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Tout ce qui a été posté par Swannie
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ça c'est super intelligent. En 47 années de travail, je n'ai connu qu'un seul obsédé sexuel, que j'ai remis à sa place en lui disant devant environ 7 personnes "ta gueule, et arrête de me faire chier". C'était pourtant mon supérieur, mon directeur, j'ai ajouté "si vous êtes pas content, je pars, et maintenant". Je suis passée prendre mon sac à main dans mon bureau, et j'ai enfilé l'escalier de sortie. Il m'a couru derrière, et m'a demandé de revenir, tout piteux. Il avait l'adoration des seins, et ne pouvait pas s'empêcher de les imaginer, plongeant les yeux dans les moindre décolletés. Ses réflexions à la con, et les miennes faisant suite, ont aidé beaucoup de femmes, victimes elles aussi.
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Oui, je sais, j'ai eu la chance de travailler dans une bonne entreprise, où il était hors de question de "profiter" des salariés, leur faisant faire en 35 ce qu'ils faisaient en 39. Mais il s'est avéré, après de nombreuses réunions hebdomadaires dont le sujet était "le passage aux 35 h, des suggestions pour diminuer les charges de travail" (on s'y est pris 6 mois à l'avance), que le descriptif de poste de beaucoup d'employés était loin de nécessiter 39 h pour l'accomplir. Cela fut donc l'occasion de mieux répartir les taches, et donc de faire réellement travailler à chaque poste, ce pour quoi chacun était rémunéré. Je suis directe, alors je vais te dire : je n'aime pas ta manière d'engager les conversations ni d'insister alors que je t'ai fait voir 2 ou 3 fois que je n'avais pas l'intention de dialoguer avec toi. Pour cause : ce mépris évident que tu affiches envers tes interlocuteurs. Achète un peu de modestie, et on discutera. Si tu avais été l'un de mes patrons dans ma vie professionnelle, sans doute j'aurais été gilet jaune, mais Dieu merci, j'ai toujours eu de bons patrons, à l'écoute de leurs employés, quelle que soit leur fonction, des humains quoi, de ceux qui respectent le principe : liberté, égalité, fraternité. Des patrons qui savent que sans employés, leur boite ne tournera pas, aussi récompensent-ils les meilleurs. J'ai même connu l'époque des "primes au mérite", avant que cela ne soit changé en "primes sur objectifs". Enfin pour terminer, j'ai déjà mis sur Forum.fr le lien du site internet du grand groupe pour lequel j'ai travaillé plus de 40 années, qui embauche constamment, 7 000 salariés au total à ce jour, je viens encore d'aller voir, 85 offres en CDD actuellement, et 135 offres en CDI. Qui a besoin d'un travail ? il faut juste être mobile, au cas où ce n'est pas sur le trottoir d'en face. Attention à l'entretien d'embauche : un esprit de revendication est tout de suite détecté, le postulant n'a aucune chance d'être recruté, les syndicats oeuvrant constamment à la perte de chaque entreprise du groupe, la vigilance sur l'état d'esprit syndicaliste est constamment d'actualité aussi.
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Dans une famille, je crois que les parents, selon l'éducation donnée à leurs enfants, peuvent faire leur bonheur autant que leur malheur, sans pour autant l'avoir souhaité concernant le malheur, comme ne se rendant pas compte de l'influence qu'ils ont sur leurs enfants. Etre socialement élevé, puis avoir un fils voulant se reconvertir plombier, ça la fiche mal pour ceux là, qui voient déjà les autres leur demander "et votre fils, que fait-il ?" "plombier" et bam, leur prestige s'écroule, leur belle auréole s'envole. Le paraitre est fichu par terre. C'est ça qui est incompréhensible : ne pas comprendre où se situe le bonheur de ses propres enfants et d'aller à leur encontre pour sa propre renommée, pour le paraitre. Je ne crois pas que ces personnes là aiment véritablement leurs enfants, sinon elles les laisseraient libres, tant qu'ils veulent travailler, ce sont de bons enfants, qu'importe le métier, il n'y en a pas de sot, tous sont utiles et nécessaires, être vaut infiniment mieux que paraitre.
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C'est faux. Je me souviens très bien du passage aux 35 heures : de nombreuses réunions ont eu lieu, pour caser dans 35 h le travail produit dans 39 auparavant, et des solutions ont été trouvées pour que les gens n'en fassent pas plus, des solutions toutes simples. Par exemple, l'employée qui passait à la poste le matin récupérer le courrier de l'entreprise (perte de temps d'une moyenne de 20 mn chaque jour), supprimé : on a fait livrer le courrier par la poste elle-même, plus d'1 heure de gagnée par semaine, et ainsi de suite pour chaque tache dans chaque poste.
