Leste
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Apparemment les 650 000 € correspondent au patrimoine global des 1 % les plus riches au monde et non du revenu comme je l'avais compris plus loin. Ce que j'ai dit ce matin est donc faux, 650 000 € correspond pas au 1 % les plus riches de France mais au 1 % du patrimoine mondiale. Par contre il faut gagner 2500 € net par mois pour se retrouver dans les 1%... Doit-on en conclure que pour faire partie des 1 % les plus riches au monde il faut gagner 2500 € par mois et avoir un patrimoine de 650 000 € ? Ce qui me parait bizarre puisqu'une personne qui gagne 2500 € net par mois n'arrivera jamais à avoir un patrimoine de 650 000 €... A mon avis, il y a donc une ou plusieurs sources qui sont fausses dans celles citées... http://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2015/01/21/1-les-plus-riches-les-limites-de-l-etude-d-oxfam_4560443_4355770.html
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Qui dit vrai ? http://www.globalrichlist.com/
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Dans chaque pays il y a des pour des contres. Tout dépend les envies de chacun. En France on est gâté côté gastronomie, climat diversifié, région diversifiée. Après cependant je trouve que c'est un pays trop fermé sur de vieux principes un peu comme en Angleterre. Souvent on dit que la France est un pays ouvert, moi je trouve que c'est un pays fermé, on veut rien changer, on veut pas changer ce qui ne va pas, c'est pour ceci qu'économiquement la France est à la rue. Les anglais sont aussi très fermés sur de vieilles valeurs traditionnelles, ça fait par exemple des années que l'Angleterre n'a pas changé ses principes pour attirer le tourisme, on mise toujours sur le côté royal avec tout ce qui s'en suit, ce qui n'attire plus spécialement les touristes qui s'en las... Par contre économiquement ils se sont vraiment ouverts, pas étonnant qu'ils nous passent devant, je le remarque tous les jours dans mon travail, c'est un pays qui avance, ils ont une politique économique beaucoup plus libérale que la notre. Leurs industries fonctionnent, ils ont compris qu'ils devaient taper dans le luxe pour vendre, et non miser sur le moyen de gamme comme le fait beaucoup trop de sociétés en France. Leurs industries automobiles marchent très bien, Renault et PSA devraient prendre l'exemple de Bentley et de Jaguar.
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Lisez toutes mes sources pages précédentes. Le nombre de retraités croît plus vite que celui des actifs : il y a aujourd'hui 1,7 actif pour 1 retraité, alors qu'en 2060 il devrait y avoir 1,35 actif pour 1 retraité. Qui va payer ? La retraite par répartition marche très bien quand il y a suffisamment de personnes qui travaillent pour peu de retraités, ce qui n'est plus du tout le cas notamment à cause du baby boom qui est un problème majeur. Du coup il y a plus de dépenses pour les retraites que de rentrées. Résultat, certaines caisses sont déjà dans le rouge et ne pourront bientôt plus payer les retraités. Vous parlez de solidarité, est-ce normal qu'à l'heure actuelle des gens qui n'ont jamais travaillé de leur vie vont toucher une retraite ? Alors que des gens qui vont bosser toute leur vie n'auront sans doute rien ? J'appelle pas ceci de la solidarité, mais du vol et de l'injustice. La retraite par capitalisation est ce qui va très certainement arriver prochainement en France, la France n'aura plus le choix et pas le choix. Des risques il y en a pas plus que dans la retraite par répartition, la preuve les caisses sont vides, qui va payer les nouveaux retraités qui ont bossé toute leur vie ? Comme le dit contesteur, en cas de faillite de banque, il y a des garanties. A l'heure actuelle les garanties sont de 100 000 € en France. http://www.cbanque.com/placement/garantie-depots.php Pour se faire une retraite sécurisée il suffira de placer son capital dans différentes banques ou alors l'argent pourra être répartit dans l'immobilier, l'or ou d'autres placements. Comme je l'ai dit en Suisse, c'est eux qui gèrent les placements, la majeur partie est placée dans des emprunts d'état ce qui limite grandement le risque.
