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bouddean

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Tout ce qui a été posté par bouddean

  1. Pour développer les explications que j'ai retranscrites dans le topic sur le racisme en 2019, je vais donner une exemple concret: j'ai dans mes relations un couple dont le monsieur est d'origine martiniquaise, il est de type "négroïde" mais il est blanc de peau, mais blanc clair. Sa femme est réunionnaise et elle est de type caucasien, mais elle est noire de peau .Il ont eu deux enfants qui sont blancs de peau et de type caucasien tous les deux,si on prenait ces enfants et qu'on les élevait en leur cachant leurs parents, et en leur en inculquait les bases, ils pourraient tout à fait être racistes alors que leurs deux parent sont "noirs", l'un par son type et l'autre par la couleur de sa peau . Si ces enfants ont eux même des enfants avec des bondes aus yeux bleus, les petits enfants peuvent tout à fait avoir le type blond aux yeux bleus alors que leurs propres grands parents sont noirs . Cela se peut parce qu'il y a eu un tel brassage ethnique depuis plusieurs milliers d'années que nous partageons tous les mêmes gènes.
  2. Tu n'as pas à porter la honte de la conception des choses des autres . Je considère les racistes comme des grands ignorants, ils ignorent à coté de quoi ils passent, ce n'est tant pis que pour eux .
  3. bouddean

    les radars

    Est ce qu'il y a des chiffres pour savoir si il y a plus ou moins d'accidents de la route depuis que les radars sont HS ?
  4. Ouai, tu veux pas t’arrêter de sauter 5 minutes, ça énerve @January
  5. ET sinan, je me pose une question: si il y a une pensée sans matière, elle pense à quoi , cette pensée ?
  6. Nan, toi t'es pas claustrophobe, t'es hermétique . C'est ça oui, rattrape toi aux branches
  7. Ouai, t'as raison de me dire ça, au cas ou je m'habituerais au bonheur trop vite, saloperie va !
  8. Je dirais qu'une des grandes angoisses de ma vie était de savoir que les autres continueront de s'éclater, de découvrir, de progresser ... sans moi , Les salauds Je ne sais pas comment, je ne sais pas pourquoi, mais aujourd'hui, je me réjouie de savoir que la vie continuera après moi, et je veux leur souhaiter bonne chance .
  9. Ouia, le truc, c'est qu'il va falloir que je m’habitue au bonheur
  10. Votre topic me fais me poser très sérieusement la question de comment je dois vivre, parce que je voudrais mourir en paix ! Je me dis qu'il faut que je prenne de l'altitude
  11. Ben, elle retire la peine de mort de son programme, ça va déjà,être moins risqué de voter pour elle Je trouve que son dialogue est en train de se radoucir, elle abandonne la sortie de l'euro par exemple, est ce parce qu'elle voit qu'elle a de plus en plus de chance d'être élue et qu'il va falloir mettre au point un programme réalisable ? Est ce que ce serait plus le bordel qu'en ce moment ?
  12. bouddean

