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zeugma

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  1. zeugma

    La psychanalyse

    nous avons tous le droit de trouver une aide, mais l'institutionnalisation d'une forme d'aide en particulier est dommageable, si comme je le soutiens elle est une réduction de la compréhension de la psyché par le vécu et surtout si la méthode employée est sous-tendue par une suite de conceptualisation non fondées, ou stéréotypées... les notions misent en jeu dans le travail psychologique sont toutes issues de la culture psychanalytique, elle même fondée sur la recherche psychiatrique... et c'est pour cela que la normalisation du trouble est devenu pour nos sociétés une constante, jusqu'à dire comme le fit Ping, de faire de la possibilité de mal agir, une réalité immanente et endémique... il n'y a pas pire erreur sur ce qu'est la nature humaine que de dire qu'elle en partie et irrémédiablement fondée sur l'envie de faire le mal...
  2. dans cette phrase :"Il ne s'agit pas de nature défectueuse, mais de nature tout court. Au nom de quelle bonne étoile pourrais-je prétendre avoir échappé à ce qui fait partie de la nature humaine? " vous passez d'une certaine connaissance hypothétique à la résolution que de fait vous êtes seul maître de votre perfectionnement, mais c'est parfaitement inepte et totalement forcé comme raisonnement, la nature est en attente dans chacune de nos vies, elle est une potentialité ouverte et en même temps une ouverture à la complémentarité, la lecture psychologique pose une complexion psychique comme base de tout le développement de la personnalité, c'est-à-dire que toutes personnes est potentiellement déficiente dans sa psychologie... c'est cela le centre de l'erreur du psychanalyste et du psychologue...
  3. et voilà de nouveau une part de la caricature que la lecture psychologique endurcie dans une relativisation du sujet par son vécu produit... vouloir imposer le mode "introspection" à chaque connaissance nécessaire à la vie communautaire, arrive de facto à faire du rapport humain une conséquence de l'assimilation plus ou moins réussie des concepts de la psychologie... alors oui c'est un triste destin ...que le votre et encore plus de ceux et celles qui vous font confiance...
  4. zeugma

    La psychanalyse

    et non justement je ne les confond pas, me suis-je mal exprimé ou m'avez vous mal lu, peut importe pour le moment... ce que j'ai dis c'est que différentes méthodologies psychanalytiques, sont institués et institutionnalisés dans les sphères éducatives et médicales comme unique lecture psychologique de la personne humaine, au travers de ses troubles et aussi dans son développement psychique... c'est cette hégémonie de la vision psychologique que je dénonce comme une dérive, là aussi abusive puisque les bases de la psychologie, et donc du comportementalisme aussi, provient de concepts qui ne se sont imposés dans le corporatisme des psychanalystes et aussi des psychologues... pour avoir plusieurs fois entretenu des dialogues avec des représentants de ces deux "corporations" il est évident que leur méthodes passent par une surexposition du vécu psychologique sur toutes les autres dimensions de la personne humaine, et fini même par imposer cette unique "entrée" comme résolution des troubles et de l'éducation morale... c'est plus qu'un abus de pouvoir, c'est une erreur d'intelligibilité, car de passer de concepts issus des thérapeutiques cliniques, à une généralisation méthodologique de développement de toute personne, est une aberration... les glissement sémantiques du langage psychanalytique sont assez éloquents pour aujourd'hui admettre cette erreur d'intelligibilité... sauf que métaphoriquement, demander à un maçon qui a construit sa maison, de la détruire, est vain...il en vient même à dire que son intelligibilité de la psyché humaine ne tient que si l'on "croit" en la méthode qui l'a édifié... sublime ironie pour cette pratique qui il y a peu encore voulait se présenter comme science... pour moi la psychanalyse et la psychologie sont elles aussi, des formes de scientismes, car elles ont été formées dans un contexte historico-critique, où la modernité devait s'opposer à toutes les anciennes connaissances pour s'imposer... philosophiquement, c'est encore une part de l'héritage hégélien qui a produit cela, les concepts psychanalytiques sont dialectiques en majeur partie, et esthétique en mineure partie...
  5. zeugma

