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120lola120

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  1. J'arrête pas de hurler contre les détails faux dans les infos, du plus banal au plus dramatique. "80% d'erreurs dans les témoignages, il paraît" oui... mais là, c'est loin... Et il a pas appelé de la forêt, lui.
  2. Donc elle a appelé de la forêt, quelqu'un qui était à 70 km...
  3. Suite LCI Le compagnon de la jeune femme témoigne Interrogé par les médias, le compagnon d'Elisa P. très éprouvé après la perte de sa compagne et de son enfant a livré un témoignage poignant. Il indique qu'après avoir quitté son lieu de travail suite à l'appel au secours de sa compagne, il l'a localisée après avoir aperçu son 4x4 en bordure de forêt. "C’est là que j’ai croisé des chiens de chasse dans un premier temps puis un cavalier. J'ai continué à la chercher. J'ai appelé Curtis (leur chien, ndlr) et c'est là que Curtis m'a prévenu en aboyant ». Le compagnon d'Elisa regarde alors dans le ravin. "Je vois une trentaine de chiens arrivée sur moi. Je m’écarte. Je vois deux chiens arrivés sur moi. Je me mets un peu en protection mais ils ne m'ont rien fait. Ils n'ont pas été agressifs. J'ai décidé de descendre dans le précipice pour aller le chercher. Plus je me suis rapproché, plus je me suis rendu compte que ce n’était pas un tronc d’arbre, c’était le ventre de ma femme qui était à découvert. Elle a été déshabillée entièrement. J'ai récupéré la laisse de Curtis, je suis descendue près d'Elisa. J'ai lâché la laisse pour m'occuper d'Elisa. Elle était dévorée de partout. J'ai repris Curtis qui s'était couché, je l'ai remonté dans ma voiture et j'ai été voir des voisins qui m'ont aidé à appeler la police", raconte en larmes Christophe. Il y a des trucs qui ne tiennent pas debout...
  4. Je ne comprends pas ça: '"article LCI" Un message sur Facebook Dans un message posté sur son compte Facebook samedi à 12h19, supprimé depuis, Elisa P. écrit qu'elle vient de croiser un homme "avec son malinois pas attaché". Elle poursuit : "Le truc arrive à fond sur moi, heureusement que j'étais avec Chivas". Aurait suivi une altercation verbale avec le propriétaires du chien. "Heureusement que je ne promenais pas les autres sinon boucherie assurée". Le Malinois, comme son propriétaire, sont introuvables depuis.... Qui a supprimé ce message ? "Chivas" n'est pas le chien qu'elle avait avec elle au moment de l'attaque. Et l'heure ? 12h 19
  5. Si on se passe des intégristes de tous poils, on peut avoir des ami(e)s de confessions diverses, des cathos, des protestants, des juifs, des musulmans, des athées, etc... Tout les gens sincères qui ne font pas dans l'exhibitionnisme systématique sont enrichissants. (sinon, en matière de législation ouverte et moderne : j ' aime beaucoup le code d'Hammourabi.)
  6. Il m'a atterri sur le poil une ravagée d'intégriste cato il y a quelques années qui m'a gonflée avec ses prétentions à faire mon salut et sa compréhension de la Bible niveau QI d'huitre. Donc je l'ai coincée sur une phrase (simple pourtant). Et je l'ai virée. En fait, j'avais besoin qu'elle purifie la maison à coups d'aspirateur. J'ai su qu'elle se liait avec des jeunes filles pour les rabattre sur son groupe. Autre: Une adulte assez sotte qui avait été élue Miss Cathéchisme dans son patelin. S'en vantait beaucoup. Je lui ai donc demandé quelques exemples . Elle m'a alors cité sa façon de contrer les idolâtres: " Non !!! On ne peut pas avoir Johnny Hallyday comme idole "... Pas mal de catholiques pratiquants dans mon enfance , mais personne d'intégriste. Des amis ou connaissances de plusieurs religions sympas, interessants, sans histoires...
  7. Ça donnera aux spécialistes l'occasion de mettre le nez dans le texte. Pourquoi ? Les hommes sont lapidés dans ce cas ?
  8. Le problème: Vu, il y a des années, des interrogations d'enfants par des pros de la gendarmerie. Qu'est- ce qui a changé depuis ? Rien. Et la petite Karine: Une deuxième chance à une meurtrière de bébé... 13 signalements !!! Et une bonne ligature des trompes après ce meurtre ? Et à cette grosse salope qui a tué sa petite avec son mec (vers Clermont) et qui arrive à re pondre, même en tôle ...
