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Persil-Fleur

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Tout ce qui a été posté par Persil-Fleur

  1. Plus une passion de l'analyse et de la compréhension des choses que du partage, non ?
  2. On dit bien la même chose de façon différente. Mais, on ne se comprend pas. Arriver à communiquer avec les autres reste un des problèmes essentiels que révèle ce topic sur notre capacité à philosopher. En premier lieu, entre être " infatué de soi " (ton terme) et "méprisant " (mon terme) la frontière est fine. Chacun découlant de l'autre. Ensuite, ta remarque ne me concerne pas moi, mais d'autres. Car je n'ai jamais prétendu être philosophe. A la différence de certains sur ce topic. Qui décrivaient les "vrais " philosophes (par opposition aux philosophes en herbe) comme ceux qui "lisent des ouvrages de philosophie et qui prennent le temps de penser ". Une personne de ce topic remplissant ces deux critères serait donc un "vrai philosophe". Eh bien, il me semble que c'est là une grande erreur d'analyse. C'est revendiquer à tort le statut de philosophe. Et c'est là que le bât blesse comme tu dis. Pour ma part, je me suis contenté de proposer une définition beaucoup plus exigeante, et beaucoup plus large, de ce qu'est un philosophe. Si l'on en croît la structuration des études datant de la Grèce antique un philosophe doit posséder " la connaissance de la nature, la physique, l'éthique et la logique, science du raisonnement ". Il y avait donc une très forte connotation "scientifique" s'appuyant sur la physique et la logique. Une capacité d'observation de la nature. Et une réflexion sur l'éthique nécessaire aux hommes. Il n'était nulle part question de lire des ouvrages "théoriques" sur la philosophie. Il me semble que cela n'a pas changé. Un philosophe actuel doit être doté d'un bagage de savoir global et rationnel encore plus vaste... qui dépasse très largement le minuscule domaine des livres théoriques de philosophie. Souvent destinés à ceux qui veulent devenir philosophes professionnels. Il s'agit d'ailleurs là d'un déplacement du thème du topic. Qui n'est pas : "Qu'est-ce qu'un philosophe ? " mais : "Quelle capacité faut-il pour pouvoir philosopher ? ", à savoir comme le propose l'auteur du topic pour pouvoir " avoir une pensée qui s'élève au dessus du particulier pour atteindre le général ". Devenir philosophe est extrêmement long et complexe. Les personnes de ce topic qui revendiquent d'être de "vrais" philosophes (selon des critères insuffisants) usurpent probablement ce statut. Par contre, "pouvoir philosopher" est plus à la portée de nous tous. A mon avis, on peut y arriver de différentes façons. Il n'est pas du tout indispensable d'avoir lu un seul livre de philosophie dans sa vie. Il suffit de posséder un cerveau qui fonctionne à peu près correctement, une certaine rationalité, du bon sens, un sens de l'observation, et de s'intéresser à de nombreux sujets qui façonnent le monde autour de nous. On pourrait appeler ça une honnête "culture générale" et non pas une "culture philosophique". Avec un esprit rationnel. Une capacité à "raisonner". On ne sera peut-être pas capables de philosopher sur tous les sujets, car on ne peut pas tout connaître. Mais, on pourra philosopher sur un certain nombre de sujets. C'est d'ailleurs ce que nous essayons tous de faire, avec un certain succès, sur ce topic. La question du topic pourrait être un sujet de philosophie.
  3. A voix nues... sans aucun instrument artificiel... Radioactive ?
  4. Effectivement, chacun interprète en fonction de ce qu'il lit et comprend Il me semble que distinguer les "vrais" philosophes des philosophes " en herbe" est une formule suffisamment méprisante pour se suffire à elle-même. Si on précise sa pensée derrière, le sens devient on ne peut plus clair.
  5. Pas de souci, je te laisse poursuivre tes sophismes. Démontrer l'étendue de tes connaissances théoriques philosophiques, et l'impossibilité pour ceux qui ne lisent pas de philosophie de pouvoir philosopher...
