Maroudiji

C'est quoi des Juifs supposés.

Je vous mets ça là. C'est un résumé que j'ai fait avec l’aide de l’IA --le net en est rempli. L’Ukraine confrontée à une vague d’antisémitisme, 2018, par Lev Golinkin.* Ces dernières semaines, l’Ukraine a été secouée par une série d’actes antisémites : un leader d’extrême droite a appelé à « nettoyer » le pays des Juifs, un mémorial de l’Holocauste à Ternopil a été bombardé, des centaines de personnes ont défilé à Lviv pour honorer une unité SS avec des saluts nazis, des graffitis « Mort aux Juifs » sont apparus dans plusieurs villes, une tombe de rabbin a été profanée, un camp rom à Kiev a été attaqué et incendié par des nationalistes, et un concert néo-nazi a attiré des foules arborant des symboles nazis. La World Jewish Congress a dénoncé cette montée de l’antisémitisme via une vidéo condamnant plus de 12 incidents en un mois. Le président Petro Poroshenko a promis de lutter contre l’antisémitisme, mais ses engagements semblent vides. Le lendemain, le ministère des Affaires étrangères a nié la gravité du problème. Sous sa présidence, l’antisémitisme a cru, avec la glorification de collaborateurs nazis comme l’Organisation des nationalistes ukrainiens (OUN) et l’Armée insurrectionnelle ukrainienne (UPA), responsables de massacres de Juifs et de Polonais. En 2015, le parlement a déclaré ces groupes « héros » de l’Ukraine, et l’Institut de la mémoire nationale, financé par l’État, promeut leur célébration. Des incidents récents illustrent l’inaction des autorités : un maire a tenu des propos antisémites, un consul a été suspendu pour des publications similaires, une tombe juive a été profanée pour la cinquième fois en deux ans, et des groupes néo-nazis comme C14 ont attaqué des Roms et perturbé un événement LGBT à Kiev sans intervention policière. Les sites juifs, comme les mémoriaux de l’Holocauste et les synagogues, sont régulièrement vandalisés. Les Roms subissent des pogroms, comme à Kiev, où C14 a revendiqué une attaque, qualifiée de simple « hooliganisme » par la police. Les déclarations antisémites de figures publiques, comme la députée Nadiya Savchenko ou des leaders d’extrême droite, restent impunies. Cette vague de haine, combinée à l’indifférence des autorités, menace les Juifs, les Roms et d’autres minorités, tandis que l’Ukraine glorifie un passé collaborant avec les nazis, loin de l’idéal démocratique promis par la révolution de Maïdan. * Il écrit dans des grands journaux comme The New York Times, The Washington Post, Los Angeles Times, Politico Europe, etc.

Une délégation de chefs d’État européens, dont Macron, va rencontrer Trump. Il faut garder à l’esprit que l’Europe a participé à cette violente campagne contre lui pendant des années. Trump, en tant que politicien, saura s’en accommoder, mais il n’oublie pas.

