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Tout ce qui a été posté par Arn
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moi j'ai été un vrai migrant pendant presque 20 ans de ma vie, et c'était des choix familiaux, d'abord par mes parents et ensuite par moi-même., Mais je n'ai jamais été un réfugié. On voit bien tout ton mépris que tu as pour ces gens quand utilise le terme vacanciers. C'est surtout la vacance de l'individu qui est le pire dans la société Il faut en finir avec ses préjugés qui nous empestent la vie Est-ce que tu tolères les musulmans ?
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#Balancetonporc : après l’affaire Weinstein, la parole se libère sur Twitter
Arn a répondu à un(e) sujet de micro-onde dans Société
si même des femmes peuvent penser aussi bêtement que Catherine Robbe-Grillet cela prouve bien que l'égalité hommes femmes ou femmes hommes (ne pas oublier aussi des transsexuels qui n'y peuvent rien) ce message de Catherine Robbe-Grillet montre bien qu'elle a déjà atteint le niveau des bêtises des hommes tellement inconscients de la réalité. -
Il est vrai que les gens qui étaient en passe de se noyer peut-être auraient tout de même pu attendre la fin de la journée que ces pauvres touristes qui vivent dans la misère touristique (et surtout culturelle) ont rien d'autre que le le maillot sur la peau. Alors que d'autres non plus que la peau sur les os, mais bon c'est pas grave. Le touriste d'abord, sauvons le touriste de la fin des plages, il s'agit là d'une priorité vitale pour la planète.
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message honteux et injurieux. Mais le pire et le mépris que l'on voit bien dans ton message vis-à-vis des réfugiés quand tu les appelles les crevards ou les va-nu-pieds. C'est bien là tout le déni de réalité de la grande majorité des Français, accompagné de tous les préjugés qui vont avec. Comme si Calais était la capitale mondiale des réfugiés ! Petite question : est-ce que tu tolères les juifs ?
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il n'y a pas d'immigration massive aujourd'hui, 100 000 personnes ont fait une demande de visa en France en 2017. Il faut pas sous-estimer le problème bien entendu mais encore faut-il le comprendre. Les migrations massives, si vous avez 50 ans au moins, vous aurez très probablement la malchance de les voir dans 20 ou 30 ans. Car si on ne fait rien et que l'on refuse de voir la réalité en face, on ne réglera jamais le problème dans l'hypothèse où on pourrait peut-être le régler ce qui n'est pas sur. La France est un pays qui fait parti de la planète et qui représente moins de 1 % de la population mondiale, on estime que vers 2050 ou 2040 la population planétaire devrait être de 10 milliards de personnes. Et avec le réchauffement climatique qui déclenche la sécheresse et rend les terres inutilisables pour l'agriculture, plus la montée des eaux, les migrations de aujourd'hui ne sont que l'infime début des migrations qui touchera probablement aussi le continent européen. Quand il y a une inondation par les eaux on ne peut généralement pas l'arrêter, même en mettant des murs. Un pays seul ne pourra jamais se sauver si les autres tombent dans le gouffre. Les premières conséquences que l'on voit, la France n'est pratiquement pas concernée aujourd'hui, alors demain est-ce que vous souhaitez qu'on essaye d'arriver à une sorte d'équilibre ou préférez-vous la guerre planétaire qui pourrait faire non pas des millions mais des milliards de victimes ?
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Alors, puisque 57 ans c'est la nuit des temps, il va falloir supprimer toutes les commémorations de la guerre 14 18 39 45 des camps de la mort des goulags soviétiques. Il est une évidence que la société peut changer juste par un claquement de doigt, hier je n'étais rien, j'ai claqué des doigts, et aujourd'hui je suis maître du monde. Il est quand même bizarre que les pays de l'Est en 28 ans n'ont pas vraiment remonté la pente, alors qu'ils ne partaient pas d'un niveau épouvantable ! Admettons que vous propriétaire d'une maison, et que des voleurs s'installent dans votre maison en profitant de tous vos bien, mais en les modifiant complètement et en mélangeant votre maison avec celle de vos voisins qui subissent les mêmes voleurs que vous, quand les voleurs s'installent, vous devez de dormir dehors bosser comme un fou et manger un petit peu, et si vous ne bossez pas assez, on vous tabasse violemment. Puis un jour, ils finissent par accepter votre liberté mais sans vous rendre vos biens, votre maison détruite etc. Vous n'avez plus rien, une partie de vos proches sont morts de violence, vous êtes considérés par les voleurs comme un être inférieur et méprisable. Même en vous aidant, votre vie sera foutue pour longtemps. J'ai 64 ans et je ne suis pas le seul, et à l'indépendance j'avais six ans. Je respecte les gens de ma famille qui sont morts à la guerre 14 18, et je ne les oublie pas. Mais avec vous il faut avoir la mémoire sélective. ?
