sirielle

Moi, les arts plastiques, j'y ai eu certes mon succès un temps mais la vie m'a orientée fréquemment ailleurs finalement. Pourtant je crois que le charme révèle ce que l'on est véritablement, même au plus profond des tripes . Et tu te doutes bien que je veux être plus qu'"un minimum intelligente" et que j'ai la chance à ce sujet d'être considérée plus favorablement socialement.

Il ne suffit pas de "conserver sa ligne" pour être beau. La beauté tient non seulement à la stratégie qualitative et quantitative alimentaire, mais aussi à diverses réussites existentielles relatives à la performance, la sociabilité, la sexualité, le confort, etc... Cela dit, le surpoids peut éventuellement survenir sans antécédant à ce niveau. Tout comme l'existence ne nécessite pas forcément la pré-existence. J'ajoute que si l'influence familiale est reflexivement scrutée en cas de problème, l'influence sociale est bien souvent pourtant bien plus fortement responsable. Un des soucis étant que l'influence sociale étant défensivement bien-pensante, elle en aime alors d'autant plus faire porter son propre chapeau à ses boucs émissaires. L'abus de pouvoir favorisant l'écrasement des plus vulnérables au nom du professionnalisme social. Allo, t'es un mec et t'as du shampoing?

Existe un préjugé potentiellement réducteur selon lequel les gens particulièrement beaux le sont grâce à la chance qui leur a été donnée "à la naissance", mais la réalité, c'est que la beauté, surtout à un haut niveau, nécessite entre autres, et en plus d'une certaine chance durable, une bonne, voire excellente, hygiène de vie régulière, sans elle n'importe quel corps se dégrade plus ou moins rapidement au fil du temps, quand-bien même il aurait eu beaucoup de chance au départ. Or cette hygiène de vie demande un mental approprié dans ce sens. Ensuite évidemment par contre qu'un vêtement abîmé, sale, difforme... n'enlève normalement pas sa beauté au corps qui le porte, voire la laisse deviner par la façon dont il est porté (Sauf donc par exemple si la prétendue beauté de ce corps est en réalité médiocre de par sa négligence.).

Personnellement j'ai tendance à penser quand-même que si on s'attache vraiment à la beauté, on favorise non seulement celle de son propre corps, par exemple par le sport, la diététique, l'allure, etc..., mais aussi à l'occasion celle de son entourage, de son logement, de sa tenue, de son langage, etc... Donc à mes yeux mal s'habiller, sauf si on n'a pas meilleur choix, représente une négligence du point de vue esthétisme entre autres.

Ce lien fait référence à un concept fort prisé, celui du charme, où la beauté perceptible inclut potentiellement beauté physique et beauté psychique, beauté comportementale. D'ailleurs par son animation à la fois physique et psychique il peut favoriser le cas échéant la construction de la beauté à long terme, et non pas uniquement son effectivité présente, par ce qu'elle est seulement matériellement. (Ou inversement s'il est question de laideur.) En cela dire de quelqu'un qu'il est "beau mais stupide" peut être considéré comme simpliste car contradictoire, en effet la beauté peut se juger certes à la condition physique, mais aussi à bien d'autres critères dont l'expressivité au fil du temps et ses conséquences. Parce que la beauté est avant tout la source de l'admiration. Ainsi avec davantage de nuances on dirait par exemple de ce quelqu'un qu'il a une plutôt bonne condition physique, voire des acquis esthétiques, mais qu'il les utilise à mauvais escient, ou alors que malgré ceux-ci il est dans l'erreur, ainsi sa beauté reste mitigée, car insuffisamment charmante.

