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Tout ce qui a été posté par zeugma
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si vous aviez réellement suivi ce topic vous ne poseriez pas cette question très cher, vu que la réponse se trouvais déjà dans celle que j'ai fais à l'autre...stan ou oliver je ne sais pas en fait...
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c'est bien ce que je disais vous ne savez que donner une très fine couche de contenue à votre interprétation du réel, juste la fine couche qui sert à projeter vos improbables déficiences et votre raccordement au système de penser made in computer... d'ailleurs que vous soyez sérieux ou que vous essayez d'être drôle, vous restez ennuyeux et sans contenance...serait par ce que, comme dit l'adage dit moi qui tu fréquentes....etc... vous êtes matériellement tellement prévisible...
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oui quand on parle à Stan Laurel Oliver Hardy n'est jamais loin, mais deux amuseurs n'ont jamais fait un peseur, même dans une recherche mathématique de très haut niveau, alors là encore moins...
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Le vide, le néant, l'homme et sa vacuité
zeugma a répondu à un(e) sujet de zenalpha dans Philosophie
je n'hésite pas à vous donner une passage de Heidegger de "être et temps": chapitre II L’ATTESTATION PAR LE DASEIN DE SON POUVOIR-ÊTRE AUTHENTIQUE ET LA RÉSOLUTION § 58. Compréhension de l’ad-vocation et dette. ....Le Dasein est, en existant son fondement, c’est-à-dire de telle manière qu’il se comprend à partir de possibilités, et, se comprenant ainsi, est l’étant jeté. Or cela implique que, pouvant-être, il se tient à chaque fois dans l’une ou l’autre possibilité, que constamment il n’est pas une autre, et qu’il a renoncé à elle dans le projet existentiel. Le projet n’est pas seulement déterminé, en tant qu’à chaque fois jeté, par la nullité de l’être-fondement, mais, en tant que projet, il est lui-même essentiellement nul. Cette détermination, derechef, ne désigne nullement la propriété ontique du « sans succès » ou « sans valeur », mais un constitutif "existential" de la structure d’être du projeter. La nullité visée appartient à l’être-libre du Dasein pour ses possibilités existentielles. Seulement, la liberté n’est que dans le choix de l’une, autrement dit dans l’assomption du n’avoir-pas-choisi et du ne-pas-non-plus-pouvoir-avoir choisi l’autre... sans commentaire pour le moment... mais raccord quand même avec le sujet du forum... -
j'en conviens mais il reste conditionné par d'autres domaines, il serait temps d'en convenir à votre tour... à quoi bon des connaissances physiques poussées si par ailleurs toutes les autres sources de connaissances sont relégué par celles-ci, comme inutile puisque non fondées physiquement... alors que ses sources touchent des domaines ou la physique ne s'applique pas justement... la diversité est une partie essentielle de la vie de la nature et des savoirs... et si l'agir collectif se dirige par une lecture du monde scientifique à outrance, que sera son destin si le constat de l'impossibilité de résoudre certains problèmes par les sciences, ne laisse plus le temps et la possibilité intellectuelle de trouver une autre voie de résolution...? alors ce qui semblerait utile maintenant, c'est que vous définissiez "ce domaine d'étude qui est le sien, dans ces limites opérationnelles et ses obligations de dépendre d'une autre autorité que la sienne pour étendre ses recherches, avec une rigueur aussi prompte que celle qui vous sert à fustiger les autres savoirs... cela doit être dans vos cordes théoriquement parlant (pas quantiquement parlant bien sûr), car pour une personne qui désir parler du génie, une petite démonstration serait la bien venue, non pas pour vous redonner encore l'occasion de venter la physique, mais de soulager notre attente de réponse à cette question oppressante : y a-t-il encore de l'humanité dans le cerveau d'un défenseur acharné de la physique...?
