-
Compteur de contenus
670 -
Inscription
-
Dernière visite
Type de contenu
Profils
Forums
Blogs
Calendrier
Vidéos
Quiz
Movies
Tout ce qui a été posté par zeugma
-
est-il pertinent de prendre ce qui est dit dans cette vidéo, pour continuer le sujet qu'est-ce que le scientisme...? à mon avis oui...
-
Spinoza " les hommes se croient libres parce qu'ils ignorent qu'ils sont déterminés "
zeugma a répondu à un(e) sujet de deja-utilise dans Philosophie
cette peur du rejet/jugement sociale est propre au moment où la dés-appropriation de la culture devient effectivement une conséquence inévitable, elle est liée cette peur, indissociablement à la perspective de ne plus être vu comme je suis, mais comme ce qu'il faut être, avec en effet un accroissement de la peur d'être rejeté, et jugé son avoir ou son pouvoir par l'autre, qu'il soit pouvoir politique ou administratif, autorité singulière ou collective, opinion taillée pour discriminer à tire larigot.... bien à toi...D.U -
tout à fait, si nous pouvions voir la suite de 1000101001100 qui sont devenus toutes nos phrases et photos et autres instants de vie, nous pourrions en effet nous poser cette question, est-ce bien cela mon intelligence ? mais comme tout exercice de transcription porte en lui un encodage efficient et déficient, pour augmenter la circularité de l'information, il a une fascination pour cette machinerie qui réussis à rendre présent tout sur tout et cette chose à coté de cette autre, cette circularité et les nœuds de réseaux qui en sont nés forment la toile structurelle de notre nouvelle enveloppe sociale...un manteau surchauffé pour le corps social, afin de combler le refroidissement de notre cœur social...la fraternité... bonne fin de semaine également...
-
Le vide, le néant, l'homme et sa vacuité
zeugma a répondu à un(e) sujet de zenalpha dans Philosophie
oui tout à fait et personnellement j'étudie la thèse de Gilbert Simondon sur l'individuation à la lumière des notion de forme et d'information, car il est récupéré par certains courants trans-humanistes, alors que son propos est tout autre que la sortie de l'humanisme... alors que son travail pose de vraies questions sur l'homme-machine le "technocrate" et la machine-humanisé...type robots... -
excellente appropriation de la même réduction au plus petit dénominateur commun entre ces exemples criant d'injustice caractérisés, le scientisme semble bien être une forme de réductionnisme nihiliste, qui fait tomber dans le néant, pour le coup il se trouve à sa place, toutes les spécificités qui ne sont pour cette "manière" de voir le réel, que des variables ajustables comme objet et plus des particularités du sujet... c'est ce que je nomme la matérialisation de l'intelligence humaine que nous voyons se développée en plein dans l'intelligence artificielle...la bien nommée IA ... merci à toi Déjà-utilisé pour cette a propos indispensable...
-
vous aurais-je mal lu tison2feu ? il me semble que vous vouliez m'évincer de la zone de pertinence des participations à ce forum... je ne suis justement pas dogmatique, puisque je recherche à corps et à cri une coopération fructueuse de toutes les intelligences, même de celles qui usent de méthodes qui sont pour moi assez incommodes à partager, telles que la méthode scientifique et la méthode psychologique dans la connaissance du réel de la matière et du réel humain...
