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Tout ce qui a été posté par zeugma
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l'intelligence émotionnelle une base nécessaire pour aborder la philosophie ?...
zeugma a répondu à un sujet dans Philosophie
si pour vous la méditation Zen est une psychologie des profondeurs, alors évidement...il n'y a plus grand chose à dire... -
allons, puisque tu as déjà ta réponse, pourquoi vouloir connaitre la mienne ?
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déjà confondre âme et conscience semble ne mener qu'à des contre-sens sur la conscience et sur l'âme, mais en plus fondre en une unité l'évolution et la création ne produit que des aménagements de ces deux notions, si bien que l'on ne saura plus qui est qui et pour quoi et pourquoi ce comment... l'évolution est un processus spacio-temporel qui s'établi sur l'existence d'une matière apte à la mutation... la création est un acte d'être intemporel, et donc présent à chaque réalité, (et aussi du mal me direz-vous? j'y répondrais ultérieurement )... l'âme est la première des déterminations d'une réalité vivante, la plus proche de l'acte d'être créateur... la conscience est le constat d'une présence (la notre en premier lieu) au travers des conditionnements que sont nos corps, la nature et le monde... donc en fin de compte la question n'est pas : est-ce que l'évolution existe? mais bien en quoi l'évolution révèle la permanence et l'impermanence de la nature...?
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c'est aussi pourquoi la voie bouddhiste part de ce qui est complexe et tend vers une simplicité, l'éveil est ce moment/lieu où se déchire le voile des illusions qui maintient ensemble le permanent et l'impermanence, c'est là, dans une dernière attention au réel que se renverse la notion de présence en celle de vide, car du fait de notre corporéité, nous avons une part de nous dans le monde de la matière et une autre dans celui de l'immatérialité... arriver à passer ce "pont"entre ces deux rives, une fois puis d'autres fois, est la recherche du bouddhiste sur cette terre, comme pour se rassurer et s'assurer de ne pas y revenir après la mort de son corps... le nirvana, l'extinction, est un apprentissage aussi...notez bien que certaines personnes veulent revenir pour aider les autres dans cette voie de la délivrance...c'est le cas des maîtres...
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Propos généraux sur la distinction entre ce qu'est une scientifique et ce qu'est un scientiste... la recherche est une faculté opérante de l'intelligence mais est aussi l'expression de la mise en commun d'un vouloir... que ce vouloir ne soit plus dirigé vers l'intégralité de la personne humaine, comme le scientifique le désir, mais qu'il soit enclos dans une justification de lui-même et vous avez un projet scientiste... que la connaissance scientifique soit partie intégrante de la conscience collective au même titre que les arts, la philosophie, et toutes les recherches de savoirs humains, vous avez une recherche scientifique viable... mais que l'efficience des sciences soit isolée comme la seule gouverne de la conscience en raison de son caractère objectif, et vous avez un système scientiste mortifère... qu'il existe une logique scientifique de la preuve par l'expérimentation, induisant une suite de causes et d'effets, c'est acceptable dans la mesure ou cette logique se reconnait comme un apport de connaissances en vue de la vie... mais que la formalisation scientifique devienne une motivation à réduire toutes les autres connaissances à une non-véracité, pour la seule raison qu'elles ne sont pas des preuves ni des expérimentations, est une caricature et une menace pour l'esprit scientifique, et donc un scientisme...
