la fois, effleure mon épaule. Elle a pris le baril d'à côté... un baril manifestement de lessive Omo !!! Y a pas de justice... ou alors seriez vous un tantinet myope, Léna ?
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Je me borne à restituer un savoir académique qui est très facile à vérifier. Il est partout sur le net, partout dans les livres. Ca a pris 30 secondes à Morfou pour te mettre un lien qui explique Euronext comme je l'ai fait. Par paresse intellectuelle, tu n'as pas pris le temps de jeter un coup d'oeil à Wikipédia ou ailleurs avant d'affirmer des énormités sur Euronext. Quand on ne sait pas ce qu'est une chose, on n'en parle pas. C'est du simple bon sens. Tu ne sais pas ce qu'est Euronext, alors n'en parle pas. Tu ne sais pas ce qu'est la Bourse non plus, alors arrête d'en parler. Tu énumères un tissu de bêtises et de contradictions tellement grossières qu'un simple lycéen en sait plus que toi sur le sujet. Et ça devient pénible de devoir t'expliquer tous les concepts que tu utilises à contresens à chaque échange. Je vais me contenter de te donner deux exemples. 1/ Une fois de plus, abandonne tes idées immatures de complot POLITIQUE dans les entreprises. Les actions ne confèrent aucun "pouvoir politique". Laisse la politique là où elle est, au gouvernement. Les actions sont des titres de propriété. C'est pas compliqué. Elles confèrent donc un droit de propriété. Comme pour une maison ou une voiture le détenteur du titre a un droit de propriété sur le bien. L'actionnaire majoritaire est donc le propriétaire de l'entreprise. C'est lui qui prend le risque financier majeur. A ce titre, il décide de la direction à prendre pour l'entreprise. Il nomme le conseil d'administration et il a (presque) tous les pouvoirs. C'est normal puisque l'entreprise lui appartient. Si l'entreprise capote, toi Jimmy tu ne cours aucun risque majeur. Tu es pris en charge par les Assedic et tu cherches une nouvelle entreprise. L'actionnaire majoritaire lui, il perd 100% de ses fonds, et il est éventuellement ruiné si c'est un individu ou une famille.. S'il est un tantinet humaniste et participatif, il offrira des actions à ses cadres et à ses employés, et il consultera ses cadres et ses employés avant de prendre des décisions importantes. Mais, c'est normal qu'il décide de la direction à prendre. Quand tu achètes une voiture et que tu conduis ta voiture, c'est toi qui décide où aller. C'est pas le gars qui roule en vélo à côté de toi qui va décider à ta place. Ben voilà, c'est exactement le même principe. Et si tu n'apprécies pas la direction prise par ton entreprise, eh bien tu peux toujours la racheter. Comme ça c'est toi qui décidera de la direction à prendre. Et qui prendra aussi les risques financiers qui vont avec. 2/ Ton obsession idéologique contre le capitalisme et la spéculation t'aveugle. Oui, la spéculation boursière dans les entreprises est un phénomène marginal. Sais-tu seulement combien de sociétés cotées il y a en France ? Non... tu l'ignores. Sais-tu combien il y a d'entreprises non cotées en France ? Non... tu l'ignores. Sinon, tu ne profèrerais pas de telles inepties. Alors, Docteur Mamour va soigner tout de suite la spéculite aiguë qui te donne un ulcère à l'estomac sans raison. En t'offrant ces deux chiffres. En 2017, il y avait 465 sociétés cotées en France. En 2017, il avait environ 4 millions d'entreprises en France. Donc, l'introduction en Bourse est un phénomène très marginal en France. La grande majorité des entreprises n'en auront jamais besoin, ou ne seront pas taillées pour y aller. Seules les entreprises qui ont une croissance phénoménale et qui ont besoin de lever des sommes d'argent très importantes se dirigent vers la Bourse. Car c'est un énorme travail de 6 mois au moins avec une équipe dédiée pour préparer une introduction en Bourse. Et ça génère des contraintes très importantes au quotidien pour l'entreprise ensuite. Voilà, tu as ta réponse. 465/ 4 000 000 = 0,01 % des entreprises Les entreprises en France ne sont pas des moyens de spéculation boursière. Elles ont, avant tout, de simples objectifs de développement de leurs activités.