    La psychanalyse

    ce n'est pas mon style, ni mon passe temps croyez le bien, que de tirer à vu sans sommation, mais voyez-vous je constate tous les jours le dégâts de la psychologie sur les personnes qui sont déjà fragilisées par la modernité harassante et de plus, je lis ça et là des textes qui posent les données de la psychologie comportementale comme les bases de notre futur socialisation... la complémentarité entre personnes humaines est beaucoup plus intime que le fait de dégager des types de comportement et de vouloir les associer au mieux...pourtant des sites de rencontres à la décision de placer telle personnes à tel poste avec telle autre personne se fait déjà par ces "marquages typologiques comportementaux"... une sorte d'entrée de données numérique en fait...
  6. il n'est pas suffisant de se trouver en défaut de quelques sorte pour en déduire que votre nature est défectueuse, tout le dilemme entre Voltaire et Rousseau est là... toutes les religions (ou presque) pose aussi cette lutte entre le bien et le mal, mais peu en donne un sens, la psychanalyse qui est aussi une forme de religion scientiste, opte pour le complexe le refoulé l'ombre et toute ces autres figuration de la fomes peccati, mais reste que chaque personne garde son jugement face à ces pensée et ses actes, et donc sa responsabilité... ainsi partant d'une erreur de jugement sur ce qui est en vous, vous essayez de vous "bonifier", ne supplanterez pas autre chose que des figures imaginatives...bien triste destin que le votre...
  7. zeugma

    La psychanalyse

    réducteurs ? non attentiste... et si je demande à Ping de donner son expertise c'est justement pour qu'il accède de lui même à une autre lecture que celle qui lui fait affirmer des poncifs... je l'ai dis plusieurs fois la psychologie est un abus de confiance des personnes qui l'on adopter envers elles même, mais surtout envers toutes les autres qui cherchent une aide, libre à vous de défendre l'indéfendable, et de rester dans une explicitation bricolée de la psyché humaine, mais ne me reprochez pas de chercher ici aussi la vérité...
  8. évidement là vous vous montrez comme vous êtes, et faites pour le coup le jeu de tous les violent, les extrémistes et ceux aussi qui en assumant leur faiblesse tabassent leur femme et leurs enfants, libre à vous de justifier par cette révélation de la bête que vous avez en vous et que vous devez maitriser tant bien que mal, mais dites vous que les personnes qui sont violentes en actes, y trouveront une justification voir même une excuse... ce n'est pas seulement faux cette vision du mal tapis en nous, c'est aussi la caricature des difficultés que nous avons tous pour choisir un bien, comme notre bien... il y a un climat d'autodestruction de la personne humaine dans ces fondements depuis un siècle, j'y vois la synchronicité de plusieurs causes, la psychologie en est une...
  9. zeugma