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Les 650 000 € annuels concernent les 1% les plus riches en France seulement. Sinon pour faire partie des 1 % de la population mondiale il suffit de gagner 30 000 € par an.
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Je suis d'accord avec l'ensemble de vos réponses, par contre pour ceci pas vraiment. Si vous pensez que la Suisse attire les entreprises pour son secret bancaire, c'est à mon avis pas le cas. La Suisse attire pour sa main d'oeuvre qualifiée mais aussi pour ses impôts d'entreprise beaucoup moins élevés. Les grosses entreprises sont moins imposées. Beaucoup d'entreprises américaines s'implantent pour cette raison car pendant x années elles paient très peu d'impôts. Je trouve que c'est une très bonne chose dont la France devrait s'inspirer, il faut parfois donner pour avoir, ne faire que taxer ne permet pas d'attirer les grandes entreprises, ne permet donc pas de diminuer le chômage. Je me demande d'ailleurs quand c'était la dernière fois que la France a attiré une multi nationale... Et vous ne pensez pas aux générations futures ? Que vont avoir les jeunes et les moins jeunes d'ailleurs avec la retraite par répartition ? Sachant que ce système n'est plus fiable ?
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Il y en a qui prennent la prison pour un hôtel...
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Ce sont surtout les blagues de l'extrême gauche qui me font vomir.
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A lire l'interview de David-Weil, macroéconomiste : Michel David-Weill : « La France n'a jamais épousé le capitalisme » En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/26/08/2014/LesEchos/21757-034-ECH_michel-david-weill-----la-france-n-a-jamais-epouse-le-capitalisme--.htm#7ysiX8Vt4tBIoDuc.99 Aux questions suivantes : - Quatre-vingts ans après, les mêmes causes provoquent donc les mêmes effets ? Oui, il y a une spécificité française, qui est un passéisme actif... La France est un pays qui n'a jamais épousé le capitalisme. Elle attache une importance à l'Etat beaucoup plus grande qu'ailleurs. Et, compte tenu du manque de confiance vis-à-vis de la politique, il y a un découragement inquiétant de la population. Encore une fois la France est vraiment un cas particulier. L'erreur, c'est de faire de notre spécificité un modèle pour les autres... - Un autre phénomène récent, mondial celui-là, est le creusement des inégalités... Oui. Mais ce phénomène-là est temporaire. Il est d'abord lié à la politique de création monétaire sans précédent menée par les grandes banques centrales pour sortir de la crise. Elle a provoqué une hausse des indices boursiers qui explique l'augmentation, sans doute momentanée, des fortunes. L'absence d'inflation, pour la première fois depuis 1914, explique aussi ce creusement des inégalités. Historiquement, l'inflation a toujours « mangé » les fortunes mondiales. Mon père me disait d'ailleurs souvent : « En France il n'y a que des nouveaux riches ! » Enfin, comme dans les années 1900 où l'innovation technique avait généré beaucoup de richesses, l'innovation technologique crée aujourd'hui d'énormes fortunes. Si vous regardez la liste des 500 plus grosses fortunes dans le monde, vous serez frappé de voir que les deux tiers, probablement, sont liés aux nouvelles technologies. C'est d'ailleurs un aspect bénéfique des inégalités, à mes yeux : je veux dire par là que l'espérance de faire fortune dans ces domaines incite des gens à se lancer dans l'innovation. C'est un formidable moteur du développement.