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...pour cette pensée attribuée au bouddha, nous devons plutôt comprendre que cette permutation entre forme et vide est une comparaison entre ce qui "est" et ce qui "devient"...donc une lecture "humaine" de l'espace-temps... aparté: ce qui est ma recherche, ce n'est pas une philosophie du spirituelle ou une spiritualisation de la philosophie, c'est à rendre possible la voie contemplative...qui est autre que toute intelligibilité, raisonnement ou perception de l'esprit méditatif... la contemplation qui peut être saisie par un jeune de 16 ans qui aurait une "incandescence unitive" entre son intelligence et sa volonté telle, que la manifestation artistique de la poésie lui donne moyen de la transcrire... " ce fût d'abord une étude, j'écrivais des silences, des nuits, je notais l'inexprimable, je fixais des vertiges..." A.Rimbaud
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bonjour et merci à vous Swam pour cette nouvelle "réverbération" du texte d'Arthur, que vous poussez vers une acception qui n'est pas inutile de prendre en compte, vu l'engouement pour les sciences physiques de notre temps... avec cette "visualisation" physicaliste, vous nous soumettez plus une énigme qu'une nouvelle base pour rechercher ce que le poète à voulu dire... mais faisons quant même honneur à cette nouvelle cuisine et recherchons si la double occurrences "la forme est vide et le vide est forme" nous dit quelque chose de "je est un autre"... en effet le formalisme des physiciens opte pour une interdépendance énergétique entre forme et vide, mais dans des nuances quantiques si proches, que la distinction entre les deux pourrait passer "inaperçue" à l’œil de l'intelligence du quidam, ce qui serait de facto l'inutilisation consommée pour ce qui est du "je" et du "un autre"... pourtant, et par sympathie pour vous, il serait possible de dire que l'espace-temps entre la conscience du "je" et la perception d'être "un autre"du poète, ressemble à cet espace-temps entre le vide et la forme (particule) des physiciens... pourquoi ? juste parce que la conscience d'être "soi"est déjà celle d'être "un autre" dans l'immédiate saisie de l'acte intellectuel de la poésie, et que c'est même là ce que est uniquement poétique, de faire être présent deux états distincts en un même lieu/acte, à savoir l'acte contemplatif poétique... bien à vous...
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l'intelligence émotionnelle une base nécessaire pour aborder la philosophie ?...
zeugma a répondu à un sujet dans Philosophie
en effet c'était pour vous démontrer que de poser des étiquettes sur des réalités que l'on a pas soit même expérimenter procure, il est vrai une certaine satisfaction, mais cause aussi des contre-sens structurels, c'est ce que je dénonce lorsqu'une lecture psychologique veut expliciter des modes de présences au monde qui ne sont pas issues de notre psychologie humaine... car au lieu d'essayer de comprendre ce qu'est l'expérience du bouddhiste, la lecture psychologique que vous adoptez est : Et puisque nous évoquons la méditation, une petite citation d'un maître incontesté en la matière, le Bouddha: " Avec nos pensées nous créons le monde." . ( Si c'est pas une belle définition de l'imaginaire ça....). ce que vous utilisez donc comme une preuve que l'imaginaire est à la base de toute méditation, évident contre-sens dans lequel vous continuez à vous enfermer, car vous aviez dit aussi : "La méditation précisément tend à essayer autant que faire se peut d'arrêter de penser et de produire de la conscience." c'est là aussi une méprise totale, car ce que vous nommez "conscience" c'est la perception interne que la vie psychique à de sa propre présence, pour le bouddhiste, c'est justement cela qu'il lui faut dépasser par la méditation... cette ignorance vous fait alors dire: "C'est un peu comme si le moi conscient, (l'ego pour le pratiquant de méditation zen), agité qu'il est par nature, ne cessait de troubler l'eau de notre mare et empêchait d'y "voir clair". " là encore ce n'est pas seulement une imprécision, mais une confusion entre deux dimensions du "travail" de la méditation, la première étape du bouddhiste Zen est de saisir toutes les appropriations conscientes comme extérieures, y compris sa propre expérience de la méditation, et immédiatement de convenir comme conséquence, l’abandon de toutes ces appartenances...y compris celle de la conscience de son "état", c'est pourquoi le méditant Zen à besoin d'un maître pour valider cet "état" et ce qui advient de sa présence... faire de la méditation dans le bouddhisme Zen, un accroissement de conscience pour apaiser les passions, est aussi réducteur et vain que de dire de l'hésychasme qu'elle est une recherche ataraxique d'opposition à la fomes peccati... mais bon... -