    La psychanalyse

    comme vous n'en êtes plus à une contradiction prêt, cher Ping, je vous demande de faire le point sur les raisons historiques qui ont vu naitre cette dame comme vous dites, et un fois de plus de nous donner votre lecture psychologique de ces raisons, il me semble que rien que ça nous portera à mieux saisir l'usurpation et surtout l'opportunisme de la psychologie, sœur cadette de la psychiatrie, qui elle a torturer et continue de torturer des personnes... il y a toujours un aire de famille entre les sœurs ne trouvez vous pas Ping...?
  10. fonction symbolique (Lévi-Strauss)...pas exactement, ce que Lévi-strauss dégage dans la structure continue du symbole, c'est la permanence d'une présence représentative, et donc une fonction de délimitation figurative... Loi constitutive (par opposition à loi normative), ces deux formes de la loi repose sur la présupposée loi naturelle qui justifie le libre arbitre et donc bien loin de la castration dont vous parliez plus haut...il y a des occurrences que vous sautez allègrement, ceci pour justifier à votre tour ces pseudos explicitations... "Jung nous appelle à accepter que la capacité à faire le mal, immensément, sans limites, est en nous. Elle est toujours là. Elle n'est pas localisée chez l'autre ou enfermée dans le passé. Le refus de cette réalité en nous est la meilleure façon de déclencher la violence aveugle." cette entreprise n'engage que vous, car ce n'est pas en disant : " L'humanité sait désormais que l'inconscient existe " que la preuve est faite de cette existence, là encore vous passez sur une distinction entre qui rend l'inconscient caduc, c'est l'appréhension transitoire des états psychologiques de supplantation, ce qui est bien sûr formalisé par Jung comme " l'archétype du Soi"... il y aurait dans le travail de ce psychiatre que cette seule explication universellement imposée à toute psyché, que cela ne serait pas trop dommageable, mais ce que vous dites de la capacité de faire le mal comme fond commun à toute les personnes reste une des erreurs les plus significatives d'une autre confusion... les circonstances de l'agir humain sont une complexité qui s'apparente à une trame tissée, chaque fil est indiciblement reliés à un autre, et le contexte agit donc lui aussi comme une cause aggravante ou atténuante du choix humain... ce qui pose en fait la question de la violence comme réaction et plus comme action, la question aussi du violent comme victime lui même de sa propre violence et de la violence de son conditionnement... mais là encore, Jung opte pour l'inconscient collectif dans l'explication de la structure portante éducative du comportement, ce qui est l'aberration suivante de son affirmation de l'inconscient personnel, et ne pousse qu'à une inconnaissance des leviers communautaires pour endiguer ce mal personnel, violence ou autres... dire qu'il existe une structure inconsciente personnelle et communautaire qui influe "involontairement" sur le comportement, ou plus exactement que le moi cherche à réaliser une personnalisation entre la conscience et les énergies inconscientes, un archétype du Soi, c'est introduire un dualisme fondamental dans l'émergence de la personnalité et donc une dichotomie irréductible... car si parfois des personnes sont en doute de leur unité intelligence/volonté, cela ne conduit pas à appliquer à chaque personne cette double influences : inconscient individuel et inconscient collectif... une vision comme celle de Jung provient d'un abandon du sens au profit d'un abus de la signification... il serait facile de reprendre les discours de ce courant de pensée pour en faire la preuve... et entre autre dans votre phrase : "La scission entre conscient et inconscient, entre savoir et croyance, devient source de conflit en l'homme, donc d'une pathologie qui lui est consubstantielle. L'homme ne peut s'identifier qu'avec ce dont il est conscient, il est donc déraciné, séparé d'une partie de lui-même." le glissement sémantique entre le savoir et la connaissance d'une part, la croyance et la foi d'autre part en est une preuve patente...puisque vous identifiez le savoir et la croyance comme deux entités opposées tout autant que conscience et inconscient, comme si la signification