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La la la la la tralala
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À chaque fois que j'entends parler de misère en France, cela me fait sourire, la pauvreté existe je ne le nie pas, mais si on prend la règle des 20 % 80 %, la France fait parti des 20 % qui détiennent 80 % des richesses, et toi comme moi, à des degrés divers, nous en faisons parti, nier cette réalité c'est nié la vérité. As-tu déjà vu en France, de tes yeux, une personne morte de faim dans la rue ?
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Pour toutes misère il y a des profiteurs. En quoi cela peut-il profiter à à ceux qui défendent l'accueil humain des migrants ? La tu fait un amalgame entre certains profiteurs et la totalité des gens. La misère en France comparée à la misère dans le monde est pacotille regarde les choses en face. Une personne qui meurt de faim en France, cela n'existe quasiment pas souvent sur certains cas très spécifiques, combien de personnes meurent de famine chaque année en Afrique ? Pourquoi ces guerres au Moyen-Orient ? Pétrole, religion, conflits entre Israël et Palestine ? Le Moyen-Orient n'a jamais été sous contrôle de la France et du Royaume-Uni ? Ne voir que les effets sans en voir les causes n'a aucun intérêt car si on analyse pas les causes et que l'on ne veut pas les régler, alors les mêmes causes produisent les mêmes effets. Il est tellement facile de ne voir que la responsabilité des autres sans jamais voir notre propre responsabilité ! Quelle honte ! Ne pas oublier que la France est un des pays les plus riches de la planète et que cette richesse nous vous la devons en partie par l'exploitation du colonialisme totalitaire.
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Les horreurs faites aux femmes n'est pas une excuse pour les horreurs faites aux migrants ; si mon voisin est un salauds cela ne m'autorise pas à être salauds également. Nous n'allons quand même pas laisser mourir tous ces gens sans jamais oublier la grosse part de responsabilité des pays européens dans ce qui se passe. Un malheur n'arrive jamais seul.
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En bois tout est pareil, si a dit 400 égale 12 multiplier par 545 et quand je bois je crois. Dalla Iasi go trash au gaz ou Gaspard Fritsch travx train Gad Haggadah
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"Les agressions dans la rue, cela va du père de famille qui essaie de vous violer pendant que vous dormez au réseau mafieux qui monnaye un coin de trottoir", soupire Martine. Elle se souvient d’une adolescente ukrainienne, âgée de 15 ans à peine, qui devait chaque soir se soumettre à un homme pour pouvoir faire la manche le lendemain sans être violentée. "On apprend à voir chaque homme comme un agresseur potentiel." La première fois qu’elle-même a été agressée, Martine avait 22 ans. En rupture familiale, elle passait ses premières nuits dehors, réfugiée sous un Abribus : "L’employé d’un hôtel proche est sorti et m’a proposé de passer la nuit dans une chambre inoccupée, j’ai compris trop tard de quoi il s’agissait." Meurtrie, elle refuse d’en dire plus. Ses lèvres tremblent et son regard se pose sur son café. "On ne parle des SDF que quand il fait froid..." "J'ai été violée 70 fois en 17 ans de rue", confie Anne Lorient, ancienne SDF, qui raconte son calvaire dans Mes années barbares (éd. La Martinière), co-écrit avec la journaliste Minou Azoulai. J'ai été violée par d'autres sans-abri mais aussi par des hommes avec un domicile, qui m'ont dit que j'étais moins chère qu'une prostituée. Anne Lorient à franceinfo "Certaines femmes passent des accords pour avoir accès à un hébergement", note Karine Boinot, psychologue clinicienne et auteure d’une thèse sur la souffrance psychique des personnes sans-abri. “Des femmes qui ont effectué un parcours migratoire arrivent souvent en France sans repères et ne maîtrisent pas la langue, fait aussi remarquer Quentin Le Maguer. Elles se retrouvent hébergées par des réseaux, prostituées de force ou dans des situations d’esclavage moderne chez des particuliers." Ces agressions quotidiennes se déroulent dans l’indifférence générale. "Le grand public n’est pas du tout au courant de cette réalité. On ne parle du quotidien des SDF que quand il fait froid dehors", soupire le responsable de centre d'hébergement d'urgence. Selon le dernier recensement de l’Insee, qui date de 2012, 38% des personnes sans-abri sont des femmes. Un chiffre relativement peu connu. De la difficulté de porter plainte pour les victimes Le 6 août dernier, Elvire boit un verre avec deux amies, sur