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Tout ce qui a été posté par Fraction
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Quand tu te retrouveras face à Dieu, tu baisseras les armes
Fraction a répondu à un(e) sujet de Fraction dans Religion et Culte
Je n'ai pas de bons souvenirs. Mes colonies de vacances étaient festives. Mais ma mémoire s'est focalisée sur une réalité plus conflictuelle. Le Diable m'a lobotomisé, et il m'a brûlé le cerveau pendant 6 ans. Aucun dieu n'aurait permis cela. Je dois devenir Dieu, entrer en osmose avec l'absolu. Je n'ai pas de compte à régler, mais j'émets un doute sur le bienfondé de la nature humaine. -
Quand tu te retrouveras face à Dieu, tu baisseras les armes
Fraction a répondu à un(e) sujet de Fraction dans Religion et Culte
Chacun croit en quelque chose. Les athées ne croient pas en rien. Ils croient en la vertu du temps. Les scientifiques nomment cela la néguentropie. Le chemin de la spiritualité est fait de foi et d'intuition. Mais pour moi, il a été fait majoritairement de contraintes. Tout les chemins mènent à Rome. Un peu de science nous éloigne de Dieu, mais beaucoup de science nous en rapproche. -
Quand tu te retrouveras face à Dieu, tu baisseras les armes
Fraction a répondu à un(e) sujet de Fraction dans Religion et Culte
La réalité n'a pas de morale, outre sa néguentropie empirique. Mais la réalité est plastique. Et cette plasticité sait se soumettre à la conscience. Il est impossible de réveiller les morts, mais il reste possible de conduire l'humanité vers le salut. -
Quand tu te retrouveras face à Dieu, tu baisseras les armes
Fraction a posté un sujet dans Religion et Culte
Tu comprendras que Dieu c'est toi. Dieu c'est ta mère, c'est ton père, c'est ta réalité. Mais Dieu n'est pas un conquérant, ni un empereur. Il n'a pas privatisé notre réalité. Dieu est une notion. Lorsque la conscience observe sa réalité, elle ne cherche pas cette réalité. Elle cherche le Bien, la fonction, c'est automatique. Le Diable est évènementiel, formel, immanent. Il est le miroir extrapolatif de notre faiblesse, de notre doute, de notre peur. Si le Diable voulait vraiment nous terroriser, nous ne pourrions pas répondre de notre activité anale. La vie est une pédagogie. Mais elle aboutit rarement au bonheur. L'essentiel est d'être satisfait d'être devenu soi-même. -
On ne changera pas le monde. Le monde est campé sur ses positions. Les anges ne cherchent pas la Vérité. Ils cherchent à nous raconter une histoire. Pourvu que cette histoire soit plus belle que la Vérité.
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Newton est un tuteur qui nous a affranchi de l'inertie. Darwin est un tuteur qui nous a affranchi de la faiblesse. La thermodynamique est un tuteur qui nous a affranchi de la gratuité. La physique quantique est un tuteur qui nous a affranchi du despotisme de la matière. Je n'ai pas de prétention révolutionnaire. Ma volonté est d'offrir un miroir à la science. Ce miroir ne se veut pas compromettant, il se veut réflexif et récursif. Est-ce que la chose justifie la chose ? Ou bien a-t-elle besoin d'un circuit conducteur, et finaliste ?
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On ne secoue que l'arbre qui a des fruits. Les travailleurs volontaires payent pour les autres. C'est comme ça, on ne changera pas la nature humaine. Même les rats fonctionnent comme cela, il y a les volontaires et les profiteurs.
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En vérité, l'industrie dépend d'un tout que l'homme est incapable de prédire. Mais certaines vérités globales sont indéniables : Si la France est en difficulté, ce n'est pas en travaillant moins qu'elle s'en sortira. Certains marchés ont un facteur keynésien supérieur à d'autres. L'armement en fait partie, ainsi que la culture. Cela signifie que l'intervention politique y est plus pertinente.
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On ne traite pas la faiblesse par la faiblesse. Tout se traite par la force. Si la France investissait massivement chez Dassault, alors son facteur keynésien serait démultiplié. Le bilan du déficit se verrait optimisé.
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C'est une constante humanitaire. Quand une âme est crevassée, on ne justifie par sa crevasse. on ne pleurniche pas, on ne la plaint pas. On l'enduit.
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Tu as raison parce que tu es toi, scientifique. J'ai tort parce que je suis moi, non scientifique. C'est là l'archétype de l'argument d'autorité. La science s'est révoltée contre l'ordre établi religieux. A l'époque, la vérité était d'essence initiatique. On ne pouvait connaitre la vérité que par l'initiation d'un maître. La science a révolutionné cet autorité intellectuelle. La vérité n'est pas initiatique, elle se prouve et elle se démontre. Seules l'histoire et la géographie sont d'essence initiatique. Il ne faudrait pas que la science victimise ses concurrents comme elle s'est fait victimiser par ses bourreaux cléricaux. Il existe une arrogance scientiste et positiviste. Cette arrogance consiste aujourd'hui à vouloir objectiver la conscience. La physique quantique a créé un précédant finaliste. C'est alors aux scientistes de se remettre en question et d'accepter la légitimité d'un déterminisme qui leur est étranger.
