Leste

Pourquoi se marier alors si on veut pas que notre mari nous touche ? Et puis, elle devait quand même être complètement droguée pour ne pas s'apercevoir que son mari la pénétrait, elle est quand même un peu grosse celle-ci... De plus son mari a peut être pensé que comme elle disait rien, elle était consentante. Est-ce qu'à chaque rapport sexuel vous demandez à votre conjoint si il veut ou pas ? Enfin je trouve cette histoire totalement ridicule et beaucoup plus risible que dramatique ! Au moins ça l'aurait réveillé ! :smile2:

Je pense que cette femme n'aimait plus son mari pour en arriver à cette situation de porter plainte et je pense que son mari était réellement en manque de sexualité pour en arriver à la masturber. Une femme qui aimerait son mari n'aurait pas porté plainte, elle aurait peut être même trouver ceci touchant que son mari la désire autant. Lui était visiblement en grand manque d'affection pour faire ceci, sans doute une femme qui voulait plus rien faire sexuellement comme c'est le cas dans de nombreux couple, ou les hommes vont voir des prostituées pour se soulager. Je ne considère pas ceci comme du viol, quand on accepte le mariage ça veut dire que l'on aime son mari et qu'on est prête à lui offrir tout l'amour du monde. Pour le meilleur et pour le pire...

Ce n'est pas juste comme vous interprétez ceci, la dette n'a jamais été réduite de 62 % puisqu'un délais de 30 ans a été prévu pour rembourser. La dette a simplement été échelonnée dans le temps et non réduite.

Si il y a des délocalisations, ça veut dire que l'état en question ne fait rien pour retenir ces multinationales. Le coût de la main d'oeuvre n'est pas le seul critère que prend en compte les multinationales. Si on regarde un pays comme la Suisse, c'est l'un des pays au monde ou les salaires sont les plus hauts. Pourtant c'est un pays qui attire chaque année de nombreuses multinationales et pas les moindre et dans des domaines très différents comme l'industrie du tabac, la pharmaceutique, l'industrie médicale, la chimie, il y a également de nombreuses ONG etc... Allez faire un tour en Suisse et constatez par vous même le nombre d'industrie qu'il y a, c'est juste impressionnant. Si les entreprises sont intéressées par des pays comme la Suisse, c'est que la main d'oeuvre est très qualifiée, que la TVA est basse (8% contre 20 % en France), les entreprises sont beaucoup moins imposées qu'en France. C'est donc bien la preuve que l'on peut être un pays riche et attirer les entreprises du monde entier, c'est donc à la France de faire des efforts, si la France à l'heure actuelle n'attire plus et que les entreprises délocalisent c'est que le pays ne fait rien pour attirer. Ensuite quand vous dites que la faiblesse des lois sociales et environnementales les protège contre des poursuites judiciaires, ce n'est pas juste, tout dépend dans quel pays l'entreprise est délocalisée, il y a certes des pays plus leste sur des lois sociales et/ou environnementales. Ce n'est pas parce que c'est une multinationale qu'on peut rien faire pour elle, si une multinationale américaine construit une entreprise en Chine, cette entreprise sur le sol Chinois devra suivre les lois chinoises et non américaines.