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mais la foi dans le christ n'ajoute rien à la connaissance humaine, car ce n'est pas une vérité pratique, comme l'est celle d'un savoir vrai...connaitre une personne est avant tout saisir sa présence et en vivre, c'est cela qui est donné dans la foi, l'espérance et la charité... ensuite vous dites : "dieu.....Qui prend toute la place. Et le résultat c'est celui-là, qu'avec Dieu au milieu on ne se trouve plus soi-même. " on ne dois pas en effet parler du même dieu, car le mien est si discret que je me demande des fois si il est encore près de moi, le votre est ce dieu morale et accusateur que vous avez inventé au fond de votre conscience, mais soyez raisonnable, c'est vous qui l'avez fabriqué celui là... et vous dites ensuite : "si vous n'aviez jamais entendu parler de Dieu en eussiez-vous eu la révélation ?" mais dieu se révèle par toutes sortes de présence à nous, et si personne ne n'en avait parlé, sa présence serait quand même celle que je cherche, car une dimension de ma personne est uniquement pour vivre de sa présence, alors qu'il se soit révélé par tels ou tels modes et moments de l'histoire humaine, chez telles ou telles personnes qui deviennent témoins, par telles ou telles épreuves qui nous font toucher notre dépendance à sa présente bonté, c'est une question qui se pose, dans d'autres termes que ceux que vous utilisez et qui sont une réduction critique d'un événement unique pour chacun de nous... ensuite vous dites : "C'est une épopée ! C'est le condensé de toute l'épopée humaine. Et c'est vous le héros ! Et en plus vous en êtes le seul témoin ! " il y a dans cette "tentation" d'auto-alimenter son propre désir de dieu, ou plutôt d'absolu, une tentative de devenir son propre créateur, sa propre source et sa propre fin, et de marquer son histoire au coin de sa propre lucidité à se conquérir soit même, c'est ce que me révèle aussi la recherche gnostique, une auto-suffisance et une auto-gestion de son aventure spirituelle...je respecte cette vision mais je sais que dieu s'est révélé en diverse temps et lieu et particulièrement en certain temps et lieu, pour celles et ceux qui justement ne sont pas "aventuriers"mais aussi pour les aventuriers... ce qui semble vous échapper c'est que dieu se fait tout à tous, et que de confondre notre élan d'autonomisation avec notre désir de transcendance, revient à ne plus accepter notre condition de dépendance radical à son acte créateur comme présence d'amour...
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bonjour à toi, Déjà-utilisé... si "Justice et justesse sont devenues indépendantes." c'est pour moi le signe que la saturation d'un savoir sans finalité et donc sans justesse, a fait passer notre monde de la vertu de justice à un rapport obligé de justice réparatrice, de justification, et enfin d'injustices non justifiées... en effet la connaissance pour elle-même est devenue une des causes d'injustice dans notre recherche effréné de nouveauté, tant au plan artistique, qu'au plan de la recherche d'inventions technologiques, qui s'inventent elles-même comme de nouvelles dépendances... alors que celles issues de la nature sont des dépendances subit, celles inventés devraient être des dépendances choisies, mais le sont-elles par tous et toujours ? et c'est bien sur cette notion de "dépendance" subit que je poursuivrait pour te répondre car elle me semble être une des clef de voûte de ta réflexion présente... si notre recherche d'intelligibilité doit assumer la longue histoire de nos prédécesseurs, pour faire à notre tour "quelque chose" de positif et de durable (développement), au moins au niveau du souvenir de notre passage sur terre, alors nous avons à assumer cette dépendance comme un donné irréductible, mais cela nous laisse aussi le choix du mode d'assomption qui nous est naturellement possible d'avoir...ce que je développerais in fine... ainsi tu dis ensuite : "Comment on use de nos savoirs est ce qui me parait prépondérant, au même titre que la destination est moins importante que le chemin emprunté pour y parvenir dans nos vies, ou même encore l'intelligence, à quel service on la met en oeuvre est plus important que la plus ou moins grande qualité de cette intelligence." si nous optons pour l'usage et la fonction avant la désignation du bien commun et la répartition des autorités, nous risquons toujours de laissez une forme de béhaviorisme s'installer et de faire que ceux qui ont plus de dispositions à entreprendre imposent un modèle civilisationnel qui leur ressemble...c'est ce que j'essais de mettre en lumière dans mon opposition au scientisme... une double incertitude nous étreint quand nous "débutons" dans la vie, si je ne me trompe pas c'est : serais-je à la hauteur? vais-je trouver le bonheur ? ces deux questions sont aussi des résurgences personnelles de cette dépendance fondamentale que nous avons avec le monde, naturel et artificiel, pour le coup indissociables... je suis d'accord sur ce que tu dis : "à quel service on la met en oeuvre est plus important que la plus ou moins grande