de ces deux paires suffisait à donner la raison de cette dichotomie interne, alors que le sens du savoir est de devenir une connaissance et celui de la croyance est de manifester sa foi... la signification prit comme signe de l'inter-cohérence du "je" et l'oubli du sens qui est l'implication du" je" dans le monde et avec les autres "je", résume ce glissement sémantique de la psychologie jungienne... je vous l'avais déjà dis à propos de la méditation, vous mettez vos étiquettes sur des bocaux dont vous ignorez le contenu réel, alors tant que ça en reste là c'est pas grave, mais si vous devez faire une recette pour les autres, c'est l'indigestion assurée... relisez ce que votre Jung a dit de l'homosexualité et revenez en parler si vous en trouvez le courage... pour le reste de votre réponse, vous ne pouvez pas mieux justifier la casuistique de la psychologie jungienne, que de dire: " Les hommes espèrent résoudre ce conflit en changeant la société, c'est insuffisant. Ainsi les espérances politiques sont toujours déçues. " c'est une vision défaitiste du vivre en commun que des personnes entretiennent pour imposer leur jugement péremptoire et partial, car alors vous donnez de facto le pouvoir "aux grandes gueules" qui elles sont déjà en plein égotisme...on en connait actuellement des meugnons...
  11. ce que certains posent aussi, ce sont de fausses déductions, puisque leur prémisses sont composées de faits complexes et donc non-conciliable avec un raisonnement qui doit partir de prémisses simple ou tout au moins qui permettent d'orienter la réflexion vers une induction viable... il en va de même pour les scientistes qui posent entre plusieurs possibles justifications de leur position, celles qui supposent que : 1/ la science s'est rendue indispensable à l'intelligibilité du réel... 2/ la méthode scientifique étant perfectible, ses imprécisions ne sont que des moments d'incertitudes relatif au savoir global et progressif... 3/les résultats scientifiques portent en eux même une somme de cohérence suffisante dû à la justification de la preuve... 4/toutes les autres connaissances non-scientifiques sont incluses dans une culture historicisées donc dans un relativisme aléatoire et que seule la science comme nécessité de formalisation par l'expérimentation permet de dépasser... 5/ que toute science mène au scientisme, puisque toute connaissance scientifique est une partie de la connaissance universelle qui s'impose par ses résultats vrais... ce qui semble cohérent dans toutes ces propositions c'est que chacune fait l'impasse sur une des données de base de l'intelligence humaine : 1/ toutes les personnes ne sont pas scientifiques... 2/ l'intelligence humaine à besoin d'une part de certitude qui s'appuie sur des évidences... 3/il n'y a pas que la preuve qui soit indispensable au jugement, il y a aussi l'assentiment de la volonté... 4/ les humains restent par delà leurs savoirs personnels dépendants d'une culture... 5/le vrai des sciences est conditionnés par une méthode qui pose une logique en lieu et place d'un jugement personnel sur le réel, c'est un abus de pouvoir... P.S si les sots sont vides de sens, ne faisons pas du sens de leurs sauts dans un seau vide,un sceau du sens du vide...même si le seau fût plein, leur saut resterait sot...
  12. ça y est nous entremettons la Jungienne métamorphose du langage pour assoir un raisonnement sur ce que Jung ne percevais que comme une structure aléatoire de la psyché... je vais vous donner de l'eau pour votre étant d'insignifiance canard Ping : bien sûr ne vous noyez pas dans cette extrapolation, mais tout le monde sait que le canard est étanche...donc tant qu'il n'ouvre pas son bec il ne craint rien... Les phénomènes de synchronicités sont caractérisés selon Carl Gustav Jung par la coïncidence significative d’un phénomène physique objectif avec un phénomène psychique sans qu’on puisse imaginer une raison ou un mécanisme de causalité évident. A partir de la correspondance maintenant disponible de Jung avec le théoricien de la physique Wolfgang Pauli, on constate que Pauli a eu une participation décisive pour la préparation finale de cette idée. On évoquera les questions qu’ils se sont posées dans leurs discussions sur la causalité, la