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sirielle

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Tout ce qui a été posté par sirielle

  1. Le principe de base du karma renvoie avant tout aux conséquences mystiques des actes et des pensées, quelle que soit leur date. Il existe diverses interprétations selon différentes religions et cultures, mais en résumé il représente quoi qu'il en soit les répercutions de l'attitude sur le sort qui nous est réservé.
  2. Non pas que tout ce qui arrive est mérité (Ce qui serait absurde puisqu'il est question de conséquences occultes des choix sur le sort, et non de fatalité absolue.), mais que notre attitude, même si elle n'est pas totalement responsable de ce qui nous arrive, forge notre destin.
  3. Pas forcément. On peut aussi y croire, ou non, dans le cadre de la vie actuelle. C'est en quelque sorte croire à l'existence de retours mystiques par rapport au comportement et à l'état d'esprit, sur la destinée à venir, en fonction des lois de l'univers.
  4. Crroyez-vous que nos actes et pensées, influent sur le bon ou mauvais sort qui nous est réservé à plus ou moins longue échéance, au-delà de leurs conséquences rationnellement saisissables? Et pensez-vous par exemple alors ou non, que lorsque quelqu'un chute ou gagne au loto, c'est peut-être lié à son karma et non uniquement au hasard ou aux causes immédiates?
  5. L'astrologie m'intéresse aussi mais je suis balance par contre.
  6. Je ne suis normalement pas une rageuse avec les non-végans. D'ailleurs ma mère et ma soeur ne sont pas véganes, ni ne sont végétariennes, et pourtant je les adore, et les côtoie sans que ça ne pose vraiment de problème entre nous. Concernant l'humour, je ris et plaisante tous les jours IRL, mais il est vrai que je ne suis que peu familière avec les gens en général, et que j'ai un caractère un peu taciturne au quotidien. Et je ne t'aurais effectivement peut-être pas convenu aussi du fait qu'avec les hommes je suis relativement fuyante, réservée, c'est pourquoi d'habitude je fréquente plutôt des hommes ayant tendance à beaucoup s'imposer. Or il ne me semble pas que tu es ainsi. Mais quoi qu'il en soit j'apprécie quand-même discuter avec toi à l'occasion comme tu le sais, ce n'est donc pas un souci pour moi, et je te souhaite de rencontrer une femme bien pour toi. Je pense d'ailleurs que tu devrais y arriver assez facilement. Bises.
  7. sirielle

    Garçon fréquentation

    "Je ne pense pas être prêt pour une relation." est une façon polie de refuser des avances, quand-bien même il resterait sympathique. Donc même si on peut toujours changer d'avis dans ces cas-là, cette réponse a le mérite d'être claire et sans ambiguïté même si c'est un non. Ce n'est pas "On peut se voir à l'occasion mais je ne cherche rien de sérieux.", ou "Peut-être, je t'appelle si je passe vers chez toi."
  8. Je pourrais, par écrit... Merci. Bonne année 2024...
  9. Mon objectif ici n'est pas de perfectionner, modifier, la norme à mon goût (ce que je pourrais cela dit effectivement faire), mais de connaître l'impression subjective de chacun sur la normalisation sociale et ses effets. Quel est l'avantage ou l'inconvénient à devoir être normal, dont dans la communication, pour tout un chacun?
  10. Dit autrement, dans quelle mesure est-ce un bien ou un mal de se conformer à la norme sociale idéologique? Aux idées qu'il faut adopter d'après la norme sociale? Ce qu'il est normal de penser... On peut aussi parler de "moule" idéologique. Le moule de référence contribue à définir des idéaux communs. Si ces idéaux sont en partie légitimes, mais que dans d'autres cas ils ne le sont pas, quelles en sont les conséquences? Où, comment et à quel niveau de pression s'insinue dans l'opinion, ce qu'il faut penser, ce qu'il faut faire, d'après la société?
  11. L'amélioration, le progrès, de la pensée et des idées en général. Le lien est en résumé la qualité de l'impact de la normalisation socialement.
  12. La normalisation est-elle plutôt un frein ou un tremplin aux avancées idéologiques?
  13. sirielle

    Comment réagiriez vous ?