qualité de cette intelligence." " mais cela ne révèle-t-il pas que nous ayons quand même une petite idée du lieu ou va se trouver employée au mieux cette intelligence...? c'est cela aussi pour moi la recherche de finalité ... tu ajoute avec raison :"puisque notre plus redoutable poison comme aussi une de nos plus grandes forces, est la mémoire et son utilisation omniprésente dans nos pensées. " c'est là une des questions qui semble recouper ce que je te disais sur la notion de dépendance acceptée, et dépendance subit, mais qui se résolve si nous savons donner à chacun une autonomie à la mesure de son intelligence et de sa volonté, qui soient motivée par un bien commun et un juste partage des autorités...je te ferais aussi part de ma réflexion sur la mémoire si l'occasion se présente...elle a une place prépondérante aujourd'hui plus qu'hier... ta phrase suivante : "Ou, plus on cherche à savoir, plus on finit par savoir ce que l'on aurait aimé ignorer, finalement..." m'interpelle incroyablement pour des raisons personnelles que je ne puis dire ici, mais qui sont assurément en connexion avec ce que tu semble ouvrir comme questionnement... c'est une saturation, une noyade, d'une part de la connaissance en puissance et d'autre part que l'acte de connaitre semble nous lier au réel comme une corde à un ponton d'amarrage...l'image parle d'elle même, nul besoin de préciser... tu as ensuite dans cette phrase : "Quelques unes des rares occasions de constater que le nombre influe directement sur la qualité !" sans doute faire allusion à la gestion de notre environnement naturel et artificiel qui subit plus par le nombre que par ce qui est effectivement modifié et consommé...c'est vrai mais les deux ont été concomitant, et si il y a une saturation dans le lieu, c'est se trouve aussi dans le temps, je m'explique, c'est l'accélération incroyable de la communicabilité qui à fait que notre monde devient une hyper-connectivité fonctionnelle, car c'est la seule actuellement et malheureusement, manière de gérer cette masse d'information multidirectionnelle... mode d'assomption en effet c'est dans notre démarcation du système que peut être envisager ce mode d'assomption du réel, sans pour cela nous isoler extra muros...c'est dans une recherche de l'ordre des savoirs que nous pouvons dépasser cette compétitivité stérile du marché, et par cette remise en place d'un mode de vie proportionnel à notre environnement naturel que se fera cette assomption de la dépendance qui nous fait être au monde, un dans le tout... pour conclure, que nous puissions retrouver une forme de répartition des savoirs, des avoirs et des fonctions, c'est ce que je cherches personnellement et depuis quelque temps déjà, et c'est à n'en point douter aussi ce que sera contraint de faire ce monde d'ici peu de temps, car toute dépendance entraîne une suppression ou une réduction d'autonomie, et comme je te l'ai déjà dis, la personne humaine tend vers une autonomisation naturelle... bien à toi D.U
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ce qu'il y a de génial dans votre psychologie de lanterne magique physicienne, c'est que c'est dans le noir qu'elle révèle le plus sa beauté, le noir, c'est l'oblitération que vous faite de tout ce que je dis, et d'autres aussi sur le sujet proposé et qui est bien...le rapport entre le génie.... et la folie ou du génie en musique ou en philosophie, ou autre, vous en revenez toujours à une lecture physicienne...cela serait intéressant si elle était respectueuse des autres lectures du sujet, seulement voilà, ça vous savez pas faire...c'est votre coté mauvais génie de la lampe magique physicienne...
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c'est déjà commencé...mais vous n'y portez pas attention si sûr de vous même en haranguant et arrangeant par vos posts votre vérité comme une typique opposition antireligieuse et nihiliste... vous prétendez défendre l'objectivité de la physique, mais vous la présentez si autoritaire et implacable, que Mr Klein en rougirait de honte...lui qui a quand même de la pudeur et du respect dans son dialogue avec les non-scientifique... ce qui vous échappe, c'est la nécessité de la coopération à un monde qui a besoin, autant de bonnes volontés que de bonnes intelligences, mais pas de volonté de nuisance et d'intelligence despotique comme la votre...
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je n'ai jamais dis cela non plus, et justement à force de rapporter uniquement ce qu'il vous agrée de comprendre, commencer par ouvrir votre intelligence à une des causes de la diversité des savoirs, l'écoute des autres... cela pourra éventuellement vous faire gagner du temps dans la rédaction de votre prochain post qui comme celui ci sera une cambiada, trop m'as-tu-vu pour être retenu comme un argumentaire bien sûr, mais même pas comme une contribution utile au débat... si ces sujets vous énervent ou vous contrarient rien ne vous oblige à les entretenir... sauf peut-être ce jeu de sophistique qui semble vous amuser, mais ne trompe que vous sur votre limite intellectuelle...
