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bena11

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Tout ce qui a été posté par bena11

  1. Rebelles à la Lumière… Lumières ! Le siècle des lumières... Le 18ème siècle La Goutte d'or française Que l'on doit à Montesquieu Rousseau ou Voltaire... Où l'on apprend que le meilleur de nous-mêmes, ce sont les autres... Le meilleur souverain : le peuple Le meilleur chemin : une loi qui libère et une liberté qui légifère... vive la France... A bas la souffrance ! Et le 21ème siècle s'empara de l'affaire Malraux disait qu'il sera religieux ou ne sera pas En effet, c'est le siècle litigieux par excellence... Car on ne sait plus à quel saint se vouer... Les lumières se sont éteints... pour faire place aux obscurités stériles... aux obscurantismes... aux obstructions... Non pas la lumière... surtout pas la lumière... Mais la sacro sainte obscurité... marche à l'ombre ! Ce ne sont plus les meilleurs qui gagnent mais les pires... Ô paradoxe : les plus forts aujourd'hui sont les plus faibles. Le Christ nous l'avait déjà soufflé : les derniers seront les premiers. :p
  2. La présidente du FN, qui lui conseillait de "porter le voile" pour pousser encore plus loin l'accueil aux réfugiés, la maire de Paris a dénoncé le racisme du parti. :p
  3. Marine Le Pen scandalisée par un tweet en arabe d'Anne Hidalgo La présidente du FN, qui lui conseillait de "porter le voile" pour pousser encore plus loin l'accueil aux réfugiés, la maire de Paris a dénoncé le racisme du parti. :p https://twitter.com/Anne_Hidalgo/status/641969834205560832/photo/1?ref_src=twsrc%5Etfw
  4. "La reconnaissance est une maladie du chien non transmissible à l'homme" En privé, Nicolas Sarkozy est beaucoup plus sévère que dans ses interviews. Nicolas Sarkozy est loin d’avoir digéré l’épisode Morano. L'ancien président de la République n’a pas de mots assez forts pour critiquer son ancienne ministre dont les déclarations sur la France, pays de "race blanche", ont parasité pendant près de deux semaines son agenda politique et médiatique. Quant à la participation de Nadine Morano à la primaire, il s’en est moqué : "Ils sont beaucoup à faire un petit tour de piste. Mais à la fin de la fête foraine, les lampions s’éteignent". :p http://www.rtl.fr/actu/politique/nicolas-sarkozy-fustige-l-absence-de-reconnaissance-de-nadine-morano-7780066965
  5. Entre deux dystopies : de 1984 à 2084 Le dernier livre de Boualem Sansal 2084 s'inscrit dans une lignée de livres de plus en plus commercialisés notamment en France. Son thème est celui de Soumission de Michel Houellebecq, et les deux font partie d'une pensée en vogue en France représentée par des intellectuels tels qu'Alain Finkielkraut ou Eric Zemmour. Cette ligne de pensée prédit un avenir sombre pour la France et pour l'Europe en raison de la menace islamiste, résultat, selon eux, d'une présence de plus en plus ressentie des musulmans en Europe. Lors de son passage sur LCI, Sansal répond à la question comment il imaginait la France en 2084 par un seul mot : islamiste ! De fait, on ne s'étonnera pas qu'il soit cité par quelqu'un comme Eric Zemmour qui porte une haine incommensurable contre les musulmans et l'Algérie en particulier. Pour Sansal, tout comme pour Michel Houellebecq, Islam est synonyme de soumission. Pour eux le mot soumission est rempli de terreur, il est synonyme de totalitarisme et évoque immédiatement le spectre de Big Brother de George Orwell auquel Sansal fait référence par le choix du titre. 2084 parle d'un pays, l'Abistan, soumis cruellement à la loi divine, un monde chaotique, résultat d'une guerre sainte, nous apprend le texte, qui a ravagé le monde entier. Il existe quelque part une frontière, le protagoniste finira miraculeusement par la trouver, l'emprunter et disparaître, fin de l'histoire, et pas du monde comme le complément du titre nous l'indique. THEME ET HISTOIRE 2084 de Sansal reprend tellement à la lettre des épisodes du chef-d'œuvre d'Orwell 1984 que l'on se demanderait pourquoi se donner la peine d'écrire un tel livre. L'Abilangue par exemple, la langue officielle de l'Abistan, n'est qu'un ensemble de mots insérés çà et là dans le texte sans que l'on sache quelle est vraiment sa fonction. Il est