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Bah j'en connais dans ce cas là, au moins 2 couples : ils n'achètent pas de seconde maison, ils améliorent leur train de vie et continuent d'investir pour leur maison, changement de toiture entre autre, ravalement refait, pose de panneaux solaires, etc. pour l'un, construction d'une piscine aussi. Et vacances vers des destinations plus chères. Je pense que ceux qui font construire une seconde maison ne le font pas en France, mais pour leur destination vacances, en Espagne par exemple, en prévision de leur retraite.
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Alors je vais me répéter encore et encore : je déteste le hors sujet. J'attends donc que tu donnes ton avis PERSONNEL sur la question du topic.
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Démontre moi comment le taux d'imposition s'inverse en proportion lorsqu'on atteint les hautes sphères, avec exemple à l'appui. En France actuellement, pour un célibataire, on ne commence à payer d'impôts qu'au dessus de 1240 € de revenu imposable mensuel = 60 € d'IR annuel (mais en fait zéro, voir image) https://www.corrigetonimpot.fr/seuil-revenu-maximum-non-imposable-2018-salaire-pas-impot/ Donne moi un exemple avec une personne qui percevrait 12 200 € revenu imposable mensuel, célibataire aussi, quel serait son IR annuel ?
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arf me disais bien qu'il devait y avoir des exceptions Est ce que tu pourrais plus courtois en ne me toisant pas de haut ? Discussion close, par le fait.
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Évidemment qu'ils ne vont pas le dire ouvertement, ils le démontrent, c'est déjà pas mal, ne se rendant même pas compte qu'ils vivent dans un magnifique pays que bien d'autres leur envient, ne serait-ce qu'en matière de prestations sociales. Alors passe donc chez l'opticien toi-même et change de lunettes, pour regarder la France et ses avantages. La France est championne d'Europe des prestations sociales. Selon une étude de la Drees publié ce jeudi, la France a versé 714,5 milliards d'euros de prestations sociales en 2016, soit 32,1% du PIB. C'est une hausse de quatre points en vingt ans. La France est le pays européen qui dépense le plus, juste devant le Danemark et la Finlande. https://lexpansion.lexpress.fr/actualite-economique/la-france-championne-des-depenses-de-protection-sociale_2019175.html
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Exactement, voir nos parents galérer a été un sacré booster : aucun de ma fratrie ne voulait avoir la même vie qu'eux, qui d'ailleurs nous poussaient à taffer à l'école car eux n'avaient pas eu cette chance à cause de la guerre : ma mère avait 10 ans quand elle a commencé en 1939, et mon père 12 ans.
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Le topic est : "La France d’en bas veut-elle vraiment monter ?" Donne donc ta pensée sur le sujet au lieu de tourner autour du pot en me demandant d'aller lire les articles. C'est ce que je fais en parlant de ma famille, je donne mon point de vue, c'était une famille qui voulait monter et est montée. Qu'est ce qui empêche les autres d'en faire autant ? Une chose essentielle peut l'empêcher : la maladie ou une mauvaise santé. Pour ceux qui sont en bonne santé, non concernés, alors quoi d'autre ?
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Sauf à savoir que je suis quelqu'un de très observateur, beaucoup de gilets jaunes que je vois manifester sur les écrans me semblent de bonne condition sociale lorsque je vois comment ils sont vêtus sous leur gilet, leurs téléphones à la main filmant, et sur les réseaux sociaux c'est encore pire, puisqu'on a carrément accès à leur train de vie pour ceux qui aiment l'étaler et c'est bon nombre. Hormis cas particuliers, une grande part d'entre eux veut tout simplement travailler moins et gagner plus, le meilleur exemple : Jacline Mouraud. Mais observez les autres meneurs, vous verrez que c'est identique pour la plupart.
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C'est bien pour cette raison que j'ai parlé de ma famille, précisant milieu d'ouvriers, agriculteurs et pécheurs, dont tous les enfants ont ascensionné socialement, pas un n'est resté dans le bas de l'échelle, tous ont accédé à des postes soit d'agents de maîtrise, soit de cadres, soit se sont mis à leur compte, réussissant, et cela, sans avoir été pistonnés.