reproductibilité, le hasard, la probabilité et l’évolution biologique. Le problème de la complémentarité entre psyché et matière, signalé plusieurs fois par Pauli, est aujourd’hui reformulé par la vision de la physique quantique moderne. Comme la partie matérielle de l’unus mundus est décrite correctement par la mécanique quantique, il est concevable de supposer que les structures les plus fondamentales de cette théorie puissent avoir une validité en dehors du domaine matériel. On montrera que, selon cette supposition, des corrélations holistiques entre la psyché et la matière sont possibles si, et seulement si, il existe des propriétés incompatibles non seulement dans le domaine matériel mais aussi dans le domaine psychique. type Loi symbolique...
  13. sauf que cette Loi que vous nommez "symbolique" est une imaginative projection de la non-connaissance des fondements de la violence naturelle...et que cette hypothétique "symbiose" repose sur des normes non définis tant au plan morale, qu'au plan physiologique... encore et une fois de plus la projection des vaporeux concepts psychologiques vous font tournez la tête, mais ne donne pas de vrais marquages entre les violences légitimes et les autres... aparté : ne soyez donc pas surpris si mes critiques visent la lecture psychologique unilatérale des comportements humains, le XX ème siècle à tellement formater les consciences par cette pseudo connaissance de la psyché humaine, que nous devons encore quelques temps nous opposer en des sujets qui sont enracinés dans la nature et usurpés dans la psychologie explicative...reste que les entourloupes de cette dernière pose la question de la responsabilité de chacun face à sa propre violence et que ses explicitations sont comme en temps de carnaval, un déguisement de circonstance...
  14. bah c'est ce que je disais une confusion de la psychologie communautaire qui est portée jusqu'à la mise en parallèle d'une non-équivalence entre deux modes de violence morbide, mais qui fait l'impasse sur les causes propres de chacune d'elles... ainsi de la conscience personnelle et collective d'une loi corrective, est établie que la mise à mort d'une personne est la marque soit d'une erreur soit d'une justice... et donc confusion entre la motivation et le vécu...car ce qui motive les juges quand ils décident d'une peine de mort, c'est que cette peine est à la mesure de la faute, qui elle est issue d'un vécu... cette confusion à pourtant bien été explicitée par les abolitionnistes de la peine de mort, qui signale qu'elle ne produit en rien un jugement équitable puisque que les deux morts n'ont pas les mêmes motivations... faut-il être dans un état d'esprit primal pour faire de cette équation : mort injustifiée + jugement juste = mort juste... ....C'est pourtant simple. La violence est en règle général illégitime... alors non ce n'est pas simple si vous ne distinguez pas "violence vers la vie" et "violence vers la mort"...et exit les notions de pulsion de vie pulsion de mort qui ne font que regarder les deux dans le même alignement, celui de la domination de l'ego...mais ne distinguent pas, là non plus, la motivation et le vécu... ...sauf quand elle est utilisée dans le cadre de la Loi, pour assurer ou restaurer la protection de ceux qu'elle est censée protéger... qu'elle est donc cette Loi qui à envoyée des milliers d'hommes dans les tranchées de 1914-1918 ? une bonne ou une mauvaise Loi ? vous entrevoyez la question de la violence sans en connaitre ses fondements...mais pourquoi cela ne m'étonne pas...
  15. ...à ceux qui de ne distinguent pas leur droite de leur gauche, reste une sauvegarde, c'est d'adopter la devise "le ridicule ne tue pas" et aux autres de regretter que cela ne soit pas...
  16. non c'est votre incompréhension de la forme naturelle de la violence qui est de se prémunir d'une destruction ou d'une atteinte, et ce que nous voyons de l'agressivité sans but autre que d'assurer son hégémonie psychique, et qui est une violence de mort... mais cela ne doit pas étonner, ceux qui sont asservis à une lecture psychologique des phénomènes humains, ne peuvent pas se dégager de leur imagerie contradictoire et caricaturales... il en va de même pour cette question sur la violence comme de celle de la méditation, avec toujours la même confusion entre la motivation du sujet et le vécu du sujet...