-
Le vide, le néant, l'homme et sa vacuité
zeugma a répondu à un(e) sujet de zenalpha dans Philosophie
oui merci Déjà-Utilisé, je ne l'ai pas assez détaillé dans ce rapide tour d'horizon... et puis tu dis : " La quête de sens n'est pas exclusivement concomitante à du savoir, cela relève avant tout d'un choix préalable ou d'une inclinaison à ça. " oui mais il y a une recherche d'unification des sens particuliers, passionnels et conjecturaux qui est demandé à des instances, comme hier la philo ou la religion et aujourd'hui les sciences...ce qui se constate c'est que la complexité du monde ressemble de plus en plus à la complexité de la matière expérimentée et théorisée par certaines sciences, c'est là mon questionnement sur le bienfait de la sortie du conditionnement naturelle et sur l'entrée dans un conditionnement artificiel, qui voudrait "gérer" cette complexité...entre autre par les technologies... bien à toi... -
Spinoza " les hommes se croient libres parce qu'ils ignorent qu'ils sont déterminés "
zeugma a répondu à un(e) sujet de deja-utilise dans Philosophie
bien le bonjour à toi... Merci de me poser ces deux questions qui sont évidement liées par un même désir que tu évoque toi même, plus haut dans ton texte : "Et se surajoute une irrépressible envie/besoin, une sorte d'élan vital, de comprendre le plus loin et complètement possible où mes forces/capacités me le permettent, pourtant faiblardes ! " en effet il y a dans ce désir contemplatif qui réunis indispensablement le besoin, l'envie, le projet de comprendre une des unités de l'acte contemplatif, et de la forme de questionnement propre à la théologie naturelle, c'est de poser un acte qui est une égale intensité d'intelligence et de volonté, une égale disposition au vrai et au bien, un parfait équilibre entre l'individu et le Tout... telle est la recherche en théologie naturelle qui pose un acte contemplatif sur le réel, et écoute l'écho de cet acte... telle est l'acte contemplatif qui assure à la conscience une évidence certitude, apte à la rassurer sur les trois peurs que j'ai souligné dans un autre post, la peur de la mort, la peur de la dés-appropriation culturelle, et la peur de la dévalorisation du sens... et cet acte contemplatif fait aussi acte de contraste avec les autres pensées émient selon un autre schéma conceptuel, une autre culture d'inférences, un autre stade de conscience...etc... la contemplation ne juge pas, elle perçoit la place de telle réalité en elle même, car elle opère une saisie immédiate et sans temporalité de l'objet contemplé... je sais que cette dernière phrase fera bondir de stupeur colérique et toi aussi peut-être, car elle correspond si peu à la fonctionnalité de la raison, et même pas de l'intuition, que certains la nomme ici doux rêve ou vision de guru... sauf que, cette faculté de connaissance est ancienne et à toujours été même minoritaire, une voie de sagesse... le tao, certains upanishads, certains passages très court d'Aristote et de Plotin etc...disent de cette autre forme de saisie du réel, qu'elle est la plus pauvre puisqu'elle "est tout" sans "rien avoir"... cet acte est une "concentration" de l'intelligence et de la volonté selon une qualité essentielle de chacune d'elles, le jugement d'existence pour l'intelligence, l'acceptation pour la volonté...le vrai et le bien... en restituant toutes les spécificités de la réalité contemplée sans les modifier, sans les séparer ou les comparer avec une autre réalité, mais uniquement dans ce qu'elles sont pour le Tout... bien sûr les données que rassemble la théologie naturelle sont saisies parfois aussi par d'autres modes d'intelligibilités, et c'est là qu'une coopération et qu'un dialogue devient possible, car en t'en que tel l'acte de contemplation ne communique rien, mais demeure dans la présence de la réalité contemplée, c'est pourquoi les "outils" de la théologie naturelles ont comme mission de rendre universelle cette saisie, et c'est parce que cette contemplation est celle d'un être singulier situé et défini/limité par son corps, que l'intelligence peut traduire en concepts cette saisie contemplative... j'ai dis ailleurs qu'elle est une écologie de l'intelligence, c'est parce qu'elle est une vie avant tout, et qu'elle a comme toute vie, la tridimensionnalité des mouvements vitaux... selon la forme, la croissance et local... la théologie naturelle à donc un mouvement selon la forme, c'est l'unité de la saisie intelligence/volonté, qui est unité du vrai et du bien... la théologie naturelle a aussi un mouvement selon la croissance, c'est la répartition de l'agir morale et pratique conséquent de l'acte contemplatif de telle réalité...une adéquation de l'être et du devenir si tu veux... la théologie naturelle a aussi un mouvement selon le lieu, puisque notre conditionnement corporelle nous donne d'être des individualités respectives et inter-relationnels, ce que l'acte de contemplation vient éclairer d'une manière propre, puisque il restitue au corps la juste disposition de lui même et la juste mise à disposition des autres corps... l'acte contemplatif dit à partir du " Tout" comment et pourquoi les parties existent les unes pour les autres à partir de ce qu'elles sont dans leur délimitation et leur position dans le lieu... je poursuivrais cette explicitation si tu le désir Déjà-utilisé car il reste encore beaucoup à en dire... bien à toi... -
