sirielle

C'est-à-dire que lorsqu'on parle à la femme on s'intéresse vraiment à ses impressions, ses réactions. Mais ça ne signifie pas ne parler que d'elle, certainement pas. Le principe revient donc à ce que la femme ait l'impression d'affinités sincères assez fortes. Parce que les femmes tiennent souvent à ce qu'il y ait une véritable attirance réciproque (c'est aussi pourquoi elles aiment parfois les compliments sincères même si elles n'ont pas besoin d'être rassurées sur ce qu'elles sont), sans avoir l'impression de seulement combler une solitude temporaire sans grand enthousiasme, même si ce n'est que pour un soir, et même dans ce qui est autour de la sexualité, les mots échangés par exemple donc.

Il est aussi préférable de donner l'impression de s'intéresser sincèrement à la femme en question lorsqu'on s'adresse à elle, (et même dans le cadre d'une discussion ne la ciblant pas directement), ainsi que dans la relation en général, sans donc paraître y être trop indifférent au fond (sans aller jusqu'à "l'étouffer" pour autant, justement en étant attentif à son ressenti).

A mon avis il est utile d'être assez sportif, de bien présenter et s'exprimer, avant tout, avec en plus une certaine décontraction. Les apparences sont particulièrement importantes si on veut plaire à un grand nombre, car la sélection se fait dès la première impression, surtout s'il ne s'agit pas d'une femme côtoyée régulièrement. Ensuite la situation sociale peut jouer aussi, selon les personnes, mais il ne suffit pas d'avoir des revenus ou biens importants dans ce cas, l'honorabilité sociale du métier compte parfois encore davantage.

On n'a pas toujours le choix.

Quelquefois ce type de langage l'air de rien, comme d'autres expressions ou insinuations, pour lesquelles on peut se demander parfois si c'est sérieux ou pas, visent une certaine intimidation, où la plaisanterie n'a qu'en partie sa place.

Mes vrais chéris à moi...

Et il devra assumer ses choix, ce ... Mais justice me donnera forcément raison face à cet énergumène, du moins je le le souhaite et garde confiance.

Une putain de salope aimant la tendresse de Bourvil une fois encore.

Qu'est-ce que t'es fort Promethee, moi qui justement me posais des questions à propos de la fellation...

C'est sérieux oui, même si à force j'avoue que ces individus orgueilleux arriveront peut-être à l'usure a (avec accent) m'envoyer à l'asile j'espère bien que non cependant, car je suis une femme fort intelligente soit-disant, ce qui me sauvera peut-être. Cordialement.

Normal ou pas peu m'importe, car pour moi ""Le crime ne paie pas." Et vlan, dans leurs faces (Je rigole bien sûr...)

En réalité, même si par ma jérémiade je visais plusieurs hommes de mes connaissances, c'était suite à une relation ce soir là avec un seul isolément (Et non pas mon compagnon pour autant). Certaines femmes se réjouissent à l'idée d'être enceintes, moi éventuellement, bien que ce n'est pas véritablement mon souhait loin de là, mais alors par mon compagnon par exemple, certainement pas par l'homme concerné en revanche. D'autre part, certaines personnes cautionnent le viol, voire le fantasme, ce qui n'est absolument pas mon cas. J'ajoute pour le sujet que j'ai compris que si j'étais souvent traitée de salope, c'est entre autres (même si pas seulement) par rapport à ma facilité à quitter un homme pour un ou des autres, puis à finalement revenir avec lui, etc... à changer d'avis comme de chemise sentimentalement, car je me fie complaisamment à ma susceptibilité.

Oui, bien sûr, parfois ça n'a pas tellement d'importance ou c'est seulement dit à la légère.

Cette réflexion ne visait pas vraiment mes fréquentations mais plutôt des personnes insultantes de mon entourage. Pas forcément, mais dans certains cas je n'ai pas le choix. Je n'ai pas à décider à la place des autres, tout juste puis-je donner éventuellement mon avis, comme tout le monde. Normalement si, malheureusement quelqu'un m'a contrainte ce jour-là, c'est ainsi. Mon mode de vie me plaît et j'aime mon compagnon, ce sont certains agissements que je condamne, et risques que je préfère éviter même si d'autres pourraient les envisager.

Pas de souci, j'étais un peu triste hier soir mais c'est passé, c'est vrai qu'il y en a qui abusent. J'espère ne pas être enceinte, c'est tout.

Sales violeurs je vous déteste. Un enfant de toi, je n'en veux pas monstre.

Des malades mentaux ce sont.

Je sais me remettre éventuellement en question. Si je me permets (parce que je le fais couramment) de critiquer les gens parfois sévèrement, je leur permets aussi en contrepartie de le faire à mon égard, à condition que ce soit assez fondé à mes yeux. Alors la question est davantage à mon sens: "Suis réellement une salope à ce point-là ou exagèrent-ils par jeu?" (Et si je le suis réellement, en quoi plus précisément?) que "Est-ce bien ou mal de dire salope?" (Question politiquement correcte de peu d'importance pour moi dans ce contexte.).

Cet acharnement de ta part à tenter de me rabaisser sur plusieurs de mes topics est lassant. Le troll ici c'est plutôt toi vu que tu es HS, et que tu te permets l'attaque personnelle gratuite, à répétition. Nos opinions divergent, mais ça ne te donne pas le droit de m'insulter. La diffamation et le hors sujet sont d'ailleurs tous deux interdits ici selon le règlement. Et il est aussi demandé de rester courtois pour rappel. D'autre part sur ce forum depuis mon arrivée début 2016 je n'ai jamais eu le moindre "avertissement" pour ce qui me concerne.

Les femmes ne sont pas forcément consentantes lors de telles pratiques, parfois oui, parfois non. Tout comme lors de différentes diverses pratiques, classiques ou plus rares (ce qui peut être vrai aussi pour les hommes dans certains cas). Cela dit je n'ai aucun mépris particulier pour celles (ni ceux) refusant ces pratiques pour eux-mêmes, il m'est d'ailleurs déjà arrivé plusieurs fois de refuser, même si bien d'autres fois aussi j'ai accepté. A chacun(e) sa liberté de choix tout simplement à mon avis. Et il ne faut pas croire non plus que j'accepte d'être traitée de salope outre mesure, il y a des limites quand-même là aussi pour moi.

Pourtant il y a à peine deux jours j'ai défendu une femme par rapport à un homme par exemple, j'ai aussi défendu ma sœur parfois entre autres. Mais je peux défendre un homme vis-à-vis d'une femme aussi quelquefois. Je m'efforce d'être équitable le cas échéant, même si je suis moi-même une femme. (De plus j'estime bien sûr que dans certains cas être féministe revient aussi à défendre les femmes et leur condition, contre certaines femmes pouvant leur être trop nuisibles, même éventuellement par rapport à certaines soi-disant féministes cachant en réalité leur véritable jeu.)