salutation à toi, si j'ai dis "présence", c'est que cela me semble plus proche de notre condition humaine actuelle, qui avec tellement de nuances et de différences, révèle la nature évolutive de notre espèce... 1/ nous devons faire un état des lieux de la présence humaine sur cette terre et en reprendre les points de stabilités pour en éliminer les points de dérives... 2/que cet inventaire tarde encore et nous seront dans l'impossibilité de nous maintenir dans une cohésion vitale avec le milieu, et entre nous par voie de conséquence... 3/que notre lucidité devienne irréversiblement une lecture médiatique du réel et nous ne poserons plus que des "pansements" sur le corps blessé de l'humanité agonisante... 4/que la puissance des systèmes d'exploitations continue à gérer notre quotidien comme une somme de paramètres stéréotypés, et la conscience d'être au monde ne sera plus générée que par une performation de ces systèmes... 5/enfin, que le constat répété de nos échecs soit prit comme une nécessaire reprogrammation du même processus évolutif, et nous seront, sous mode négatif, une présence négative de vie, c'est-à-dire une présence mortifère... c'est pourquoi ce que tu dis ensuite me semble très juste : "Je suis d'accord, mais mon petit doigt me dit que des esprits mal tournés pourraient encore détournés ces principes autrement que de la façon dont nous les comprenons, et pervertissant ainsi l'idée première, un peu comme un système politique théoriquement bénéfique serait corrompu pragmatiquement par des hommes et femmes vils !" l'erreur de jugement sur notre condition actuelle entraîne inévitablement une erreur pratique, et vu la puissance du "faire"que nous avons développé, l'ampleur des dégâts est un poids qu'il nous faut tous les jours (euphémisme car c'est continuel, nuit et jour) soulever...j'oserais ici une métaphore, notre civilisation technologique comme un haltérophile qui fait tellement d'efforts que le développement de sa puissance réclame une tension de certaines de ses jointures, la déchirure menace à chaque instant... oui quand tu dis : "Et c'est bien ce qui nous guette Zeugma, on aura beau avoir la vision la plus pure et claire de notre condition d'animal social/politique/économique/informaticus/etc..., il suffira d'âmes de mauvaises volontés et influentes, pour enrayer et dépraver les bonnes résolutions de départ, nombre d'écueils et de freins attendent dans le virage, tous plus retords ou réfractaires les uns que les autres ! C'est l'esprit de l'Homme qui est malade, dénaturé, dès la base !" toutefois, il existe une voie pour sortir de cette potentialité de corruption, c'est une écologie de l'intelligence, comme j'essaye de découvrir en échangeant avec toi et quelques autres personnes ici et ailleurs, une voie, non pas de pureté ou de purification de la logique d'efficience qui est devenue une logique déficiente, mais la voie d'une nouvelle intelligibilité du réel... 1/ une lecture intérieure qui pose la responsabilité personnelle avant la responsabilité collective... 2/ une entrée dans une nouvelle temporalité de la présence humaine, retrouvant comme "cadence" les fonctions vitales du corps... 3/ une prise direct sur les événements et les autres personnes, à partir de notre présence singulière et localisée de notre corps... 4/ la liberté d'autonomisation que permet l'unicité de chacun, avec comme rayonnement une entraide envers celles et ceux qui nous sont les plus proches... 5/ la découverte et l'acceptation de nos limites personnelles, qui permet une forme éducative ouverte à la stabilité vitale du corps social... tu poursuit en disant: Tu rejoins donc les vœux de Comte, qui voulait que toutes les sciences soient au service de la sociologie, la science de l'homme ! ( même si il est allé un peu loin dans son engouement en voulant jusqu'à la création d'une " physique sociale " ! ) pour le coup non pas du tout, je ne suis en rien dans un positivisme qui voudrait enclore la responsabilité de chacun dans une normalité applicable à tous, et qui ferait de la conscience personnelle l'exacte mesure de la conscience collective, car ce projet est une altération de la singularité, des liens de causalités naturels et surtout de la notion de finalité personnelle... si son projet fût plébiscité à une époque où les intentions de régulations du quotidien de l'homme appelaient une systématisation scientifique, nous savons aujourd'hui que les forces à l'œuvre dans une société où la productivité est source d'échanges et de "valeurs"ne conduit qu'à une lutte de classes inutile et à une exacerbation de la jalousie pour les uns et de l'envie de dominer pour les autres, ainsi qu'à un pépère conformisme pour les troisièmes...bref aucune unification de destiné... sortir de ce stérile face à face est de facto ce qui adviendrait dès l'entrée dans la voie qui me semble nouvelle et surtout vitale à notre monde... bien à toi Déjà-utilisé...