curieux que l'auteur de cette phrase : "La science coupe les ailes des anges en conquérant tous les mystères, elle vide l'air des fantômes et les mines des gnomes et détruit l'arc en ciel" ne se rende pas compte, (mais si il s'en rend compte), que son dire est une déclaration de guerre à la nature humaine... puisque son texte est une allégeance à une humanité psychologiquement"scientisée " laissant celles et ceux qui ne suivent pas cette prédominance sur le tas de ruines de la nature détruite, et je dirais même plus , si il a fallut passer par la conscience artificieuse de l'aventure théorique de l'astrophysique pour écrire ce qu'écrit l'auteur et en même temps oublier le quotidien de millions d'être vivants, c'est un génocide accepté... les vrais scientifiques savent eux ne pas les oublier...
-
au moins ce sujet aura servi à désigner l'existence avérer de la gente scientiste par un de ses représentant... P.S si faire taire son ego équivaux à laisser la machinerie techno-scientifique prendre la place du jugement humain sur son destin, alors je vais faire des vocalises pour que mon ego résonne jusque dans vos oreilles bouchées de "boucher"...
-
monsieur tison2feu, la démesure de votre réponse faute de réduire ma suffisance donne bien l'impossibilité de certaines intelligences à regarder au delà de ces obstacles psychologiques, une coopération possible entre plusieurs points de vues, entre plusieurs jugement sur le réel... sans doute je suis un monstre, mais un monstre qui à envie d'être au service des autres, alors que vous ne prétendez servir que votre délimitation intellectuelle, vous aussi comme petit propriétaire, vous cherchez à revendiquer une appartenance, ce qui vous donne envie, rien de plus rien de moins que de qualifier les autres à l'aune de vos capacités, alors je ne dirais pas que vous êtes suffisant, pas que vous êtes incompréhensible, mais que vous êtes plus banalement en doute de vous même, et qu'une certaine aigreur vous permette de vous situer contre au lieu de cherche à être avec... encore un fort beau cas de "contradiction" qui reste en opposition et s'en contente... vous êtes en faite en contentement de vous même dans cette opposition psychologique... bien à vous quand même...
-
Le vide, le néant, l'homme et sa vacuité
zeugma a répondu à un(e) sujet de zenalpha dans Philosophie
bonjour à vous et à votre sens de la discussion... je cite une de vos phrases Déjà-utilisé: "En ce qui concerne les idéologies internes, la ligne de démarcation est plus difficile à situer, puisqu'il faut à la fois décrire le champ de la science dans l’histoire de ses modèles et de ses concepts et situer les idéologies produites implicitement dans la constitution de cette science. " car elle ouvre à une réponse circonstanciée à la question qui soutient notre débat... et je reprendrais en même temps le thème inaugurale à savoir : le vide, le néant, l'homme et sa vacuité, car la réponse que je tiens à vous soumettre sur l'interpénétration de la psychologie et de la théorisation singulière et méthodologique des science , est partie prenante de l'effort de la pensée générale, comme conscience réflexive, à sortir du vide et du néant et à entrevoir une présence au monde qui vienne combler son sentiment de vacuité... donc j'établirais premièrement un constat entre la rationalisation des moyens de productions au travers des âges et l’émergence d'un savoir recherché pour lui même, ce que furent les sciences dans l'antiquité... la recherche de stabilisation du groupe humain a dû utiliser toutes sortes de techniques rationnelles appropriées pour dégager d'abord une autogestion alimentaire, puis commerciale et militaire, ces deux formes d'extensions de l'autonomie se retrouvent très tôt dans notre histoire...de cette autonomie et donc "du temps libre" dégagé pour certains des citoyens, est né la philosophie et déjà une première ébauche de la recherche scientifique théorie/expérimentation/preuve... ainsi toutes les "premières découvertes scientifiques" étaient soutenues par une vision philosophique du monde, puis certains contextes politiques et économiques ont