  6. Ta phrase disait autre chose en démarrant par une stigmatisation de la philosophie "pour les nuls ". Contrairement à ce que tu dis, ce n'est pas le manque de temps pour penser que tu évoquais, mais plutôt l'envie ou la capacité de penser. Puisque tu disais important de distinguer les "vrais philosophes des philosophes en herbe " en précisant : "il y a des personnes qui lisent de la philosophie et qui prennent du temps pour penser et les autres pour qui cette matière est non essentielle. " Tu en donnes à présent un sens différent de ce qui est écrit. Pourquoi pas. Ta phrase était donc mal formulée. Tu es desservi en cela par ton manque de maîtrise de la logique. Tu as associé à tort deux conditions non liées et indépendantes : "lire de la philosophie" et "prendre du temps pour penser". Comme je n'ai pas mauvais esprit, je vais accepter ton explication sans la contester. Et attribuer cette erreur d'écriture au manque de logique, et non à l'excès de mépris Pour traduire correctement ta pensée, tu aurais donc dû écrire : "il y a des personnes qui lisent de la philosophie (et qui prennent du temps pour penser) et les autres pour qui cette matière est non essentielle." Car ce n'est pas parce que "les autres" ne lisent pas de philosophie qu'ils ne prennent pas du temps pour penser. C'est mon cas, et celui de nombreux chercheurs et penseurs de tous acabits. Tout en sachant que "penser" est une activité permanente et non épisodique, et qu'elle demande un maximum d'esprit rationnel. On lit et on observe en permanence des choses sur le monde qui nous entoure. Certains s'isolent pendant des mois pour accoucher d'une souris, parce qu'ils ne savent pas exploiter ce qu'ils voient. D'autres ont la capacité de tirer des enseignements immédiats de leur environnement physique et intellectuel. "Le temps ne change rien à l'affaire" comme dirait Brassens. Je ne confonds pas le mathématicien et le philosophe. Mais, les Grecs le disaient déjà. De leur temps, pour être philosophe, il fallait d'abord connaître la physique et maîtriser la logique. Le défaut d'esprit rationnel est nuisible pour un philosophe. Car "ce qui se conçoit clairement s'énonce clairement" Sinon, le fatras d'informations qui nous entoure reste de la bouillie inintelligible et sans aucun sens.
  7. Hello Plouj, J'avais compris ton jeu de mot. Et hésité avant de venir apporter une contribution à ce post piégeux. Par essence, la philosophie n'a pas de barrières. Elle couvre tous les domaines de la réalité, "physique et mentale". C'est une réflexion globale sur les moyens de la connaissance et sur la compréhension générale du monde. Qui inclut également un engagement dans la vie de la société humaine. Les Grecs avaient déjà posé une définition de la philosophie très au delà des barrières que certains veulent y mettre aujourd'hui. Dans la structuration grecque des disciplines de la philosophie il y avait déjà : " la connaissance de la nature, à savoir la physique, l'éthique et la logique, science du raisonnement ". Il y avait donc une très forte connotation "scientifique" s'appuyant sur la physique et la logique. Et une réflexion sur l'éthique nécessaire aux hommes. Un philosophe évoluant avec les connaissances de son temps, son domaine est encore plus grand désormais. Il faudrait certainement y rajouter de nombreux autres pans. Repoussant encore les barrières et les limites de la philosophie.
  8. Hello @Marzhin, J'ai parfaitement lu et apprécié ton humour patriarcal. Ma référence au " Père " ne te visait absolument pas, mais visait l'auteur du topic. D'ailleurs, je reconnais humblement avoir creusé un sillon que @lysiev et toi aviez déjà abordé plus succinctement et de façon différente. Tant il paraît évident que la réponse à la question du topic n'est pas celle attendue par son auteur. Ceux qui lisent autre chose que de la philosophie "pensent" aussi... voire mieux. Pour ce qui est de mon sens de l'humour, tu conviendras que l'humour est une discipline difficile. Et que chacun a le sien en fonction de sa forme d'esprit. Il est donc rare qu'il plaise à tout le monde. Mon humour décalé commence avec le choix de mon pseudo dont le sens littéraire me convient. Il est à lui seul un condensé d'un des débats essentiels de la philosophie sur le " bien et le mal ", et même sur la dualité du Yin et du Yang. A la fois, féminin et masculin... le persil, la fleur. A la fois doux et romantique... et dur dans l'ironie sincère du "persifleur" qui met le doigt là où ça fait mal. Comme en tout être, il y a donc le meilleur et le pire dans mon pseudo. Désolé, mon persil était fade à ton palais cette fois-ci. La prochaine fois j'essaierai d'apporter un meilleur assaisonnement à ta soupe.