dit que cette langue, sans doute la langue arabe (la langue la plus riche du monde), a une emprise magique sur les esprits et les corps, elle les transforme en de profitables martyres pour le système. A la fin l'auteur ne tente même pas une explication, il fait le lien direct avec le novlangue d'Orwell, nous renvoyant ainsi à 1984. Non seulement cela, mais ce qui est repris, comme l'Abilangue, est placé dans l'histoire sans que celle-ci ne le suggère. Dans 1984 de George Orwell, on découvre et comprend le novlangue au fur à mesure que l'histoire avance : le principe du novlangue est expliqué par le camarade de Winston pendant un repas à la cantine, ce dernier lui explique passionnément le plaisir de détruire les mots et le but derrière une telle entreprise (La réflexion d'Orwell sur la langue est tellement originale qu'elle est devenue un objet d'étude pour les linguistes). Le but derrière la répression sexuelle est expliqué par Julia, la jeune femme dont Winston tombe amoureux, pendant des moments intimes du couple. Le slogan du Parti est expliqué par le livre de la fraternité secrète que Winston parvient à obtenir et qui s'est avéré être un piège tendu par le Parti En somme, Orwell a fait une excellente critique des régimes totalitaires sans négliger l'histoire racontée. Stephen King dans son livre Ecriture : mémoire d'un métier soutient qu'une bonne fiction part toujours d'une histoire et progresse vers son thème, elle ne part presque jamais du thème pour aboutir à l'histoire. Il fait cependant une exception à cette règle : George Orwell. Il s'étonne de la capacité de cet auteur de partir d'un thème ou d'une idée pour inventer ensuite une histoire qui soit tellement adaptée au thème qu'on douterait qu'il s'agit initialement d'une idée et non pas d'une histoire. Dans 2084, on a l'impression que les idées et les thèmes sont souvent communiqués ou insérés sans tenir compte du récit. L'auteur se livre souvent à des réflexions invraisemblables compte tenu de l'histoire. Tel est le cas par exemple de l'épisode qui décrit le passage, comme d'un coup de baguette magique, du protagoniste et de son ami de l'Abistan, où règne une dictature absolue, vers un ghetto chaotique mais où règne néanmoins beaucoup plus de liberté. On a du mal à imaginer un homme qui vient de retrouver pour la première fois de sa vie une certaine liberté d'avoir des réflexions sur la langue et sur son lien avec la religion et la manipulation. Un homme qui a passé toute sa vie enchaîné se mettrait à courir si on lui arrachait ses chaînes, il est peu probable qu'il se mette à analyser ses chaînes. Quelques pages plus tard il reprend le sujet avec plus d'acharnement avec des questions tel que le rapport existant entre religion et langue ? Bref, on a l'impression que l'auteur a tellement d'idées à communiquer mais que l'histoire n'arrive pas à les contenir. En outre, de telles réflexions font que les dialogues sont très rares dans le texte ce qui a pour effet de rendre le récit très lent et ennuyeux. Ajoutant à cela que l'histoire tarde à commencer, et les détails inutiles abondent. La voix narratrice qui semble par moment omnisciente étouffe la voix de personnage. On a du mal à savoir qui parle, c'est une dystopie Orwellienne racontée dans un style Fontainien - c'est sans doute pour cela que la plupart des articles consacrés à cet œuvre ont du mal à la désigner : roman, fable, conte La façon de raconter rend toute identification avec le protagoniste impossible, et le suspens presque absent. Les points d'exclamation des passages en italique montrent la surprise chez le protagoniste, mais ne suscite rien chez le lecteur. En somme, l'auteur aurait mieux fait d'écrire un essai pour exposer ses idées. LA QUESTION DU COMMENT ET DU POURQUOI ... La suite : http://www.lequotidien-oran.com/?news=5219803
  6. Barack Obama dont la nouvelle politique est de se retirer complètement de tous les points chauds qui coûtent cher à son pays. Washington veut se retirer du Moyen-Orient où il a essuyé des échecs foudroyants. Le cas de l’Iraq et de l’Afghanistan en sont les meilleures preuves. Dernière preuve de cette passivité américaine : l’Administration américaine a accepté facilement l’intervention militaire de la Russie en Syrie.