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l'intelligence émotionnelle une base nécessaire pour aborder la philosophie ?...
zeugma a répondu à un sujet dans Philosophie
...en effet si vous préférez mettre "vos étiquettes" sur les pots où se trouvent des réalités que d'autres nomment autrement, libre à vous...mais le jour où vous devrez préparer une recette que vous n'aurez pas écrit vous même, il y a fort à parier que vous n'utiliserez pas les bons ingrédients...ce serait dommage et dommageable car vous me semblez par ailleurs une très bonne personne... -
l'intelligence émotionnelle une base nécessaire pour aborder la philosophie ?...
zeugma a répondu à un sujet dans Philosophie
3/oui très drôle, que vous attribuiez au Bouddha une phrase mais que vous l'utilisiez dans le sens inverse qu'il a voulu donner...lui désignait justement cette "fabrique de représentativité" comme ce qui nous enferme dans le monde...et nous exhortait à la non-représentation de la pensée...donc à la sortie de l'imaginaire raisonnant en boucle... 2/car comme contre-sens il y a aussi dans votre deuxième phrase le fait que vous identifiez la conscience au "moi" et le moi à l'ego puisque vous affirmez que l'ego est le moi conscient, cela vous fait dire que pour le bouddhiste zen, la recherche ne serait que l'apaisement de cet ego, alors qu'il tend vers une suppression de cet ego, et de ce moi et de cette conscience corporelle attachée au monde des illusions du monde des phénomènes... 1/alors oui c'est drôle car vous aviez dans votre première phrase opté pour une définition contradictoire, là aussi, de la méditation, en la plaçant comme une cherche non-pensée pour une conscientisation accrue, encore de la psychologique lecture qui révèle une fois de plus une construction schématique, car évidement vous vouliez dire non-raisonnement vers un état conscientisé... enfin, si cette explicitation vous apporte satisfaction c'est déjà ça, mais surtout ne la répandez pas de trop, déjà que nous sommes en sur-saturation de représentativité, celle d'une méditation opérant un transfert d'influence entre pensée et conscience conduirait à un imbroglio dans tous les centres de méditation, cela serait dommage, car parfois il y a des personnes qui parviennent par cette méditation, à sortir du carcan que la psychologie leur avait imposé... -
l'intelligence émotionnelle une base nécessaire pour aborder la philosophie ?...
zeugma a répondu à un sujet dans Philosophie
attention de ne pas donner au langage une place exorbitante... au risque d'amener de l'eau au moulin(à parole) de certains scientistes cognitivistes qui font du langage la seule dynamique de la pensée, et à tous les logisticiens en informatique qui veulent inclure notre monde dans leur encodage binaire... pour ce qui est de l'instinct, distinct du désir, comme notre espèce l'est des autres animaux...c'est encore une lecture psychologique et donc réductrice qui vous fait dire cela, c'est imprécis et et stéréotypé, essayons de sortir un moment de ces représentativité à l'emporte pièces...SVP -
l'intelligence émotionnelle une base nécessaire pour aborder la philosophie ?...
zeugma a répondu à un sujet dans Philosophie
si nous stipulons, comme vous le proposez, que l'imaginaire est la source de toutes nos représentations conscientes, nous réduisons la conscience active à une conscience passive, car l'imaginaire est en nous un mur d'écho de toutes les sensations physiques, et de leur combinaisons "infinis"... mais cela ne rend pas compte d'une autre cause de représentations qui elle est active, c'est la conceptualisation ordonnée, car toute pensée est au delà des mots et des images plus ou moins complexes, un mouvement vital... le "moi imaginaire" que vous dites être la zone matricielle de la conscience, n'est rien d'autre que la mesure quantitative de notre mémoire passive... si vous aviez l'expérience de la méditation, ou de la contemplation naturelle, tout cela serait clair pour vous aussi, mais comme vous êtes enfermé dans votre représentativité issue de vos locutions prépositionnelles, vous disposez comme des légos vos briques représentatives afin de construire un modèle cohérent parce qu'inconfortable...dans les deux significations du mot... c'est toute l'intelligibilité dégénérative de la psychologie qui est là...vouloir représenter la conscience comme un amas de couches interconnectées en bricolage continuel des contacts opérants... triste science que la votre... -
l'intelligence émotionnelle une base nécessaire pour aborder la philosophie ?...