Vu que tu ne lis pas l’anglais, de ce que je crois comprendre, j'ai fait traduire ces deux pages. Elles témoignent de ce que je disais sur les ukrainiens qui ne veulent pas faire la guerre. Le Web est rempli d'informations de ce genre sur l’Ukraine. Pour les pogroms, j'essaierai de voir. Le Google français n'est pas coopératif... ____________ En juin 2016, le conseiller militaire de la délégation de l'Union européenne en Ukraine a déclaré que certaines entreprises privées avaient réussi à se soustraire à leurs obligations. Cette affirmation semble confirmée par un article de l'Ukrainian Week, daté d'avril 2015, selon lequel les propriétaires d'entreprises, les responsables locaux et les services résidentiels faisaient peu d'efforts pour transmettre les avis de conscription, s'apparentant à du sabotage. En février 2015, le magazine américain Foreign Policy rapportait l'exemple d'un militant politique et comptable de longue date de Lviv, dans l'ouest de l'Ukraine, qui ne vivait plus chez ses parents, où il était enregistré, pour éviter la mobilisation. Le jeune homme a expliqué que, n'étant pas présent lorsque la commission de conscription locale est venue lui remettre son avis de mobilisation, son père a refusé de signer ; mais il a fini par céder après que le chef du village a menacé d'appeler la police. À Kyiv, selon l'Ukrainian Week, dès qu'une nouvelle vague de mobilisation commence, les bureaux de recrutement de district reçoivent d'innombrables lettres de dénonciation de résidents affirmant qu'un voisin évite la conscription, tandis qu'un autre « alcoolique/toxicomane/hooligan devrait recevoir un avis de mobilisation, aller à la guerre et remettre sa vie en ordre ou au moins expier ses fautes ». En 2012, selon un article du journal ukrainien « Segodnya » (Aujourd'hui), le « tarif en vigueur » pour être exempté de la conscription du printemps s'élevait à une certaine somme, les conscrits ayant notamment perfectionné l'art de reporter leur mobilisation pour des raisons de santé. En 2014, selon le Livre blanc du ministère de la Défense de l'Ukraine, dans la zone de l'opération antiterroriste, jusqu'à 30 % des soldats ont abandonné leur poste en raison d'un manque de préparation, d'un mauvais entraînement et d'une stabilité mentale insuffisante. Selon le ministère de la Défense, ces problèmes ont toutefois été résolus par la suite, et le nombre de personnes refusant de participer à l'opération antiterroriste est ensuite tombé à moins de 1 %. Cependant, en juin 2016, le conseiller militaire de la délégation de l'Union européenne en Ukraine a affirmé qu'en août 2015, la mobilisation n'était pas très appréciée, les gens cherchant à l'éviter. Selon lui, ceux qui devaient signer pour confirmer la réception d'un ordre de mobilisation prétendaient généralement être partis. De facto, de nombreuses catégories de personnes sont exemptées, et même sans les documents appropriés, il est très facile d'éviter la mobilisation, même à l'intérieur de l'Ukraine. La même conclusion a été tirée en juin 2016 par un représentant de l'Organisation internationale pour les migrations. Selon lui, tout le monde fait tout pour échapper à la mobilisation et éviter d'aller à l'est ; le nombre accru de mariages avec des Européens en témoigne. Pour l'OIM, c'est un véritable problème ; il y a des cas d'Ukrainiens bloqués au Sri Lanka pour éviter la mobilization. Parmi les personnes évitant la conscription, certaines sont troublées à l'idée de combattre leurs compatriotes, d'autres s'opposent à la guerre par principe, mais certaines ont simplement peur. En septembre 2015, l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe a rapporté que de nombreux hommes en âge de servir évitaient de s'enregistrer comme personnes déplacées internes par crainte d'être mobilisés ; ils s'abstenaient également de demander le permis spécial d'entrée/sortie requis pour traverser la ligne de contact, croyant que ces permis étaient délivrés avec des avis de conscription. Dans l'ouest de l'Ukraine, cette situation a potentiellement irrité les mères et épouses de soldats qui estimaient que les hommes déplacés internes résidant dans leurs régions devraient « être au combat à l'est » à la place de leurs maris et fils. Iryna Vereshchuk, maire de Rava-Ruska, une ville de l'oblast de Lviv, a déclaré que les attitudes s'étaient durcies après que « des locaux partis au combat sont revenus dans des cercueils ». Selon elle, en février 2015, seuls six avis de mobilisation sur environ une centaine à distribuer avaient été effectivement remis. Dans les autres cas, les hommes se cachaient ou étaient introuvables. En juin 2016, le conseiller militaire de la délégation de l'Union européenne en Ukraine a affirmé que « la volonté des habitants de l'ouest de l'Ukraine de rejoindre l'armée était probablement moindre ». Selon le maire d'une petite ville de l'ouest de l'Ukraine, « les gens ne comprennent pas contre quoi ils se battent », une affirmation largement exploitée par les médias d'État russes pour soutenir l'évasion à la conscription ukrainienne. Dans des régions comme Zaporijjia, près de la région de Donetsk et proche des zones contrôlées par les rebelles, de petits incidents avaient eu lieu. De plus, en 2015, le Service fédéral des migrations de Russie a allégué que 20 000 hommes ukrainiens éligibles à la conscription en Ukraine étaient entrés en Russie en une seule semaine, et 1 193 000 restaient en Russie (qui est de facto une destination traditionnelle pour les Ukrainiens en quête d'emploi). En février 2015, le président russe Vladimir Poutine a même ordonné une modification de la législation pour permettre aux citoyens ukrainiens de rester dans le pays au-delà de la période autorisée de 30 jours et éviter d'être « renvoyés sous les balles ». Selon un article de l'Ukrainian Week d'avril 2015, trop d'Ukrainiens percevaient encore « l'armée comme un système punitif, infligeant une punition non pas aux militants russes éloignés, mais à ceux appelés à servir ». En juin 2016, un représentant de l'ONG Ilko Kucheriv Democratic Initiatives Foundation a cependant soutenu que l'attitude envers l'armée s'était améliorée, l'armée étant mieux gérée et plus disciplinée. En 2015, l'efficacité de la mobilisation s'était tellement dégradée que les bureaux de recrutement devaient émettre près de 40 000 appels pour mobiliser 1 000 hommes, un nombre qu'ils n'avaient, selon eux, « aucun moyen de vérifier de manière réaliste ». En conséquence, selon un article de l'Ukrainian Week, « les bureaux de recrutement devaient prendre ceux qui ne se cachaient pas et avaient des résultats physiques normaux ».