  7. bena11

    En France, le QI moyen est de 100

    Les tests de QI servent à donner une idée approximative de l’intelligence d’une personne. 10 des plus grands QI au monde http://www.sympatico.ca/actualites/decouvertes/plus-grands-qi-1.1484724 :p
  8. Cinq hommes, qualifiés de "terroristes" par le ministère français de l'Intérieur, vont contester leur déchéance de la nationalité française devant le Conseil d'État, la plus haute juridiction administrative en France, a déclaré lundi leur avocat à l'AFP. Ces hommes, quatre franco-marocains et un franco-turc, aujourd'hui âgés de 38 à 41 ans, avaient été condamnés en 2007 à des peines de six à huit ans de prison pour leur "participation à une association de malfaiteurs en vue de la préparation d'un acte terroriste". :p AFP http://www.lorientlejour.com/article/949097/france-des-terroristes-dechus-de-leur-nationalite-vont-deposer-un-recours.html
  9. De quel pays parles-tu ? Marseille est la deuxième ville d'Algérie, juste après Alger... :p
  10. Räikkönen pénalisé, Mercedes champion du monde. Le Finlandais Kimi Räikkönen (Ferrari) a été pénalisé de 30 secondes après l'arrivée du Grand Prix de Russie de Formule 1, dimanche soir à Sotchi, ce qui permet à Mercedes-AMG de s'assurer un 2e titre mondial des constructeurs. L'écurie allemande ne peut plus être rejointe au classement par Ferrari, en raison des points perdus par Räikkönen, jugé responsable de l'accrochage qui a éliminé son compatriote Valtteri Bottas (Williams) au 53e et dernier tour. Il termine 8e au lieu de 5e de ce GP de Russie et ne marque donc que quatre points au lieu de 10.
  11. Ben @ bena :p Mais qu'arriverait-il si nous nous débarrassions des obstacles qui barrent la route à l'intelligence, tels que l'autorité, les croyances, le nationalisme et tout esprit hiérarchique ? Nous serions des personnes ne subissant le joug d'aucune autorité, c'est-à-dire des êtres humains en rapports directs les uns avec les autres, et alors, peut-être, y aurait-il de l'amour et de la compassion. Ce qui est essentiel dans l'éducation, comme en tout autre domaine, c'est d'avoir des personnes compréhensives et affectueuses, dont les coeurs ne sont pas remplis de phrases vides, de constructions de l'esprit. C'est parce que nous sommes si desséchés nous-mêmes, si vides et sans amour que nous avons permis aux gouvernements et aux systèmes de s'emparer de l'éducation de nos enfants et de la direction de nos vies ; mais les gouvernements veulent des techniciens efficients, non des êtres humains, car des êtres vraiment humains deviennent dangereux pour les États et pour les religions organisées. Voilà pourquoi les gouvernements et les Églises cherchent à contrôler l'éducation. Tant que nous prendrons le succès pour but, nous ne serons pas affranchis de la peur, car le désir de réussir engendre inévitablement la crainte d'échouer. Voilà pourquoi l'on ne devrait pas enseigner aux jeunes le culte du succès. La plupart des personnes recherchent le succès sous une forme ou une autre, que ce soit sur un court de tennis, dans le monde des affaires, ou en politique. Nous voulons tous être parmi les premiers, et ce désir ne cesse d'engendrer des conflits en nous-mêmes, ainsi qu'entre nous et nos voisins. Il mène à la compétition, à l'envie, à l'animosité et finalement à la guerre. Avoir un esprit ouvert est plus important qu'apprendre ; et nous pouvons ouvrir notre esprit, non en le bourrant de connaissances, mais en étant conscients de nos pensées et de nos sentiments, en nous examinant attentivement nous-mêmes, en percevant les influences qui nous entourent, en écoutant les autres, en observant les riches et les pauvres, les puissants et les humbles. La sagesse n'est pas le fruit de la peur et de l'oppression ; elle surgit lorsqu'on observe et comprend les incidents quotidiens, dans les relations humaines. JIDDU KRISHNAMURTI