  17. temps que l'on ne sait pas personnellement faire la distinction entre violence en vue de la vie et violence en vue de la mort ou que l'on confonde alternativement les deux, ce sujet tournera autour d'un jugement éthique sur la violence ou plus réducteur encore autour d'un jugement psychologique de la violence... si notre monde inter-relationnel et individuel se nourri de violence, c'est parce qu'il accélère démesurément son efficience... La victoire obtenue par la violence équivaut à une défaite, car elle provisoire Gandhi
  18. je t'avais donner précédemment une liste de cinq modalités de présences en disant qu'elles sont aussi pour moi les cinq fondements qui devraient être mis en perspective...car si il y a identification entre une présence et un fondement de développement évolutif, cela veut aussi dire que rien de naturel ne peut se faire sans eux et elles... c'est donc un choix personnel que de reprendre ces fondements comme base universelle de toutes activités de développements.....ou.....de faire fi de ceux ci et de continuer à "inventer" un avenir en dehors de ces fondements ou plus exactement ne tenant pas compte de l'ordre interne qu'il implique...et ça c'est "grave" dans le sens attraction gravitationnelle communautaire... ¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤ Oui, c'est un bon programme, mais qui va s'en charger ou le faire vivre ? toi, moi et tous ceux qui ont pigé l'enjeu d'un tel choix... ¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤ Oh mais je pense que la vie est pleine de ressources, si elle est différente, moins naturelle, moins adaptée à notre nature, elle pourrait continuer à persévérer malgré tout, et que nous ne faisons que voir le tout début d'un " déclin " plus grand encore... À moins que... la vie idéalisée oui, la survie pas du tout et c'est en celle-ci que nous entrons un peu plus chaque jour en continuant dans cette voie de destruction du lien naturel... cette notion de déclin est pour moi assez trompeuse, car elle signifie que la valeur d'une chose peut être dévaluée ou détruite, ce qui n'est déjà pas la même chose et elle veut dire aussi que "l'humain" aurait quand même des ressources de vie en dehors de la terre, ce qui est faux évidement...ne serait-ce que sur le plan alimentaire et environnementale...alors dire "déclin assumé" ou "redouté" est un débat stérile qui évite de nous positionner face à ce que nous produisons tous les jours... ¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤ N'est-ce pas déjà le cas dans les sociétés dites modernes !? Et l'obnubilation des personnes a avoir tel ou tel objet à la mode ( qui repose donc sur une(des) exploitation(s) ) !? bien sûr oui...mais sommes nous devant un vide civilisationnel tel que ce n'est plus que par ces petits "gadgets"que nous nous motivons au travail et dans nos loisir ? ce que je te signale, c'est une habitude de comportement conditionnée par un "confort" psychophysiologique qui ne permet plus d'estimer nos erreurs de développement, une sorte d'anesthésie du corps social en vue de lui faire subir des opérations contre-nature...(prit dans les deux significations du mot "opération"intervention sur le corps et passage à l'action, réalisation d'une œuvre)... ¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤ Tout à fait, mais ce n'était pas exactement l'idée que je t'avais soumise, à savoir, que même avec un système parfait, l'échec nous guetterait, car sous l'emprise d'êtres, eux, imparfaits, pour rester modéré. Dit autrement, l'Homme est perverti, on aura beau faire, le jeu sera toujours biaisé, sauf à sentir l'inéluctable, mais jusqu'à la prochaine amnésie: comme au lendemain de la crise de 2008, après avoir aidé les banques étasuniennes en difficulté par l'État éponyme, dès que les conditions sont redevenues ce qu'elles étaient ou similairement, elles ont repris de plus belle leurs petites besognes ! la conscience humaine moderne pose deux problèmes et veut une seule réponse, les deux problèmes sont : celui de la survie et celui du développement, mais elle ne veut qu'une seule réponse pour ces deux problèmes : c'est un plan d'action... ce