    Le racisme en 2019

    La trace génétique de nos ancêtres Cette diversité d'outre tombe n'épargne pas l'Afrique . Mais cette fois, ce ne sont pas les traces génétiques de néandertaliens ou de dénisoviens qui ressortent, puisqu'ils n'y ont jamais mis les pieds, mais les vestiges ADN de sapiens très anciens, dont les lignées se sont taries . De quoi brouiller un peu plus l'idée d'une lignée simple et direct allant de " l’ancêtre " jusqu'à "nous". Le signe le plus marquant de ces adjonctions ancestrales se trouve sur le chromosome Y . En analysant certaines de ses séquences chez des Africains actuels, des généticiens de l'université de l'Arizona ont montré que le chromosome Y est plus vieux que notre espèce . Agé de 300 000 ans, il remonte aux hominidés archaïques qui nous ont précédés . Chaque portion de notre génome pourrait ainsi avoir un ancêtre différent.Notre diversité repousse même le cadre de notre humanité actuelle, elle va au delà! Tous ces mélanges, toutes ces humanités qui sortent de l'oublie,poussent les chercheurs à réinterroger certains fossiles de cranes ou fragments de squelettes déterrés dans les années 1960 ou 1970 et mis de coté, car inclassables dans la vision linéaire que nous avions de notre lignée. Désormais , on sait qu'il ont des choses à dire. En Afrique, les restes osseux d'Omo Kibish , d'Iwo Eleku et d'Ishango ont été témoins de l'origine de notre lignée, eux et leur contemporains encore inconnus pourront demain nous dire quelle était alors la diversité réelle de "l'Homme" il y a 150 000 ans. En Europe, en Asie, ce sont les Hybrides de Sapiens et de Néhandertal , jugés impossibles il y a peu, qui attendent d'être identifiés. L'exploration de notre diversité est loin d'être achevée. Depuis 2007 et la multiplication des génomes entiers séquencés, les spécialistes sont sur la piste d'autres variations, plus longues, ( des dizaines, voire des centaines de bases) et moins bien connues que les SNPs. L'enjeu de ces découvertes dépasse la dimension purement scientifique . Alors que le XXe siècle a mis en avant les similitudes entre les individus, le XXI e siècle ne doit plus avoir peur d'interroger leurs différences : au lieu de nier la diversité pour mieux défendre l'égalité, il s'agit aujourd'hui de réfléchir à l'égalité dans le cadre de la diversité. Car prendre en compte cette diversité, c'est notamment garantir une médecine mieux adaptée à chacun par exemple. Cette diversité que l'on découvre raconte une histoire commune et multiple, comment nous nous sommes adapté à une terre si vaste et si changeante, et comment nous seront capables demain de le faire face aux conséquences du réchauffement. Chercher ce qui nous distingue, ce n'est pas discriminer: c'est essayer d'oublier la norme pour retrouver l'individu, c'est tenter de réconcilier chacun avec son histoire individuelle tout en rendant cohérente l'histoire collective. Ce qui est au cœur de la déclaration de L’UNESCO de 1950 : Chaque être humain n'est qu'une parcelle de l'humanité, à laquelle il est indissolublement lié .
  13. bouddean

    Le racisme en 2019

    En fait, tu me fais me poser la question de savoir si le racisme ne serait pas un "outil" dont certains se servirait pour désunir les gens : monter les uns contres les autres peut s'avérer très profitable , que ce soit pour vendre des armes ou pour faire passer des lois, imagine 60 millions de personnes qui disent gentiment: non merci, on en veut pas de votre augmentation ! Je ne dis pas bien sûr que c'est ce que fait notre gouvernement, mais je dirais que certaines personnes ne se soucient pas de savoir si les Hommes sont noirs ou blancs, du moment qu'ils en tirent profit, ceux la seraient vraiment racistes ,ils n'aiment pas l'humain et le considèrent inférieur, quel qu'il soit .
  14. bouddean

    Le racisme en 2019

    Un peu comme les racistes en fait, les enfants quand ils sont petits ne sont pas racistes, c'est en grandissant qu'ils le deviennent , a force d'entendre leurs parents .
  15. bouddean