  12. lycan, Tout n'est pas Noir ou Blanc....le plus souvent gris. Oui, j'ai connu Engels et Marx... :p J'ai passé 5 ans derrière le rideau de fer, dans un satellite de l'URSS, au temps du communisme pur et dur. Personne ne mourrait de fain et des hooligans il n'y en avait pas. La culture était accessible à tout le monde et à un prix modique... J'ai vu à la mort atroce de Kennedy des gens pleurer dans les rues... Je ne dis pas que tout était rose, mais tout n'était pas noir. Un Russe me disait récemment que dans le temps il fallait réserver une place dans un train au moins une semaine à l'avance alors qu'aujourd'hui on ne doit plus réserver, il y a toujours de la place tellement les gens ont peur des agressions dans les trains. Malheureusement on jette le bébé avec l'eau du bain... J'ai voulu par la suite voir ce que représentait un pays capitaliste et me suis rapproché des USA. Il y'a là aussi du bon et du mauvais Il faut savoir raison garder. Je ne sais pas ce que la Chine nous réserve. Tout système a du bon et du mauvais, malheureusement on ne peut pas choisir de garder juste le bon. :p
  13. H S Ben Tahar Ben Jelloun : « Le raciste est celui qui pense que tout ce qui est trop différent de lui le menace dans sa tranquillité. » Tahar Ben Jelloun ; Le racisme expliqué à ma fille (1997) Je préfère Omar Khayyâm le Persan, Mathématicien et astronome Poète et philosophe @ déchiffrer : O-20-100-O :D
  14. «Je n'ai rien contre Nadine Morano, mais...» « Le sujet ce n’est pas elle, c’est ce qu’elle dit. » :p La paix des braves n'a pas eu lieu ! http://www.20minutes.fr/politique/1706283-20151010-nicolas-sarkozy-rien-contre-nadine-morano
  15. Tous les Arabes dans le même sac. Il a dit : "Depuis qu'un patron s'est fait trancher la gorge, j'en ai jusque-là !" [/ :p je te plumerais Je te plumerai la queue, je te plumerai la queue Et la queue, et la queue, et le dos, et le dos, et le cou, et le cou, et le bec, et le bec, et la tête et la tête, alouette, haaaa. :D
  16. Chouf mon frère, tu m'entraines là ou je ne veux pas aller... Où est l’exactitude ? :p Qu'il soit réel ou virtuel, le monde des êtres et des belles lettres se divise en deux. Il y a d'un côté ceux qui marquent des points, les buteurs. Et de l'autre, ceux qui comptent les points, les butés... à prendre au propre comme au figuré... Zemmour, Onfray, Finkielkraut... Il faut se plier en quatre pour participer à leur funeste pièce de théâtre. Un drame qui se joue, chaque jour à la jointure d'un monde qui disparaît et d'un autre qui apparaît ou voit le jour. Avec deux paradoxes à la clé : Ce ne sont pas ceux qui marquent, mais ceux qui comptent les points qui dramatisent... qui se démarquent ou se font remarquer. Autre paradoxe : ce ne sont pas les auteurs qui provoquent le drame mais les commentateurs... ceux qui l'invoquent ou le révoquent. Ce n'est plus l'action qui prime mais la réaction. On abandonne le champ au profit du contre-champ. Le renversement est bouleversement : ce n'est plus la cause qui est retenue mais l'effet... le REFLET sur nos écrans et nos miroirs réfléchissants. Ce qui nous émeut l'emporte sur ce qui nous meut. On sacrifie la tête, on sanctifie la queue. La passivité prend le pas sur l'activité. Le passé composé sur le passé simple. L'émotivité sur la créativité. L'anxiété sur la gaité. On oublie les acteurs, on ne se souvient que des couleurs, des odeurs, des senteurs. Parce que ce n'est jamais gagné. Les perdants nous font perdre notre temps, notre argent, notre raison. Ils sont perdus et cherchent à nous perdre, à nous faire perdre en agitant d'épouvantables épouvantails, en exhibant de fausses raisons et en ouvrant