que je te dis c'est que nous devons entrevoir ces deux questions avec des réponses séparées car les fondements qui les font se poser ne sont pas les mêmes... pour la survie c'est l'interdépendance... pour le développement, c'est la relation... vouloir un plan d'action qui tient ces deux questions à égal qualités "d'influences" produit et produira ce que tu dis, l'échec nous guetterait, car sous l'emprise d'êtres, eux, imparfaits... la vision écologique qui est la mienne pose donc deux réponses simultanées à ces deux questions, pour la survie, une prise en compte de toutes les interdépendances avec le milieu de vie et les autres êtres vivants, comme garantie de survie... et un mode de relation nouveau qui puisse établir une égalité et une fraternité de décisions pour le développement de notre civilisation... dans la pratique, aillant ces deux nouvelles directives, il serait enfin possible de circonscrire la liberté d'entreprendre de nos sociétés technologiquement développées ou celles qui s'y apprêtent... il n'est pas possible de remettre le destin de l'humanité et celui de la vie toute entière dans le bon ou moins bon vouloir de personnes qui ne pensent qu'à produire toujours plus et toujours plus efficacement, c'est là aussi une caricature de ce que la nature produit, elle depuis longtemps, car la quantité dans la nature est toujours soumise à certaines qualités inhérentes de chaque être, ce qui équilibre dans le temps, le développement et la survie des espèces, ainsi le temps de la nature est l'immobile stabilité de son mouvement, alors que le temps artificiel humain est devenu la mobilité instable de sa propre motricité...l'enchaînement sans fin de son efficience... il y aurait encore bien à dire sur ce sujet mais seulement si cela est déjà perçu... ¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤ Je comprends bien, mais ce qui me préoccupe c'est d'en connaitre les modalités pratiques, appliquées au plus grand nombre, ou du moins par ceux les plus à mêmes d'enclencher le mouvement général ! voir mon début de réponse dans le paragraphe précédent... ¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤ C'est-à-dire qu'il nous faut une volonté agissante et impactante : tout un chacun qui du bas fait remonter par le nombre jusqu'en haut des décideurs, ou quelques bonnes âmes qui gouvernent sauront trouver les moyens de faire évoluer la société entière ? Parce qu'avoir des objectifs ou d'avoir identifier les maux ou les remèdes possibles, c'est un bon début, mais il faut bien passer à l'application ou la mise en place effective du plan ! Et c'est là que le bât blesse, il me semble. non pour moi ce qui blesse c'est de laisser la direction de notre socialisation à celles et ceux qui ont fait des choix dirigés vers une survalorisation de la productivité humaine, et surtout à l'application pratique d'un plan de développement de l'humanité selon les lois de la mécanisation générale de notre/nos présence(s) au monde... la médiété des vertus aristotéliciennes appliquées au développement, qui était entendu comme "rapport proportionnel" entre nos besoins corporels et nos envies psychophysiologiques, est devenue une fuite en avant d'une unique "manière" de se développer, qui nécessairement produit de l'artificiel, en rupture avec le milieu de vie, car là aussi, l'inventivité humaine est devenue l'unique stimulation par l'inter-événementiel humain, au détriment de tous les autres évènements, et même en opposition à eux... ainsi nous estimons de plus en plus avec le même jugement, ce que nous produisons et ce que la nature produit, mais oublions que cette fausse équivalence nous fait dériver en t'en que vivants vers une dépendance beaucoup plus destructrice que celle du milieu de vie naturel... peut-être que cette explicitation implique trop de paramètres pour être aussi vite résumée en une phrase, pourtant j'y vois une des dichotomies radicales de notre temps... ¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤ ...Parce qu'avoir des objectifs ou d'avoir identifier les maux ou les remèdes possibles, c'est un bon début... mais qu'est-ce qu'un début si ce n'est déjà quelque chose de la fin...? l'unicité du pourquoi et du pour quoi en sommes... bien à toi D.U
  19. zeugma