réclamé que les disciplines scientifiques soient utiles, soit à la consolidation de l'autorité politique, soit à la consolidation économique par l'extension du commerce... nous sommes donc enclin à voir dans la recherche d l'intelligence humaine par voie de théorisation/expérimentation/preuve une application intellectuelle du développement de la conscience communautaire qui cherche cette autonomisation d'avec la nature, en la gérant, et même entre groupes constitués, tels que les villes, les nations, les pôles financiers, les centres universitaires et autres... maintenant la question qui me reste à poser est celle ci : est-ce que la recherche scientifique est le maillon du phylum intellectuel qui nous défini le mieux et le plus totalement en t'en qu'être humain ? car en n'y répondant, il y a fort à parier que nous allons mettre en lumière cette inter-pénétrabilité du psychisme et de la théorisation/expérimentation/preuve... présupposé : la conscience humaine est en recherche de stabilité face à trois "peurs de l'inconnu"que sont : 1/ la mort, 2/la dés-appropriation culturelle et 3/ la dévalorisation du sens... et comme il se doit il y a trois sciences qui tentent d'y répondre que sont : 1/pour la mort : la médecine incluant toutes les parties biologie, biochimie, biologie moléculaire, neurobiologie etc...(pardon pour les oublis)... pour écarter la peur du vide humain, qui est l'absence de vie radicale et sensible qu'est la mort... 2/pour la dés-appropriation culturelle c'est à l'histoire, à l'anthropologie, à la sociologie et à la psychologie que la conscience humaines demande de réduire cette peur, et ainsi d'emplir sa vacuité fondamentale de représentativité de lui même dans le monde... 3/pour la dévalorisation du sens, la conscience collective avait demandé à la philosophie et aussi à la religiosité spirituelle de rassurer cette béance, ce néant qui parfois s'ouvre devant la destiné de l'espèce humaine, justement parce que c'est la seule espèce qui se pose des questions sur son état conscient, sur son être là comme le disent certains philosophes, sa mission comme l'affirment certains prêcheurs, et comme le redéfinissent certains scientifiques, physiciens, chimistes et astrophysiciens... une recherche de sens face au néant, c'est ce que veut la conscience humaine, attendant des réponses, comme fil de chaîne et fil de trame afin d'en tisser un vêtement, car les peurs s'accompagnent toujours de frisson... P.S je reprendrais cet exposé qui est une lecture offerte/ouverte et pas uniquement mon point de vue sur notre condition humaine... -
propos de Zenalpha... Mes griefs à present... Ce topic est majoritairement animé par une volonté sous jacente d'attaque masquée aux sciences sous couvert d'aborder le scientisme par technique d'amalgame ; Et je constate que la plupart des intervenants sont tout bonnement incapable de reconnaitre la plus value de la methode experimentale sur tout autre methode dans La comprehension des phénomènes physique...A partir de la, le debat n'est pas le scientisme mais les états d'âme de doux rêveurs au sujet de la méthodes scientifique." "C'est mon point de vue" dans le passage cité ci dessus, nous percevons bien les trois griefs types d'un refus de coopération intellectuelle, et ce n'est pas uniquement à cause de l'égotisme de l'auteur, mais bien par manque d'objectivité du danger que nos activités peuvent contenir...l'économie, la politique, la sociologie, la psychologie, la philosophie, et y comprit les recherches scientifiques... 1/ grief redéfinir notre motivation en la dévalorisant... 2/grief dévalorisation et caricature de l'intelligibilité des autres intervenants... 3/grief ridiculisation de notre participation... ce sont les trois mode de refus de coopérer classiques si je puis dire, qui se retrouve en toute les mégalomanies dictatoriale...faite vous même ce travail de comparaison, il vous éclairera sur la finalité que l'auteur poursuit... en réduisant de lui même notre possible et ajustable reconnaissance de la"plus-valus de la méthode expérimentale sur tout autre méthode dans La compréhension des phénomènes physique..." l'auteur refuse catégoriquement cette coopération... mais pourquoi cela ne m'étonne pas ? c'est que la peur arrive toujours à l'intelligence de ceux et celles qui veulent avoir une domination sans partage sur une part du réel, et que vouloir tenir ce qui ne leur appartient pas avec une formalisation qui elle leur appartient conduit inexorablement à rejeter toutes les autres formes de savoir... Zenalpha et d'autres sur ce forum ne sont ni plus ni moins que de petits propriétaires intellectuels... et des preuves/signes, est cette petite phrase qui termine et signe son texte: "C'est mon point de vue" tout est dit...