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mais si mais si et du plus beau drap qu'il soit puisque vous ne le reconnaissez pas ouvertement vous même ce qui vous confer un petit moiré de candeur... mais pas grave, si le destin de la science, la vraie, sera de continuer à établir avec la philosophie et la spiritualité, une continuité naturelle à l'humanité, le destin des scientistes sera de continuer à écrire des petits mots comme celui-ci : " Restons la aussi sur des notions simples sur lesquelles échanger comme le pain et le vin bénis que je propose en accompagnement avec les merguez volantes" ils résument à merveille le fond de dérision qui soutient tout votre raisonnement et ne conduit qu'à cette moquerie dérisoire comme seul argumentaire possible fasse à ce que vous ne pouvez saisir mathématiquement... certains trouverais cela blasphématoire, moi je dis seulement révélateur d'une mentalité de petit proprio de son petit monde... mais bof, une fois de plus, rien ne sert de sévir il faut servir la fin...
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c'est dans ce genre de logique inepte (et même pas drôle) que vous conduit votre aveugle logique de scientiste...
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mais si vous réduisez son jugement d'existence sur le réel à une connaissance incontournable des résultats de la physique, vous la réduisez dans son intelligibilité naturelle à une intelligibilité conditionnée par les sciences... ainsi vous le prouvez vous même dans cette phrase : "Vous devez avoir un petit souci avec la notion d'ensembles et notamment les inclusions, les exclusions, les intersections ainsi qu'un petit souci avec la logique." car vous, le seul problème qui vous tient éloigné de la connaissance de la personne humaine, c'est justement votre monomanie à tout comprendre avec cette logique... " Manque de math surement. "trop de math pour vous évidement, vous avez, comme certains bodybuildeurs, qui forment certaines parties de leur corps mais se bousille la santé... la suite de votre texte "Dans l'ensemble de tous les phénomènes naturels dont l'objet d'études est celui des sciences physique, jamais une élucubration teintée de pain béni n'est jamais venu éclairer nos représentations et jamais une telle représentation ne le fera jamais." donne enfin le constat de votre limite conceptuel et humaine, et porte donc comme conclusion que vous renoncez à nier ce que vous ne pouvez prouver scientifiquement, la foi que j'ai essayé de vous présenter ici comme un dépassement du naturel, mais aussi comme un accomplissement possible ce ce naturel, ne sera pas, c'est vrai rival de vos preuves scientifiques, ni même de votre logique nihiliste, car ce n'est pas son but, alors que vous êtes tenté et avez tenté de démontrer l'ineptie du fait de croire en un dieu, vous vous êtes enfermé vous même (comme dab) dans une logique de rétrocession, puisque vous reconnaissez qu'il existe pour la personne humaine, une dimension spirituelle propre à affirmer une existence d'une réalité au delà de ces sens... la différence qui existe entre la théologie naturelle et votre recherche en physique tient en une phrase: tout ce qui existe est inclus dans une cause ou une suite de causes, mais la cause même qui existe sans cause, est un principe, l'être premier... que les traditions religieuses appellent dieu ou dieux...
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votre sens de l'affirmation est aussi évident que votre non-sens à poser une une réflexion ouverte sur une question dont vous ne percevez ni l'origine ni la finalité.. dans un cas semblable une intelligence "normale" serait encline à prendre une distance raisonnable pour étudier cette réalité inconnue, mais pour vous non, vous continuez à réduire l'acte de foi à une émotion psychologique... tant que vous en serez là, effectivement je reste émus de votre manque de prudence et de lucidité... ainsi vous l'avouez vous même : "Parce que nous n'avons que ça en magasin "quel triste monde que le votre dans ce cas... vous ajoutez dans le même souffle:" C'est la fonction des religions que d'éduquer ce sentiment. D'orienter cette émotion." vous devez confondre les religions avec le sentiment artistique mais bof, pour une personne qui n'a que l'émotion de sa raison et la raison de ses émotions ça peut se comprendre... ensuite vous dites : " si vous n'aviez jamais entendu parlé de Dieu, vous ne l'auriez jamais imaginé vous-même. " soulignez ou pas cette phrase est dans la même zone d'illogisme qui à suscité la recherche de la préséance de l’œuf ou la poule, c'est dire le niveau de votre recherche philosophique sur la vertu de religion... dieu ne s'imagine pas il se révèle...noter bien ce verbe, qui doit manquer à votre vocabulaire... après vous dites: " Le seul commandement du Christ est d'aimer Dieu. "et son prochain comme soit même, et où croyez vous que nous puissions puiser cet amour ? en nous même ? c'est encore en cet écueil que vous vivez sans doute...et que vous confondiez aussi l'acte de foi avec l'histoire sanglante des religions, qui ne doit rien à l'histoire sanglante des hommes sans religion d'ailleurs... ne pas vivre d'une réalité comme l'eucharistie, ne vous donne pas autorité pour en nier la véracité, sauf si vous la jugez contre-nature...et pas seulement supra-naturelle... enfin vous dites : Je relis votre première phrase : "le croyant cherche la vérité". oui qui est la personne du christ...mais libre à vous de ne chercher que votre vérité, cela ne vous conduira qu'à vous-même, ce qui n'est déjà pas si mal si je vous considère comme une créature de dieu...