zeugma a répondu à un sujet dans Philosophie
comme un parfum d'anthropocentrisme et d'anthropomorphisme se dégage de vos dires cher Ping... -
l'intelligence émotionnelle une base nécessaire pour aborder la philosophie ?...
zeugma a répondu à un sujet dans Philosophie
juste une petite parenthèse de sept minutes de pure écoute...mais que cela ne vous détourne pas de vos réflexions respectives... -
bonjour à toi Déjà-utilisé... il y aurait, tu le pressens bien, beaucoup d'explicitations à apporter de part et d'autre pour continuer notre échange, sur des notions comme la distinction plaisir/bonheur, l'inconscient, la propriété, les fondements de notre présence aux monde, etc... mais pour permettre aux autres intervenants de retrouver quelque chose du sujet primal, "qu'Est-ce que le scientisme", dans nos discours, je reprendrais pour le moment uniquement cette dernière phrase de toi, car sans doute en plaçant cette énigme au centre de notre questionnement, nous parviendrons à dégager ce qu'est ce scientisme, mais aussi ce curieux hiatus entre "connaissance commune" et "vouloir commun"... pour cela, la première observation pour entrer dans cette énigme serait pour moi la mise en perspective des cinq dimensions de notre espèce, qui sont d'ailleurs les "fondements" évoqués ailleurs car ils sont comme l'irréductibilité de notre présence personnelle, et cela ne va pas t'étonner, si pour moi, ils sont aussi ce qui donne le sens de notre présence en ce monde... si je t'ai dis "mise en perspective" c'est que la disposition et donc l'ordre d'influence, entre ces cinq dimensions peut être différent selon les personnes, qui alors aboutit à tous les conflits que nous connaissons dans l'histoire de l'humanité...et en nous même aussi, psychologiquement, moralement, physiologiquement...intellectuellement... aparté: puisqu'ils sont selon moi, irréductibles, ces fondements, ils s'imposent à chaque personne, et en tout temps et tout lieux, ainsi seul l'ordre de préséance entre ces cinq dimensions change, et forme donc à partir de 12345, 120 possibilités de comportements...si cette "information mathématique" semble décalée ici elle donne juste une idée de la diversité des possibles positionnements comportementaux... 1 l'individuation (prit au sens large d'unité vitale) * 2 la relation 3 l'interdépendance 4 l'autonomisation 5 la personnalisation *les quatre premières dimensions de notre présence sont plus généralement existantes dans toutes les couches biologiques, de la bactérie aux protozoaires, de l'enzyme aux cellules souches, des organismes monocellulaires à nous autres humains... pour la quatrième, la personnalisation, il y aurait de prime abord à dire qu'elle est une appropriation d'une part du milieu de vie, tant au plan de l'échange biologique, dû aux fonctions vitales, qu'à la nécessité de participation active par le travail, la reproduction etc... donc si nous parvenons à voir la perspective naturelle la plus juste qui existe entre ces cinq dimensions de notre présence, nous aurons aussi une "voie" naturelle de développement... de cette voie naturelle, nous pourrions envisager toutes les possibilités de développement civilisationnel, et serions ainsi assuré de ne point nous égarer sur des voies sans issues, ou pires des voies destructrices du vivant... toutes les lois humaines pourraient aussi être le prolongement de ces lois biologiques, comme une nouvelle appropriation de ce que nous sommes en t'en que vivant au milieu de vivants... l'apport des sciences du vivant aurait là une place de choix en ce qui concerne le "dévoilement" de cette structure biologique universelle, et les autres sciences tiendraient alors aussi des voies de recherches sur l'organisation possible de notre développement en t'en espèce...donc par là même la sortie de tout scientisme... P.S je ne sais pas si cette approche te semblera utilisable dans notre discussion, je la place comme une ouverture, mais je sais très bien, par contre, que tu as toute latitude intellectuelle pour en faire ce que tu voudras... bon dimanche et bien à toi Déjà-utilisé...