    Le racisme en 2019

    C'es innombrables SNPs racontent des histoires différentes en fonction de leur place dans le génome. Ils peuvent toucher les gènes codants les protéines qui nous composent. Mais la plupart de ces mutations ne sont pas gardées par la sélection naturelle, car les proteines ne peuvent pas beaucoup varier sns perdre leur fonction. Les SPNs tombent en fait le plus souvent à coté de ces sacro- saints gènes qui constituent moins de 5% de notre ADN global . Elles interviennent généralement dans les parties des génomes qui assurent la régulation des gènes ou dans les immenses portions d'ADN dont on ne connait pas encore le rôle . La partie codante du génome, les gènes et leur séquences régulatrices nous renseignent sur notre histoire adaptative . Alors que le génome non codant nous renseigne sur notre histoire démographique,nos migrations, qui est parti d'ou... Et c'est cette longue histoire qui a façonné notre diversité actuelle que révèlent depuis 10 ans les généticiens . L'AFRIQUE , TERRE DE BRASSAGE GENETIQUE Alors qu'elle à offert les fossiles les plus emblématiques de notre lignée et s'est imposée comme la terre de nos origines, l'Afrique a du attendre 2006 le séquençage d'un de ses représentants , en vertu de l’accumulation des modifications au fil du temps, le berceau africain avait forcément beaucoup à nous apprendre sur notre passé lointain . La richesse entrevue a confirmé le potentiel de cette terra incognita génétique . Professeur en médecine génomique , Vanessa Hayes démontra dans la foulée, en 2010 , que la diversité génétique était plus grande entre deux chasseurs cueilleurs vivant a 800 km l'un de l'autre dans le désert du Kalahari qu'entre un européen et un asiatique ! La carte de la diversité génétique mondiale commença à se dessiner , avec l'entrée dans l’ère de la génomique individuelle, ou le génome de chacun peut être lu et étudié, les résultats se sont accumulés sur tous les continents . Au point que ce nouveau panorama des terriens conduit à retoucher et a affiner l'histoire de notre espèce en retraçant 200 000 ans de mélanges et de voyages . L'Afrique confirme son statu de terre des origines et de terreau de toutes nos différences . L'histoire de l'humanité se prolonge ensuite sur les autres continents ,colonisés les uns après les autres par des groupes toujours plus petits, ce qui explique la baisse de diversité constaté dans le monde ,au fur et a mesure que l'on s'éloigne du foyer africain . Les migrations, sources de mutations Deuxième ressort de la diversité mondiale:" l'effet fondateur " qui se déploie au fil des migrations , lorsqu'un nouvelle population est établie par un très petit nombre d'individus issus d'une population plus grande . L'adaptation au nouvel environnement et la sélection oeuvre alors sur un jeu de caractères différents de celui de la large population de départ, et entraîne l'apparition de nouveautéS comme un nez fin mieux adapté pour respirer un air froid . L'étude des variations génétiques peut aussi raconter comment notre peau s'est éclaircie en réponse à un soleil moins violent ou comment d'autres ont vu leur hémoglobine s'adapter à l'altitude et à la raréfaction de l'oxygène . Mais la trajectoire de notre espece a pris une tournure imprévue en Europe et en Asie . En 2010 les équipes de Svante Pääbo du Max- Planck Institute de Leipzig , spécialisé dans l'ADN ancien révèlent une troisième source de diversité : de la Sibérie à l'Angleterre , ils ont découvert dans le génome actuel des fragments de l'ADN issus de l'homme de Neandertal . Celui là même qui nous avait convaincu ,par son altérité, de l'unité de notre espèce, s'invite maintenant dans le grand chaudron de l'humanité! Les population eurasiennes se distinguent ainsi par la trace de ses relations intimes et plurimillénaires avec nous . Jusqu’à 4% de notre génome provient de Neandertal , sans qu'il soit encore possible de dire avec quelles conséquences. Aucun gène n'a été transféré tel quel . Nos chromosomes sont des mosaïques de nos deux génomes . Quelques mois plus tard, la même histoire se répétait avec une double découverte : celle d'un homo inconnu ,aujourd'hui disparu identifié uniquement par son génome d'un type nouveau et surnommé d'après la grotte sibérienne de Denisova ou il fut trouvé . Son analyse génétique révéla que des fragment de son ADN se retrouvait aujourd'hui chez certaines populations d'Asie de l'Est et jusqu'a près de 6% pour les Mélanésiens ! La trace génétique de nos ancêtres Cette diversité d'outre tombe n'épargne pas l'Afrique . Mais cette fois, ce ne sont pas les traces génétiques de néandertaliens ou de dénisoviens qui ressortent, puisqu'ils n'y ont jamais mis les pieds, mais les vestiges ADN de sapiens très anciens, dont les lignées se sont taries ça c'est le dernier paragraphe, ça viendra plus tard ... C'est tiré du magasine science et vie N° 285 hors série de Décembre 2018
  16. bouddean