-
et vous très chère LouiseAragon, d'aller à la pêche à la définition, c'est déjà pas toujours évident de faire coïncider les concepts de la théologie naturelle et ceux de la philosophie de ce forum, et encore moins quand les participants ont eux mêmes la double casquette de scientifique, homme de lettre et de psychologue, mais vos premiers mots sont assez parlant en tout cas, je les cite à nouveau : "Permettez moi de douter du "naturel" en matière de culture !" c'est justement sur l'origine de votre doute que moi je m'interroge, qui êtes vous donc pour mettre de coté aussi affirmativement la notion de nature de celle de culture ? c'est bien étrange que vous ne puissiez entrevoir ne serait que partiellement une origine naturelle à la culture, avez vous opté une fois pour toute dans l'artificieux ? même Zenalpha, il me semble n'en est pas à ce point de rupture avec la nature comme base de la culture...à lui de confirmer ou d'infirmer... ce que la théologie naturelle propose, c'est comme je l'ai dis il y a un petit moment déjà, une nouvelle écologie de l'intelligence...
-
Le vide, le néant, l'homme et sa vacuité
zeugma a répondu à un(e) sujet de zenalpha dans Philosophie
cette prétention procédurale est une répartition tellement mièvre de la coopération, et pour le moins fausse quant on sait que la vérité est au delà de la preuve à charge ou à décharge, cette logique de procès accusatoire vous ressemble tellement que finalement elle ne m'étonne pas de vous... vous raisonnez en théoricien et pas en homme honnête, car l'honnête homme ne cherche pas ne réclame pas la preuve là où il n'y a pas de crime...le scientiste oui car il est lui même en accusation... -
Le vide, le néant, l'homme et sa vacuité
zeugma a répondu à un(e) sujet de zenalpha dans Philosophie
il serait temps que vous reveniez un peu de votre glorification de la pureté scientifique et que vous preniez au sérieux l'avis des personnes qui ont aussi une intelligence, si vous aviez lu mon post sur "réflexion" comme reflet du réel étudié et la réflexion comme connaissance interne, et sur l'information comme donnée extérieurs et information comme "donnant forme à " vous auriez déjà fait deux pas dans la compréhension de l'impacte du psychisme sur le processus ce conceptualisation mathématique (la psychologie en étant le devenir du psychisme) ... -
Le vide, le néant, l'homme et sa vacuité
zeugma a répondu à un(e) sujet de zenalpha dans Philosophie
Si vous aviez saisi ne serait-ce qu'un instant le sens du mot coopération, vous auriez vous même proposez de rechercher cet empreinte, mais vous restez bloquez dans une revendication de mauvaise aloi, qui vous pousse à durcir votre position jusqu'à l'absurde... je ne m'étonne pas que certaines personnes agissent ainsi, mais qu'il est dommage de perdre du temps avec... -
Le vide, le néant, l'homme et sa vacuité
zeugma a répondu à un(e) sujet de zenalpha dans Philosophie
ce serait à vous de faire ce travail, mais puisque vous vous entêtez à ne pas comprendre le sens de mon exposé et que vous en restiez à cette demande, je m'en acquitterais bientôt en détail... quant au curseur bloqué sur le successivité des théories, que vous ne voulez pas admettre c'est le comble de votre mauvaise foi... dans ces conditions, comme d'habitude, je vous remet entre les mains de votre conscience bipolaire pour réunifier les deux vrais sens du mot vérité... -
Le vide, le néant, l'homme et sa vacuité
zeugma a répondu à un(e) sujet de zenalpha dans Philosophie