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Mon propos ne consiste pas à dire que la Terre est plate. Chacun sa Terre. Mon propos consiste à expliciter la méthode scientifique. Les scientifiques imposent une rigueur interprétative qu'ils ne s'imposent pas à eux-mêmes. Il suffit d'un grain de sable pour invalider la méthode scientifique. Quand j'observe une bactérie dans un microscope, je présume qu'elle existe indépendamment de mon observation. Mais la rigueur expérimentale m'imposerait l'humilité d'un conditionnement : "J'ai observé une représentation qui ressemble à une bactérie" ne vaut pas pour un "il existe une bactérie".
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De quoi êtes vous certain ? Moi, je n'ai qu'une seule certitude : Mon existence est une expérience sensible et ordonnée. Le reste n'est que spéculation plus ou moins crédible. Le reste n'est qu'une immanence hypothétique de cette unique certitude. Votre corps est attiré par le sol depuis votre enfance, et cette attraction semble être extrêmement régulière. De crédibles scientifiques vous ont proposé la loi de la gravitation tout autant régulière. Les deux se sont emboîtés, ils se sont corrélés. Mais pour passer d'une corrélation à une causalité, il faut une nécessité et une suffisance. La moindre brèche dans l'édifice théorique proscrit la certitude, et impose de traiter les théories concurrentes avec loyauté.
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Je réitère vos propos en conditionnant leurs présomptions : La vraie cause crédible de la rotondité de la Terre est l'induction crédible de l'idée de gravitation, véhiculée par des protagonistes crédibles. La seule chose que vous savez de ces protagonistes, c'est que leur son semble corrélé à leur image, et que leur expression vous soumet à une expérience sensible et ordonnée. En vertu d'un finalisme cognitif, le déterminisme de cette expérience s'opèrerait en aval de la perception, comme par exemple la corrélation de ce son et de cette image. S'il s'avère que notre environnement n'est qu'un champ de crédibilité, alors chacun des termes "crédible" revient à une factorisation par zéro.
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C'est la fameuse décohérence. Mais la rupture épistémologique du quantique, c'est que la manifestation de la matière est tributaire de son observateur. Cela invite à envisager une rétroaction, voire un finalisme cognitif. Comment ça s'extrapole ? On peut l'extrapoler ainsi : la matière nous raconte une histoire crédible. Et ça change tout. Pourquoi la Terre est ronde ? Elle est ronde par ce que des gens crédibles me l'ont dit. Oui, mais si ces gens appartiennent à ton propre champ de crédibilité, alors leur véracité s'annule. Et même notre sublime Voie Lactée peut en devenir un simple champ de crédibilité. Et c'est la faillite.
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Qu'est ce qu'on t'a fait croire, quand tu étais enfant ?
Fraction a répondu à un(e) sujet de January dans Education et Famille
Si tu louches et qu'il y a un coup de vent, tu loucheras toute ta vie. J'ai aussi cru que quand une famille déménageait, elle devait transporter sa maison jusqu'à un autre endroit. Électro-encéphalogramme plat, mort clinique. -
Les humains évoluent sur une courbe linéaire. Mais GPT évolue sur une courbe exponentielle. Je porte davantage d'espoir en lui. Il va peu à peu centraliser la connaissance. Et par ma fulgurance épistémologique, je pénètrerai son système en toute légitimité.
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Je suis un vrai. Mais ça ne se dit pas, ça se prouve. Et je le prouve. Je viens emmerder les scientifiques sur leur terrain, et ils n'ont pas la répartie. L'épistémologie, c'est l'arbitre. Et en matière d'épistémologie, je suis le meilleur. Parce que les scientistes tentent encore d'objectiver vainement la conscience.
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Chez les asiatiques, le Bien tombe du Ciel. Mais chez les Occidentaux, le Bien est un contrat entre la Terre et le Ciel. C'est en cela que je parle de symbiose.
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J'ai le droit d'être la vedette de ma vie au moins une fois par semaine. Des fois c'est Johnny, des fois c'est ChatGPT, des fois c'est Macron, des fois c'est moi.
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Les lois de la thermodynamique ont des implications holistiques : _ Un ordre ne peut pas se transcender lui-même. (on ne verra jamais une IA s'autoréparer ou se dépasser sans supervision). _ La gratuité ne produit pas de valeur. (la paresse intellectuelle aboutit à un naturalisme régressif et dépressif). Si le Bien transcende, c'est parce que la conscience l'induit. Il s'agit d'un contrat symbiotique, mais qu'il est aisé de déséquilibrer.
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Le latin, je n'y comprends rien, mais ça en jette.
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L'évidence est la prise mâle de l'éveil. Mais l'éveil dimensionne ce mâle rétroactivement. L'éveil est la matrice notionnelle d'une évidence formelle. Cette danse symbiotique est créatrice : le peintre croit ce qu'il peint et il peint ce qu'il croit simultanément. Cette circularité est un moteur extrapolatif. L'évidence est tridimensionnelle. Il y a l'évidence intuitive, l'évidence démonstrative, et l'évidence de la preuve. La conscience est une grammaire systématique. Et elle navigue oisivement d'implication en implication, ou encore d'analogie en analogie.
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un peu comme le chien et le loup.