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Les régimes de retraite sont déficitaires depuis 2010 et épuiseront leurs réserves en 2017 au plus tard. Alors que nous entrons dans une période cruciale de négociations avec les partenaires sociaux, de nombreux experts sont invités à s’exprimer sur la légitimité du système de retraite par répartition. Et il y a vraiment de quoi s’interroger… Retraite par répartition : anatomie d’une escroquerie L’affaire Madoff a eu son utilité en matière d’éducation financière du grand public. L’arnaque montée par cet ex grand patron du Nasdaq américain, consistait à payer les intérêts des premiers investisseurs ayant apporté leur argent à son fonds avec le capital apporté par les derniers entrés. Avec l’effondrement des marchés financiers en 2008, certains clients ont souhaité retirer leur argent, ce qui a provoqué l’écroulement du système. Le monde entier (re)découvrait alors, ébahi, la signification concrète de ce que le jargon financier a baptisé « une chaîne de Ponzi » du nom du désormais célèbre escroc Charles Ponzi – véritable pionnier en la matière. Pour rappel, une chaîne de Ponzi, c’est un montage financier frauduleux qui consiste à rémunérer les investissements effectués par les clients, essentiellement par le biais de fonds procurés par les nouveaux entrants. Le système s’écroule quand les sommes procurées par les nouveaux entrants ne suffisent plus à couvrir les rémunérations des clients. Le système de retraite par répartition mis en place en France au sortir de la seconde guerre mondiale n’échappe pas à la règle. Comme toute chaîne de Ponzi, il ne peut fonctionner que dans la mesure où le nombre de cotisants augmente par rapport au nombre de bénéficiaires. Mis en place dans un contexte inédit de croissance économique et démographique au lendemain du plus grand conflit planétaire jamais enregistré, il est devenu évident que sa pérennité n’est plus assurée. Les temps ont changé depuis bien longtemps, et les pouvoirs publics continuent d’entretenir l’illusion par démagogie et surtout par manque de courage politique. Le compte à rebours est enclenché Il ne faut pas se le cacher : la situation est précaire. Les deux régimes de retraite complémentaire ARRCO et AGIRC puisent déjà dans leurs réserves pour assurer le paiement actuel des pensions. On estime que ces réserves seront épuisées en 2017 pour l’AGIRC et 2020 pour l’ARRCO si et seulement si la situation économique demeure stable. Autant dire tout de suite qu’il s’agit là d’un vœu pieux dans un contexte de crise monétaire tel que l’on n’en peut-être jamais connu dans l’histoire moderne de l’occident. Ces 2 dates butoirs n’en sont donc en réalité pas vraiment et la probabilité de voir le système capoter avant 2017 est bien réelle. « On ne résout pas les problèmes avec les modes de pensée qui les ont créés » - Albert Einstein A l’heure actuelle, les partenaires sociaux demeurent incapables d’envisager des solutions qui iraient plus loin que la défense de leurs petits intérêts individuels de court terme. Les solutions proposées sont tragiquement classiques et inefficaces : hausses des cotisations, aménagement des règles de liquidation des droits, etc. Elles illustrent surtout à merveille la citation d’Albert Einstein qui n’a jamais été autant d’actualité : mettre des rustines sur un système vicié dans son mode de fonctionnement même est voué à l’échec. La retraite par capitalisation : la seule solution Dans leur ouvrage Futur des retraites et retraites du futur, Jacques Garello et Georges Lane expliquent ainsi très clairement pourquoi les français sont contraints de donner toujours plus et de recevoir toujours moins de la part de ce système. Pour reprendre un exemple éloquent du livre, vous devez savoir que le système de retraite par répartition coûte actuellement 2500 euros par an à une personne touchant le smic. Lorsque cette dernière prendra sa retraite, elle aura perdu 250.000 euros par rapport à ce que lui aurait rapporté une retraite par capitalisation. 