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Oui, c'est le langage des syndicalistes d'ailleurs que de dire qu'on se fait exploiter et blablabla Seulement eux restent en bas de l'échelle tandis qu'on grimpe
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c'est certain que de ton côté, tu ne peux que répondre par la moquerie, au lieu de te poser sérieusement la question, du pourquoi la France d'en bas ne monte pas, une idée Louise ?
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Du courage, surtout, assorti d'un bon état d'esprit : celui de ne jamais se plaindre. Je viens d'en parler dans le topic de la France d'en bas.
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Et pour les chapeaux ronds aussi. Je me mélange les crayons entre les différents sujets auj Bon alors pour revenir à celui-ci, je viens de poster dans un autre ceci : "Mais je ne me plains pas, car factuellement, le constat est là. Tous les enfants de ma génération dans la famille (composée uniquement d'ouvriers, d'agriculteurs et de pécheurs) et donc du même âge que moi approximativement, ont réussi dans leur vie, tous vivent très bien, très peu ont connu le chômage, et de courte durée lorsque cela a été. Même chose pour nos enfants, même si certains ont fait le choix d'aller à l'étranger pour embrasser la carrière de leurs rêves. Famille donc sans chômeurs et sans RSA" Alors la question du topic demeure. Qu'a t'on de différent pour avoir tous réussi sur 2 générations de la France d'en-bas ? Un point commun certain : des courageux, très courageux. Bosser 45 ou 50 h par semaine n'a jamais découragé aucun de nous, même quand les "récupérables" ne pouvaient pas être récupérées ni payées. D'ailleurs l'une de mes nièces partie aux USA ne lésine pas sur ses heures pas plus que son homme, car là-bas, on bosse dur dur, elle le démontre, aux dernières nouvelles elle travaillait environ 45 h par semaine, mais la moyenne en général est de 40. Je ne mets que quelques extraits, lire tout vaut le détour : "Première différence majeure à connaître (et pas des moindre), les horaires de travail aux USA ne sont absolument pas les mêmes qu’en France. En fait, aucune loi américaine ne limite le nombre d’heures de travail d’un salarié. L’employeur détermine ainsi les horaires et le nombre d’heures de travail hebdomadaires de ses salariés. Si vous souhaitez partir travailler aux Etats-Unis, il faudra également revoir à la baisse vos jours de vacances. A nouveau, ce sont aux employeurs de décider s’ils souhaitent ou non accorder des congés (payés ou non-payés) à leurs salariés, car aucune loi ne les contraints à en donner. La moyenne nationale est d’environ 9 de jours de congés/an pour un travailleur américain". http://internabroadusa.com/blog/2016/11/03/reglementation-travail-horaires-salaires-conges/
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Idem, toujours payé, jamais rien demandé en retour, jamais même eu droit aux APL. Mais je ne me plains pas, car factuellement, le constat est là. Tous les enfants de ma génération dans la famille (composée uniquement d'ouvriers, d'agriculteurs et de pécheurs) et donc du même âge que moi approximativement, ont réussi dans leur vie, tous vivent très bien, très peu ont connu le chômage, et de courte durée lorsque cela a été. Même chose pour nos enfants, même si certains ont fait le choix d'aller à l'étranger pour embrasser la carrière de leurs rêves. Famille donc sans chômeurs et sans RSA.