  9. Que veux-tu, je n'ai pas choisi mon pseudo par hasard... son sens littéraire me convient parfaitement En l'occurrence je me contente de te lire, et de voir le mal où il est. "il y a des personnes qui lisent de la philosophie et prennent le temps de penser et les autres pour qui... ". Cette affirmation me semble le summum du mépris pour " les autres ". Pour ton information, heureusement que ceux qui ne lisent pas de livres de philosophie ont tout de même le droit de prendre le temps de penser. Parfois davantage et avec plus de succès que ceux qui en lisent.
  10. Attention, il manque la fin de ma phrase. " L'esprit mathématique est bien plus important pour savoir raisonner correctement que la lecture d'un livre abscons sans rationalité pour le comprendre. ". La lecture est importante pour comprendre le monde. Mais, pas nécessairement des livres de philosophie. Et même souvent autre chose que des livres de philosophie. Qui cachent parfois derrière un jargon sophistiqué la faiblesse de la pensée de l'auteur. Et son aspect théorique sans prise sur le monde. Les livres de science, de sociologie, de psychologie,... sont souvent plus instructifs pour comprendre les gens, le monde ou l'Univers dans lequel nous vivons. On oppose parfois à juste titre la démarche philosophique et la démarche scientifique en reprochant à certains philosophes leur manque total de rigueur et d'ancrage sur le monde. Tous les goûts sont dans la nature. Pourquoi pas philosopher juste pour le plaisir de manipuler des mots et des concepts littéraires sans aucun ancrage avec le réel. C'est une démarche littéraire théorique qui ne m'attire pas personnellement. Mais, je comprends que certaines sensibilités s'y plaisent. C'est respectable. A mon sens, les bons philosophes ont souvent eu une culture scientifique solide. Un savoir global qui leur permet effectivement de construire une méthode rationnelle et de porter un éclairage sur le monde qui va être utile à mieux le comprendre. C'est encore pire pour les lecteurs que pour les auteurs. Lire des ouvrages philosophiques théoriques et se prétendre philosophe parce qu'on maîtrise un ou deux concepts théoriques n'a aucun sens. Est-ce qu'on est capable d'appliquer ces concepts ? Est-ce qu'on est capable de comprendre les tenants et aboutissants de la société dans laquelle on vit ? Est-ce qu'on est capable de comprendre les grands enjeux du monde ? A quoi sert de lire des ouvrages de philosophie si on ne comprend rien aux lois de l'Univers, au monde dans lequel nous vivons, et aux aspirations profondes des gens ? Comment peut-on penser le monde si on ne le connaît pas un minimum ?
  11. Cher Plouj, ton appel à philosopher me tente. La qualité de Père (notamment de la philosophie) que tu m'attribues me flatte. Mais, tu me convies ici dans une fosse emplie de piques liberticides... qui m’empaleront pour exercice excessif de la liberté de penser à peine le doigt levé du clavier. Ici, la qualité d'un philosophe semble se résumer au nombre d'ouvrages philosophiques qu'il a lus. Tu te doutes fort que je suis très loin de cet avis. L'esprit mathématique est bien plus important pour savoir raisonner correctement que la lecture d'un livre abscons sans rationalité pour le comprendre. Et le bon sens et l'ouverture d'esprit, vertus indispensables au philosophe, sont des qualités innées qui ne s'apprennent pas dans les livres. Être un philosophe, ce n'est pas lire de la philosophie... c'est comprendre les autres et décrypter le cheminement du Monde. Voyons Plouj, je ne peux pas être le Père de la philosophie. Il y en a déjà un ici. Étant notre Père à tous, il nous est très supérieur. Il a d'ailleurs imaginé ce sujet pour nous sortir de la fange et nous livrer une bribe de son savoir. C'est ainsi qu'il pose cette question "prétexte" juste pour la forme. En effet, il croit détenir la réponse (évidente selon lui) à cette question... et profiter de ses certitudes inébranlables en forme de sophisme pour nous éduquer. " Il y a ceux qui prennent le temps de penser ". C'est le cas de Père, qui a lu tous les ouvrages de philosophie depuis que la philosophie existe. Et il y a tous les autres. Les ignares qui ne prennent pas le temps de penser. A quoi bon débattre ? Écoutons simplement la parole de Père...