une place du premier arrondissement de Marseille. La jeune femme met plusieurs minutes avant de réaliser qu’une personne SDF est en train de se faire violer, sous ses yeux. "Parce qu'ils semblaient SDF, personne n'y prêtait attention", se souvient-elle, encore choquée d’avoir assisté à cette scène en plein après-midi. "C’est une indifférence au sort des SDF qu’on a accepté dans le paysage", souffle Agnès Lecordier. Une absence d’existence qui empêche les victimes de porter plainte : "Une personne ne peut pas parler de ses souffrances quand elle a perdu confiance dans la société", analyse Samuel Coppens, le porte-parole de l’Armée du salut. "Elles vivent avec la peur de ne pas être crues, certaines ont peur d’avoir une responsabilité dans ce qui leur arrive", se désole-t-il. Pour Karine Boinot, il existe une défiance envers les autorités. "Moi les policiers, je leur crache dessus", s’emporte Marie, une femme SDF, près de la gare de Lyon, à Paris. "Ils n'ont jamais rien fait pour m’aider, je pourrais crever, ils ne s’approcheraient pas !" Anne Lorient a porté plainte une dizaine de fois et fait une expérience amère : C'est très dur de porter plainte, les SDF ne sont pas les bienvenues dans les commissariats. Ce sont les hôpitaux qui m'ont reçue qui ont souvent porté plainte à ma place. Anne Lorient à franceinfo Contactées à ce sujet, la préfecture de police et l’Assistance publique des hôpitaux de Paris ont simplement expliqué à franceinfo ne pas avoir de données sur les personnes non logées. Des menaces jusque dans les centres d'hébergement d'urgence De nombreuses femmes développent des stratégies pour échapper à leurs agresseurs. "Dès qu’un mec s’approche, je m’urine dessus pour le faire fuir", raconte Marie d’un haussement d'épaules. "Parfois, cela ne suffit pas." Elle hausse à nouveau les épaules. Cela fait bien longtemps, dit-elle d’un air détaché, qu’elle ne ressent plus rien. "Une grande partie de leur énergie est dépensée pour se protéger", remarque Agnès Lecordier. "Certaines dorment le jour à proximité des lieux sécurisés, comme les gares. L’important, c'est de sentir qu’il y a du monde." La nuit, elles marchent ou restent dans les bus. "D’autres se regroupent entre elles ou se mettent sous la protection d'hommes." Les travailleurs sociaux interrogés s'accordent sur un cas : celui des femmes qui vivent dans la rue depuis trop longtemps. "Au bout d’un moment, elles renoncent à l'hygiène et à la propreté", alerte Agnès Lecordier. "Elles disent 'tant pis' pour leur corps. S’entourent d’immondices pour se protéger des hommes." A ce stade-là, il devient difficile de se reconstruire : "Elles sont inaccessibles, se protègent à l'extrême." Les centres d'hébergement d’urgence, qui accueillent ces femmes pour une courte durée, ne sont pas sans risque pour elles. Elles refusent d’aller dans des centres d'hébergement mixtes, car elles ne se sentent pas en sécurité. Il y a eu des viols à l’intérieur même de ces 'refuges'. Agnès Lecordier à franceinfo Certains centres sont réservés aux femmes. "Mais il y en a très peu. Seulement quatre ou cinq à Paris", accuse Agnès Lecordier. Pourtant, cela semble à certains travailleurs sociaux indispensable pour se reconstruire. "Retrouver confiance, pour ces femmes, passe par le fait qu’il n’y ait pas de menace. Et l’homme, pour une femme victime d’agression, est forcément une menace", argue Samuel Coppens. Quentin Le Maguer dirige l’un d’entre eux, situé dans un ancien hôpital de banlieue parisienne. Les murs sont joliment peints en pastel, des dessins d’enfants égayent les murs. Chaque semaine, un gynécologue et un psychologue discutent avec les femmes hébergées, principalement des migrantes. "Les héberger ici, c’est réduire les risques de la rue, éviter les populations dangereuses pour elles", explique le directeur. Mais, de son propre aveu, les places sont rares. "Tous les efforts ont été faits sur le bâti" Pourtant, pour Karine Boinot, la reconstruction de ces femmes passe par la fixation dans un lieu de vie et le suivi psychologique. "C’est un long processus, souffle-t-elle. Certaines sont aidées par les rencontres qu’elles peuvent faire, des bénévoles et des professionnels." Mais toutes ne peuvent être prises en charge dans ces structures. "La prise en charge, quand il y en a une, n’est pas la même partout, nuance une source anonyme. Certains centres se contentent de fournir des lits, sans considération aucune pour la dimension psychologique." Les centres d'hébergement sont gérés par des associations, elles-mêmes financées par l’Etat ou les dons. "Au Samu social, vu le budget qui nous est alloué par l’Etat, on