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si toute connaissance est un forme du génie humain, il y a autant de forme de connaissances que de dimensions de la nature humaine, nier cela revient à limiter votre vie à votre tube digestif, et à vos autres fonctions vitales, ce n'est pas répréhensible, mais ne faites pas de la personne humaine juste ce que vous en voyez ou comprenez scientifiquement...
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quel manque de logique de votre part pour le coup...ce n'est pas un passage obligé, mais il est incontournable dans le domaine des phénomènes naturels, n'est-ce pas une contradiction qui masque le fait que vous ramenez la nature humaine à sa présence physique, d'un monde physique, avec un destin physique...? si bien sûr, puisque toute contradiction révèle une impossibilité de percevoir le sens ultime d'une réflexion et en reste à sa signification logique...une sorte de sophisme quoi... et puis vous dites : " vous n'êtes pas dispensé de ne pas pouvoir en réfuter n'importe comment les conclusions dans le domaine qui est le sien " bien que cette phrase soit à cause de sa double négation, une tautologie assez bas de gamme, je n'ai jamais dis que je réfutais les résultats de la physique, c'est leurs utilisations par la conscience collective du monde artificiel, que je mets en première ligne, pour montrer que c'est un cul de sac réducteur de la dimensionnalité de la personne humaine... et la preuve que je vous ai donné c'est la mort lente de la nature vivante sous la pression des techno-sciences qui ne la vois que comme un moyen et plus une fin ... quant à mes aspirations, votre jugement ne saurait en avoir ni la connaissance, ni l'envie de les connaitre alors restez entre vous-même et vous-même...cela nous laissera le temps de rechercher ce que vous affirmez ne point exister, et de faire aussi la preuve que pour vous la négation équivaux à une affirmation, le nihilisme scientiste étant votre horizon, il n'a aucun intérêt sauf que celui de vous appartenir tout entier puisque de ne rien avoir est encore la plus belle preuve que pour vous, l'être n'est qu'un avoir...
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c'est du pur Feuerbach que votre affirmation, mais c'est surtout votre acte de décès pour trouver une voie où l'homme serait maître de lui même et maître de son monde, faute d'être maître de la nature, qui lui échappe toujours par l'inéluctable finitude de la mort physique... c'est bien là le point d'achoppement de votre orgueilleuse construction de vouloir justifier l'homme par l'homme, de vouloir lui donner l'origine et la fin de lui même en son efficience, faute de l'avoir réellement par nature...c'est tout le paradigme du créateur en art, qui cherche à faire de lui même une oeuvre d'art, et refuse obstinément, comme Nietzsche le fit avec plus de talent et de génie que vous, à traduire en performativité sa présence au monde, par sa production scientifique ou ses réalisation technologique...mais affirmer que là seul est le destin de l'humanité est aussi idéologiquement réducteur que ceux qui veulent faire de la bible ou du coran la source incontournable de leur agir morale ou corporel sur cette terre... que vous vouliez défendre mordicus cette position est votre choix, mais svp ne contaminez pas la conscience humaine avec ce drôle de virus, et si je dis drôle, c'est que Zarathoustra lui-même nous le demande, pour une fois réjouissez-vous que je suives son conseil... P.S : pour ce qui est de cette phrase : "en réfutant les lois naturelles et la physique " les lois naturelles et la physique sont deux choses distinctes sauf si vous voulez aussi prétendre que la physique est l'inventrice de la nature, ce que je dis c'est que la nature à une finalité que la physique ne peut percevoir en t'en que science, mais qu'elle peut apporter des éléments pour en percevoir la finalité...
