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Tout ce qui a été posté par Swannie
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J'ai lu tout récemment que l'arrêt des soins consistait en réalité à ne plus l'alimenter : ni manger, ni boire. Je croyais qu'il recevait des soins pour le maintenir en état végétatif autres que ceux-là (des soins médicaux autres que le manger et le boire), et là, ça me choque grave du coup car il va mourir de soif en fait, c'est horrible.
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Certes, mais il suffit d'être mis dans la situation où l'on pense que son enfant va mourir pour savoir que l'on préférerait mourir à sa place. Et même un parfait étranger, car ça ne m'est jamais arrivé pour mes enfants, mais ça m'est arrivé avec une parfaite étrangère (une jeune ado) dans un accident il y a pas mal d'années (2006 sauf erreur) : elle téléphonait sur son portable et a traversé en dehors du passage piéton en courant sans regarder (au dessus de ce passage), se jetant sur ma voiture et s'écrasant sur le pare-brise par le choc, projetée 3 mètres plus loin brutalement. Inconsciente, j'ai pensé que je l'avais tuée et j'ai aussi pensé que je préférerais mourir plutôt qu'elle, tu sais quand tu t'entends dire à Dieu : prend ma vie mais pas la sienne je t'en prie, tu es tout de suite fixé. Puis elle a repris conscience, elle n'avait rien, si ce n'est quelques égratignures et une blessure sans gravité au genou. Pourtant le pare-brise était éclaté et le phare dans lequel le genou avait cogné pété. Donc voilà : être mis face au fait, rien de tel pour savoir. Donc dans ce cas, fiction aussi.
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Dans ce verset, Paul ne contredit pas "rien n'est impossible à Dieu". Pourquoi vas tu en chercher un verset qui ne correspond pas à ce que je t'écris ? En voici un qui correspond, Matthieu 19:26 : "Et Jésus, les regardant, leur dit : Pour les hommes, cela est impossible ; mais pour Dieu, toutes choses sont possibles". J'ai dit et redit que c'était les nés de nouveau d'eau et d'Esprit, savoir ceux qui sont nés de Dieu, qui cessent d'être pécheurs. Je t'ai cité Jean 1:12 et 13 sur ce point et un extrait d'une de ses lettres. C'est un chemin, il est possible d'avoir été baptisé d'eau et d'Esprit et de ne pas naître de nouveau, parce qu'on s'est détourné du droit chemin. Ce qui est insensé, mais Pierre a confirmé que cela arrivait dans sa seconde lettre en 2 : "car il leur eût mieux valu n’avoir pas connu la voie de la justice, que de se détourner, après l’avoir connue, du saint commandement qui leur avait été donné ; mais ce que dit le proverbe véritable leur est arrivé : le chien est retourné à ce qu’il avait vomi lui-même, et la truie lavée, à se vautrer au bourbier". Pourquoi me parles tu d'intermédiaire ? je n'en ai pas parlé dans mon précédent post, je n'ai pas écrit cela. Qu'est ce qui te fait penser à un intermédiaire dans mon précédent propos ? Jésus est Dieu venu en chair parmi les hommes, alors évidemment qu'il n'a pas besoin d'intermédiaire.
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Dire le contraire de ce qu'on pense ? pourquoi ? pour ne pas blesser ou dans une autre intention ? Je ne dis pas toujours ce que je pense, mais je ne dis pas le contraire de ce que je pense : je m'abstiens de dire, dans ce cas là (ça peut être pour ne pas blesser, mais ça peut être aussi parce que la personne ne comprendra pas).
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Ok, ça me suffit, tu ne sais pas répondre à la question, c'est pourquoi tu as employé le conditionnel : tu n'en as pas la certitude.
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Je ne dirai donc pas que c'est un mensonge mais de la fiction, puisque tu ne le fais pas pour nuire à l'autre mais au contraire pour ne pas le blesser, tu lui fais donc fictivement croire que ça te plait. Si tu arrives à ce que sur ton visage ça ne se voit pas, alors c'est gagné. Mais certains n'y arrivent pas, alors ils blessent quand même (genre : oui elle m'a fait croire que ça lui plaisait, mais j'ai bien vu à sa tête que non).