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déjà confondre âme et conscience semble ne mener qu'à des contre-sens sur la conscience et sur l'âme, mais en plus fondre en une unité l'évolution et la création ne produit que des aménagements de ces deux notions, si bien que l'on ne saura plus qui est qui et pourquoi ce comment... l'évolution est un processus spacio-temporel qui s'établi sur l'existence d'une matière apte à la mutation... la création est un acte d'être intemporel, et donc présent à chaque réalité, (et aussi du mal me direz-vous? j'y répondrais ultérieurement )... l'âme est la première des déterminations d'une réalité vivante, la plus proche de l'acte d'être créateur... la conscience est le constat d'une présence (la notre en premier lieu) au travers des conditionnements que sont nos corps, la nature et le monde...
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l'intelligence émotionnelle une base nécessaire pour aborder la philosophie ?...
zeugma a répondu à un sujet dans Philosophie
l'animal humain n'est en rien supérieur comme on le dirait d'un jambon ou d'une création de haute couture, il est une singularité qui se maintient entre trois contraires qui peuvent devenir des oppositions... : 1/son individualité VS son besoin des autres pour vivre humainement... 2/sa recherche d'autonomisation VS ces dépendances aux conditionnement naturel et artificiel... 3/sa détermination personnelle VS les liens qu'il a avec le monde... P.S mais notez que VS qui veut dire "versus" doit t'être compris comme "contraire" et pas "opposé"...et dont pas obligatoirement "cause de conflit", car certains contraires ne tendent qu'à s'harmoniser, ce qui n'est pas le cas des oppositions... -
ou que la résistance s'organise face à l'envahisseur, ne pas coopérer avec l'ennemi est une sauvegarde et un droit, pour enfin devenir un devoir, car certaines positions sont inéluctablement opposées, ce qui résulte alors ne sera qu'un stérile face à face, à la mesure de l'écart qui se trouve entre la minorité de décideurs actuels qui tient en esclavage la multitude et certaines personnes qui ont choisis de ne pas suivre le plan civilisationnel des techno-sciences, elles qui donnent un sucre à l'humanité pour la récompenser de lui avoir permit de continuer son utopie... ainsi vouloir justifier les technologies destructrices par l'autorité morale de la science, est une trahison de l'esprit de cette dernière, bien que ce ne devrait pas être moi qui écrive cela, mais les scientifiques qui ont encore le sens de la nature humaine, je reste attentif à la dérive de certaines recherches, entre autre l'EPR, car il y a en toute erreur morale ou pratique, un moment révélateur où la conscience se trouve confrontée à ses choix et décisions...le réel est ce qui nous rappelle toujours de quoi nous sommes fait...
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l'intelligence émotionnelle une base nécessaire pour aborder la philosophie ?...