    L'arrogance de la victoire

    1513 "le Prince" de Nicolas Machiavel...
  20. car on ne devient ni psychanalyste ni instructeur Zen de son propre chef. ?
  21. zeugma

    L'arrogance de la victoire

    une petite pose littéraire...que m'inspire ce sujet... "Mais la conquête une fois faite et le monarque vaincu en bataille rangée, de manière a ne pouvoir plus refaire ses armées, on n'a plus à craindre que sa race, qui, une fois éteinte, ne laisse plus personne à redouter, parce qu'il n'y a plus personne qui conserve quelque ascendant sur le peuple ; de sorte que si, avant la victoire, il n'y avait rien à espérer des sujets, de même, après l'avoir remportée, il n'y a plus rien à appréhender de leur part." "II en est tout autrement des États gouvernés comme la France. Il peut être facile d'y entrer en gagnant quelques-uns des grands du royaume ; et il s'en trouve toujours de mécontents, qui sont avides de nouveautés et de changements, et qui d'ailleurs peuvent effectivement, par les raisons que j'ai déjà dites, ouvrir les chemins du royaume et faciliter la victoire ; mais, s'agit-il ensuite de se maintenir, c'est alors que le conquérant éprouve toutes sortes de difficultés, et de la part de ceux qui l'ont aidé, et de la part de ceux qu'il a dû opprimer." "Bien des gens ont imaginé des républiques et des principautés telles qu'on n'en a jamais vu ni connu. Mais à quoi servent ces imaginations? Il y a si loin de la manière dont on vit à celle dont on devrait vivre, qu'en n'étudiant que cette dernière on apprend plutôt à se ruiner qu'à se conserver; et celui qui veut en tout et partout se montrer homme de bien ne peut manquer de périr au milieu de tant de méchants. Il faut donc qu'un prince qui veut se maintenir apprenne à ne pas être toujours bon, et en user bien ou mal, selon la nécessité."
  22. quelques soient les façons dont nous voulons orienter notre destiné, il est évident que cette terre est un point de départ incontournable, c'est pourquoi, retrouver un développement qui rectifie certaines dérives est non seulement incontournable, mais surtout une évidence pour toutes les personnes aillant saisi cette dépendance... pour les autres personnes, qu'elles fassent fi de certaines réalités n'est pas étonnant, il y a en tout temps et tout lieux des égarés, des retardataires, des traînes-savates, des revêches, des jusqu’au-boutistes, et autres imprécateurs...et si elles font obstacle, c'est surtout en raison de leur humanité respectable, et point par leur opinion...
  23. si déjà vous aviez une connaissance de la conscience qui n'implique pas un inconscient, cela vous éviterait peut-être de vouloir chercher au delà de l'ignorance et des illusions du moi-conscient une place à regagner... je ne vous suivrais pas dans cette recherche, car vous appliquez des concepts psychanalytiques à une tradition spirituelle, c'est votre droit, mais honnêtement si vous pratiquez la méditation, vous devez bien vous rendre compte que cet "étiquetage"n'apporte rien... tout comme dire qu'il existe une intelligence émotionnelle, est une confusion entre la connaissance que nous avons de nos émotions et notre émotivité qui réclame une intelligibilité, votre explicitation de la méditation avec des concepts pratiquement thérapeutiques, n'est pas pour moi recevable... libre à vous de faire cette lecture, mais ne comptez pas sur moi pour allez plus loin, ce que j'appelle non-sens est aussi une perte de temps... bien à vous Ping...
  24. Constat Pourquoi avez vous fuis de notre terre-mère comment pouvez vous croire que vous êtres autonomes vos villes sont un piège de sucreries amères et les sciences torturent le destin de tout homme... Vous prétendez sortir l'humanité de l'ombre mais ne faite qu'éteindre la lumière de la vie par la maîtrise sourde et du fer et des nombres c'est d'abord de vous même dont vous avez mépris... En imposant à tous l'immonde caricature d'un monde consommant à tors et de travers la seule fois où vous êtes respectueux de nature c'est le jour où vos corps reposent au cimetière ! Voici mon espérance, sans haine et sans colère tombés tous de vous même, orgueil et vanité concupiscence aussi, vivez plus bas que terre que rien ne vous soulage dans votre gravité ! Un jour l'enfantement d'un nouvel être humain fera le commentaire de votre inexistence ''ne jamais s'éloigner du bonheur souverain c'est suivre la nature dans sa munificence'' !
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