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Ahlala quel boulot de corriger tes copies. Faut revenir cent fois sur les mêmes explications Il n'y a pas de rentier en Bourse, et il n'y aucune rente sur les marchés d'actions. Ca va finir par rentrer ou tu vas encore y revenir ? On va reprendre les fondamentaux. Il est totalement incohérent de mettre cote à cote les mots "spéculation" et "rente" concernant le marché des actions. C'est comme si tu disais qu'un aliment est à la fois congelé à -20° et bouillant à +100°. C'est juste impossible. La Bourse est un marché éminemment volatile et risqué. On peut toucher un jour les 3% de dividendes qui t'obnubilent, et 3 mois plus tard perdre 30% ou 40% de son placement. Donc au cumul sur l'année on a fait une énorme perte. Ensuite, il y a bon nombre de sociétés qui ne distribuent aucun dividende pendant de longues années. D'où les dividendes élevés les années où c'est possible, pour récompenser la patience des actionnaires. Lors du krach d'octobre 1987, des centaines de milliers d'investisseurs en Bourse ont été ruinés. La Bourse a péniblement mis 10 ans à retrouver son niveau de 1987, pour aussitôt replonger et perdre 50% avec le krach de 2001/2002 lié à l'éclatement de la bulle internet. Tous les investisseurs présents en Bourse en France ont perdu en moyenne environ 50% de leur capital. Mais, c'est une moyenne. Certains ont perdu 30% et d'autres ont perdu jusqu'à 70%. Des centaines de milliers de clients aisés et riches qui avaient commis l'erreur d'investir 80% de leur capital en bourse (comme le recommandaient les banquiers de l'époque) se sont retrouvés ruinés... Y compris des gens qui avaient placé là toutes leurs économies en vue de la retraite. Va leur parler de ta rente boursière !! Ceux qui avaient joué à terme ont perdu leur culotte. Non seulement ils ont perdu 100% de leurs économies, mais souvent jusqu'à -150% par exemple. Dans ces cas là, ils sont repartis endettés à vie pour rembourser leurs pertes en dessous de zéro. Avec des emprunts bancaires sur le dos de 100 000 ou 200 000 euros par exemple. La Bourse a mis une petite dizaine d'années à retrouver son niveau de 2000. D'autres krachs ont suivi, comme le krach de 2008 avec la crise des subprimes aux USA. Ce krach a été baptisé le " krach du siècle" tellement il a été violent. Il a failli entraîner la faillite de tout le système bancaire mondial. Donc, j'espère que tu vas bannir à jamais le mot rente de ton vocabulaire boursier.
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Euh... nous ne sommes pas dans la bonne rubrique du forum pour parler de la forme de l'andouille...
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En fait, c'est un tout petit peu plus complexe que ça. Au début, les organismes de cotation n'avaient réellement rien vu venir de bonne foi. Donc, les banques se sont gavées de produits toxiques, y compris les banques américaines en premier. Quand les premières faillites personnelles se sont produites aux USA, ça a commencé à se voir. Et les organismes de cotation ont un peu attendu avant de tirer la sonnette d'alarme pour laisser aux banques américaines le temps de se débarrasser de leurs produits de placement toxiques vers d'autres banques non américaines ou hors des USA. Ces organismes de cotation se sont fait tirer les oreilles a posteriori. Mais, c'était un peu tard.
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Tiens, à propos d'oiseau, le cygne de ta photo s'est envolé ? Bonne idée... mais pas facile à faire quand on voit que rien qu'en France tout le monde n'est pas d'accord pour donner aux pauvres. Cela dit, les Restos du Coeur se sont retroussé les manches. Ils récupèrent déjà des surplus pour les donner aux pauvres.
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Oui mais faire des travaux au black c'est encore un moyen de dépenser son argent gagné au black. C'est pas un moyen de le placer pour en tirer 20% de rendement. Location , tu veux dire acheter un appartement avec l'argent black et ensuite le louer au black ?
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Je veux être aussi célèbre que la lessive Persil Citation de célébrité Victoria Beckham Artiste, Chanteuse, Conjointe de célébrité, Musicienne (1974 - )
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Non, il y avait un problème général du "système" qui s'appuyait trop sur leur confiance dans les organismes de cotation. Ces organismes cotent la valeur de la totalité des placements financiers, entreprise par entreprise. S'ils sont défaillants tout le système bancaire est mis à mal. C'est une défaillance globale du système qui a conduit à de nombreux changements depuis. Par ailleurs, l'incompétence n'est pas passible de prison. Seul l'abus de bien social l'est. A savoir, quand tu utilises l'argent de la société pour un intérêt autre que celui de l'objet social de la société. Ce que n'ont pas fait les banquiers. Par contre, c'est apparemment ce qu'aurait fait Carlos Ghosn notamment en faisant acheter la maison qu'il habitait au Liban par toute une kyrielle de sociétés écran interposées, remontant au final à une holding AZ Capital détenue par Nissan. Non seulement, il a fait de l'abus de bien social comme pourrait le faire un patron distrait payant la peinture de sa maison avec sa carte bleue professionnelle, mais il a sciemment orchestré la chose pour que ce soit indétectable. Donc la préméditation semble évidente.
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désolé... j'avais mal compris ton propos
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Le "milieu" est un milieu à part qui fait ses propres affaires en circuit fermé. Les riches n'y ont pas accès en général, et ne le souhaitent pas. Ils ont suffisamment à faire avec les possibilités de placement hors "milieu".