zeugma a répondu à un sujet dans Philosophie
avoir une conscience pour un être vivant, veux dire qu'il perçoit dans sa présence un conditionnement et une détermination distinct de ce conditionnement, (sans oublier que le premier conditionnement est le corps) dès que vous voyez un corps vivant réagir à un danger, ou à une autre présence, c'est qu'une conscience existe pour lui, cela peut être très physiquement réduit à une sensation, très limitée selon les modalités de réception de ce corps, pour nous autres humains, ayant développés une intelligibilité complexe face au réel, notre conscience est sensibilisée à des réalités même absente de tout contact physique...c'est une opportunité d'action mais aussi une dimensionnalité difficile à stabiliser... -
citation d'elbaid : "je ne connais de technologies qui n'ont pas à un moment ou un autre profiter au plus démunis , et je trouve un peu gonflé d'utiliser la "misère sociale" à des fins idéologiques .... lol c'est vachement démago et politique en effet .. mais bon c'est pas grave ." il y a des gens qui voient et d'autres non, tellement ils ont perdu le bon sens et le sens des réalités tout court, mais en effet ce n'est pas grave, pas autant que de laisser une part de l'humanité dans un semi esclavage et d'envoyer une poignée "d'élus" dans l'espace via une société privé...dire que les technologies profite un jour ou l'autre au plus démunis en dit long en effet sur la notion d'urgence qui existe entre le fait de boire un peu d'eau et celui d'éclairer une ville la nuit....mais bon passons ceux qui ne sont pas des lumières essaie de compenser comme il peuvent... "aussi on ne peux pas connaître à l'avance les conséquences d'une avancé technologique .... elle même soumise à sa propre évolution ." c'est ça oui après moi le chaos, et advienne que pourra et on ne fait pas d'omelette.....bref si la sottise a une origine, elle doit se situer à la rencontre du refus de la nature et du progrès constant des technologies... l'inventeur de la roue ne pouvait pas prévoir les bouchons et les accidents de circulation que celle ci occasionnerait . comparer une roue et une centrale EPR doit être le must pour une intelligence qui ne cherche plus qu'à contenter sa vanité et son errance... "découvrir un sens à la vie" ?????? OUI lequel ? "c'est à partir de là que ça devient intéressant " ....avec vous ça sera sans moi, je ne partage de bonnes choses qu'avec de bonnes personnes et vous ne m'inspirer qu'un froid sentiment de mort, bien loin de célébrer ce qui ne se trouve qu'en des intelligences tournées vers le bien de la vie...
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zeugma a répondu à un sujet dans Philosophie
comprendre en perspective ou en induction ne justifie pas que l'inconscient à quelque chose de réel pour la conscience, uniquement que la mémoire suit des points de fixations pour être ensuite repris par l'intelligence prudente ou juste... de plus vous dites: " Ainsi cela permet parfois paradoxalement de récupérer un petit peu de liberté " à bon...d'avoir errer dans une supposé impénétrabilité de la conscience procure une liberté ? oui sans doute, de la même manière qu'un séquestré remercie son geôlier de le laisser se promener dans la cour de la prison... vous poursuivez : "que la cause véritable de nos comportements nous est parfois occultée " quésaco la cause véritable de nos comportements ? est-ce la preuve pour vous que l'inconscient existe ? n'êtes-vous pas en train de confondre la complexité des éléments décisionnels et un soi disant lieu de la gestation comportemental...c'est ce style de discours de la part des personnes intelligentes qui font que celles qui le sont différemment sont entrainées dans une farandole psychotique... vous ajoutez: " Nous avons de la même façon la preuve indirecte de l'existence d'une réalité qui n'est pas dépendante de notre observation lorsque nous repérons dans notre observation des indices pratiques d'êtres non-perçus (p.ex. les dinosaures). " mais appliquer cette logique à une réalité qui coexiste avec nous est aussi peut affirmative que de suggérer qu'un jour l'homme sera immortel, juste parce que qu'il peut être guéri de la grippe...cette logique fait aussi appelle à une transgression de la réflexion déductive qui place un effet à la suite d'une cause, non seulement parce qu'il à quelque chose de la cause dans l'effet, mais aussi parce que toutes les occurrences nécessaire à une réflexion se doivent d'être non contradictoire, et que des effets qui ne laisserait absolument pas voir leurs causes, seraient en tous points irréels... c'est le cas pour moi de l'inconscient....et pas des dinosaures bien sûr... -
l'intelligence émotionnelle une base nécessaire pour aborder la philosophie ?...