La différence entre les diverses bienveillances respectives réside d'une part dans les individus qu'elles prennent ou non en compte, ainsi que, ce qui est lié, dans le degré de lucidité (dépendant parfois de la volonté de savoir) relatif aux décisions prises. Nombre de personnes, si elles veulent le bien pour, par exemple, elles-mêmes et leurs proches, seraient prêtes à le faire aux dépens d'autres, au prix donc de faire du mal à ces derniers, sans forcément se soucier d'impartialité dans leur favoritisme. (Et là peut se trouver un choix de leur part, le choix par exemple d'accepter le mal fait plutôt que de faire l'effort de chercher une solution plus appropriée à l'idéalisme censé inclure au mieux le vivre ensemble.) D'ailleurs l'égoïsme est l'un des défauts les plus enclins à "pousser au crime". Or ce défaut est grandement inscrit dans de nombreuses cultures et sociétés, pas seulement individualistes, ou le principe du "chacun pour soi", plus ou moins élargi à certains autres, et couramment partial, est admis, voire revendiqué, sous de très nombreuses formes.

Il s'agit d'un dessin. Je l'ai choisi pour sa ressemblance dont par rapport à l'expression de son humeur. Contente que cet avatar te plaise.

J'avais créé un sujet sur ce thème. L'expression "Le crime ne paie pas." signifie qu'à mal agir on se retrouve perdant au bout du compte, et non pas qu'on ne peut en tirer aucun avantage, seulement que les inconvénients en sont supérieurs. Or réussir sa vie dépend de bien des qualités, et pas uniquement de la progression professionnelle, loin de là même et voire au contraire dans certains secteurs ou contextes.

Ce sont certains préjugés que j'ai qualifiés de subjectifs par rapport aux divers, et parfois opposés, modes de raisonnement utilisés pour juger de la beauté. Si un jugement peut quoi qu'il en soit aussi être objectif par rapport à la beauté humaine ou plus vastement du vivant, y compris physique, mais aussi mentale, couramment les jugements sociaux à ce propos restent simplistes. C'est à dire que les gens qualifient souvent quelqu'un de beau ou laid, binairement, par rapport à certains critères arrêtés, réducteurs, sans véritablement tenir compte de leur ressenti dans toute sa complexité (Dans bien des cas plus ou moins de beautés et de laideurs coexistent en un même individu.). C'est ce qui amène à des jugements simplistes tels que par exemple: "Il est laid mais gentil.", ou bien "Il est beau mais stupide." Avec si peu de nuance dans le jugement les critères employés font facilement illusion et peuvent empêcher alors de saisir le lien fort entre l'aspect du corps et ce qu'il est mentalement.

Il ne suffit pas de le vouloir pour être gentil, encore faut-il le pouvoir contextuellement. Qui resterait donc seulement gentil s'il devait choisir entre la vie de ses proches, celle de leurs ennemis, ou bien la passivité coupable? Tout au plus dans de tels cas peut-on y tendre au mieux. L'odeur de pain renvoie donc à "la faux", fortement symbolique, reste à savoir si sa cruauté est assez légitime...

Les préjugés subjectifs sur ce qu'est ou non la beauté conduisent à opposer les impressions. Mais objectivement la beauté est naturellement constructible par soi-même dans le domaine du vivant. Toutefois comme (encore une fois à préciser) tout n'est pas que soit tout noir soit tout blanc, certains appelleront noir ce qui l'est en grande majorité à part pourtant quelques nuances blanchâtres. On dira alors peut-être: "Voyez-vous ce n'est pas noir." Alors que ça l'est mais pas seulement. Et de même "Voyez-vous ce n'est pas beau." puisque quelque laideur (la faute à qui pourrait-on s'interroger...) s'immisce en une certaine beauté. L'important alors est de saisir qu'un être vivant ne représente jamais que ce qu'il est au moment présent, ou lors de ses moments marquants, il est tout ce que son histoire a fait de lui, aussi insignifiante puisse paraître cette histoire hors action anormale ou caractéristique stimulante.

L'intelligence et la beauté peuvent se cultiver, se travailler, pour une part elles se méritent par l'application qu'on met à les valoriser. Si la chance et l'influence environnementale jouent aussi, l'intelligence et la beauté en demeurent quand-même admirables (à condition d'être perceptibles), grâce à leurs diverses causes intrinsèques et extrinsèques à celui/celle/ce qui les exprime.

En ce lieu la subjugation féminine est censée croitre, sans exception aucune...