je pense que finalement vous voulez restez dans votre non-sens, et que vous n'avez pas le courage de reconnaître les faits explicites tels qu'ils apparaissent dans l'histoire, cette dissolution de la contextualisation est une cause de dérive de l'esprit qui ne veux pas relativiser correctement la recherche scientifique aux vécus des personnes qui la produise... ce que j'affirme c'est que l'enchaînement causal de la conceptualisation scientifique suit comme toutes les formes d'intelligibilité humaine, une tension psychique complexe du contexte sociologique, affectif, éducatif etc...et que la théorie qui s'élabore dans l'espace et le temps cérébrale du chercheur, porte l’empreinte de cette contextualisation... ceux qui font des recherches peuvent en témoigner, et que vous refusiez de reconnaître cela vous conduit à penser que la recherche et la théorisation sont étanchent à la vie des personnes qui les produisent... encore une fois je pense que cette position est dangereuse car elle tend vers une autonomisation totale du discours théorique dans notre société...ce que l'on retrouve dans le discourt scientiste... et cela provient de la confusion et du remplacement de la vérité humaine par le vrai au niveau scientifique... pour le scientiste, la théorisation comme méthode et dans son champs de compétence devient intouchable et survalorisée, comme donnée vraie... ce vrai issu de la méthode théorique et de l’expérimentation qu'elle réalise, et ne peut être réfuté que par une autre théorie, bloquant ainsi le curseur de la production théorique sur le mode automatique de la succession... c'est ce danger qui est à l'oeuvre aujourd'hui dans beaucoup de domaines scientifiques, ces enchaînements de travaux n'ayant plus à se justifier puisqu'ils ont leurs vérité internes, conduit à ce qu'il y est alors deux consciences qui sont aux commandes de l'intelligence scientifique, celle de la personne civile et celle du scientifique, ainsi l'influence réciproque de cette bipolarité de consciences, provient du remplacement du vrai humain par le vrai de la science... le vrai humain est beaucoup plus constitutif du vécu humain que le vrai de la science, si vous avez un corps et un comportement naturel, vous savez que certaines limites vitales existes, pour ceux qui pensent avec une prévalence du vrai scientifique, la structure sociale et relationnelle n'a plus la même importance humaine, puisqu'ils ne la voit plus que comme une suite de paramètres ajustables... c'est ce glissement qui est en court en ce moment et qui nous conduit vers une accélération de la gestion pragmatique de la société, vers la conscience la plus "inhumaine" qui soit... pour vos trois questions: 1/ c'est à vous d'expliquer comment il est possible que d'autres auteurs arrivent à la même conclusion alors qu'ils ont un vécu psychologique différent. 2/C'est à vous également d'expliquer comment la science qui étudie les phénomènes naturels causaux peut dépendre de la psychologie de l'auteur. 3/Et c'est à vous également de dire dans E=mc² quel est le paramètre psychologique. vous pourriez aussi bien y répondre vous même vu qu'elles ne sont pas soutenues par la question que nous avons ici, car les règles et enseignements ont des effets parallèles mais point identiques, c'est pourquoi le caractère psychologique du chercheur tend à recentrer les résultats sur des données compatible à la compréhension des autres résultats, c'est ce que l'on nomme communauté de pensée... en résumé si vous ne voulez pas admettre la dimension de la psychologie humaine dans la théorisation scientifique, c'est parce que c'est un facteur incontrôlable et trop individuel pour être théorisé...c'est là en fait, la vrai limite de la science... et les autres qui outrepassent cette dimension humaine des sciences, ils sont dans une perte de contrôle de leur humanité... -