250.000 euros ! La retraite par capitalisation fonctionne sur le principe de l’accumulation par le travailleur d’un stock de capital qui servira à financer sa propre pension lorsque ce dernier sera inactif. Contrairement à l’image que l’on s’en fait, la gestion de ce type de retraite conserve tout de même une composante collective : le cadre général peut ainsi être individuel (l’individu gère son capital-retraite) ou collectif (l’Etat ou l’entreprise collecte et gère les sommes épargnées) et le système peut être libre ou en partie obligatoire. Ce type de retraite a ainsi pour objectif d’assurer des revenus à chaque génération. Exit donc une répartition aussi injuste que ruineuse ! Il ne faut pas s’y tromper. Que l’Etat le veuille ou non, il devra y venir. Ce n’est pas un hasard si la plupart des économies développées avancées l’ont déjà mis en place : Suède, Allemagne, Etats-Unis pour ne citer qu’eux. Ce système est le seul qui puisse encore garantir à chacun un niveau de vie décent pour ses vieux jours. Quel que soit votre âge, vous devez vous y préparer dès aujourd’hui. Ne perdez pas de vue que ce type de système comporte bel et bien un volet de gestion individuelle. Comment ferez-vous si vous n’avez jamais pris en main votre éducation financière ? La retraite par capitalisation implique une responsabilisation de chaque individu vis-à-vis de son argent et de ses finances personnelles. Si le mot ne fait pas plaisir, il a le mérite d’être clair… http://www.ecole-des-finances-personnelles.fr/il-vous-reste-4-ans-pour-preparer-votre-retraite/
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Tout à fait ! On peut d'ailleurs le remarquer à l'heure actuelle, une retraite ça se prépare. Les gens qui n'ont pas préparé leur retraite ont une retraite simple et difficile, pour s'alimenter, se vêtir, c'est de plus en difficile. Les problèmes de la retraite par répartition Le système de retraites français entre dans une période difficile pour quatre raisons. Premièrement, du fait d’un âge de la retraite fixe et d’une espérance de vie qui ne cesse d’augmenter, le rapport entre la période de cotisation et la période de retraites diminue dangereusement. Les deux systèmes de retraite, par répartition et par capitalisation, doivent faire face à ce problème. Deuxièmement, dans un système de retraites par répartition dans lequel les travailleurs financent les retraités, ce problème est potentiellement aggravé par la forme de la pyramide des âges. Dès lors qu’un pays n’est pas suffisamment fertile et que le poids relatif des générations âgées par rapport aux générations jeunes s’accroît, la retraite par répartition n’est pas adaptée. En effet, s’il y a dans le pays moins de travailleurs et plus de retraités, les premiers sont plus taxés et les seconds reçoivent une pension moindre. Ce problème n’existe pas dans un système de retraites par capitalisation, puisque les retraités cotisent lors de leur période active pour leur retraite (et non pour celle des retraités d’alors), laquelle sera financée par les rendements de leur épargne investie mondialement. Troisièmement, avec la retraite par capitalisation, un salarié met chaque mois (ou chaque année) une part de son revenu de côté pour financer sa retraite. Avec la retraite par répartition, un salarié est taxé pour financer les retraités contemporains. Dans le premier cas, il y a un lien direct entre revenu (présent et futur, lors de la retraite) et activité. Dans le second cas, ce lien disparaît. Il est avant tout contingent au rapport retraités sur actifs. Le système des retraites par répartition est donc injuste et arbitraire, au sens où il avantage les travailleurs qui ont eu peu de retraités à payer à leur époque (les 50-80 ans), mais il pénalise les travailleurs qui vont avoir à supporter tout le poids des retraités du papy boom (les 0-40 ans). Lorsqu’on sait que les décideurs politiques ont entre 50 et 70 ans, on comprend mieux les motivations de ce transfert intergénérationnel colossal au profit de la génération du baby boom, et aux frais des jeunes. Le scandale du maintien de la retraite par répartition, c’est qu’il soit invoqué au nom de la « solidarité », alors qu’il ne s’agit ni plus ni moins que du financement du train de vie des personnes âgées par des jeunes surtaxés et dociles. Quatrièmement, La rentabilité du système de retraites par répartition dépend du taux de croissance de la population. La rentabilité du système de retraites par capitalisation dépend du rendement de l’épargne. Or ce dernier est désormais supérieur au premier. C’est pourquoi un système de retraites par capitalisation est dans les circonstances actuelles moins coûteux. Les pays qui l’ont