des portes qui n'ouvrent sur rien... sur rien d'autre que sur eux-mêmes. La pensée de notre défaite, qu'ils publient n'est en fait que la défaite de la pensée... voici... voilà l'exacte exactitude de cette littérature déficitaire et anti-salutaire : Éric Zemmour, Michel Onfray ou Alain Finkielkraut... du plus petit au plus grand... Pour les nuls, disons qu'ils sont de la même race que Nadine Morano. C'est avec cette charnière centrale que nous encaisserons le plus grands nombre de buts... Et ce n'est pas une offense que de déclarer qu'ils constituent notre pire défense. Avec eux, c'est perdu d'avance ! :D Mon lien
  17. Comme le disait Charles de Gaulle, dans les relations internationales, il n'y a pas d'amis, seulement des intérêts. Ce qui se passe, aujourd'hui, au Moyen-Orient n'est qu'une suite logique de la protection des intérêts américains et des intérêts russes, dans la région, ignorant ceux de leurs supposés «amis». Chacun dame le pion à l'autre et il serait naïf de croire que les uns ou les autres s'engagent, dans ce conflit manu-militari, en bons samaritains, sauveurs des malheureux ou en père Noël portant des cadeaux, dans sa hotte. :p
  18. Il faut lui retirer l'oxygène et ne lui laisser que l'azote ! :p
  19. Aux racistes ki se reconnaitrons Tu croyais ton sang pur ! Mais tu t’étais trompé, Le jour de ton coup dur, quand tu fus opéré, Les blouses blanches ont pris des pochettes de sang, Elles n’ont pas vérifié si ce sang était « blanc »… As tu vu du sang bleu, du sang jaune, du sang noir ? Fouilles les moindres recoins de ta mémoire ; Pour ma part le sang a toujours été Rouge ! Il m’a sauvé la vie. Serai-ce un outrage , Si le sang transfusé fut Arabe ou bien Beur ? Fièr, j’ai accepté et ce fut un honneur ! Quant à toi n’oublie pas , réclame : un donneur Compatible à tes idées racistes…ou meurt ! :p Natacha Péneau
  20. Y'a qq'un ? Toc Toc CONNARD, Ton Ostracisme Criminel oc Toc Y'a quelqu'un ENCUlé, coNNARD Pour m'aider, s'il vous plaît AAAAAHHHHH, HHHhhhéééé Me comprendre suffirait Juste un sourire BÂTARD, BÂTARD Au lieu de vos rires Qui me voient mourir Je serai, AAAAAHHHHhhh, hhhééééé ENCULé, coNNARD Je suis déjà vieux BÂTARD Un sourire dans les yeux... H.: -------------------------------------------------- TOC : Troubles obsessionnels compulsifs Ce texte traite plus particulièrement du Syndrme de Gilles de la Tourette. Le syndrome de Gilles de la Tourette de l’enfance à l’âge adulte: un point de vue psychiatrique Les premières descriptions cliniques de tics complexes remontent au début du 19e siècle avec la désormais célèbre marquise de Dampierre, dont le cas fut décrit en 1825 par Jean Itard dans son «Mémoire sur quelques fonctions involontaires des appareils de la locomotion, de la préhension et de la voix». Toutefois, c’est soixante ans plus tard qu’un élève de Charcot, un certain Gilles de la Tourette, publie une «Étude sur une affection nerveuse caractérisée par l’incoordination motrice accompagnée d’écholalie et de coprolalie». Il rapporte neuf cas semblables de patients présentant des tics moteurs, qualifiés de «Maladie des Tics». Celle-ci sera rapidement rebaptisée en Syndrome de Gilles de la Tourette (SGT). :p Docteur, est-ce grave ? http://www.tourette-romandie.ch/docs/sgt_enfance_a_age_adulte.pdf