Au-delà de la seule situation sanitaire actuelle, bien souvent socialement la liberté prime sur la sécurité. C'est pourquoi nombreuses activités non essentielles et potentiellement dangereuses sont autorisées, quitte à mettre en péril également la sécurité d'autrui (Dans divers domaines, loisirs, transports, alimentation, drogues, industries, etc...). Au point que finalement être libre de préserver sa sécurité dépend d'une part de marginalité. Davantage de sécurité favoriserait une liberté mieux cadrée et donc plus appropriée. Ce qui ne cautionne pas forcément toute règle censée être sécuritaire, du moins radicalement, car encore faut-il alors qu'elle le soit réellement au cas par cas, en fonction aussi des différents besoins respectifs.

Il m'est arrivé de poser la question mais la réponse se réduit souvent à prétendre que c'est une plaisanterie, pour rire. Mais comme c'est souvent, ça me paraît peu explicite comme raison.

C'est rassurant pour moi quelque part, car si c'est seulement en rapport avec la sexualité, ce qui est possible, cela m'importe peu, je craignais surtout que ça ne vise aussi ma façon de travailler même si rien ne l'indiquait clairement.

Et bien "salope" désigne globalement par définition une femme ayant complaisamment un mauvais comportement, y compris éventuellement hors cadre sexuel. Donc il peut être difficile de savoir parfois quel comportement est visé, voire en quoi il est jugé mauvais le cas échéant. (Donc cela peut potentiellement viser divers types de comportement, relationnel, professionnel, etc...) Dans d'autres cas en revanche, il est plus facile de savoir ce qu'il signifie précisément dans le contexte, d'autant plus s'il n'est pas décalé par rapport au comportement ciblé. Car l'expression peut éventuellement aussi faire référence à un comportement antérieur, voire bien antérieur à la situation présente. Et le sens est d'autant plus difficilement saisissable que la moralité diffère plus ou moins selon les personnes.

Un peu des deux, mais plus particulièrement les hommes extérieurs car les connaissant moins, il est parfois plus difficile de saisir le sens qu'ils ont voulu lui donner, surtout qu'hors cadre familier employer une telle expression me paraît audacieux.

Je précise quand-même que pour ce qui me concerne il ne s'agissait pas uniquement de mon couple, loin de là, mais aussi d'autres hommes extérieurs. Même s'il est vrai que finalement le mot peut avoir de très diverses significations, du jeu à l'hostilité, selon comment il est employé, ce qui le rend d'autant plus ambigu.

Peut-être est-il un grand séducteur même si je n'oserais sûrement pas l'affirmer...

C'est-à-dire que lorsqu'on parle à la femme on s'intéresse vraiment à ses impressions, ses réactions. Mais ça ne signifie pas ne parler que d'elle, certainement pas. Le principe revient donc à ce que la femme ait l'impression d'affinités sincères assez fortes. Parce que les femmes tiennent souvent à ce qu'il y ait une véritable attirance réciproque (c'est aussi pourquoi elles aiment parfois les compliments sincères même si elles n'ont pas besoin d'être rassurées sur ce qu'elles sont), sans avoir l'impression de seulement combler une solitude temporaire sans grand enthousiasme, même si ce n'est que pour un soir, et même dans ce qui est autour de la sexualité, les mots échangés par exemple donc.

Il est aussi préférable de donner l'impression de s'intéresser sincèrement à la femme en question lorsqu'on s'adresse à elle, (et même dans le cadre d'une discussion ne la ciblant pas directement), ainsi que dans la relation en général, sans donc paraître y être trop indifférent au fond (sans aller jusqu'à "l'étouffer" pour autant, justement en étant attentif à son ressenti).

A mon avis il est utile d'être assez sportif, de bien présenter et s'exprimer, avant tout, avec en plus une certaine décontraction. Les apparences sont particulièrement importantes si on veut plaire à un grand nombre, car la sélection se fait dès la première impression, surtout s'il ne s'agit pas d'une femme côtoyée régulièrement. Ensuite la situation sociale peut jouer aussi, selon les personnes, mais il ne suffit pas d'avoir des revenus ou biens importants dans ce cas, l'honorabilité sociale du métier compte parfois encore davantage.

On n'a pas toujours le choix.