  9. Non. En cas d'adultère, le mari peut pardonner. (Coran)
  10. J'ai repris les articles sur la petite Marina. Des signalements depuis 2006 et jusqu'à 2009. J'ai en tête une effroyable image du visage de cette petite martyre. Pas regardé le film. Toujours peur que des cinglés puisent des idées dans ces reconstitutions. Vu une grande partie du débat et je l'aurais bien repris sur le lien que January a mis (merci) Mais tjrs pbs de replay. Ces dysfonctionnements sont de la complicité. Le manque d'intervenants, de structures, la lâcheté des personnes informées, les trainailleries paperassières, le manque de cohésion entre services, tout ça, c'est à vomir. J'ai mal à toutes les victimes...
  11. Depuis 1986, la Congrégation des Frères de Saint-Jean est un institut religieux de droit diocésain dépendant de l'évêque d'Autun (France), c'est-à-dire sous l'autorité de l'Église catholique locale. De même pour les Sœurs Apostoliques depuis 1993. Quant aux Sœurs Contemplatives, elles dépendent de l'évêque de Lyon. La Communauté a fait l'objet de nombreuses controverses quant au comportement de son fondateur, au sein de l'Église catholique mais aussi dans la communauté, qui a fait l'objet d'accusations de dérive sectaire. Plusieurs religieux ont été reconnus coupables de viols sur adultes, mineurs ou personnes fragiles, menant la Famille Saint-Jean à les renvoyer. ... C'est en janvier 2004 que commence à circuler sur Internet un libelle anonyme dénonciateur. Le document se présente comme une « mise en garde » à l'égard de la communauté Saint-Jean. « Nous sommes catholiques romains. Compte tenu des menaces que nous avons reçues [...], nous ne voulons pas dévoiler ici notre identité », y lit-on. Le texte est parvenu dans les aumôneries scolaires et a été largement diffusé auprès des journaux. Il révèle des affaires de mœurs qui n'avaient pas jusqu'alors été évoquées publiquement et donne des détails sur d'autres dossiers70. Certains sites catholiques, tel celui de la Pastorale Nouvelles Croyances et Dérives Sectaires (PNCDS 72) du diocèse du Mans, décident alors de mettre en ligne ce document71. ... Une ex-sœur de Saint-Jean dénonce des dérives sectaires (2017) À 24 ans, en 1999, Marie-Laure Janssens est entrée chez les sœurs contemplatives de Saint-Jean où elle restera 11 ans102. Après avoir finalement quitté cette communauté en 2010 et s'être mariée, elle affirme en 2017 dans un livre avoir été la « victime d'un crime que ni le droit pénal ni le droit de l'Église catholique ne reconnaissent : l'abus spirituel »103,104,105 Elle affirme : "J'ai bel et bien passé onze ans dans une secte"106. Une ancienne adepte de Saint-Jean dénonce des abus sexuels et spirituels (2019) À 16 ans, en 1989, Sophie Ducrey rencontre la communauté Saint-Jean. Ayant de fortes aspirations spirituelles, elle se confie à un prêtre de Saint-Jean qui va devenir son accompagnateur. Elle témoigne107 dans son livre publié en 2019, Etouffée, de l’emprise psychologique dans laquelle elle est tombée, ainsi que des abus sexuels subis à partir de sa majorité108. Une communauté à histoires... Grâce aux histoires de cette femme, agrippée à ses fringues, comme d'autres sectaires, j'ai pris connaissance de choses peu reluisantes. Histoires depuis le début de ce mouvement.
  12. Depuis 1986, la Congrégation des Frères de Saint-Jean est un institut religieux de droit diocésain dépendant de l'évêque d'Autun (France), c'est-à-dire sous l'autorité de l'Église catholique locale. De même pour les Sœurs Apostoliques depuis 1993. Quant aux Sœurs Contemplatives, elles dépendent de l'évêque de Lyon. La Communauté a fait l'objet de nombreuses controverses quant au comportement de son fondateur, au sein de l'Église catholique mais aussi dans la communauté, qui a fait l'objet d'accusations de dérive sectaire. Plusieurs religieux ont été reconnus coupables de viols sur adultes, mineurs ou personnes fragiles, menant la Famille Saint-Jean à les renvoyer. ... C'est en janvier 2004 que commence à circuler sur Internet un libelle anonyme dénonciateur. Le document se présente comme une « mise en garde » à l'égard de la communauté Saint-Jean. « Nous sommes catholiques romains. Compte tenu des menaces que nous avons reçues [...], nous ne voulons pas dévoiler ici notre identité », y lit-on. Le texte est parvenu dans les aumôneries scolaires et a été largement diffusé auprès des journaux. Il révèle des affaires de mœurs qui n'avaient pas jusqu'alors été évoquées publiquement et donne des détails sur d'autres dossiers70. Certains sites catholiques, tel celui de la Pastorale Nouvelles Croyances et Dérives Sectaires (PNCDS 72) du diocèse du Mans, décident alors de mettre en ligne ce document71. ... Intégrisme, dérives sectaires... Un truc monté de toutes pièces Comme le reste.. "Ma foi tient dans des bouts de chiffons"...
