Pirlouit2017

La petite BD "oublie" la transposition des directives communautaires et de s'interroger sur comment sont élaborées ces dernières.

Tu veux parler d'"Un Roi, une Foi, une Loi", principe qui sortit le pays de la guerre en l'unifiant ?

L'imam de Carcassonne ! Quand on pense que les troupes royales y extirpèrent le catharisme et que la ville constitua l'un des verrous protégeant le Royaume de France des Espagnols jusqu'à la paix des Pyrénées... cela laisse songeur quant au fait que le pays se ressemble de moins en moins.

Ce qui est à chier est ta veulerie qui prétend raisonner en droit, lorsque tu te fais juste le courtisan du régime actuel. Déifier le droit positif, en étant incapable de recours à l'analogie historique, c'est être' le contraire d'un juriste. Juste un guignol qui applaudit aux dégueulasseries d'un régime mesquin qui, soit dit en passant, finance activement ce qu'il prétend combattre. d'être le nez dans le guidon du droit positif, en faisant du millénarisme "les temps sont autres". Incapable de toute conscience historique, donc politique. Bref, "avis" d'une stupidité crasse d'un larbin du régime actuel. Sans intérêt !

Propos vide de sens ou d'une mauvaise foi caractérisée. Si tu te contentais de dire que le régime s'appelle Ve République, tu n'opérerais aucune différenciation d'effectivité juridique par rapport au régme constitutionnel des Pleins Pouvoirs de 1940. Tu demandes quoi ? L'origine de la loi Gayssot ? lol Tu es trop endoctriné pour être capable un seul instant de considérer le schéma d'ensemble. Mais c'est touchant que tu croies au "gouvernement de la France".

Tu opères une confusion historique assez regrettable, celle de croire dans les fadaises de la DDHC, dont l'une des traduction politiques furent la Vendée et la répression de toute opposition royaliste. Par le sang et la terreur. J'ai lu sur ce sujet un @Quasi-Modo nous faisant une resucée de Saint Just "Pas de liberté pour les ennemis de la liberté". C'est le problème des idéologues : devoir assumer le hiatus entre les idées universalistes qu'ils proclament et l'efficience politique. Cela les mène toujours au fanatisme. Bien plus sage est le régime politique qui n'officialise aucune liberté d'expression spécifique mais se fait débonnaire dans sa censure, ce qui était le cas de la France bourbonienne, dans laquelle rares étaient les libellistes qui finissaient en geôle tant qu'ils ne complotaient pas trop avec les ennemis extérieurs. Mais le Roi ne s'offrait pas le ridicule de proclamer des "droits naturels" supérieurs et extérieurs à la Couronne, dont il se serait fait l'arbitraire arbitre.

Ton propos ne démontre qu'une allégeance au régime actuel. Circonstance qui est renforcée par ton questionnement sur le téléguidage depuis l'extérieur. Je ne me fatiguerai pas à parler d'OTAN, ce serait une perte de temps dans ta chimère d'un pays encore souverain, maître de sa politique extérieure. Ton propos reste de toute façon inopérant quant à la possibilité de définition apolitique de terroriste. Pour toi, n'est pas terroriste quelqu'un qui commet des attentats contre un régime légal que tu n'aimes pas, et le devient quand il s'agit de faire de même à l'encontre d'un régime que tu juges toi légitime. La branlette c'est prétendre faire du droit quand on fait de la politique.

Parce que tu as des conceptions stériles de pertinence de l'opposition. Si tu avais médité le message politique du regretté Maréchal Mobutu, tu saurais que le pluralisme est une notion contestable et qu'il convient d'œuvrer unitairement à la réalisation d'un but commun. La liberté d'expression dans la voie juste ! Tel doit être le credo !

La France du temps de l'assassinat de Philippe Henriot n'était pas en temps de guerre, puisque signataire d'un armistice. L'apologie, c'est la réjouissance publique en l'occurrence. Expliques-tu que la réjouissance doit être privée ?

Je n'ai qu'eux !

Toute Société est fondée sur une Morale. Sinon, assassiner celui qui agace deviendrait licite. Et tout peuple ne considère pas son prochain comme un esclave en devenir.

L'Homme s'en distingue néanmoins par la conscience (notamment de sa finitude) et la morale qui lui permet d'épauler la première.

Ah tiens, je n'y avais pas songé ! Les Végans, des anthropophages en devenir ?

C'est parce que tu es encore novice en politique. La liberté d'expression peut être promue, en étant "encadrée". Oui, pour toi nous connaissons la fin de l'Histoire et le régime actuel est un accomplissement. C'est cela ? Tu es donc incapable de trouver une définition du terrorisme, qui consiste en autre chose qu'en une désignation des ennemis officiels d'un régime donné, quitte à leur ôter ce qualificatif s'ils renversent ce régime. Ce n'est donc pas du droit mais de la politique. Sinon, tu serais capable d'une permanence de la définition, à travers le temps. Sais-tu qu'un homicide désigne toujours la même réalité depuis plusieurs siècles ?

Ce n'est pas une pente savonneuse mais une démonstration que la qualification de terroriste dépend de la seule appréciation qu'en fait le régime en place. C'est donc un concept des plus évanescents, comme tout "crime politique". Si tu te réjouis du meurtre de Philippe Henriot, c'est donc direct la Santé ?

On appelle ça la personnalité de la loi. Anatole serait-il un nostalgique du système judiciaire mérovingien ?

Les concepts juridiques du droit pénal ne sont pas censés distinguer selon des préférences partisanes.

Tu es au courant que la loi est générale et absolue ? Te réjouis-tu de l'assassinat de Philippe Henriot ?

Les deux derniers concepts sont récents et très évanescents quant à leur définition doctrinale. Ce sont des notions floues et fourre-tout qui permettent d'incriminer une partie de l'échiquier politique.

Exalter l'action des FFI et FTP saboteurs de convois est-il faire l'apologie du terrorisme ?

Le problème de la liberté d'expression, comme pour la démocratie, est qu'il s'agit de concepts à destination de seuls esprits brillants. Et comme la politique est de régir aussi des lycan et des Anatole... On se met à chérir la mise à l'index !

Quand on lit des membres comme lycan ou Anatole, on se met à considérer que la liberté d'expression est un concept très surfait.

Tu fais dans la subtilité sémantique. Les deux restent tout aussi indéfinissables sur un plan de philosophie juridique.