zeugma a répondu à un sujet dans Philosophie
comme d'habitude si vous vous référez à une spiritualité pour ne pas entrer dans un partage philosophique, vous pouvez dires que les propos des autres personnes ne touchent pas le centre du sujet, mais faites S.V.P un peu de pédagogie envers nous et vous même, en proposant autre chose que des dénis et des fins de non-recevoir... -
la citation qui suit est extraite d'un texte de Dompteur de mots...la référence hypertexte est dans un de ces derniers posts... "Car la science nous place, que nous le voulions ou non, sur le chemin du détachement, de la pure contemplation, de la pure abstraction; elle nous donne accès à des savoirs qui transforment profondément notre façon de voir le monde mais qui en même temps n’ont aucune relation avec les conditions immédiate de notre vie." je vous cite textuellement pour reprendre vos mots interprétatifs au plus prêt de leur source...ce constat que vous faite de l'apport explicative et interprétative des sciences n'est pas une fatalité, mais une décision culturelle issue d'une partie de la population formée pour comprendre et étendre les données scientifiques, jusqu'à des résultats probants... faire de la science c'est une production, comme de faire des gaufres ou des sacs à main...la seule nuances est que cela produit un savoir et donc une "matière" difficilement négociable en l'état, il lui faut passer dans d'autres mains et têtes pour devenir lucrative, j'ai nommé les techno-sciences.. sur le choix des mots "détachement" "pure contemplation" et "pure abstraction", je pense que vous utilisez ces vocable de façon métaphorique, car la vision scientifique du monde matériel n'est pas un détachement, puisqu'elle met en demeure de perpétuer des recherches avec une forme d'intelligibilité au contraire très attachée à une formalisation stricte et contraignante, pure contemplation semble la aussi un contre emploi flagrant, puisque les résultats scientifique sont tous soumis à une acceptation différée, et même à l'aveugle car presque personnes ne refait tous les calculs pour comprendre et être sûr de ces résultats et doit donc faire confiance en la parole des chercheurs, quoi de moins contemplatif que cela ...l'acte contemplatif est une prise direct avec le réel ne l'oublions pas... et enfin dire que c'est une pure abstraction revient à dire qu'aucune psychologie ou affectivité n'est à l’œuvre dans les exposés scientifiques ce qui ne se peut, comme nous l'avons fait remarqué dans moult posts au court des dernières semaines... "Pensons par exemple aux découvertes de l’astrophysique, qui nous indiquent à quel point l’univers est immense mais aussi à quel point l’homme n’y est qu’un minuscule et insignifiant grain de sable, ou encore aux trouvailles de la biologie quant à l’évolution des espèces, qui nous donnent l’idée que l’homme n’est qu’un échelon parmi d’autres dans la grande industrie des êtres vivants. La question est subtile, mais elle vaut je crois la peine d’être posée: est-ce de nous savoir si petits dans un si grand univers qui nous plonge dans le désarroi, ou alors est-ce le fait même de dédier notre pensée à des préoccupations si lointaines ? De même, est-ce de nous savoir le fruit d’un grand processus évolutif qui nous trouble, ou cela est-il plutôt dû au fait même de nous projeter dans une vision si abstraite ? " "La question est subtile,".....pas tant que cela, dire que nous nous sentions petit au travers de l'immensité cosmique ou relatif dans la chaine des vivants, est une nouvelle évaluation mais ne change rien à ce que nous sommes, quand on confond ce qui est comprit avec ce qui est alors oui cela devient vertigineux et même contagieux, ce qui est désespérant c'est de vouloir tirer des effets pratiques de ce savoir et ainsi de surévaluer la présence de l'humain dans le monde et dans la nature... c'est de former des intelligences à ne voir et ne comprendre que ce qui est scientifiquement codé et donc de rendre des personnes étanches à tout autres formes d'intelligibilités... c'est d'investir des capitaux dans des projets qui n'ont autres buts que de justifier d'autres budgets déjà dépensés... c'est de décider le développement de programmes scientifiques et de laisser des vivants dans un dénuement tel qu'ils ne profiteront jamais de ces "trouvailles technologiques" ou "des merveilleuses découvertes des sciences"... bref, la recherche scientifique doit être soumise une décision morale, politique, sociologique, mais en aucun cas être prise pour une cause de perception de ce qu'est l'humain dans le monde, pour cela il faut découvrir un sens à la vie et comme ce n'est pas une question que les sciences peuvent posées seules et pas non plus répondre sans l'avis de tous les vivants, elles sont à replacer pour moi au rang des connaissances utiles, mais point fondamentales pour la conduite prudente et vitale de l'humanité...
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puis-je citer un passage de votre texte référent ?