    Le racisme en 2019

    La diversité éclairée par la génétique Le séquençage du génome humain a révélé qu'humanité rime avec diversité . Une évidence qui ne doit plus être niée si l'on veut comprendre l'histoire humaine . Et qui implique aujourd'hui de réfléchir à l'égalité dans le cadre de cette diversité . D’après Emilie Raucher Grand,blond,roux,noir,trapu,yeux bleus ... quoi de plus banal dans notre société mondialisée,que la diversité de nos semblables ? Et quoi de plus superficiel que ces différences ? Car la science n'a cessé de le répéter depuis plus de 50 ans : ces variations apparentes masquent une profonde uniformité de l’espèce humaine . Cette vision d'une espèce humaine homogène est née du poids de l'histoire : alors que le XXe siècle venait de connaitre un de ses plus terrifiants génocides au nom de la différence et de la prétendu " supériorité" de certains, la science s'est mobilisée pour démontrer que toutes théories faisant état de la supériorité ou de l’infériorité intrinsèque d'une population donnée était sans fondement scientifique. Ce discourt à même de promouvoir l'égalité de tous mettait en avant la très grande uniformité de l’espèce humaine ,relégant la diversité biologique au second plan, comme un épiphénomène de notre évolution. Le 12 Juillet 2018,cette idée marquait même la constitution française de son emprunte :les députés décidaient d'en banir le mot "race" Aujourd'hui, après une quinzaine d'années de découvertes génétiques tout azimuts, le regard des scientifiques sur cette question à changé. Généticiens et paléoanthropologues veulent désormais rendre à notre espèce son droit à la diversité . Avec un mot d'ordre: la diversité est une richesse! Oui, nous sommes tous des métis appartenant à une unique grande famille et nos génomes sont similaires, mais cela ne veux pas dire qu'on y trouve pas de différences : non seulement ce n'est pas grave, mais c'est même mieux . Un sujet scientifique comme un autre Ces travaux tâchent de parler de nos différences sans tabou ni arrière pensée morale, en faisant de nos origines, de notre histoire et de notre place au sein du vivant un sujet scientifique comme un autre. Il ne faut donc pas y voir un retour en arrière ou une caution de l’existence des "races" humaines dont certaines seraient supérieures à d'autres . Un discourt sur la diversité ne peux pas être mis sur le même plan qu'un discourt sur l'inégalité : alors que le second est d'ordre moral, le premier est d'ordre scientifique . La diversité, ça se mesure, ça se compare . Et c'est justement en mettant au point des techniques capables de lire des milliards de lettres de notre génome que les chercheurs ont vu apparaître un panorama de la diversité humaine singulièrement différent de celui dressé jusqu'ici . Un nouveau portrait de l'humanité se dessine ou les différences biologiques entre les individus, longtemps minimisées, voire niées, ont toute leur place . Un portrait sous tendu que les individus n'ont pas besoin d'être identiques pour avoir les mêmes droits. Dans les années 1960, un projet prométhéen rassembla les meilleurs laboratoires du monde. Le séquençage de 3.5 milliards de paires de bases ( les lettres de l'ADN) fut publié en Février 2001 simultanément dans nature et sciences.Pour des raisons techniques, il ne s'agissait pas du génome d'un seul individu ,mais de portions obtenues chez plusieurs volontaires d'origine européenne, et