Le vide, le néant, l'homme et sa vacuité
zeugma a répondu à un(e) sujet de zenalpha dans Philosophie
si il n'y avait pas eu la menace militaire et donc un contexte de tension psychologique, les scientifiques de ces deux nations cités plus haut n'aurait pas infléchi leur recherche dans la direction qu'elle a prit... si vous faites exprès de ne pas voir ni comprendre, ou si vous voulez que l'on vous donne un exemple sur un fait que vous ne reconnaissez pas, je ne vois pas pour ma part comment et pourquoi le débat peut avancer... théoriser la possibilité de construire une bombe à partir de la réaction en chaîne de la fission nucléaire est un fait historique... l’événementiel historique qui à baigné l'attitude psychologique des scientifiques à influé sur la modalisation de leur recherche, car ces recherches était situées dans un temps et un lieu spécifique c'est l'effet de contextualisation que vous ne pouvez admettre, c'est bien dommage car il est pourtant cause de bien des dérives techno--scientifiques... -
pas exactement, le capitalisme est le profit d'individus singulier dans une contexte économique favorable et favorisé par des règles de capitalisation des biens... ce que je décrit succinctement ici c'est un processus propre à une implication du chiffrage systématique des entrées et sorties des intérêts et des biens communautaires, une gestion qui prend en compte "les personnes" comme "des produits de rapport", et plus comme citoyens... le bien commun devient alors la santé des finances publics plus que le bien des personnes morales et physiques...
-
non je ne me trompe pas sur ce glissement de l'intelligence à quitter la personnalisation naturelle pour entrer dans une perspective d’aliénation de son jugement d'existence, qui n'est pas une idéologie rapportée, mais bien une perversion de la finalité de l'intelligence... qui fini parfois en idéologie, comme le scientisme par exemple...
-
bonjour LouiseAragon, pas en premier lieu, je pensais et j'en ai même mis un exemple ailleurs il me semble, dans la gouvernance Européenne par les chiffres de la BCE qui règle les échanges de capitaux d'investissements de certains pays... vous pouvez chercher des références, car ils sont facile à trouver quand on sait que ces organigrammes sont partout, tant au plan privé qu'au plan communautaire dans la programmation des perspectives de rentabilités...
-
Le vide, le néant, l'homme et sa vacuité
zeugma a répondu à un(e) sujet de zenalpha dans Philosophie
exemple ci dessous que je vous avais déjà suggéré mais dont vous n'avez pas perçu le sens sans doute... la recherche scientifique duen vu du développement de l'armement nucléaire fût influencé dans les années 30 en Allemagne (une bombe atomique devient plus évidente après la première fission nucléaire réalisée en décembre 1938 à l'institut Kaiser Wilhelm de Berlin par Otto Hahn et son collaborateur Fritz Strassmann). et 40 au U.S.A (Laboratoire national de Los Alamos (LANL) est dirigé par le physicien Robert Oppenheimer, il sera entouré par une brillante équipe de physiciens, parmi lesquels quatre prix Nobel de physique (Niels Bohr, James Chadwick, Enrico Fermi et Isidor Isaac Rabi) par deux positionnement psychologiques, la suprématie militaire et l'entrée dans une ère de dissuasion apte à imposer une paix conditionnée à leur détenteur...c.q.f.d... -
cette faute d'orthographe n'était que le leurre qui cachait l'hameçon, car celui ci vous attrape par la partie de votre intelligence qui tend à réduire le fond par la forme...comme procédure usuelle de toutes les psychologies... cette faute est la réussite d'un acte manqué...