adopté consacrent une part plus faible de leur PIB au financement des retraites, pour des prestations proches, comme montré dans la fiche sur La retraite par capitalisation. Pierre Chaigneau http://www.eclaireco.org/RetraiteParRepartition ----------------------------------------------------------------------------- Le financement des pensions de retraite se fait au moyen des cotisations ou de l'épargne accumulée par les cotisants. Or, la structure de la population et la conjoncture de l'emploi, ajoutées aux départs en retraite des baby-boomers, auguraient d'un effondrement à court ou moyen terme de la structure de financement des caisses de retraites. Pour résoudre ce problème, différentes réformes ont progressivement adapté les principaux régimes de retraite aux évolutions démographiques et économiques. Des réajustement sont mis en place régulièrement dans le but de résoudre les problèmes de financement des retraites. Enjeux Répartition ou capitalisation ? Alimenté par les cotisations des actifs, le système français repose essentiellement (à 90 %) sur un financement par répartition. C'est-à-dire que les cotisations payées par les actifs servent à payer les pensions versées aux retraités. C'est la consécration de la solidarité intergénérationnelle. Le financement par capitalisation est, lui, minoritaire. Il repose sur un compte individuel alimenté par des versements effectués par chaque actif et restitués au moment de la retraite sous la forme d'un capital ou d'une rente viagère. Déséquilibre financier Malgré les réformes successives, le déficit du régime général des salariés, bien que réduit de 1,2 milliard d'euros par rapport à 2011, s'est élevé à 4.8 milliards d'euros en 2012. Causes Déséquilibre démographique Le nombre de retraités croît plus vite que celui des actifs : il y a aujourd'hui 1,7 actif pour 1 retraité, alors qu'en 2060 il devrait y avoir 1,35 actif pour 1 retraité. Ce déséquilibre s'explique notamment par le vieillissement de la population et l'arrivée à la retraite des générations d'après-guerre. En effet, la population gagne chaque année en espérance de vie Les personnes des générations d'après-guerre, nées entre 1945 et 1965, ont entamé leur départ à la retraite depuis 2005. Ces baby-boomers profitent de l'allongement de la durée de vie. La durée de leur retraite va donc être plus longue que celle de la génération précédente. Ainsi chaque année un surcroît de 110 000 retraités apparaît, ce chiffre étant appelé à doubler sur les années à venir. Plus de retraités et des retraites plus longues accroissent considérablement le coût des retraites ; alors que corrélativement le nombre d'actifs devrait se stabiliser, malgré une légère hausse de la population active. Il apparaît donc évident que, sur la base des cotisations actuelles, ces actifs ne pourront financer par leurs seules cotisations ces retraites supplémentaires. C'est la raison pour laquelle les réformes se succèdent depuis plusieurs années : la réforme Fillon a remédié en partie à ce phénomène de détérioration du rapport démographique, via une adaptation progressive de la durée de cotisation dès 2009 en fonction de l'évolution de l'espérance de vie ; la réforme des retraites de 2010 a instauré un relèvement progressif de l'âge légal d'ouverture des droits à pension et de celui du départ à taux plein ; la réforme des retraites de 2013 prévoit, outre une amélioration de la prise en compte de la pénibilité, une augmentation de la durée d'assurance, des cotisations sociales et un décalage de 6 mois de la revalorisation des pensions de retraite. Situation de l'emploi Selon une étude de l'INSEE d'avril 2011, l'évolution de la population active serait plus dynamique que celle issue des précédentes projections réalisées en 2006 qui conduisait à une certaine stabilisation de la population active après 2015. En effet, l'institut prévoit une augmentation dynamique de la population active jusqu'en 2025 qui s'explique par une remontée de l'activité des seniors induite par les réformes des retraites successives, en particulier celle de 2010 et un taux de fécondité plus important. http://www.boursorama.com/patrimoine/guides/ret_ret_auj_pb_doclight_1.htm