  21. Lettre à Poutine Camarade Vladimir, Quand je songe à vous, je ne peux m'empêcher de songer à la part des choses qui ne doit jamais rien remettre en cause. Les idoles, pourquoi pas. Les idéaux, certainement pas. Notre mère Patrie, la Russie a toujours été à l'abri des envies. Parce que nous avons toujours opté pour le pus difficile...le plus dur... le plus surhumain... lorsqu'un russe a froid... il se déshabille et se roule tout nu dans la neige. Pour ne pas céder à la facilité. Devrons-nous céder aujourd'hui à la morosité du capital et de ses avatars. Et même si je devine sous votre sourire quelque divin cynisme qui ma rappelle Stavroguine, l'anti-héros de Dostoïevski dans les Démons. Je souscris sans y souscrire... Même si je partage votre malin plaisir à rire de tous ceux qui ne savent pas rire de leur propre empire. Un passeport pour Depardiev: l'idée n'est pas saugrenue : pour rappeler au pays des droits de l'homme que c'est l'homme qui fait le droit et non le droit qui fait l'homme. Que la Russie soit ouverte à tous et à personne ! Les talents je ne dis pas non. Mais, de grâce, pas ouverte à tous les décadents... même si nous pouvons nous en servir pour stigmatiser les figures du déclin... euro-américain. Un passeport russe n'est pas une green card que l'on obtient en claquant quelques dollars. C'est un destin qu'on ne peut pas mettre entre toutes les mains... Au-dessus de nous... je n'ai jamais vu personne d'autre que Dieu. Depardiev vous a remercié pour votre extrême bonté... Le pauvre, il a perdu jusqu'à son sens de l'humour... son argent lui a encore joué un sale tour. Sans lui manquer de respect, à ce géant de tous les écrans, je lui glisserai bien à l'oreille, le sens et la portée de sa puérilité... La puérilité c'est l'errance pour celui qui tombe en enfance. Le vieil enfant serait-il devenu sénile ? Quelqu'un qui ne sait pas qu'il n'en a plus pour très longtemps... La débilité c'est encore autre chose. Le verre de trop pour celui qui est atteint d'une cirrhose du foie... ou le fait de rater la dernière marche au moment où on s'apprête à recevoir son trophée. Ou le fait de tomber sur Elephant-woman à l'aéroport de Saint Petersburg. Non... je n'ai rien contre l'ex-pat Brigitte Bardot. Elle a au moins le mérite de prouver qu'un animal n'a pas d'idées. Même si en revoyant " Et Dieu créa la femme" je me dis, au fond, elle a bien raison... l'euthanasie n'a pas été conçue pour les bêtes... mais bien pour ceux et celles qui se prennent pour des anges...qui ignorent qu'un éléphant ça trompe énormément! Épargnons donc les deux éléphants... et abrégeons le sort des deux mécréants. Vodka pour tout le monde. Camarade, camarade, je m'emporte... mais tout compte fait, j'ai bien envie si vous le permettez de sacrifier un mouton pour fêter cette double diversion. Ibrahimovitch sera content... d'autant plus qu'ils sont capables de nous faire des enfants... ainsi font font font... les petites girouettes! :p :p
  22. Mon nom est Personne... :p :D Je n’ai pas de livre qui me donnerait une marche à suivre, pas de livre rouge ou vert, je puise dans l’histoire, entre deux guerres, la raison du plus fort, du plus violent et que vois-je ? Les pacifiques ont perdu toutes les batailles, ils ont été martyrisés, éventrés, empalés, brûlés : rien de nouveau sous le soleil, permettez que je rappelle leurs souffrances. Début de l’hégire : Pacte d’Agaba les convertis font allégeance à Mohamed le Koraïchite pour contrer les Ouraychites. Quelque temps après on expulse les Banû Oaynuqâ , les Banû Nadhir et les Banû Qurayza, tribus juives exterminées sauvagement, rien de changé sous le soleil. Puis nous arrivons au diwân,, Bercy de l’époque, exploitation financière des non musulmans par un impôt obligatoire avec « protection » en contrepartie, mais on se demande contre qui. Le djihad (effort), n’a eu d’autre but que de répartir au mieux les pouvoirs dans le monde musulman et ça n’a pas été sans douleur, sans quelques crimes. La « fitna », rupture s’est produite en Syrie après les années 650 et sunnites et chiites se font encore disparaître allègrement de la surface de la terre en 2015. Que voilà une tradition de Saint Barthélémy musulmane qui dure depuis un certain temps. Le temps