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mais ceux qui ont uniquement foi dans un culte sont aussi inculte que vous... croire en dieu ne se réduit pas à la pratique d'un culte...c'est votre logique réductionniste qui vous fait dire cela... et décidément vous refermer le couvercle votre cercueil en voulant faire de la science physique un passage obligé de la connaissance de la nature, et à la vie humaine tout simplement, et vous scellez la dalle de votre tombeau en refusant d'autres intelligibilités du réel, pas seulement dans leurs interprétation, mais aussi dans leurs explicitations du réel humain... vous poursuivez : "n'ayant aucune certitude sur un être supérieur et créateur tout en mesurant la crédibilité de cette hypothèse parmi d'autres, je ne peux comprendre tous les mecanismes de "cet appel de Dieu" si vous n'avez aucune certitude, alors pourquoi voulez vous réduire la vie des croyants à leur religions ? ci ce n'est pour imposer votre logique matérialiste issue de l'intelligibilité mathématique...et puis qu'est-ce que vous "mesurez" dans l'hypothèse de l'existence d'un être "supérieur et créateur" ? rien que le verbe "mesurer" est symptomatique de la logique qui vous anime...pareil pour le mot "mécanisme", poser là à contre sens (mais ça c'est votre marotte) mais aussi en référence cartésienne et spinozienne évidente... après c'est le grand n'importe quoi : "Or, ne pas pouvoir écrire que la physique est la seule science qui confronte la theorie en tant que pur concept humain avec la nature via l'expérience dans un dialogue continu afin d'en tirer pas à pas des enseignements qu'aucune autre discipline ne peut revendiquer dans ce domaine precis est danger pour l'homme que Nietzche a tres bien decrit Et particulièrement bien illustré ici " comme si la physique apportait à la conscience humaine une vérité sur la nature, indispensable et incontournable à ses choix décisionnels pour se diriger vers son bien...c'est là le seul danger en l'occurrence, cette hégémonie dont je vous ai déjà signifié la viduité au regard de la nature complète de la personne humaine..; car en disant "ce domaine précis" vous êtes contraint d'admettre que la physique ne regarde qu'un domaine précis et pas la totalité de la personne humaine ni la totalité du réel... ce que Nietzsche à perçu, dans son travail réflexif, c'est avant tout la limite de son exceptionnelle lucidité sur ce qu'est l'humain, mais il est excusable, sa réflexion intuitive lui interdisait une connaissance analogique, et il c'est enfermé lui même dans sa folie...: ("il ne me reste plus qu'à me débarrassez de moi même" finit-il par écrire à la fin de sa vie) et puis il y a ce texte tiré d'une lettre adressée à Heinrich von Stein auteur du livre " les Idéals du Matérialisme "que Nietzsche à apprécié... "Pour ce qui est des « héros, » je n’en ai point aussi bonne opinion que vous. Je reconnais que la condition de « héros » est la forme la plus acceptable de l’existence humaine, surtout lorsque l’on n’a pas d’autre choix. Mais voilà : nous prenons goût à quelque chose, et aussitôt le tyran qui est en nous (et que j’appellerais volontiers notre moi supérieur) nous dit : « Sacrifie-moi précisément ceci ! « Et nous le lui sacrifions, mais c’est comme si l’on nous torturait à long feu. Ce sont en vérité les problèmes de la cruauté que vous traitez là ! Se peut-il que vous y ayez plaisir ? Je vous l’avoue : j’ai, quant à moi, trop de cette complexion « tragique » dans le corps pour ne pas être souvent amené à la maudire. J’aspire à enlever à l’existence humaine une partie de son caractère douloureux et cruel. Mais pour pouvoir vous en dire davantage, j’aurais à vous révéler ce que je n’ai encore révélé à personne : la tâche qui se dresse devant moi, la tâche de ma vie. Or de cela nous ne pouvons pas nous entretenir ! Ou plutôt, tels que nous sommes l’un et l’autre, deux solitaires, nous ne pouvons pas nous taire ensemble de tout cela ! Votre reconnaissant et dévoué de tout cœur" F. Nietzsche. il en va de même pour tous ceux qui élaborent leur pensée à partir de la critique, et ne peuvent ni ne veulent plus voir le réel autrement que comme une succession de moyens plus ou moins apte à prolonger sans fin cette recherche de moyens... si vous annihilé la notion de finalité, votre errance est comme celle de Nietzsche, un vécu égotisme...