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oh tu sais, c'est facile à vérifier si nos enfants sont tout pour nous ou pas, dès lors qu'on sait qu'on préférerait mourir plutôt que de les voir mourir car on ne le supporterait pas, alors ils sont tout pour nous. Il est des questions intimes à se poser, pour la voir notre vérité profonde, la conscientiser, ça s'appelle de l'introspection. Quand on aime, on ne voit pas les défauts de l'autre, donc on ne lui dira pas "malgré tes défauts", on en dira qu'ils sont mignons lorsqu'on nous dira qu'il a quand même tel ou tel défaut. Pour la réussite, c'est autre chose, certains sont facilement jaloux des autres, d'autres se réjouissent des réussites des autres, et ça se vérifie tout pareil en nous-même, honnêtement. Ce que tu appelles se tromper sur soi-même, c'est se mentir à soi-même, la pire forme du mensonge, celle qui fait qu'on verra la paille dans l'oeil de l'autre sans voir la poutre dans le sien, qu'on balaiera devant la porte de l'autre sans balayer devant la sienne, et cela engendre de se tromper aussi par conséquent sur les autres car le jugement s'en trouve altéré par le fait que la propre vision sur soi-même est mensongère.
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si je n'aime pas, ça se verra tout de suite à ma tête, et la personne comprendra qu'elle s'est trompée. Après, pour que je n'aime pas, faut vraiment en avoir fait exprès, un rien me réjouit car c'est l'intention qui compte, pas le cadeau. Mais si on m'offre un fusil de chasse alors que je ne chasse pas, je ne pourrai pas lui dire que ça me plait, impossible, même s'il me dit que c'est pour apprendre et même s'il a déniché un exemplaire rare (je ne crois pas que ça puisse arriver )
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Certains ont reçu l'amour de la vérité, d'autres pas. D'ailleurs, on dit qu'il n'y a que la vérité qui blesse, parce qu'elle met en lumière la partie obscure de tout être. Quand donc elle ne blesse plus mais au contraire réconforte, console, ce qui engendre qu'on l'aime de plus en plus, en parallèle, nous haïssons de plus en plus le mensonge et le chassons loin de nous. Ce qui engendre que les personnes qui aiment mentir à notre égard pensant nous blesser, nous heurter, se trompent, elles n'abusent qu'elles-mêmes en le faisant et révèlent leur propre fond en plein jour (sans même en avoir conscience).
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Bon, si au lieu de m'éplucher sous toutes les coutures avant de commencer par toi (mais bon, tu ne le veux pas faire ton introspection, tu préfères balayer devant ma porte que devant la tienne), et puisque je t'aide bien, malgré moi (ou pas), je vais donc éplucher à mon tour tes réponses sur le sujet. Tu es resté vague, disant je te cite "Admettons que vous mourrez ...Peut être ėvolurez vous dans de vagues souvenirs et tout ce qui fit votre vie mais de là à vouloir vous réincarner pour quoi faire d ' autant que l ' on n ' aurait point fini de vouloir faire tout si la réincarnation existait ..." Si la personne morte évolue dans de vagues souvenirs et tout ce qui fit sa vie, quel est pour toi le principe en elle qui évoluera dans ces souvenirs ? il y a donc bien quelque chose après la mort pour toi, qui lui permettra de le faire. D'autre part, et contrairement à ce que tu affirmes, tu as une certaine croyance, bien que tu emploies le conditionnel, je te cite, celle-ci : "Aussi se pourrait - il bien que nous soyons créateurs d ' une certaine destinée ou d ' évènements qui soient ce que nous pouvons construire de la réalité et l ' art de ne pas s ' y perdre ..." Si nous sommes créateurs d'une certaine destinée (ou d'évènements), celle-ci est due à notre libre arbitre, nos choix. Chacun peut faire les bons et y gagner, ou les mauvais et s'y perdre. D'accord là-dessus ?