C’est l’inverse qui se passe, et en plus on joue les hypocrites : nous continuons d’acheter à la Russie du gaz, du pétrole, des engrais, de l’uranium enrichi* et bien d’autres produits essentiels à notre économie. Pendant ce temps, les Ukrainiens tombent par centaines ou milliers chaque semaine depuis des années. Beaucoup d’entre eux ne sont pas des soldats aguerris, mais des hommes mobilisés sans véritable entraînement. Les stocks d’armes et de munitions que nous leur fournissons ne suffisent pas, et la Russie progresse inexorablement sur le front. Si nous avions un peu de compassion pour ces malheureux, nous dirions qu’il faut arrêter ce massacre, puisque de toute façon l’issue semble déjà écrite. Mais non : on répète que nous les soutiendrons « jusqu’au dernier Ukrainien ». Quel malheur ! * Nous envoyons même de l’uranium en Russie pour y être enrichi, et il nous revient ensuite ’prêt à l’emploi”.

Le droit international reste prioritaire. C'est ainsi que fonctionnent les BRICS.

Avant la guerre-2022- les journaux du monde entier en parlaient et dénonçaient les pogroms contre les juifs en Ukraine. Même après que Zelensky fut élu, bien que moindre. Achète-toi une bonne moquette et délire un peu, tu verras plus clair au lieu de monter au rideau.

Et ce n'est toujours pas digéré par les Polonais, surtout que ces mêmes banderistes dirigent le pays. (La relation avec le Canada qui applaudit un SS au parlement, puis insinue que c'était une erreur... Que faisait-il là-bas depuis tout ce temps?)

Bien sûr que le peuple ukrainien veut que cette guerre cesse. L’Ukraine est un proxi des Américains. L’OTAN a perdu cette guerre. Les Européens n’ont pas d’arme à fournir, et l’Ukraine n'a de toute façon plus d’hommes à envoyer mourrir.Cela fait maintenant plusieurs mois que nos experts militaires le savent. Il faut cesser la procrastination et avoir de la compassion pour le peuple ukrainien.

Netanyahu et ses ministres suprémacistes qui jurent haut et fort qu'ils vont chasser tous les arabes -par tous les moyens...- sont des slaves, et non des sémites. Do you follow ?

C'est ce que je dis --il n'y a pas assez de morts.

Mais il n'est pas utilisé pour ce qui se passe à Gaza, parce qu’ils ne sont pas tous morts encore. --Par contre, ils est utilisé pour dénoncer la guerre menée par les Russes en Ukraine.

Et tuer tous les habitants du quartier avec.

Je suis d’accord, la discussion permet de mieux se comprendre, c'est le point de vue de Trump que je défends. Les européens et l’administration Biden ne voulaient pas discuter... Le Hamas cherchait à défendre ses intérêts. Depuis des décennies les habitants de Gaza vivaient en prison. Alors la branche militarisée a attaqué une base militaire et a fait des prisonniers. C'est ce que je sais.

Depuis des années les Russes proposent d’interdire ces manifestations neo-nazi qui sont dignes du temps de l’holodomor, toutes proportions gardées. Mais les États-Unis et la France ont toujours posé leur véto. Nos journalistes et experts démentent l’existence de ces "fascistes" ou les minimisent. Des fois, le Monde en parle...