La Grèce à nouveau sous la pression des agences de notation L'ombre de la faillite plane au-dessus de la Grèce. C'est ce que constatent les agences de notation. Selon ces dernières, le pays pourrait ne pas être en mesure de trouver un accord avec ses partenaires européens sur le programme d'aide qui expire le 28 février. Face à ces craintes, l'agence Standard and Poor's (S&P) a abaissé d'un cran vendredi soir la note souveraine du pays de «B» à «B-» en conservant sa mise sous surveillance négative. Dans la foulée, sa consœur Moody's a placé la note «Caa1» sous surveillance, dans la perspective d'un éventuel déclassement. S&P, qui avait menacé le pays d'une dégradation le 29 janvier suite à l'accession au pouvoir de Syriza, est donc passée à l'action. La note de «B-» qu'elle attache à la Grèce est attribuée aux émetteurs ne présentant qu'une assez faible sécurité de remboursement sur le long terme. Elle se situe à cinq crans de celle attribuée aux émetteurs en défaut de paiement («D»). Dans un communiqué, l'agence estime que «le temps dont dispose le nouveau gouvernement grec pour trouver un accord avec ses créanciers sur un refinancement de sa dette s'est réduit en raison de contraintes de liquidités». S&P évoque «les incertitudes autour du calendrier et de l'aboutissement d'un tel accord» qui risquent, selon elle, «d'accélérer les retraits bancaires, de déprimer l'investissement et d'affaiblir les rentrées fiscales». D'après elle, «si les discussions avec les créanciers se prolongeaient, cela pourrait accentuer la pression sur la stabilité financière du pays». Pour justifier son pessimisme, Moody's évoque pour sa part le «degré élevé d'incertitude sur l'issue des négociations entre la Grèce et ses créanciers publics». Selon l'agence, «l'issue (des discussions) pourrait avoir des implications négatives sur la capacité de la Grèce à faire face à ses besoins de financement et de liquidités et sur la probabilité d'un défaut». Ce diagnostic tranche avec la dernière évaluation délivrée par Moody's sur la Grèce. En août dernier, l'agence avait relevé la note du pays de deux crans à son niveau actuel («Caa1») en invoquant «l'amélioration» de sa situation budgétaire. «Il n'y aura pas de problème jusqu'à l'été et la conclusion d'un accord» Georges Stathakis, ministre grec de l'Économie La Grèce a tenté de minimiser ces craintes en assurant que le pays ne serait pas à court de liquidités dans les prochains mois. «Il n'y aura pas de problème jusqu'à l'été et la conclusion d'un accord», a affirmé le ministre grec de l'Économie Georges Stathakis. Même discours chez le vice-ministre des Finances, Dimitris Mardas, qui a assuré que l'État n'aurait pas de problèmes de liquidités même si les négociations duraient jusqu'en mai. «Même si c'était le cas, nous pourrions trouver de l'argent», a-t-il promis lors d'un entretien à la chaîne de télévision Mega TV. De nombreux experts estiment cependant que les caisses de l'État seront rapidement vides si le pays ne parvient pas à trouver un accord sur le prolongement de son programme d'aide. Le gouvernement d'Alexis Tsipras refuse pourtant la dernière tranche de 7,2 milliards versée par la troïka en échange de réformes drastiques. Il réclame en échange un financement-relais durant quelques mois, le temps d'élaborer un vaste plan comprenant réformes et aménagement de sa dette. Mais l'UE, emmenée par Berlin, n'y semble pas disposée. Le sujet sera débattu lors d'une réunion extraordinaire des ministres des Finances de la zone euro mercredi prochain. Le prochain examen de la note grecque par S&P aura lieu le 13 mars. http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2015/02/07/20002-20150207ARTFIG00048-la-grece-a-nouveau-sous-la-pression-des-agences-de-notation.php

Effectivement aucune chance contre nous, euh les riches pardon ! :smile2: :blush: (dalek)

"En majorité, ce ne sont pas des nantis paresseux ni des parasites de la modernité. La plupart agissent, produisent et s'efforcent de maintenir ou de développer leurs actifs. Beaucoup même se plaignent de consacrer tant de temps à ce qui les rend riches qu'ils n'en ont guère pour profiter du résultat de leurs efforts. Ils jouent plutôt, dans notre société, un rôle de modèle enviable que de repoussoir ou d'adversaire. C'est peut-être en cela qu'ils ont gagné, sans avoir mené de guerre ni suscité de révolte. " En savoir plus sur http://lexpansion.lexpress.fr/actualite-economique/pourquoi-les-riches-ont-gagne_1312381.html#CMalWqlQKYXuYa8f.99

:smile2:

Vous parlez de ma richesse sans que j'ai donné la moindre information là dessus, ceci s'appelle supposer.

:smile2: Continuez dans les suppositions...

Tout à fait.

Rien ne vas plus pour la Grèce : Elle réclame une rallonge de 1,9 milliards d'euro à la zone euro, Standard & poor's abaisse sa note de B à B-, un nouveau niveau spéculatif ! Pris en étau entre ses créanciers européens intraitables, et son électorat à qui il a fait des promesses irréalistes, le gouvernement Tsipras a adressé, vendredi soir, un appel à l'aide désespéré à ses partenaires européens. Le gouvernement grec qui doit encore obtenir, mardi, un vote de confiance du Parlement réclame une rallonge de 1,9 milliard d'euros à la zone euro. Cet argent correspond aux profits réalisés par la BCE sur 27 milliards d'euros de titres de dette grecque qu'elle détient à son actif depuis 2010. La BCE s'était engagée à reverser cette somme à ses actionnaires, les banques centrales de la zone euro, à charge pour elles de les reverser au gouvernement grec. Ce transfert financier était inclus dans la tranche de 7 milliards du dernier plan d'aide de la Troïka. Le gouvernement grec refuse cette nouvelle tranche d'aide, assortie de trop de conditions à ses yeux, mais réclame néanmoins une partie de l'argent. Cette dernière requête témoigne d'une certaine panique financière à Athènes, où les caisses de l'État, que l'on disait excédentaires, se vident à grande vitesse. Ces deux requêtes d'Athènes ont peu de chance d'être entendues en Europe. Malgré le refus de la BCE, opposé mercredi, le gouvernement Tsipras réitère sa demande de relèvement du plafond de ses émissions de dettes à court terme (les T-Bills), aujourd'hui limités à 15 milliards d'euros. Ce plafond, classique dans tout plan de sauvetage, est imposé par la Troïka, pour éviter un financement monétaire du Trésor, interdit par les traités. Ces deux requêtes d'Athènes ont peu de chance d'être entendues en Europe, où la ligne de fermeté allemande semble s'être imposée. Standard & Poor's a de nouveau abaissé la note de la Grèce de B à B-, un niveau «spéculatif». http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2015/02/06/20002-20150206ARTFIG00385-la-grece-reclame-une-rallonge-de-19milliard-a-la-zone-euro.php

La preuve avec ce smiley, que vous voulez plus d'égalité mais que vous n'êtes pas prête à baisser votre mode de vie pour ceci. CQFD donc... Je n'ai aucune haine contre les milliardaires contrairement à vous.