  13. Autre dysfonctionnement, pointé par l’IGJ : trop souvent, les victimes de violences conjugales sont incitées dans les commissariats ou les gendarmeries à ne laisser qu’une simple main courante, au lieu de déposer plainte. Ce qui est trompeur pour le JAF, qui a tendance à se dire que si les faits étaient si graves, ils auraient fait l’objet d’une plainte. Quelles solutions ? « Il faut qu’avocats et magistrats soient convaincus que c’est possible de faire des ordonnances de protection. Ils doivent d’abord être bien formés », appuie Gwenola Joly-Coz, qui est par ailleurs la directrice de session de la formation « Lutte contre les violences faites aux femmes » de l’École nationale de la magistrature. « Pour qu’une réelle culture de juridiction se mette en place, il faut qu’il y ait une sorte de synergie locale. Il faut que tous les acteurs se mettent autour de la table pour faire fonctionner ce dispositif, qui n’est pas un mécanisme simple », plaide Gwenola Joly-Coz. À Pontoise, un protocole de partenariat a été signé en juin 2017 entre tous les acteurs - les JAF, les procureurs, le bâtonnier, la chambre départementale des huissiers, les UMJ et les associations - pour lever les blocages, sur le modèle de ce qui avait été fait en 2010 en Seine-Saint-Denis. À tire d’exemple, « les UMJ se sont engagés à fournir les certificats médicaux au procureur, qui s’est à son tour engagé à les transmettre au JAF », développe Gwenola Joly-Coz. « En fait, c’est beaucoup de volontarisme », ajoute la magistrate, dont la juridiction devrait rendre cette année « plus de 100 ordonnances de protection », contre « une quarantaine par an » seulement à son arrivée. @Dzag Excuse moi de ne pas t'avoir répondu tout de suite. Je m'évertuais à mettre cet article. Pas mal de réponses dedans...
  14. Pourquoi ne sont-elles pas assez demandées ? Cet outil reste « insuffisamment identifié et rarement utilisé par les victimes », pointe l’IGJ dans son rapport. Ainsi, sur les 88 dossiers de tentative ou d’homicide conjugal examinés, seules deux femmes avaient demandé une ordonnance de protection (une seule requête avait été accordée). « Les avocats considèrent que c’est une procédure assez complexe, et ils hésitent à nous saisir », observe Gwenola Joly-Coz, la présidente du tribunal de grande instance de Pontoise (Val-d’Oise), très volontariste en matière de lutte contre les violences faites aux femmes. « Certains conseils, qui savent qu’elles ne sont pas assez accordées, préfèrent ne pas envoyer leurs clientes au casse-pipe », ajoute pour sa part Ernestine Ronai, présidente de l’Observatoire des violences envers les femmes de Seine-Saint-Denis, et membre du Haut conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes. En cas de grande urgence, ça n'est même pas appliqué d'office... Pourquoi ne sont-elles pas assez accordées ? Pour prendre leur décision, les JAF examinent, en vertu de l’article 515-11 du Code civil, deux critères : s’il existe « des raisons sérieuses de considérer comme vraisemblables » les violences, et si un danger immédiat est encouru. Autrement dit, les juges ne peuvent statuer que sur un faisceau d’indices - donc un régime de preuve faible - pour prendre des mesures privatives en termes de libertés, avec la menace d’une peine de deux ans de prison et de 15 000 euros d’amende. « On observe, d’une manière assez claire, que les magistrats qui n’ont pas été formés sur la question des violences faites aux femmes et des ordonnances de protection ont tendance à avoir une approche des situations qui s’apparente à celles du pénal : quel fait de violence avec quelle preuve », a pu constater Solène Jouanneau. « Les magistrats formés, pour leur part, se demandent s’ils sont bien face à une situation de violence vraisemblable, qui peut prendre aussi parfois la forme de d’une multiplicité de micro-agressions quotidiennes. » « Ce n’est pas un texte facile », reconnaît Gwenola Joly-Coz. « Il est difficile de demander aux juges du civil d’avoir une action de coercition. Ce n’est pas