Je suis allé sur les chaînes Youtube de BFMTV et LCI pour chercher des vidéos sur la guerre à Gaza, en me fiant aux titres. Sur vingt vidéos et plus, une seule concernait Gaza ; toutes les autres portaient principalement sur l’Ukraine, et quelques autres sujets comme les graves incendies dans l’Aude. Pourtant, c’est l’horreur absolue à Gaza —et « horreur » est presque un euphémisme. Comment la France, et les Français, peuvent-ils accepter cette barbarie tout en affirmant qu’Israël est une démocratie dont nous partageons les valeurs ? Les mots n’ont plus de sens : fascisme, sémite, démocratie, criminel, droit, etc., ne signifient plus rien d’objectif.

Quand je suis arrivé en France il y a quatre ans, j’achetais une bouteille de gaz 26 € — je crois --et maintenant je la paie 45 ! Merci aux Américains qui ont mis la France dans ce pétrin… Aujourd’hui, j’ai entendu, d’une oreille distraite, un officiel américain pousser le bouchon encore plus loin : il veut que nous arrêtions d’acheter le pétrole raffiné de l’Inde, qui vient en réalité de Russie --et que nous payons plus cher ! Demain, les Américains exigeront que nous cessions d’acheter le gaz russe, car, encore aujourd’hui, nous l’achetons (je pense) directement à la Russie. Donald Trump veut --et va-- faire des affaires avec Poutine, mais il demande aux pauvres Français de vivre aux crochets des Américains. Et nous, on nous apprend à haïr la Russie, qui nous permettait de vivre relativement confortablement. Go figure !

Regarde ce qui se passe en Palestine, à quel point le droit international est efficace. Les ukrainiens n’ont jamais voulu se battre, ils fuient l’armée. Seuls ceux qui veulent faire la guerre jusqu'aux derniers ukrainiens disent qu'ils sont résilients et vaillants. Le peuple souffre d'être manipulé par des puissances étrangères qui se moquent de leur sort. Comme on se moque du peuple palestinien.

Je , je je, ben, ils ne savaient pas, euh, c'est une erreur... La bonne blague. LCI parle du Nazi qui reçoit une ovation au parlement canadien.

Non, il n’ont pas le droit. L’Ukraine, selon les traités, doit rester neutre--pas d’OTAN. Et c'est certainement ce qui va être décidé demain. Et plus. Les ukrainiens ne veulent pas de cette guerre, sauf les nationalistes entraînés aux USA et au Canada.

C'est la meilleure, et lancée sur le forum par un Canadien! Dans mon livre livre à moi, on désigne aujourd'hui par fascistes ceux qui se conduisent comme les soldats d’Hitler.

Comprendre Trump n’est pas facile, car il est imprévisible et peut dire tout et son contraire. Ce que j’aime chez lui, c’est que c’est un battant. Je dois toutefois préciser immédiatement cette déclaration pour éviter les réactions épidermiques : il fait partie de cette Amérique qui me révulse : celle qui tue des innocents à travers le monde, qui s’est construite sur une colonisation insupportable, qui n’a rien fait pour en finir avec l’apartheid en Afrique du Sud, et qui soutient Israël en Palestine en lui livrant des armes de destruction massive. Cependant, je trouve Trump intéressant par rapport à son prédécesseur et aux dirigeants européens, parce qu’il a décidé de parler aux Russes pour tenter d’aboutir à un compromis. Comme il le dit —même si je ne le crois pas une seconde—, il se dit sensible au nombre effroyable de morts et veut que cela cesse. Ce que je crois, c’est qu’il a compris que les Américains ont perdu la guerre et qu’il veut se sortir de ce bourbier le plus vite possible, quitte à laisser les Européens la continuer. America First est sa devise. Il pense à l’avenir de son pays, contrairement à Macron, qui veut continuer à défier la Russie, malgré les terribles conséquences économiques à payer pendant des décennies. Et les Français ne semblent pas s’inquiéter de l’avenir de leurs petits-enfants : ils sont insouciants. Tout cela est bien triste.

Tous les référendums sur lesquels les populations de Crimée ont dû se prononcer ont abouti à un vote majoritaire pour le rattachement avec la Russie. Surtout après que le gouvernement de Kiev a décidé d'interdire la langue Russe sur ses territoires.

J’ai lu avec intérêt ton texte et cette phrase m’a intrigué. Tu dis que le peuple vote majoritairement pour lui, mais en même temps tu restes sceptique quant à son exploit, qui a été de redresser brillamment la Russie après le chaos dans lequel elle s’était enfoncée. Tu veux bien expliquer ce que tu entends par cette phrase ?