En France je pense pas qu'il y ait énormément d'enfants qui meurent de faim. Ensuite si l'on partagerait la richesse dans le monde entier, en France on ne pourrait tout simplement plus vivre du tout. L'inégalité est donc totalement normale, on ne peut pas comparer le niveau de vie de la France avec le niveau de vie de la Somalie. D'ailleurs Louise Aragon seriez-vous prête à vivre avec 500 € par mois et sans aucune autre aide pour que tout le monde puisse bénéficier de cette somme dans le monde ?

Ne vous en faites pas pour moi tout va bien. Je n'ai pas de besoin d'un milliardaire à mes côtés pour trouver de la joie. La jalousie n'est pas ma priorité, mais visiblement ce n'est pas votre cas.

Et c'est quoi un dieu du fric pour vous ? A partir de quel revenu par mois est-on un dieu du fric ? Donc un parasite ?

Détrompez-vous !

A l'heure actuelle un travailleur qu'il soit ouvrier ou employé a tout à la fait la possibilité de construire un capital. D'ailleurs on ne parle plus tellement de prolétariat. Des ouvriers non qualifiés qui sont propriétaires, ça existe. Créer un business ne demande pas un énorme capital, avec 1000 à 2000 € on peut déjà se lancer dans les affaires qui peuvent par la suite tout à fait se capitaliser. C'est à chacun de trouver un moyen pour fructifier son argent. Ceci reste possible à partir du moment ou l'on a un salaire.

Vous parler de suppositions en parlant de ma vie privée. Me concernant je parle de lois, elles sont les mêmes pour tous. Un riche qui falsifie de l'argent est condamnable, un pauvre qui travail au noir l'est aussi. Et c'est tout à fait normal. On peut gagner beaucoup d'argent honnêtement, c'est à chacun de se démener pour ceci. La tricherie, le vol, l'abus de confiance ce sont des choses que l'on voit chez les riches et chez les pauvres, ce n'est pas parce qu'ils sont pauvres que la loi va les laisser tout faire, et c'est normal. Le respect n'a pas de classe sociale.

Le mariage n'est-il pas l'acceptation d'appartenir à son conjoint pour le meilleur et pour le pire jusqu'à ce mort les séparent ?

J'évite de répondre aux questions sur ma vie privée, je suis ici pour donner un avis personnel et non pour parler de ma vie personnelle.

:smile2: (on croirait Mélanchone ! )

Les abattements fiscaux n'ont rien à voir avec la fraude fiscale, les abattements fiscaux sont légaux, si l'état fait des abattements fiscaux c'est qu'il y gagne aussi. C'est un contrat qui se fait en toute légalité. Quand la France propose la loi Pinel aux français pour déduire des impôts c'est pour que les français construisent dans le but que de nouveaux logements locatifs en manque se créent. Quand l'état propose une déduction fiscale aux personnes qui prennent une femme de ménage c'est dans le but de faire en sorte que ces personnes embauchent du personnel. Enfin il faut pas croire que toutes ces déductions fiscales rapportent un max d'argent, tout d'abord elles sont plafonnées, en plus quand on investit dans un logement pour obtenir une déduction d'impôts par exemple c'est aussi une prise de risque pour l'investisseur car c'est sur du long terme, des bails de quasiment 10 ans, et ce n'est pas un réel gain car les achats à la base sont beaucoup plus chers et les loyers sont moins élevés. Des personnes qui touchent le chômage et le RSA et qui travaillent au noir à côté, c'est très courant, le travail au noir représente plusieurs milliards de perte pour la France. Pas de besoin de faire de grandes recherches pour le savoir. http://fr.wikipedia.org/wiki/Travail_dissimul%C3%A9_en_France

Rien à voir une nouvelle fois de plus avec ce que j'ai dit plus haut, vous faites des sous-entendus, dois-je comprendre que la Grèce est la petite victime de tous les plus grands ? Vous me faite rire avec votre taux d'usure pour me faire comprendre que la Grèce a un taux abusif. Vous me parlez de produits dérivés, mais les produits dérivés sont des contrats, la Grèce savait donc très bien à quoi s'en tenir. L'économie j'en ai fait durant plusieurs années dans mes études de commerce, peut-on en dire autant de vous ? Car là vous êtes à côté du pot, vous faites des sous-entendus navrant.

Ceci veut dire qu'il y a aussi des profiteurs de ce côté. Vous êtes ici beaucoup à cracher sur les riches, et à vouloir plus d'égalité. Si vous voulez de l'égalité il faut aussi regarder du côté de la pauvreté, il y aussi énormément de personnes qui touchent le RSA, le chômage et qui n'y ont pas droit. la fraude sociale coûte aussi chère que la fraude fiscale.