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Pour toi Petitpois, un pseudo est un mensonge ? et quand est-il s'il s'agit d'un surnom qu'on nous a donné dans la vie ? Perso d'âge, j'en ai jamais mis ici, mais si j'avais dû en mettre un j'aurais mis le vrai, je ne vois pas d'intérêt à mentir là-dessus ? Je ne fais pas de différence entre le réel et le virtuel, si ce n'est que je ne connais pas les gens à qui je m'adresse, évidemment Je suis d'accord avec toi : mentir est un exercice à risques et comme on dit, tel est pris qui croyait prendre. Alors mentir parce que ce serait "une tare" chez l'être humain, je dirai plutôt un bug, une anormalité quoi J'ai bien sûr déjà menti quand j'étais jeune, et c'est disparu avec l'âge parce qu'en fait, c'est avant tout immature, non ? Hormis les fictions bien sûr, je continue à répondre que ça va bien même si j'ai un problème temporaire, mais comme je l'ai dit, pour moi, n'est mensonge que ce qui vise à nuire à autrui pour en retirer un intérêt pour soi. Je n'arrive d'ailleurs pas à comprendre pourquoi les gens qualifient de mensonge ce qui ne leur nuit en rien, et ça, ça doit être un bug aussi, une déformation du sens du mot
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c'est ce que tu crois, je pourrais en parler toute la journée, "du reste" Tu as mal lu l'article, toi, il est bien question du cerveau puisque de greffe du cerveau. Si on greffe ton cerveau sur quelqu'un, ce quelqu'un n'aura pas ta conscience mais la sienne, puisqu'elle est extra neuronale. Heureusement, car lorsqu'on greffe un coeur sur quelqu'un, alors ce quelqu'un cesserait d'aimer sa femme, ses enfants, etc. et se mettrait à aimer la femme du donneur, ses enfants, etc
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Moi non, je ne mérite pas d'attention, Dieu oui. Cette idée de choisir ce qui n'est rien dans le monde, c'est aussi parce que Dieu résiste aux orgueilleux mais fait grâce aux humbles, c'est être humble que de se déclarer rien, et je continue à le dire, car sans Dieu, je ne suis rien et je ne peux rien faire. Paul a dit que si quelqu'un croit être quelque chose, alors qu'il n'est rien, il s'abuse lui-même. Il n'y a pas d'animosité vengeresse dans ma spiritualité, puisque j'aimerais que tous les hommes soient sauvés même les pire, qu'ils fassent repentance de leurs actes, donc un côté maternel oui, comme on le ferait pour des enfants, on leur veut le meilleur. Je ne parle pas ici des démons, mais des hommes (nuance importante). Je glorifie et rends grâces à Dieu pour toutes choses, donc en ce qui concerne le péché de chair... où serait-il vu ainsi ? Dieu a un dessein pour l'humanité depuis le commencement, et l'apostasie a été annoncée d'avance il y a 2000 ans, elle fait partie de ce dessein. Je l'ai déjà rencontré, il est exactement tel que le décrit l'Evangile, parfait, bon, juste, amour et bien plus que cela encore, car ce serait sans parler de son infinie patience et de son infinie compréhension de la nature humaine. Bien que cela soit logique, puisqu'il est venu lui-même dans une chair semblable à celle des hommes, s'abaissant au plus bas puisque la chair du péché. Quand Jésus a dit qu'il n'y a de bon que Dieu seul, ne pas oublier que Dieu, le Père, était en lui, celui qui l'avait vu avait vu le Père.
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Je n'ai pas de réponse à faire à ceux qui ne tiennent pas compte de ce que je leur répond, poursuivant leurs propres croyances personnelles, telle celle que de croire que ma "connaissance de moi-même n'est pas" : tu n'en sais strictement rien, mais tu le crois puisque tu l'écris (pour quelqu'un qui ne croit pas...). Tu devrais commencer par apprendre à te connaitre toi-même : — Porphyre, Traité sur le précepte connais-toi toi-même
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Très bien vu, c'est exactement ainsi que je considère le mensonge par politesse, la réponse au "ça va bien ?" "oui" même quand ça ne va pas n'est pas à mes yeux un mensonge mais de la fiction puisqu'il ne nuit à personne. Le mensonge a pour but de nuire aux autres en visant son propre intérêt, sinon c'est de la fiction.
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Ce n'est pas une réponse à mon post, tu le contournes parce que tu n'as pas de réponse quant à la connaissance de soi, et pour cause : tu ne te connais pas toi-même.
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Si pour toi, la connaissance, le savoir donc, n'existe pas, pour moi il existe. Je ne transforme rien, la connaissance est donnée gratuitement par Dieu, aucun mérite ne nous revient, ni études ni quoi que ce soit du genre. Je pensais aussi, il y a longtemps, que Dieu ne pouvait pas s'intéresser à moi, parce que j'étais insignifiante, rien, méprisable car pécheresse (et je m'en repentais), et complètement insensée d'imaginer que je pourrai attirer son attention, et que donc c'était peine perdue que d'essayer (tout en ressentant fortement sa présence, paradoxalement, mais passive). C'était fort bien mal connaitre Dieu. Pourtant c'est écrit, mais à l'époque, je l'ignorais, 1 corinthiens : "Mais ce que le monde tient pour insensé, c’est ce que Dieu a choisi pour confondre les sages ; et ce que le monde tient pour rien, c’est ce que Dieu a choisi pour confondre les forts ; et Dieu a choisi ce qui dans le monde est sans considération et sans puissance, ce qui n’est rien, pour réduire au néant ce qui est, afin que nulle chair ne se glorifie devant Dieu.".
