C'est vrai qu'un souhait de mourir normalement vient avec une souffrance, ce qui laisse la vie sembler insupportable, independamment du fait s'il y a une cure à la situation. Mais ma perspective était une autre:
Il ne faut pas de justification pour mourir et pas du tout une permission. Les médicins et psychologues et tous les sciences peuvent bien dire les chances qu'il y a pour être curé de la souffrance, même s'ils ne savent pas si le traitement fonctionnerait dans le cas spécifique. Il es toujours à la personne à décider s'il veut encore subir les souffrances dont elle souffre.
Il est aussi vrai qu'un soulagement peut être seulement sensée quand il y a un sens du contraire ou uns sens en soi-même. Sans corps, on ne peut pas senser, alors il n'y sera jamais un sens de "soulagement" dans le mort. Mais c'est complètement égal. Seulement l'absence des souffrances peut suffire. Dans la mort tout est égal, vraiment et absolument égal, car il n'y a rien. Absolument rien.
(Sinon on est religieux, on va bien avoir des images d'une éxistence après la mort, mais c'est une attitude toute personnelle et arbitraire; on ne peut pas considérer cela de toute facon, respectivement c'était déjà considéré quand on accepte que cela est toujours une décision complètement individuelle)