    Parfois les médias ont une approche très superficielle, voire simpliste, des sujets qu'ils abordent. D'autre part lorsqu'une personne maîtrise peu un sujet, mais l'aborde en public, elle sera plus facilement tentée par la bien-pensance du courant de pensée en question afin d'être en quelque sorte protégée, dans sa réflexion peu éclairée, par l'avis populaire par exemple. Et cela peut effectivement être ennuyeux dans ce cas, car les médias peuvent avoir une certaine influence. Mais en même temps il faut garder à l'esprit que derrière chaque article, derrière chaque reportage,... il y a une ou quelques personnes, donc ce n'est pas forcément "parole d'évangile". Et si l'on veut vraiment s'informer sur un sujet, il peut donc falloir s'intéresser à différents points de vue et y faire la part des choses. Et effectivement, un journaliste qui traite un sujet peut très bien en savoir finalement moins sur ce sujet qu'un voisin plus directement concerné par exemple, ou inversement... Concernant la transidentité, il existe aussi des transitions qui se sont mal passées et dont les médias ont pu parler... Il existe de très différentes approches du thème, positives ou négatives, une importante diversité d'articles, de témoignages et de reportages accessibles. Donc si certains t'ont paru maladroits ou autre, ce qui peut arriver, d'autres pourront peut-être mieux répondre à tes attentes...
  14. Je me suis particulièrement souvent inspirée de Amy Lee, ma mère et mon père au cours de ma vie... Je suis particulièrement révulsée par Robert et Michael Bever, et Jessica Camilleri entre autres...
  15. Je base ma raison sur mon émotivité, donc quelque part mon émotivité me gouverne avant tout, elle guide ma pensée, ma réflexion et mon jugement. Je crois d'ailleurs que les gens devraient parfois être davantage attentifs à leurs sensations, à leur sensibilité intellectuelle, et ainsi moins ouverts aux idées reçues, ou à employer des moyens douteux en vue de leurs objectifs. Ce qui peut renvoyer à une citation célèbre de François Rabelais: Car la conscience va au-delà de la seule logique, elle ressent aussi ses effets et la bride en conséquence.
  16. Oui mais "que j'ai une importante attirance physique réciproque" et "je veux qu'il soit beau", sont un peu différents. Evidemment il doit me plaire assez visuellement, mais l'attirance physique ne dépend pas que de ça. L'attirance physique pour moi c'est davantage être sous le charme physique d'un homme, me sentir bien dans ses bras, aimer faire l'amour avec lui, que juger de s'il a sa place ou non au concours Mister Universel. J'ai fréquenté des hommes plastiquement très beaux, d'autres avec davantage de défauts physiques bien que parfois plus charmants à mes yeux, seulement c'est quand-même de l'ordre du ressenti spontané au final.
  17. sirielle