ne peut pas financer des groupes de parole ou un suivi psychique. On est obligé de se tourner vers des dons", regrette Quentin Le Maguer. Il déplore que cette reconstruction après les agressions ne soit pas la priorité de l’Etat. "Tous les efforts ont été faits sur le bâti au détriment du cadre humain", abonde Samuel Coppens. Pourtant, difficile de s’en sortir pour ces femmes "abîmées", "en morceaux", sans que leur souffrance soit prise en compte. * Le prénom a été changé )))))))))))))))))))))))))))))))))) Mon avis. Des années que ça dure, et bien avant que les "migrants arrivent" il y a de la misère qui passe mieux politiquement. Le migrant est plus facile à instrumentaliser. C'est très triste ce que tu dis avec juste raison. Mais cela malheureusement ne me surprend pas, car les femmes sont presque toujours les premières victimes de toutes les abominations, on voit les viols à la guerre, comme cela s'est passé un peu partout dans le monde y compris en France, les femmes vivent plus dans la précarité que les hommes, leur salaire sont moins élevé, le harcèlement, etc. quand on pense qu'on a l'impression de vivre dans une société moderne et évoluer, même s'il y a pire bien sûr et malheureusement à la fois, constater toutes ces choses encore aujourd'hui ne peut être qu'attristant, et ceci d'autant plus que beaucoup d'hommes ne veulent pas prendre conscience de la réalité.
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Juste pour rappel, la France est la cinquième puissance économique du monde. Les Français ne vivent pas dans la misère dans laquelle vivent des populations qui fuient leur pays pour survivre. Le revenu moyen annuel d'un Malien est 400 €. Je t'invite à vivre avec cette somme. Et c'est aussi le retour du bâton, pourquoi sommes-nous allés voler la richesse de tous ces pays pendant quelques siècles ? Pourquoi avoir détruit ces cultures en Afrique en particulier ? Pourquoi avoir humilié mépriser tous ces gens, tous ces peuples ? Nous le soi-disant peuple des lumières (quelle rigolade) nous avons voulu amener la lumière en y mettant le feu et en récupérant les brochettes. Et personne n'a honte de notre passé historique récent.
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Je suis un peu écœuré parce que tu viens de mettre.
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et sans doute même plutôt 100 000 personnes. Ce qui n'est rien à côté de ce qui passera quelques années 20 ans peut-être, donc que fait-on ? On les laisse mourir ?
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CD FQ
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Tralala tralala la
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Gazou
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Lol
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A près l'homo sapiens, Droit de bêtise à inventer l'homo inutilus!!
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j'ai cru comprendre que vous êtes croyants catholiques. Avez-vous entendu ce qu'a dit le pape pour Noël, en gros qu'il faut faire preuve d'humanité et d'accueillir les migrants qui viennent en Europe si ceux-ci veulent rester le pape François se répète très souvent pour ce qui concerne les conditions actuelles des migrants qui ne sont pas suffisamment bien accueillis. Il en avait beaucoup parlé en particulier en 2013, mais là aussi c'est un sujet important, auquel il ajoute avec juste raison le conflit entre Israël et la Palestine. Je vous invite à écouter ce qu'il a dit sur ce lien (cela concerne les quatre premières minutes, à peu près) https://www.franceculture.fr/emissions/journal-de-18h/journal-de-18h-lundi-25-decembre-2017 êtes-vous d'accord avec ce que dit le pape ?
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dans les proverbes on trouve de tout son contraire, par exemple : –tel père tel fils –à père avare enfant prodigue alors quand vous parlez de sagesse populaire, on a aussi un autre proverbe : aime ton prochain comme toi-même, ce proverbe étend d'origine catholique. Donc tout ceci est antinomique
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Nettement plus positive ! ? Comment expliquer alors que les anti immigrés déteste toujours autant les populations de nationalité française issues de l'immigration, et tout particulièrement il s'agit de personnes issues les pays arabes ou d'Afrique Noire
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par ailleurs ces chiffres ne sont pas faramineux
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disposez-vous des proportions et des évolutions dans le temps des proportions d'immigrés en fonction de leur situation ?