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lol, lol... Il y aura toujours des gens qui travailleront, oui mais quand il y a tout un tas de gens à la retraite et que l'on est 1 à travailler pour payer la retraite de 3 personnes ça se passe comment ? Ca se passe comme en ce moment, les caisses de retraites parlent de faire faillite, donc oui le système par répartition peut aussi s'écrouler pour votre information, ils en parlent assez !!! Le système de retraite par capitalisation n'est donc pas plus risqué. Admettons un pays comme la France choisit le système de retraite par capitalisation, il gère très mal et tout s'écroule au final personne aura de retraite. Dans le système de répartition, les caisses sont en faillites, l'état intervient, vous aurez toujours vos retraites mais vous paierez beaucoup plus d'impôts, des aides seront supprimées, des services seront supprimés (par exemple fermeture des écoles publiques, des hôpitaux publics etc...), au final vous serez pas mieux gagnant même avec votre retraite... Comme je vous l'ai déjà dit, si jamais je n'ai pas de retraites, c'est pas grave ma retraite est déjà faite :)), je peux vivre tranquille sans ! Mais je vous rassure, je suis à mon avis plus sûre d'en avoir une que vous, la Suisse est un pays solide, le système de retraite est beaucoup plus costaud que le système de retraite en France qui s'écroule. Et puis si j'ai pas de second pilier, ce que je doute fortement, j'aurais toujours le premier pilier qui est justement un système de retraite par répartition :))) Tout roule donc ! Merci de vous inquiétez quand même. :)
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Vous comprenez pas grand chose à la retraite par capitalisation et surtout au système Suisse. Si je reçois un bilan chaque année, cela veut dire que ça tient compte de l'inflation et de la déflation monétaire ainsi que de mon salaire qui augmente d'après le coût de la vie. Depuis 10 ans que je suis en Suisse, mon capital retraite a déjà augmenté. C'est évident que si j'ai ma retraite dans 30 ans, 250 000 francs à l'heure actuelle ça ne sera pas équivalent à 250 000 francs dans 40 ans, c'est bien pour ceci que j'ai un récapitulatif chaque année. Dans 30 ans, ma retraite sera peut être de 400 000 francs, mais 400 000 francs vaudra 250 000 francs à l'heure actuelle. Ce qui peut faire changer ma retraite, c'est la conjoncture économique de la Suisse mais aussi de l'europe à cause du taux de change. Si la Suisse poursuit dans une croissance, ma retraite risque d'augmenter, si la Suisse connait des problèmes économiques, ma retraite diminuera. Ensuite étant donné que je dépends du taux de change, si l'Europe croit plus rapidement que la Suisse, il se pourrait que ma retraite soit moins grosse et inversement si le contraire. Non car les caisses de retraites françaises par exemple sont quasiment vides. Dans 10 ans, comme le montre ma source, il risque d'y avoir une faillite, au final vous allez perdre de l'argent et vous serez sans doute obligé de prendre une retraite par capitalisation. Je pense pas avoir dit le contraire, relisez-moi. Par contre là ou je ne suis pas d'accord, c'est que le système par répartition n'est pas non plus garantit, en cas de faillite des caisses de retraite, vous allez pas tout perdre mais perdre quand même une partie, à moins que la France prenne un budget autre pour le remettre aux caisses de retraite, mais ça ne change pas le problème, vous aurez dans ce cas là toujours votre retraite mais vous paierez par exemple plus d'impôts, ou certaines aides seront diminuées... Vous pensez sérieusement que les américains qui ont une bonne partie de leur retraite par capitalisation ou les suisses placent leur retraite tout au même endroit pendant 40 ou 50 ans sans réfléchir et à ce que ce soit bloqué ? Comme je l'ai expliqué la Suisse par exemple place cet argent dans différents secteurs dont des secteurs très sécurisés comme les emprunts d'états. Les Suisses qui ont un second pilier depuis 50-60 ans ne se sont jamais retrouvés ruinés. Ca se saurait.
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1% de la population mondiale gagne plus de 2500 € net par mois.... Rien de choquant et rien d'extra-ordinaire. Les gros riches dont vous parlez constamment qui gagnent plus d'un million par mois ne représentent que 0,01 % de la population mondiale.... Le salaire dont vous aimez discuter ne veut rien dire. Avec 2500 € par mois dans une ville comme Paris on vit sans plus. Avec 1000€ par mois au Malawi, on vit bien.