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Compliquée, la décroissance. "Le mouvement de la décroissance est souvent favorable à l'écologie car il prône la réduction de l'empreinte écologique de chacun. Cependant, de nombreux économistes y voient un danger pour les économies modernes si celles-ci ne s'adaptent pas à une création de richesse plus qualitative et moins quantitative. La décroissance paraît donc être une utopie pour certains et un art de vive pour d'autres. Cette idée qui suscite des débats vifs est apparue en France avec différents intellectuels comme Jean Baudrillard (« La société de consommation », 1970), le philosophe André Gorz (« Ecologie et Politique », 1975), ou encore l'économiste Serge Latouche (« Le pari de la décroissance », 2006). Un économiste comme Joseph Stiglitz, prix Nobel, alimente la réflexion sur ce sujet et est très apprécié des alter mondialistes pour cette raison. Peut-on préserver la croissance avec un idéal de décroissance ? De même qu’on ne peut pas être écologiste de droite, peut-on vouloir réformer la société en étant « écolo » ? Symétriquement, peut-on être écolo en n’étant pas anti-croissance ? D’un côté, il est impératif de réfléchir à comment économiser nos ressources naturelles, environnementales et énergétiques, en prenant du recul sur notre société de gaspillage. Les faits eux-mêmes, la décroissance annoncée de la production pétrolière notamment, le réchauffement climatique notamment, nous imposeront de faire mieux que réfléchir : il faudra changer. Il paraît difficile d’engager notre société sur la voie de moins de consommation et vers plus de privation : nos concitoyens, vous, nous, av ons envie de vivre correctement, de consommer, de se faire plaisir. Nous n’aimons ni les privations ni n’envisageons un retour à un état général de frugalité que la modernité nous a fait oublier. De plus, vouloir faire prendre un virage écologique à nos sociétés modernes, basées sur de très fortes interdépendances, en baissant brutalement la consommation (pour économiser les ressources de la planète) ne serait pas socialement acceptable. Cela aurait des conséquences directes sur l’emploi et entraîneraient trop de difficultés sociales." https://www.encyclo-ecolo.com/Décroissance C'est comme ça depuis mon entrée dans le monde du travail, et c'est pareil pour tout le monde. La solution : ne pas travailler si on ne veut pas contribuer socialement, les autres pourvoiront, comme toujours. Un homme que j'ai connu il y a une dizaine d'années, qui était au RSA tout en étant proprio de sa maison héritée de ses parents, ne voulait surtout pas travailler, vivait de petits services par ci par là, et avait le culot de se moquer des travailleurs, ceux-là mêmes qui lui payaient son RSA. J'ignore jusqu'où peut aller la conn.... humaine, et je ne veux même pas le savoir, tant ça descend bas.
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L'impôt n'est-il donc déjà pas proportionnel aux revenus ? Combien paie d'IR un patron dont le salaire est de 18 000 € imposables par mois (en admettant qu'il soit célibataire) et combien en paie un salarié dont le salaire est de 1500 € imposables (célibataire aussi) ?
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Combien de personnes en France concernées par cela : "une certaine tranche, des petits investisseurs, qui ne sont pas des retraités et qui créent de l'emploie, la CSG venant leur faire perdre leur rentabilité , ils ne vont plus investir dans l'immobilier ou alors ils vont placer dans autre chose, faire du profit financier par exemple ( assurances, banques) , ce qui tout en nuisant à l'emploie va faire augmenter le prix des loyer" ? Il serait possible, lorsqu'il s'agit de créer de l'emploi, de les exonérer soit totalement soit partiellement (selon le nombre d'emplois créés), pendant un certain temps, le temps que ça démarre, une année voir deux, mais il faut premièrement cerner ces personnes et leur nombre. "La CSG vise à diversifier le mode de financement de la protection sociale qui, avant la création de cet impôt, reposait essentiellement sur les cotisations sociales. Ce système était devenu contestable en raison : d’un alourdissement du coût du travail ; d’un problème d’efficacité et de justice du prélèvement, qui ne pesait que sur les revenus du travail ; d’un manque de légitimité car seuls les salariés cotisaient. Or, la sécurité sociale s’est généralisée à tous les résidents en France. Son rendement est important (99 milliards d’euros en 2017, soit plus que l’impôt sur le revenu, dont le produit s’élevait à 74 Mds € la même année), et elle représente plus des deux tiers des impôts et taxes affectés à la protection sociale". http://www.vie-publique.fr/decouverte-institutions/finances-publiques/protection-sociale/financement/qu-est-ce-que-csg.html
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Et qui lâche du terrain chaque jour, contrairement à leur slogan "on lâche rien" La Bretagne enfin libérée https://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes-cote-d-azur/gilets-jaunes-carte-reactualisee-temps-reel-stations-rupture-stock-carburant-marseille-nice-1581733.html
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Et encore plus pour ceux qui lorgnent sur ce qui ne les regarde pas
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Le problème demeurant : on a pas du tout la même notion du mot "misérable". Entre une personne satisfaite de payer de la CSG puisqu'elle contribuera à aider ceux qui en ont besoin, et une personne insatisfaite d'en payer car elle considère qu'elle n'a pas à aider, que les seuls riches ont à le faire, il y a un océan qui nous sépare : je fais partie de la première catégorie et non de la seconde.
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Mais je ne me mêle pas de la vie des autres tant qu'on ne me le demande pas, tout simplement c'est tellement plus sain de vivre comme ça. Pour tout te dire, ça m'intéresse si peu que Madoff, connais pas Tapie oui, parce que souvent vu à la tv, mais l'autre, le nom me dit vaguement quelque chose, sans plus. Il est français lui ? (sorry j'ai pas ouvert ton lien précédent).