est-il venu de donner un exemple de fraternité, et dans le monde musulman, et dans le monde judéo-chrétien ? Une grande compétition mondiale en fraternité, ça vous aurait de la gueule et on se décollerait les étiquettes sur les fronts. L’ère du Verseau tarde à venir, je n’en vois même pas les prémices. L’histoire des hommes est une longue suite ininterrompue de guerres fratricides. J’ai décidé de ne prendre parti pour aucune d’elles, devenir citoyen du monde. Me voilà bien seul car les violents sont comme les ivrognes, ils veulent vous intégrer dans leur soulographie, ils sont jaloux de votre liberté de penser. Quoi ! Un homme libre qui se contente du regard de « Dieu » sur lui et n’en fait pas un salamalec de religion ? Vous avez dit : « bizarre », cher cousin ? Cher djihadiste extrémiste demandant l’effort à l’autre plutôt qu’à toi-même, si tu coupes une tête, dis-toi bien que tu ne coupes pas la tête d’un musulman ni celle d’un chrétien mais celle d’un homme, n’oublie jamais ça. Si les religions se comparent, sache que la foi ne se compare pas, qu’elle ne peut se comparer à rien d’autre, elle est incomparable, c’est elle qui relie, qui relit la copie des vivants. Le monde a-t-il suffisamment la foi pour survivre, vous le saurez en suivant le prochain épisode de plus belle la vie quand on l’aime. N’aime pas la vie qui la détruit d’une façon ou d’une autre, introverti ou extraverti. :bad:
  23. Pour Mustafa : lis le Livre bonhomme... :p Je vous lance un défi : Trouvez moi un auteur musulman contemporain qui traite de la question fondamentale du Jihad et le redéfinit dans le contexte de la modernité et des enjeux géopolitiques du 21 S ! C’est cela le silence des agneaux. Alors Onfray est excusé de ma part de sacrifier la vérité sur l’autel de la réalité." Il n'y a qu'un défi digne d'être relevé : celui qu'on se lance à soi-même... Il n'y a qu'un effort à faire sur le chemin de la vie pour comprendre le vrai message et mener le bon combat, c'est d'apprendre à lire ton Livre, le lire et le relire jusqu'à ce que tu puisses mettre fin à tous les délires. Oh bonhomme ! Je sais que ce n'est pas demain la veille... mais ça ne t'empêche pas de songer au réveil. On te dit que dans ton Livre sacré, il y a des versets sataniques, qu'il faut effacer d'un trait pour avoir un droit de cité. Qu'il faut réécrire ce qui est écrit pour ne pas être proscrit par les dieux de la démocratie. Qu'au nom de ton Dieu, tous les jours des crimes sont commis, du sang versé, des idéaux renversés et des consciences bouleversées ... Les dénoncer, non ce n'est pas assez... il faut y renoncer... renoncer à ta tradition, à ta vocation, à ta destination pour obtenir de l'occident sa bénédiction. Ne les écoute pas ! C'est la mauvaise foi qui parle, la Foi de celui qui n'a pas la Foi... il veut vider les cieux et moderniser Dieu. Oh bonhomme ! N'écoute pas les mesquins, ni les mesquines, tous les hommes ont la même racine... ils sont de race divine, race invisible à l'œil nu, mais sensible au cœur. N'écoute pas celui qui te dit que ta vie est tributaire de ta condition financière parce que la Foi en Dieu rend toute condition princière. N'écoute pas l'oiseau de mauvais augure qui te renvoie à ton lieu de naissance, ton désir de connaissance te dispensera de sa reconnaissance. N'écoute pas celui qui te dit que ton intégrité religieuse est incompatible avec la modernité. Que pour t'intégrer il faut te désintégrer... changer de peau et d'oripeaux. On dénonce ta soumission au très haut pour te soumettre au plus bas, pour que ta vie devienne semblable à la leur : mélange de compromissions et de démissions. N'écoute pas celui qui chante sur tous les toits, sur tous les tons, la chanson de la liberté, rien que pour te rendre conforme à sa