    Le doute raisonnable

    Bonjour deja-utilise, Je te remercie au contraire beaucoup pour ta participation et ce développement sur ce sujet. J'y répondrai peut-être davantage ultérieurement (J'ai été pas mal occupée ces temps-ci pour pouvoir répondre avec attention.). En tout cas je suis heureuse que ce thème ait pu t'intéresser. Je te souhaite moi aussi un bon réveillon.
  18. En toute franchise pour moi "quelqu'un qui me correspond" c'est juste quelqu'un pour qui j'ai une importante attirance physique, et réciproquement, tout simplement. Mais je suis loin d'éprouver une telle attirance pour n'importe quel homme cela dit.
  19. Il y a aussi des hommes qui tentent leur chance sans tellement d'effort, à une occasion ou à une autre. Effectivement, les sites de rencontres peuvent paraître à certains rédhibitoires pour diverses raisons, comme par exemple le côté hasardeux de se trouver des affinités avec quelqu'un à tâtons dans une semi-obscurité au milieu d'une foule immense, ça fonctionne ou pas, ou plus ou moins bien. Mais il existe d'autres moyens de faire des rencontres, soit par la fréquentation de lieux particulièrement opportuns, soit par la sociabilité au gré des circonstances menant à de multiples rencontres, parfois amoureuses par exemple. Mais à chacun de voir... Si j'ai dit être peu soucieuse des défauts de ceux que je fréquente sauf s'ils m'atteignent, c'est parce que je suis simplement mon instinct sans tellement juger à la base, et si mon seuil de tolérance est vraiment atteint par la suite je tourne la page. Je ne cherche pas à être avec "quelqu'un de bien", ce qui est trop moralisateur comme approche pour moi, mais avec "quelqu'un qui me correspond".
  20. Pour ma part, je ne fréquente normalement pas les sites de rencontres, même s'il m'est arrivé de faire quelques anecdotiques rencontres par ce biais (sans abonnement) par curiosité à un moment. La grande majorité de mes rencontres je les ai faites dans mon quartier, amis d'amis, ou autres situations de proximité, qui m'ont abordée, comme mon dernier couple en date entre autres. (Quoi qu'il en soit il peut arriver de s'échanger des photos aussi lorsque l'on est déjà en couple, à notre époque les selfies sont monnaie courante lors d'échange.) Mais même lorsque je suis en couple je sais vers quel ou quels hommes aller dans mon entourage en cas de rupture. Et je me soucie peu des défauts des hommes que je fréquente tant que ça ne m'atteint pas trop personnellement.
  21. Moi je suis pas mal râleuse je crois, mais je ne tiens pas à changer ce trait de caractère, car c'est aussi parce que je suis un peu exigeante, perfectionniste, sensible, y compris par rapport à moi-même, et ça a des bons côtés. Et je râle moins pour obtenir de l'aide ou de la compréhension (bien que ça peut arriver parfois), que pour simplement mettre des mots pour moi-même sur ce que je ressens (à haute voix ou en mon for intérieur), par esprit critique donc.
  22. sirielle

    Le suicide

    Il est courant de considérer le suicide comme une liberté de choisir de continuer ou non de vivre sa propre vie, voire d'en affronter, ou pas, les affres parfois terribles, ne serait-ce que subjectivement. Or c'est une façon potentiellement édulcorée de voir les choses, ou en tout cas superficielle, très incomplète. D'ailleurs le thème du suicide c'est aussi nombre de tentatives, parfois encouragées par une sacralisation ou banalisation fataliste sociales de la mort, aux séquelles plus ou moins durables. Or la manière de communiquer à propos du suicide, ou bien le choix d'en faire un tabou, peuvent impliquer la responsabilité individuelle.
  23. En tant qu'individu sensible au bien-être animal je ne saurais reprocher à ceux qui le seraient moins, les petits gestes qu'ils font quand-même pour cette cause, ce serait seulement de la vanité dans le cas contraire. Peu m'importe alors au fond qui est cohérent ou qui ne l'est pas dans sa façon d'être en tout point, l'essentiel est pour moi d'être reconnaissante pour ce qui est juste, et réfractaire à ce qui est trop cruel. Je ne dirai pas: "Puisque tu as soutenu cette maltraitance animale par ton consumérisme, alors n'épargne pas non plus ce chien, après tout il ne vaut pas mieux." Non, chaque geste compte et je serai reconnaissante pour tout geste utile au bien-être animal quand-bien même il serait issu d'un esprit tergiversant. Seulement "l'enfer est pavé de bonnes intentions", avoir de bonnes intentions ne donne heureusement pas droit à tout, et si chacun devait refaire toute sa garde-robe sous prétexte de bons sentiments, je crois que ce serait empirer la cruauté et le gaspillage.
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