brooder

Sans arrêt remettre les couverts et la table aux ami.e.s de passage et plus encore ... alors seulement l'immonde bête viendra festoyer parmi nous... Franchement leur histoire de cagnotte sur internet c'est de la daube, je paris que ceux qui y donnent jetent des cailloux aux mendiants de leur rue

Si ça peut éclairer ta lanterne ma devise pourrait être "A l'échange je préfère le partage"

Si t'as la rage au corps comme tu l'as en tête, tu dois être LouiseAragon un sacré coup

Entre l'europe, la chine, la russie, l'iran ... quel est le petit dernier ? Les USA, bref ... Peut être que stratégiquement, les USA doivent se faire une place sur la planète lol Reste que tel Rome ils représentent la puissance impériale donc je ne crois pas qu'il y aurait un quelconque intérêt pour nous à chercher l'affrontement.

Le rêve est un peu le même aujourd'hui pour les migrants qui rêve de la France.

...mais pas de sauveur.

C'était peut être le "rêve" de travailler honnétement, de croire en l'avenir qui que l'on soit ... et que l'on s'occupe de nous quand l'on est vieux. Mais bon même en france c'est un déjà un "vieux" rêve.

Oui mais je pensais en terme d'"espérance". Par exemple, la situation du réchauffement climatique qui se précise, laisse espérer de nouveaux territoires de culture. Aussi, la restauration de la puissance russe permet un rééquilibrage des pouvoirs mondiaux. Enfin que l'on ne le veuille ou pas, la russie reste le pilier du "rêve" prolétaire.

En terme de dictature, nous n'avons aucune morale à exporter sinon celle de l'hypocrisie.

Je ne pense pas trop me tromper en pensant que le futur se fait actuellement en russie.

A vous lire je commence à comprendre le Général; "Je vous ai compris..."

Là ou je suis d'accord avec toi PASCOU, c'est qu'il faudrait penser à investir dans une petite datcha au fin fond de la sibérie

Ce qu'il y a à comprendre à la politique américaine actuellement doit se voir à long terme; Décroissance obligatoire, raréfaction des ressources, augmentation exponentienelle de la population mondiale... Quoi faire sinon de tirer toutes les sonnettes et ficelles avant de se retrouver devant un mur ?

Je ne suis pas d'accord avec toi PASCOU. Ou il peut encore exister la négociation faute d'espoir par exemple, la faim peut encore être un sujet d'accord.

Ah, la loi des grands chiffres

Le $$$

C'est une nécessité maintenant quoi qu'il en soit ...

Ce que j'ai compris de l'impérialisme depuis Rome, c'est la volonté des "stratèges" d'unifier l'humanité quelqu'en soit le prix, c'est bien tout notre malheur. La France n'a pas fait mieux, non ?

Avec l'égalité des sexes, les femmes ont gagné le droit à leur propre sexualité. Il faut bien dire que si le fantasme de l'homme le porte vers le "sordide", la femme elle, rêve de "péter dans la soie"

"aucun express ne m'emmènera vers la félicité..." A. Bashung

N'insultes pas les patrons de restaurant qui permettent aux chefs d'entreprises de faire des gueuletons gargantuesques tous les jours aux frais de la masse salariale.

Le principe premier de l'économie est de créer de la rareté pour ensuite créer par là de la richesse. Que la richesse soit monopolisée par une minorité est l'objectif. Maintenant, comment partager pour la majorité le reliquat de la richesse produite reste un sujet politique. Mais quand le pouvoir politique vient du pouvoir économique, c'est le serpent qui se mord la queue ...

Se loger, payer ses charges, manger, s'habiller et pour ceux qui travaillent; transport, vacances et pour ceux qui veulent une famille; education, soins, maison,... enfin bref comme chacun se l'imagine.

C'est un peu le principe des bons de restriction en période de guerre. Cela se pratique actuellement au Vénézuela sans que cela permette aux gens d'avoir le minimun. Cela génère trafic et marché noir en tout genre. Il y aura toujours une structure d'état chargée d'alimenter le système soumis à un personnel pour lequel cela sera une source de pouvoir.

C'était sensé être le travail des assistants sociaux de suivre les plus démunis mais même eux ont fait les frais des restrictions budgétaires.