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C'est vous Arlette ? :smile2: Entre 1,33% et 5,72% des suffrages... Beaucoup de blagues aucun programme !
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Comment détourner une question pour ne pas y répondre ? En passant de bourreau à victime... :blush:
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Pour vous travailler est une insulte ? Ca en dit long sur votre parcours professionnel et vos choix politiques. :blush:
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Vous avez raison, car quand vous dites que la Hongrie était mieux sous le régime communiste, que vous dites que le développement humain était meilleur sous le régime communiste, sans donner aucune preuve, je doute que vous soyez en compétence d'argumenter. Bonne continuation Monsieur Georges Marchais.
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Et vous vous travaillez seulement ?
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Moi je parlais de la situation de la Hongrie d'avant et d'après sa conversion au capitalisme. Et bien j'attends ces informations ?
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Un patron qui a deux choix : - Faire gagner plusieurs millions à son entreprise en délocalisant. ou : - Continuer à faire de légers bénéfices en gardant ses employés. C'est évident qu'il va choisir la première solution et je ferais très certainement pareil. Si un patron fait vivre son entreprise juste pour ne pas licencier ses employés, pour moi c'est pas un bon patron. Un bon patron c'est celui qui fait vivre son entreprise quitte à la restructurer, c'est pas celui qui attend la mort de son entreprise juste pour faire plaisir à ses salariés. Si il ne fait rien, de toute manière son entreprise périra un jour ou l'autre. Combien d'industries se sont effondrées au cours des 30 dernières années ? Celles qui ont survécu avaient soient les moyens de le faire soit elles ont délocalisé. Je connais de nombreuses entreprises qui pourtant étaient réputées et qui se sont cassés la figure. Donc quitte à faire, autant délocalisé. De plus beaucoup de sociétés françaises ont tellement de charges qu'elles ne peuvent pas concurrencer les autres sociétés étrangères plus compétitives, tôt au tard elles se feront engloutir si la politique ne change pas. On a eut le cas de Peugeot qui a tout fait pour garder ses entreprises françaises et qui a tout de même dû vendre une bonne partie de son capital à des chinois. Les dernières entreprises de Peugeot se sont crées sur le sol Chinois, pas sur le sol français.
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Et bien alors si vous avez l'indice de développement humain en Hongrie durant le communisme et après, je veux bien le voir car je n'ai pas trouvé ces informations sur le net.
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Voilà, vous êtes incapable de donner un chiffre. Et le pire c'est que vous venez critiquez les gens qui gagnent plus de 2500 € par mois et qui font partie des 1 % les plus riches au monde... Sachant qu'à Paris avec 2500 € par mois, on vit sans plus... Donnez moi l'indicateur de développement humain en Hongrie et en Autriche pour que l'on puisse comparer ? Merci.
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Le thème c'est 1% de la population mondiale, c'est pas 1% de la population française. C'est vous qui êtes hors sujet, on parle pas de la classe moyenne française. En plus quand vous dites que la classe moyenne c'est 2800 € net pour une personne seule, votre premier lien confirme bien le contraire, puisque selon ce lien on est aisé à partir de 2177 € et riche à partir de 2917 €. Donc vous êtes totalement à côté de la réalité, la classe moyenne en France c'est entre 1183€ et 2177€ , d'ou une moyenne de 1680€. :) La classe moyenne mondiale est bien inférieure !!!! Vous vous répétez comme un perroquet. Mais vous avez toujours pas répondu à ma question c'est quoi un salaire correct pour vous ? Vous prendrez la deux chevaux c'est évident ! Merci !