  12. Persil-Fleur

    Chansons françaises

    Comme une racine Dans la terre plongée Jardin des délices
  13. Persil-Fleur

    café philo

    L'alcool n'est pas incompatible avec la philo. Il délie les esprits...
  14. Bah, sur Kovania "bad" et "good" n'ont plus de sens. Ils sont autant entremêlés que le yin et le yang. Tu peux nous donner un exemple ? La tierce et la sixte c'était du latin pour moi. Finalement, jouer d'un instrument comme on le ressent, sans aucune limite d'aucune sorte, me semble mener bien plus haut dans l'approche divine de la jouissance.
  15. Persil-Fleur

    café philo

    J'ai passé ma vie entière à rêver d'harmonie partagée à grande échelle. S'il y a beaucoup de formes d'esprit capables de discuter, il y en a assez peu capables de s'accorder. S'accorder suppose une forme de complicité ou d'alchimie vers l'autre qui requière une part d'abandon des idées qui nous constituent et auxquelles on tient. Cela nécessite un peu d'amour inconditionnel pour l'autre.
  16. Tu as bien fait d'insister... mes neurones étaient partis en fumée. Si Lucy mène la transe chamanique utile pour approcher les anneaux de Kovania, voici quelqu'un qui peut nous y aider
  17. Les paroles sont top. Musicalement, je verrais quelque chose de plus doux et apaisant... ou de plus fou comme Pink Floyd. Dans le genre cool, Passenger n'est pas mal.
  18. Oui, c'est approprié... J'ai posté un autre chemin vers le bonheur en "masqué"
  19. J'aurais bien une idée... Les Kfés K pourraient ressembler au "Dernier Bar avant la fin du Monde" à Paris. Où l'on vient partager un ou deux plaisirs des sens (cocktail, nourriture terrestre) autour d'un jeu. Bien entendu, très cher Kov-Guillom, les Kfés K iraient bien plus loin dans le partage des sens. Une cérémonie initiatique obligatoire à l'entrée, "L'oeil de K", où l'on avalerait un alcool en feu, permettrait à chacun d'être dans le sain relâchement des sens nécessaire pour accéder aux étages des jeux. On troquerait alors sa tenue civile pour une tunique légère et semi-transparente. Portée à même la peau nue. Pour alléger l'esprit et le corps des contraintes terrestres. Et effacer toute différence de caste sociale entre les êtres, chacun portant une tunique identique. Ensuite, on descendrait un long escalier menant au Centre de Jeu Suprême. Encore appelé Centre de Jouissance Suprême. En bas, commencerait les jeux collectifs et individuels. Différentes alcôves privatives ou publiques offriraient des espaces de jeux de plus en plus poussés. Les âmes timides choisiraient le scénario de l'espace 1, où les mots et les idées mènent la danse. Les âmes aventureuses enchaîneraient progressivement les jeux des espaces 2,3,4 voire 5. Où les corps et les 5 sens sont mis de plus en plus à contribution. Les plus téméraires se rendraient directement en espace 7 où les attendrait à quai, vrombissant, le vaisseau dionysiaque du 7ème ciel... antichambre du tunnel du 8ème ciel réservé aux coeurs bien accrochés.