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ce que vous devriez surtout c'est de bien lire ce qu'écrivent les autre personnes, et essayer de comprendre, totalement ce qu'elles disent... puisqu'il faut tout décrypter pour ceux qui n'ont plus la souplesse d'esprit d'accepter qu'il y a d'autres intelligibilités à l'oeuvre que la leur... je vous redonne ma phrase entière : " de vouloir faire de l'intelligibilité scientifique le premier et même parfois le seul étalonnage de la décidabilité d'un problème, conduit à une logique de l'acceptabilité de la preuve comme seule norme de choix...ainsi les questions sont un fardeaux pour certains et des prisons pour d'autres, mais pour tous une part de nous même... c'est phrase portait tout à la fois sur le problème de la décidabilité propre à la science, et sur ce qui en résulte à la conscience sous l'influence de l'intelligibilité scientifique qui peut prendre cette recherche de preuve comme normative du choix... le mot "étalonnage" dans cette phrase aurait pourtant dû vous mettre sur la voie, puisqu'il se référait à :"de vouloir faire de l'intelligibilité scientifique le premier et même parfois le seul ... " c'est le prima de la quantification dans un problème mathématique, ou plutôt le problème de la quantification en mathématique, qui était désigné ici... c'est l'acquisition de cette logique mathématique qui porte l'intelligibilité scientifique, à tout voir dans une normalisation de la preuve issue de "la rigueur" du calcul mathématique... je sais très bien que pour un scientiste, c'est son sucre d'orge, mais est-ce légitime de regarder et de résoudre tous les problèmes de cette façon ? tous les problèmes économiques, démographiques, écologiques, éducatifs, etc...la liste est non-close une fois de plus... la logique de la décidabilité comme preuve en mathématique conduit à tout calibrer, à étalonner selon la quantification, c'est cela que je conteste et ce que voulais dire ma phrase, car je sais qu'il y a une autre manière d'impliquer l'intelligibilité scientifique à notre monde, mais celle là vous échappe totalement... donc pour conclure je reconnais qu'avec certaines personnes, une explicitation s'impose, mais que faute d'une bonne volonté de leur part pour tendre vers une compréhension, cela sera de l'eau sur du sable... P.S et puis conseil pour conseil, restez dans vos maths parce qu'au niveau lecture intelligente, vous n'êtes pas au top...
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"Parce qu'elle est en mesure de reproduire une expérience indéfiniment et, surtout, de prédire un comportement." ce qu'il y a d'étrange dans cette phrase, c'est le mot comportement...qui est employé ici dans un contexte d'expérimentation scientifique, mais ouvre sur un contexte de comportement intellectuel, sociale, personnel... c'est ce qui est dit d'ailleurs par la suite, le vrai issu de la science serait plus apte et fiable pour mener la conduite du monde que l'intelligence humaine dites "classique"... dans l'acceptabilité de ce choix positif de l'intelligibilité scientifique, se jouerait donc le destin humain... c'est ce que je conteste, pour des raisons que je développerais dans le forum" le point commun aux humanités"...
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de vouloir faire de l'intelligibilité scientifique le premier et même parfois le seul étalonnage de la décidabilité d'un problème, conduit à une logique de l'acceptabilité de la preuve comme seule norme de choix...ainsi les questions sont un fardeaux pour certains et des prisons pour d'autres, mais pour tous une part de nous même... merci Zenalpha vous apportez la preuve que ce que disais: " la possibilité d'une preuve formelle dans un systeme formel axiomatique recursivement axiomatisable " votre système formel n'est plus que votre seule norme de choix...les questions pour vous sont des prisons pour votre intelligence, car vous les générez à partir de votre "machinerie ou machination axiomatique"... ce qui est amusant c'est qu'au bout d'un certain temps de discussion avec des personnes enfermées dans une système de pensée, ici la logique positiviste, elles apportent elles même la démonstration de leur enfermement, qui est la faillite de leur intelligibilité... vouloir réduire la pensée humaine à ça : " la possibilité d'une preuve formelle dans un systeme formel axiomatique recursivement axiomatisable "c'est vraiment une auto-mutilation, plus à plaindre qu'à blâmer ? non... je pense que ces personnes assument leur choix, et même si il n'est que l'écho de leurs prédécesseurs, la responsabilité leur incombe de perpétuer cette réduction systémique...