agrégées. Mais, pensait on alors, il y avait si peu de différences entre nous et elles étaient si peu significatives que cela n'avait pas d'importance : un génome humain, "le" génome humain ,était désormais disponible et il dirait tout ce qu'il restait à découvrir sur nous . Sauf qu'en comparant différents génomes au début des années 2000 , on a commencé à voir des groupes. Qui plus est, des groupes qui retombent assez bien sur les anciennes subdivisions : Européens, Africains, Asiatiques ... ! De quoi réveiller les vieux démons du racisme ? Non, car ces groupes ne sont pas des races qui sous tendent une hiérarchisation des inégalités. Il est impossible de leur superposer les trais et les caractéristique qu'on pouvait soi disant leur associer. Comme le note le biologiste Bertrand Jordan, dans son ouvrage l'Humanité au pluriel, la génétique ne fait que retracer des groupes d'ascendances aux frontières floues . Aucun gène ni aucune caractéristique physique ne peuvent être associées à un groupe donné : tous existant dans chaque groupe, mais en des proportions et des combinaisons différentes. Par ailleurs, la diversité a l’intérieur de chaque groupe est largement plus grande que d'un groupe à un autre. Il a ainsi été calculé que si une seule des population humaine identifiée survivait, elle conserverait 85% de notre diversité globale. Ce qui signifie que 15% seulement des différences observées entre deux humains découlent de leur appartenance à des groupes distincts . Chacun des 7 milliards d'humains dispose donc d'un patrimoine génétique unique quoique composé des mêmes gènes . La véritable diversité humaine est donc bien plus profonde ,riche et subtile que celle issue de concepts inégalitaires dépassés. Mais faut il s'en étonner, l'uniformité est tout sauf naturelle .Elle signe même en biologie, la mort programmée d'une espèce. Car c'est bien de la différence entre ses individus qu'une population tire la possibilité de s'adapter à des situations nouvelles et de s'adapter à un climat plus chaud ou à des pathogènes inconnus . Sachant que nous possédons tous les mêmes gènes placés dans le même ordre le long des mêmes chromosomes, d'ou vient cette diversité ? Le premier ressort de variabilité génétique tient à la "mutation" au changement aléatoire d'une des lettres au niveau d'une séquence donnée . Gène et chromosomes sont en effet composés d'ADN un programme long de 3.5 milliards de paires de bases. Or notre machinerie cellulaire peut se tromper en le dupliquant. Si cette erreur se produit lors de la formation de nos gamètes ( spermatozoïdes et ovocytes) elle sera transmise à notre descendance . Commun à toutes les especes, ce moteur de diversité injecte régulièrement et au hasard des variations dans notre programme interne. D'énormes projets de recherches internationaux ( comme Hapmap lancé en 2002 ou 1000 génomes en 2008) se sont donné pour but de traquer chez nous ces petits changements appelés SNPs ( Single Nucléotid Polymorphism ). Et ils en ont trouvé des millions ! Les génomes de deux individus pris au hasard sont similaires a 99.9 % , ils ont donc en gros une différence toutes les 1000 bases soit 3 millions sur environ 3 milliards de paires de base, alors qu'avec un chimpanzé, notre différence est de une toutes les 100 bases . Voila, c'est un extrait d'un hors série de science et vie: La nouvelle histoire de nos origines , la suite dans une demi heure ...
  17. bouddean