  20. C'est sympa. On peut aussi penser à Kaamelott... et à la quête du Graal. Le Graal de la Jouissance Suprême que propose Kovania existe forcément... on en a tous l'intuition. Encore faut-il savoir où le trouver
  21. Je te suis parfaitement grand Kov Guillom. Il ne s'agissait nullement de mesurer les capacités de jouissance individuelles et de les comparer entre elles. Par contre, en matière de jouissance comme en toute autre, si l'on veut en parler en connaissance de cause il est nécessaire d'effectuer des travaux de recherche préalables. Pour cela, l'échelle de Richter-Guillom a permis de constater, de façon statistique, qu'il existe bien une différence de jouissance entre hommes et femmes, ainsi qu'entre tous individus confondus. L'instrument n'a servi qu'à explorer le vaste champ de la jouissance pour vérifier s'il existait ou non des différences sensibles. Le constat étant fait, on peut effectivement remiser au placard l'échelle ayant alimenté les travaux de recherche. Et bâtir un modèle de jeu sur Kovania prenant en compte cette donnée fondamentale des différentes capacités plus ou moins développées à escalader l'arbre de jouissance. Pierre batifole effectivement à droite à gauche... mais, c'est pour la bonne cause. Il a été investi d'une mission importante par le guide suprême. En vue de tester sur le terrain ces fameuses différences de jouissance. Ses constats en tant que chercheur feront naturellement l'objet d'un rapport détaillé.
  22. Oui, j'ai bien senti un subtil appel de ta part dans ton jeu de mots. Je n'ai pas résisté à venir y mêler une contrepèterie espiègle. Ahhh, Annalevine a le fantasme secret de te fouetter gentiment le fessier. Je veux bien y assister pour vérifier que les règles du lard sont bien respectées Car, ce n'est pas nécessairement une souffrance. Il existe des lanières en cuir plates spéciales, très appréciées sur Kovania, qui produisent de grands claquements sonores, mais aucune souffrance. Cela dit, j'ai abandonné la lecture de Grey parce que c'était simpliste et que ça manquait d'originalité. Il y a plein de jeux et scénarios beaucoup plus amusants auxquels on peut se livrer avec un foulard et des yeux bandés pour peu qu'on soit un peu inventif.
  23. Voyons Grand Kov-Guillom, si l'ipséité c'est souligner les différences, l'échelle de Richter-Guillom permet justement de constater que chaque personne a un niveau de jouissance unique et différent. Parfaitement mesurable selon une échelle que nos deux experts, Richter et Guillom, sont allés mesurer directement sur le terrain (niveau de ruissellement des fontaines, intensité des râles et des brames, ...). Pourquoi ranger une aussi précieuse échelle au placard ?
  24. Ah non... ce n'est pas indispensable. Le principe d'ipséité fait que le salaire de chacun est unique, et lié à son unicité propre. Quelle unité de mesure d'unicité peut-on choisir ? J'envisageais de proposer sur Kovania une mesure de rééquilibrage des jouissances par le salaire. L'appareil génital bas de l'homme est déjà très inférieur à celui de la femme sur l'échelle Richter-Guillom de la Jouissance. Quand l'homme atteint péniblement le niveau 4, il a été relevé que la femme parvenait à côtoyer le niveau 12. Mais, c'est encore pire vers le haut du corps. Les seins de la femme sont infiniment plus accessibles à la jouissance que ceux de l'homme. L'homme atteint 1,5, quand la femme peut monter à 6. Ainsi, je propose une mesure de rééquilibrage assez équitable. Le salaire sur Kovania pourrait être inversement proportionnel à la taille des seins de l'individu. (bien sûr, certains hommes risquent d'être très très défavorisés... il n'est pas certain que les sumotori aient avantage à migrer vers Kovania ^^)
  25. Merci Kov-Guillom pour ce remarquable texte de loi proposé par la Haute Kour. En tant que Kovanien, mon accord préexiste avant que le texte ait même été créé, voire envisagé. Par contre, pour en comprendre le sens, il me faut savoir ce qu'est l'ipséité. En humble "pierre" posée sur la route de Kovania, je n'ai pas encore bénéficié de ta lumière sur ce concept. Tout Kovanien est en communion permanente d'esprit avec toi, autre Kovanien, mais aussi notre guide spirituel. Je ne peux donc que ressentir en moi la vérité que tu exprimes : l'ipséité doit remplacer l'égalité c'est clair. Pour comprendre pourquoi, il me manque une brique. Internet a du bon. Voici probablement ce qui me manquait pour comprendre : ipséité \ip.se.i.te\ féminin (Philosophie) Identité propre ; ce qui fait qu’une personne est unique et absolument distincte d’une autre.
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