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non Blaquière, le croyant ne base pas sa recherche de vérité sur une émotion, ça c'est encore une vision caricaturale de la vie théologale, une vision extérieure qui ne juge que sur les apparences, et sur ce que la psychologie des humains qui croient laissent transparaître du lien qui les uni à dieu.... ce non-respect fondamentale pour une des dimensions de la nature humaine est récurrent pour toutes celles et ceux qui ont choisi de ne pas en vivre, libre est leur choix, mais libre l'est tout autant le choix de croire, de manifester une recherche spirituelle, dans le respect là aussi de la sphère publique, et je suis de ceux qui refuse l'ostentation religieuse, car elle ne sert que l'intérêt d'une culture religieuse... la théologie chrétienne aurait voire naître un courants de pensée philosophique, du moins c'est ce qu'auraient voulus, Jaques Maritain, Gabriel Marcel, ou Etienne Gilson, mais c'est toujours dans dépendance à la révélation biblique que c'est fondé la théologie chrétienne, et donc dans une acceptation que ce donné révélé n'était intelligible qu'au travers de la foi, donc ne remplissait pas tous les critères de la recherche philosophique, c'est ce qui à conduit d'ailleurs Kant et Hegel dans l'ornière que nous savons... de plus quand vous dites : "Et c'est là aussi que Jésus Christ a perdu. Lui qui aurait voulu un amour pur, éthéré, parfait, intellectuel de Dieu, sans subterfuge, ni rite ni régime alimentaire... Et c'est son corps qu'on croque et son sang qu'on boit ! " votre vision de la mission du christ Jésus est une vision gnostique, qui à surement raison d'être dans une recherche de transcendance naturelle, mais se prête mal à la monstration de dieu par l'incarnation de sa personne divine... "l'invention" eucharistique est une des bontés que dieu à donné à l'humanité, et par ce simple repas invite toutes les personnes à partager la vie du christ... que certains refuse l'invitation n'invalide pas sa réalité, elle reste actuelle...
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...il y des personnes qui pensent, d'autres qui reconnaissent qu'ils pensent et ceux qui pensent que de reconnaître les autres penser est comme reconnaître qu'ils pensent eux même...faute de penser, chacun se reconnaîtra...
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...de vouloir faire de l'intelligibilité scientifique le premier et même parfois le seul étalonnage de la décidabilité d'un problème, conduit à une logique de l'acceptabilité de la preuve comme seule norme de choix...ainsi les questions sont un fardeaux pour certains et des prisons pour d'autres, mais pour tous une part de nous même...
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pour l'orthodoxie, la même présence divine est à l'oeuvre dans les sacrements que pour les catholiques... pour la réforme, les sacrement ne sont plus ostensiblement et réalisateur de l'oeuvre divine, mais reste des signes intangibles de la présence divines dans l'assemblé des fidèles, ceci est dû à une relativisation de l'autorité du prêtre officiant, qui est témoin mais pas ministre du culte...alors que pour les catholiques le prêtre agit in personna Christi en disant les paroles de consécration du pain et du vin, le pasteur en propose le mystère "juste"comme témoin assermenté par sa communauté...le schisme de Luther à rompus l'ordination sacerdotale et à de fait modifié la théologie sacramentelle protestante, en re-basant sa légitimité sur la parole avant tout... La manière dont Paul développe sa plaidoirie en Romains 4 illustre bien ce triangle doctrinal cher au protestantisme: solascriptura, sola fide et soli Deo gloria. Le thème du contexte de ce chapitre (3.21-5.21) est la justification; le souci de Paul est de démontrer à partir d’un précédent vétérotestamentaire comment on est justifié ou comment on est en règle avec Dieu. et ce texte aussi de Hans-Christoph Askani Or – et je m’adresse ici à nous-mêmes, les pasteurs, et à nous-mêmes, les paroissiens –, pourrions-nous vraiment souhaiter cela ? La réduction de la parole à sa comparabilité avec la réalité ? L’accommodation de la parole, même celle de la prédication, à notre pratique, à la mesure de notre comportement, à notre mesure ? Un monde, le monde, notre monde – et aucun mot, aucune parole qui ne le dépasserait ! Ce monde ne vaut-il pas la peine qu’une parole lui soit dite qui vient à lui, vers lui, et non seulement de lui ? Un mot qui sort de son contexte (celui du monde), qui rompt avec ses évidences. Un mot qui va, pour ainsi dire, plus loin. Et qui vient de plus loin. il poursuit ... 24 Témoigner, cela signifie prendre sur soi une parole qui excède nos possessions, nos dispositions, nos besoins de sécurité. Un « surplus » ai-je dit, un décalage, un ailleurs. Les paroles viennent toujours d’ailleurs. On ne les maîtrise jamais complètement. On peut appeler cela leur dimension poétique, on peut aussi appeler cela leur dimension évangélique. Être pasteur veut dire avoir une fois senti, goûté cette dimension (qui nous inquiète, qui nous engage, qui nous promet), et ne plus jamais pouvoir l’oublier. Il faut donc en parler, il faut donc en témoigner.