naturel pour eux », ajoute-t-elle. Parmi les éléments décisifs, la présentation d’un certificat médical, a fortiori s’il est délivré par une unité médico-judiciaire. Or dans le cadre d’enquêtes préliminaires en cours, les victimes n’ont pas toujours accès à ce document, qui est directement transmis à la police, puis au parquet. Elles ne peuvent donc parfois pas le remettre au JAF. Et sur le récépissé de dépôt de plainte, il est seulement écrit si l’ITT est supérieure à huit jours. « Il m’est arrivé de découvrir une femme couverte de bleus, avec un constat d’ITT inférieur à huit jours », relève Me Caty Richard, qui défend des femmes victimes de violences conjugales depuis 25 ans. « C’est souvent le cas dans ce type de dossier, car la violence quotidienne est, dans une certaine mesure, maîtrisée. L’homme violent se défoule sur sa femme, mais prend sur lui pour ne pas aller trop loin, pour ne pas laisser de trace. Jusqu’au jour où tout bascule. »
  15. En 2016, les juges aux affaires familiales ont été saisis de 3100 demandes d’ordonnance de protection, et ont rendu 2380 décisions sur le fond, selon les statistiques du ministère de la Justice parues en septembre 2019. « C’est un volume très faible, quand on sait qu’en Grande-Bretagne, on est aux alentours de 20 000 décisions de ce type rendues par an », souligne Solenne Jouanneau, maîtresse de conférences à l’Institut d’études politiques de Strasbourg, qui a coordonné une étude collective sur le sujet, rendue publique le mois dernier. « Cela s’explique d’abord parce que les ordonnances ne sont pas assez demandées par les victimes elles-mêmes », souligne-t-elle. « Et quand celles-ci la réclament, le taux de refus est assez important : 40 % ». Pourquoi la France est-elle à la traine de l'Espagne et de l'Angleterre ?
  16. Que sont les ordonnances de protection ? Ce dispositif, qui ne relève pas de la justice pénale mais de la justice civile, a été instauré par une loi de 2010 et amendé en 2014. Il s’agit de mesures de protection d’urgence que peut provisoirement délivrer un juge aux affaires familiales (JAF), pour mettre à l’abri une victime. Elle permet ainsi d’interdire à un conjoint violent d’entrer en contact avec sa victime, voire avec leurs enfants. Mais aussi de l’obliger à quitter le domicile, ou encore de l’empêcher de détenir une arme. Et pourquoi ça ne relève pas du Pénal ?
  17. https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/féminicides-les-ordonnances-de-protection-un-outil-trop-peu-utilisé/ar-BBX0jtA Hier dans MSN.
  18. On a quand même là un bel exemple de lavage de cerveau et de bourrage de mou, avec pour résultat un fouillis assez ridicule et très sectaire. Trop lire, trop écouter n'importe qui donne les même résultats qu'un conditionnement féroce et obtus sur des analphabètes. On a ces conditionnements sur des détails pratiques dans les sectes. Façons de marcher, façons d'éplucher et rincer les légumes, interdits et obligations multiples destinés à empêcher la personne de penser par elle même.
  19. C'est pour ça que tout le Maghreb est catholique...
  20. 1000 sur 270 000 ... Si c'est "une cause nationale" comme dit, ça devrait être bassiné autant que les pubs avec les n° d'urgence. D'ailleurs, quand on tape "n° d'urgence", le 3619 (femmes battues) et le 119 (enfants maltraités ou battus) ne sont pas dans la liste. Pas oublier qu'il y a des défenseurs de l'omerta qui sautent sur tout ce qui parle ou qui dénonce. (dont des bonnes femmes)
  21. Ça, c'est le Cambodge, en anglais... qui est encore utilisé comme langue officielle au Pakistan...
  22. Alors, les pseudos commentaires sur Henry IV, ou sur la sociologie mondiale, ou les textes religieux >>>pas fiables...
  23. Avec toutes ses variantes et son histoire et toutes ses guerres. Comme la chrétienté. Avec toutes ses variantes et toutes ses guerres. Dixit une française de souche, pas raciste et pour la tolérance de toutes les religions dans leurs aspects non intégristes et nuisibles.
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