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Henri, je ne réponds que partiellement à ton post, car je ne fais que me répéter. Je vais donc répondre seulement à ce à quoi je n'ai pas encore répondu. La place attribuée au pardon est celle engendrée par le baptême de repentance et la conversion à Dieu. Baptême d'eau et d'Esprit par conséquent, s'ensuit la rédemption. Evidemment que Dieu est amour, mais sans repentance, son amour n'est pas remis en cause : les hommes qui ne veulent pas se reconnaître pécheurs se vouent eux-mêmes à leur perte par leur choix, ne se reconnaissant pas pécheurs, ils ne se repentent pas. Pourquoi écris tu cela, alors que je t'ai répondu ""celui qui ne croira pas sera condamné", ce qui sous entend que celui qui croira sera sauvé. Un exemple, l'un des malfaiteurs a cru : Luc 23 : "L’un des malfaiteurs suspendus en croix blasphémait contre lui : N’es-tu pas le Christ ? Sauve-toi toi-même, et sauve-nous. Mais l’autre lui fit des reproches et dit : Ne crains-tu pas Dieu, toi qui subis la même condamnation. Pour nous, c’est justice, car nous recevons ce qu’ont mérité nos actes ; mais celui-ci n’a rien fait de mal. Et il dit : Jésus, souviens-toi de moi, quand tu viendras dans ton règne. Jésus lui répondit : En vérité, je te le dis, aujourd’hui tu seras avec moi dans le paradis". Si. Et c'est exactement ce que Jésus sous entend lorsqu'il répond : ""celui qui ne croira pas sera condamné", il ne dit pas "celui qui ne sera pas baptisé sera condamné", parce que cela va de pair : lorsqu'on croit, on reçoit le Saint Esprit, nous avons donc été baptisés du Saint Esprit, et comme c'est Jésus qui pardonne les péchés, en les pardonnant, nous avons été baptisés d'eau aussi. Même si le rituel gestuel n'a pas eu lieu. Tel l'exemple ci-dessus avec le malfaiteur : "En vérité, je te le dis, aujourd'hui tu seras avec moi dans le paradis". Il a cru. Comprend la différence : "celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé" il ne dit pas ensuite "celui qui ne croira pas et qui ne sera pas baptisé sera condamné", mais seulement "celui qui ne croira pas sera condamné".
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Je ne me suis rien appropriée du tout. Je sais ce que je sais, et je ne sais pas encore tout. Tout le monde n'expose pas sa compréhension mais bien souvent une simple opinion : ceux qui croient que rien n'existe après la mort n'en ont pas la compréhension, la connaissance, simplement une opinion. Ce n'est pas pareil.
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J'ai fait un ajout à mon précédent post : "Ce n'est pas seulement la vie qui se comprend, qui se découvre elle-même, c'est "soi-même" qui se comprend, qui se découvre, et ça se nomme "la connaissance de soi". Ce "soi" ne se limite pas à la vie, il est esprit, âme (vie), et corps." Après le croire vient le savoir, si nous n'avons pas besoin de croire à la vie puisque nous vérifions que nous l'avons donc nous savons, en revanche il est besoin de croire que la connaissance de soi est possible, réalisable.
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Donc jamais tu n'écris "je crois", seulement "je ne crois pas". Ce n'est pas seulement la vie qui se comprend, qui se découvre elle-même, c'est "soi-même" qui se comprend, qui se découvre, et ça se nomme "la connaissance de soi". Ce "soi" ne se limite pas à la vie, il est esprit, âme (vie), et corps.
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Oui, par connaissance. En dire que c'est abusif signifie quoi ? que je dois me taire ? qu'elle n'est pas admissible ? mais je n'oblige personne à me lire et à me croire, ni à me répondre. Je participe, point. Les gens ont leur propre conscience, soit ça résonne, soit ça ne résonne pas, ce que j'écris. Qu'ils en fassent donc ce qu'ils veulent, en leur âme et conscience.
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Tout le monde croit en quelque chose et met donc sa foi en quelque chose. Concernant la science, c'est la mettre dans les humains. Ce qui m'a le plus surprise dans cet article, c'est cela : "Aujourd’hui, la majorité des gens croient que la conscience est fabriquée par le cerveau". Cette méconnaissance de soi est sidérante, alors s'il est des scientifiques qui croient aussi cela, que dire de leur science... sinon qu'elle n'est que ruine de leur âme.
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Si je n'en ai pas parlé moi-même de cette raison là, c'est que je ne suis pas catholique, je ne me sens donc pas concernée par la raison invoquée, à mes yeux, elle n'est pas l'Eglise de Dieu quand bien même elle s'en réclame. Tu devrais le savoir depuis le temps que tu me cites et me réponds, que je n'ai pas de religion telles qu'elles existent actuellement dans le monde, je l'ai à nouveau dit dans ce topic, démonstration est faite que tu es bel et bien fermé aux autres s'il en était besoin de le démontrer.
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Alors je suis très malpolie, vraiment très très