conformité, victime de la même cécité... cécité qui se cache derrière le masque de la laïcité... avatar pour tous les bâtards. Oh bonhomme ! Celui qui te demande de te débarrasser du mauvais côté de l'islam ne te demande rien d'autre, que de mettre l'islam de côté. Il y a toujours des travers quand on lit un texte de travers... sans le traverser. Quand il s'agit du sommet, nombreux sont ceux qui se font renverser. Et pour tout dire, on ne peut voir le bon côté des choses que si on se situe soi-même du bon côté... celui de l'honnête homme, celui de la probité morale et intellectuelle. Oh bonhomme ! Je te le dis et redis : cette refonte, cette réforme de l'entendement qu'on exige de toi est la pire diction, la pire contradiction qu'ils puissent exiger. Une malédiction, tout simplement. C'est toi qui est atteint mais c'est ton Dieu qui est visé et révisé autrement dit, nié en bloc pour justifier leur choc de civilisation... du toc qui vaut pour eux de l'or ! La modernité a inventé le tout et le contraire de tout. Elle peut, si elle le voulait, si elle était vraiment libre de vouloir, te laisser libre de vivre selon ton Dieu, de prier, de jeuner, de fêter ton alliance avec ton prophète... parce que la paix n'est dans aucun livre. Elle est dans les cœurs lorsqu'on ne fait pas tout pour les écœurer. En résumé : ce n'est pas à toi de faire le lit de la modernité... c'est à la modernité de faire ton lit... :p
  24. France : plan de vol illisible vers une Syrie compliquée Mêlant beaucoup les grands discours sur les droits de l'homme et les revirements tactiques, la position française n'est guère compréhensible. :p Selon un sondage récent de l'IFOP, 76% des Français seraient favorables « à la participation du pays à l'intervention militaire en Syrie contre Daech » et 10% seulement y sont opposés. Résultats un peu surprenants quand on sait que le gouvernement de François Hollande y était, jusqu'à une date récente, fermement opposé. Lors de l'été 2013, il est vrai, il avait été lâché par les Britanniques et les Américains hostiles aux frappes qu'il proposait contre Bachar el-Assad, coupable d'avoir utilisé des armes chimiques contre son propre peuple. Depuis, la France a armé des groupes de rebelles syriens supposés hostiles à la fois aux islamistes et au régime de Damas. Sans beaucoup de succès. Puis elle s'est engagée aux côtés de la coalition internationale montée par les Etats-Unis à l'automne 2014 pour bombarder Daech mais François Hollande avait décidé alors que les frappes françaises viseraient l'Etat islamique seulement sur le territoire irakien et pas en Syrie. Pour deux raisons : d'une part, en Irak, la France et la coalition interviennent à la demande du gouvernement du pays, ce qui ne serait pas le cas en Syrie; d'autre part, les frappes en Syrie risquaient de conforter indirectement Bachar el-Assad. En septembre de l'an dernier, François Hollande annonce des vols reconnaissances au-dessus de la Syrie mais refuse toujours l'idée de troupes au sol. Il franchit le pas à la veille de la dernière assemblée générale de l'ONU, un an après et il bombarde Daech en Syrie. « Vis-à-vis du droit international et de l'ONU, la France, en la personne de son président, effectue un revirement à 180 degrés de la politique française depuis 1945, puisqu'elle accepte de recourir à la très controversée notion de légitime défense préventive. Celle-ci, à la différence de la légitime défense dite classique (article 51 de la Charte des Nations Unies), justifie la riposte par une simple menace et non par l'existence réelle ou imminente d'une agression armée », note le juriste Amaury Teillard. La menace en question : la possibilité de nouveaux attentats islamistes en France.
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