    Le racisme en 2019

    Si, elle est présente chez le nourrisson pour qu'il puisse digérer le lait de sa mère ,et elle disparaît avec l'age, plus ou moins selon les groupes , certainement une variation génétique due a la consommation de lait dans certain endroits et pas dans d'autres . https://fr.wikipedia.org/wiki/Lactase
  18. bouddean

    Le racisme en 2019

    Je trouve l'inverse, je ne reconnais pas l'égalité des gens en fonction de leur patrimoine génétique, certain peuvent être plus forts physiquement, moins fragiles, plus endurants, supportant plus ou moins la chaleur, le froid, c'est due à des petites variations génétiques, comme par exemple les chinois qui ne digèrent pas le lait , a cause d'une enzyme qu'il n'ont pas, ce qui leur a valu de perdre la guerre contre les mongols . Pourquoi n'y aurait il pas des gens plus doués pour certaines choses que d'autres ? Ce n'est pas discriminant .
  19. bouddean

    Le racisme en 2019

    Non, c'est pas bobo, c'est la méthode scientifique de classification des être vivants, ça s'appelle la taxonomie : ordre, famille genre ,espèce. Après, l'utilisation des mots à bon ou mauvais escient, ça se voit dans beaucoup de " genres"
  20. bouddean

    Le racisme en 2019

    Par des caractéristique de genres, tout comme elle distingue un homme d'une femme par la largeur du bassin .
  21. bouddean

    Le racisme en 2019

    Ben si justement, le racisme, c'est soutenir qu'il existe plusieurs races, ce qui est différent de plusieurs genres, pour faire plus simple, on pourrait dire par exemple que les êtres qui ont les yeux bleus ne sont pas de la même race que ceux qui ont les yeux noirs, l’ineptie saute au yeux, alors qu'elle perdure avec la couleur de la peau , mais non, une personne noir est autant de ma race qu'un roux ou qu'un chinois dont je n'ai pas les caractéristiques de genre . Ce qui est expliqué dans la théorie des souches de AD KONINGS , ( c'est un ichtyologue) qui a démontré qu'avec les mêmes parents, les générations ,lorsqu'elles sont coupées de la souche, peuvent acquérir au fil du temps des caractéristiques de genres différentes de la souche mère, ce sont donc bien des êtres de la même " race" . Les généticiens se servent souvent des poissons pour étudier l'évolution des espèces, parce que grâce à la rapidité avec laquelle ils deviennent matures sexuellement ,cela permet d'étudier un très grand nombre de générations en un temps court . On pourrait tout à fait ,en isolant un couple qui en a les caractéristiques, créer une variété d'humain bleus, mais il faudrait plusieurs millions d'années, alors qu'avec les poissons, on l'a fait en 50 ans, il existe aujourd'hui des variétés de poissons crées par l'Homme, qui sont totalement inexistantes dans le milieux naturel, et cela a pris environ 50 ans, il est a noter que les espèces crées par l'homme en 50 ans se reconnaissent et reproduisent ensemble, les espèces crées par un isolement du à des variations de niveau de leur lac par exemple, ne se reconnaissent pas et refusent de reproduire ensemble , ils sont racistes
  22. bouddean

    Le racisme en 2019

    Le racisme en 2019 a effectivement changé de visage ! Avant, on distinguait clairement les zarabes et les portugais des Français,plus maintenant, les noirs ça va, on les reconnait encore à peu près. Si on cherche à faire un classement du genre le plus méprisés, il faut faire une étude sur les insultes qu'on entend. Il me semble en entendre deux qui reviennent plus souvent: La première, c'est : "sale" sale con, sale pute, sale blanc, sale beur ( ti aime li beurre sali ? ), sale arabe, sale juif, sale plouc, sale noir . enfin bref, on a pas l'impression que ce soit le con,la pute,le blanc,le beur,le plouc ou le noir qui soit le plus important, mais le fait qu'il soit sale! La deuxième est : " pauvre " pauvre con,pauvre conne, pauvre mec, pauvre fille, pauvre tache . Je dirais donc, qu'aujourd'hui, la pire de toutes les catégories est le sale pauvre !
  23. bouddean

    Le racisme en 2019

    Tout comme les noirs,les blancs, les zarabes et les zesquimaux
  24. bouddean

    Le racisme en 2019

    Disons que c'est de l'humour commercial et si on enlevait toute la merde qu'on peut trouver sur le marché, il est fort probable effectivement qu'on puisse vivre dignement avec le SMIC . La question que je me pose: Le raciste juge les gens sur une apparence et non pas sur une personnalité, Le raciste est il capable d’apprécier réellement une autre personne pour sa personnalité ou pas, même si cette personne est de son type ,puisqu'il juge sur les apparences ? En clair : Le raciste est il capable de ressentir l'amour ou n'a t'il accès qu'à l'envie de possession qui n'en est que l'illusion ?
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