Francis-Charles

Donc l'intelligence d'une fourmi est égale à la nôtre et nous ne sommes pas plus intelligents qu'elle. Bon, d'accord.

J'ai parlé des systèmes bancaires actuels, mais peut-être que les Romains du temps de Néron ou les Grecs du temps d'Aristote avaient un compte bancaire chez BNP Paribas, chez ING ou Boursorama...

4 - Je ne peux garder sur mon compte l'argent qui me reste, une fois mes charges et mes factures payées.

Google me devait 150 euros, et j'ai dû attendre des mois avant que cette entreprise américaine de services technologiques ne verse cette somme sur mon compte. J'aurais pu consulter mon compte en banque tous les jours que cela n'y aurait rien changé.

Bien sûr, les anciennes civilisations ne connaissaient pas nos systèmes bancaires actuels et les peuples arrivaient malgré tout à survivre. Mais actuellement, l'aisance de notre vie est principalement axée sur l'argent.

Question/proposition numéro 3 (ou number three pour les anglophiles :-) : 3 - Je place l'argent au centre de mes préoccupations et j'y pense très souvent. Non, le centre de mes préoccupations n'est pas l'argent, mais j'y pense de temps à autre.

On pourrait très bien être satisfait de ces générosités occasionnelles, car certains n'en sont pas capables. Sinon, la misère continuera de s'épandre dans les rues, parce que - comme l'ont proclamé récemment 15 000 scientifiques - l'être humain stupide est incapable d'arrêter la progression démographique de son espèce.

Non, il ne m'est pas difficile de contribuer à des œuvres que j'estime et que je trouve sérieuses et efficaces. En ce qui concerne les proches, je ne suis pas confronté à cette situation, mais il est certain que si certains de mes proches que j'estime étaient dans le besoin, je m'efforcerais de les aider selon mes moyens.

Certaines associations caritatives ou bienfaitrices sont claires dans leurs comptes et déterminent le pourcentage précis de ce qu'il résulte des donations des membres : le pourcentage réservé aux frais administratifs, aux frais secondaires (publicité, publication de revues etc.) et le pourcentage réel réservé à ceux qui sont censés recevoir ces dons.

1 : Comme GasparddeBesse le fait, une vérification mensuelle d'un compte bancaire courant me paraît aussi raisonnable que rationnelle. 2 : Bravo ! Le partage et l'aide aux proches, ou moins proches, est selon moi la preuve de la non-avarice.

On peut effectivement aimer l'argent ou le détester. Les dépenses compulsives peuvent s'avérer un gros problème, donc si l'on reste modéré et rationnel dans ses dépenses, c'est un bien et une sécurité. Les erreurs de compte provenant des grandes banques sont exceptionnelles. Pour ma part, je n'en ai jamais constatées. Quant à posséder un "petit matelas" - lorsqu'on peut se le permettre - cela évite certainement pas mal de maux de tête, de tracasseries et de nuits blanches.

Bon, passons à la deuxième question/proposition : 2 - Même si j'ai suffisamment d'argent, il m'est difficile d'en donner (à des œuvres, à des personnes dans le besoin etc.).

Suffit de pas se tromper entre les tomates et le cannabis quand on va vendre sa récolte au marché hebdomadaire !

Une fois par mois me semble raisonnable si on n'a pas de problèmes financiers particuliers, histoire de voir si tout est bien en ordre.

Je ne parviens pas à obtenir une réponse de ta part, à savoir : combien de doigts comptent TA main avant d'arriver au pouce et combien en compte-t-elle lorsque tu ajoutes le pouce ?

Pas mal comme solution, mais cela ne risquerait-il pas d'amener des ennuis éventuels avec la Justice ?

Non, d'habitude, je ne vérifie pas mon ou mes comptes bancaires plusieurs fois par semaine. Ce n'est que lorsque j'attends un paiement qui tarde à venir que je commence à vérifier mon compte courant régulièrement avant de faire des réclamations et de réitérer celles-ci si nécessaire. On peut supposer que l'héritage de son oncle fut plus nettement rentable que la vente de ses 4 pommes...

"L'extension" n'est pas obligatoirement de mise, il suffirait de mentionner les limites dès le départ si on ne souhaite pas dépasser un certain cap, et je suis sûr que des tas d'hommes ou de femmes pourraient se satisfaire d'une simple compagnie platonique si celle-ci est plaisante.

L'être humain normalement constitué compte 5 doigts à chaque main. Un professeur d'anatomie universitaire pourrait le certifier. Je repose donc ma question : combien TA main compte-t-elle de doigts (selon toi et sans tergiverser) ?

Si franchement ça paie bien, accompagner des femmes quadras à des réunions, ça ne doit pas demander beaucoup d'effort, donc c'est plutôt pas mal comme solution... Et puis, on peut toujours tester une ou deux fois pour voir si c'est mieux ça que trimer dur pour gagner moins...

Des tas de gens "gagnent" très bien leur vie sans travailler, les solutions sont multiples et il serait plutôt ardu de toutes les énumérer. Sinon, le simple vol d'argent est possible, de même que l'attaque d'un fourgon bancaire, mais je déconseille fortement !

Pas précisément, les phalanges étant multiples et le pouce ne comprenant pas de phalange intermédiaire... Donc, ne compliquons pas les choses et restons-en aux doigts d'une main. Pour ma part, si je commence à les énumérer à partir du petit doigt jusqu'à l'index, j'arrive à 4, et si j'ajoute le dernier doigt, c'est-à-dire le pouce, j'arrive à 5. Tu arrives au même résultat que moi ?

On peut se poser maintes questions par rapport à l'argent... Basé sur l’ouvrage de Thierry Gallois intitulé Psychologie de l'argent, première question/proposition : 1 - Je ne peux m'empêcher de vérifier plusieurs fois par semaine l'état de mon compte en banque.

Tu as déjà essayé de compter les doigts de l'une de tes mains ?

L'être humain, avec ses capacités mentales limitées, ne peut qu'émettre des hypothèses. Le Big Bang était-il intentionnel ou non ? involontaire ou volontaire ? On peut souscrire à l'une ou l'autre de ces hypothèses. Mais la "main" invisible qui a envoyé ces graines primordiales devait certainement s'attendre à une certaine forme de récolte, vu l'énorme complexité des éléments et des moyens mis en œuvre pour que cela aboutisse à quelque chose. Sinon, on peut effectivement considérer le Chaos comme un état primordial ou une étape préliminaire à l'émergence de formes et de vies physiques de plus en plus complexes.