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Un ancien garde d'un camp de Corée du Nord a raconté une terrible histoire lors d'un voyage à Genève. Des chiens auraient mangé des enfants qui revenaient de l'école. Un acte pour lequel on les aurait même récompensés. "Il y avait trois chiens et ils ont tué cinq enfants". Ahn Myong-Chol, garde pendant huit ans dans les camps de prisonniers de Corée du Nord a livré un témoignage bouleversant lors d'une intervention à Genève, dans une conférence des défenseurs des droits de l'homme. "Echappant à leurs maîtres, les chiens se sont jetés sur des enfants qui revenaient de l'école du camp. Ils en ont tué immédiatement trois, les deux autres respiraient à peine et ont été enterrés vivants par les gardes", a-t-il dit à l'AFP via un interprète. Le lendemain, au lieu de liquider les chiens, les gardes les ont cajolés et "récompensés avec de la nourriture spéciale", ajoute Ahn avec un signe de dégoût. Les gens sont "comme des mouches qu'on peut écraser" Ahn, réfugié en Corée du sud, est un des témoins auditionnés par la Commission d'enquête de l'ONU qui a dénoncé dans ce rapport diffusé la semaine dernière des "crimes contre l'humanité" et a appelé la communauté internationale à réagir. La Commission estime notamment que "des centaines de milliers de prisonniers politiques ont péri dans des camps pendant les 50 dernières années", "graduellement éliminés par des famines délibérées, le travail forcé, les exécutions, la torture, les viols". "Les gens dans les camps ne sont pas traités comme des humains ... ils sont comme des mouches que l'on peut écraser", affirme Ahn, qui a fui la Corée du nord en 1994. Il a servi dans quatre de ces camps du goulag nord-coréen, dans ce qui est nommé les "zones de contrôle total". Les prisonniers y travaillent de 16 à 18 heures par jour, dorment 4 à 5 heures, et reçoivent trois fois 100 grammes de bouillie pour peu qu'ils atteignent les objectifs de travail. Ahn s'est enfui et vit en Corée du Sud "Nous avions le droit de les tuer et si nous ramenions le corps, nous pouvions être récompensés par l'envoi à l'université", explique-t-il, affirmant que certains gardes faisaient exprès de faire sortir des prisonniers du camp pour les tuer et obtenir cette récompense. Ahn, qui admet avoir participé aux violences mais pense n'avoir jamais tué, a été promu chauffeur, ce qui lui permet de voir de nombreux prisonniers et il découvre que certains étaient là depuis l'âge de 2 ou 4 ans, que d'autres étaient nés dans les camps. "90% d'entre eux ne savaient pas pourquoi ils étaient là." Craignant pour son sort, Ahn profite de son camion pour se rendre à la frontière chinoise et traverser à la nage la rivière Du Man. Installé en Corée du sud, il travaillera dans une banque avant de choisir il y a trois ans de rejoindre l'ONG "Libérez le goulag nord-coréen". http://www.bfmtv.com/international/enfants-enterres-vivants-raconte-camps-coree-nord-721694.html La Corée du Nord est l'un des pays dans lesquels les droits de l'homme sont les plus bafoués, bien que les dirigeants de ce pays le contestent fermement. La Corée du Nord a signé plusieurs traités l'engageant à respecter les droits de l'homme et plusieurs articles de sa constitution défendent plusieurs libertés fondamentales1. Mais en raison de l'isolationnisme important du pays, il est très difficile de vérifier leur respect. Des gouvernements étrangers et des ONG comme Amnesty International accusent la Corée du Nord de ne pas respecter certaines libertés fondamentales (comme la liberté d'expression, d'association, de religion ou encore de circulation) et « exhorte le gouvernement de Corée du Nord à prendre sans plus attendre des mesures en vue d’améliorer le respect des droits humains dans le pays »2. Le travail forcé serait très fréquent dans « un grand nombre de camps de détention »3. Le nombre de travailleurs forcés condamnés pour motifs politiques est estimé entre 150 000 et 200 000. http://fr.wikipedia.org/wiki/Droits_de_l%27homme_en_Cor%C3%A9e_du_Nord C'est quoi votre avis sur le bagne déjà plus ? Sinon Louise : Toujours aucune réponse à ma question : Qu'est ce qu'un salaire correcte pour vous ? On dirait que vous savez pas quoi répondre... :blush:
