Je suis...

"Ay le moustique, sache qu'elle est forte, c'est pour ça qu'elle aboie sur l'éléphant". Fable. "L'éléphant et l'élan". Écrit par I.A. Krylov. France 24 France : Paris : Informations La télévision française. "France 24 est un réseau de chaînes de télévision internationales publiques françaises. Elle fait partie du radiodiffuseur public France Media Monde. Euronews France : Paris : Informations Les dernières nouvelles internationales d'Europe, la couverture en direct des grands événements. Vos maigres connaissances en histoire, géographie et autres sciences sont connues. Votre rêve de construire une Fédération européenne "entourée de pays impérialistes" est également connu. Pouvez-vous me dire quel est l'ordre social actuel en Europe ? Était-elle primitive, communautaire, esclavagiste, féodale ?

L'image est certainement meilleure pour vous. Les rayures sur la carte ne réfutent pas votre mensonge sur les deux régions russophones de la Géorgie. Mais les données de Wikipedia réfutent complètement votre mensonge. Abkhazie. En 1992, l'Abkhazie a fait sécession de la Géorgie. Recensement de 2003. Population totale : 215 275 personnes. Abkhazes : 94 606 (43,947%) Géorgiens : 45 953 (21,346%) Arméniens 44870 (20,843%) Russes : 23 420 (10,879%) Grecs : 1486 (0,690 %) Estoniens : 300 (0,139%) 12 60% des citoyens d'Abkhazie se déclarent chrétiens orthodoxes et 16% musulmans sunnites, 8% ont des difficultés à répondre, les 16% restants sont indifférents ou athées. Recensement 2011 Population : 240 705 habitants. Abkhazes : 122069 (50,7%) Géorgiens : 46 367 (19,2%) Arméniens 41864 (17,4%) Russes : 22077 (9,1%) Grecs : 1380 (0,6%) https://fr.wikipedia.org/wiki/Abkhazie#Démographie L'Ossétie du Sud a fait sécession de la Géorgie en 1992 et s'est proclamée république indépendante. Avant le conflit géorgiano-ossète, la population de l'Ossétie du Sud était composée d'environ deux tiers d'Ossètes et 25-30 % de Géorgiens. La composition actuelle de la population est inconnue, certaines estimations parlent de 45 000 Ossètes et de 17 500 Géorgiens en Ossétie du Sud en 200723. En août 2008, plus de 70 % des citoyens de l'Ossétie du Sud avaient la citoyenneté russe. 54,5 % de ces 70 % ont la double citoyenneté (géorgienne et russe), du fait des circonstances prises en compte par les ambassades. https://fr.wikipedia.org/wiki/Ossétie_du_Sud-Alanie

Oh, je suis désolé, j'avais tort. Vous aimez l'Amérique. Esquiver les réponses de fond et les griefs inventés est l'argument de ceux qui n'ont pas d'argument. Quelles sont donc les deux provinces russophones qui se sont rebellées en Géorgie ? C'est étonnant. C'est impossible. L'Allemagne, la France, la Belgique et le reste de l'UE construisent-ils le socialisme entourés d'impérialistes ? Sous la direction des États-Unis ?

Vous avez écrit une fois que vous n'aimiez pas les États-Unis. Probablement que l'UE et vous avez décidé de lécher le cul des Américains jusqu'au sang. Et le fait que l'UE ait voté à l'unanimité en faveur de la bonne réponse pour les Américains entre dans le cadre d'un comportement de laquais. Je serais très surpris que quelqu'un s'y oppose. L'UE est unie sous le talon des États-Unis et tout le monde est prêt à lécher plutôt qu'à aboyer.

Comme vous pouvez le constater dans l'extrait de mon post que vous avez cité, c'est ce dont je parlais. En tant que "très grand expert" de la Géorgie, pourriez-vous me dire où se trouvent ces deux provinces russophones rebelles en Géorgie ? Quelle chose à dire ! "En 1999, un accord bilatéral de partenariat et de coopération est conclu. En 2006, un plan d'action de politique européenne de voisinage est défini." Et en 2008 a été le déclencheur de la rébellion". Qui s'est révolté ? Peut-être. Mais vos liens vers la Wikipédia française ne disent rien à ce sujet. N'était-ce pas la raison du soulèvement des gladiateurs à Rome, mené par Spartacus ? Je pensais que vous ne connaissiez pas grand-chose à l'histoire en général et à l'histoire moderne en particulier. J'avais tort. Vous ne le savez pas du tout. Il y a d'abord eu un coup d'État à Kiev. Les États-Unis y ont consacré 5 milliards de dollars. Ils ont porté les nazis au pouvoir à la fin du mois de février 2014. Et puis, en avril 2014, Turchinov a déclenché une guerre dans le sud-est de l'Ukraine contre Luhansk et Donetsk, qui ne reconnaissaient pas l'autorité des nazis ukrainiens.

Quelle paresse pour les apologistes américains ! Ou l'argent leur a-t-il fermé les yeux et la conscience ? Après tout, il y a l'internet. Il existe des documents de la Commission européenne qui enquêtent sur le début de la guerre à Tskhinvali. À l'instigation du ministre allemand des Affaires étrangères, Frank-Walter Steinmeier, l'UE a mis en place une commission internationale indépendante chargée de faire rapport, avant le 1er août, sur les causes et le déroulement du conflit qui a opposé la Russie et la Géorgie en août 2008. La commission est dirigée par Heidi Tagliavini, une éminente diplomate suisse qui connaît bien les affaires caucasiennes et qui a travaillé pour la mission de l'OSCE en Tchétchénie et la mission des Nations unies en Géorgie. La Commission Tagliavini traite la situation sur la base des exigences et des normes du droit international, du droit international humanitaire et des droits de l'homme. Extraits du rapport : 3) Le bombardement de Tskhinvali par les forces armées géorgiennes dans la nuit du 7 au 8 août 2008 a marqué le début d'un conflit armé de grande ampleur en Géorgie...". "19.) La question se pose de savoir si le recours à la force par la Géorgie en Ossétie du Sud, à commencer par les tirs sur Tskhinvali dans la nuit du 7 au 8 août 2008, était justifié au regard du droit international. Ce n'était pas le cas. La Géorgie a reconnu que l'interdiction du recours à la force s'applique à son conflit en Ossétie du Sud dans des documents internationaux spécifiques juridiquement contraignants, tels que l'accord de Sochi de 1992 ou le mémorandum de 1996 sur les mesures de sécurité et de confiance entre les parties au conflit entre la Géorgie et l'Ossétie du Sud. Même en supposant que la Géorgie ait repoussé une attaque, par exemple en réponse à des attaques menées par des Ossètes du Sud contre des colonies géorgiennes dans la région, en vertu du droit international, sa réponse armée doit être nécessaire et proportionnée. On ne peut admettre que le fait de tirer des systèmes de roquettes à lanceur multiple (MLRS) GRAD et de l'artillerie lourde sur Tskhinvali pendant une bonne partie de la nuit répondrait aux exigences de nécessité et de proportionnalité pour défendre ces villages". Il découle du caractère illégal de l'attaque militaire géorgienne que la réponse défensive de l'Ossétie du Sud était conforme au droit international en termes de légitime défense."

Blâmer Poutine pour la crise en Ukraine occulte le rôle de l'Occident lui-même. C'est une simple vision manichéenne de la géopolitique. Et elle occulte délibérément le rôle de l'Occident dans l'exacerbation des tensions en Europe de l'Est. Après tout, la Russie n'est pas le principal acteur ici et certainement pas un agent du chaos. Ce qui se passe en Ukraine et dans les environs est plutôt le résultat d'une crainte de longue date de la part de la Russie de s'étendre à l'Ouest. S'il y a une force subversive et déstabilisatrice ici, ce n'est pas le Kremlin, mais l'OTAN. Du point de vue de la Russie, l'OTAN est à l'œuvre ici depuis longtemps. Depuis le milieu des années 1990, l'OTAN s'étend résolument vers l'est, corrodant ainsi la sphère d'influence de la Russie. En 1997, la Hongrie, la Pologne et la République tchèque l'ont rejoint. Les anciens satellites soviétiques que sont la Lituanie, la Lettonie et l'Estonie ont été admis en 2004. La Croatie et l'Albanie ont adhéré en 2009. Et, point crucial, lors du sommet de l'OTAN à Bucarest en avril 2008, l'OTAN a convenu que la Géorgie et l'Ukraine "deviendraient membres", bien qu'aucun plan concret n'ait été défini quant à la manière et au moment où cela se produirait. Cette promesse d'inclure la Géorgie et surtout l'Ukraine dans l'OTAN a toujours été considérée comme une menace pour la Russie. Comment pourrait-il en être autrement ? Les puissances occidentales, qui n'hésitent jamais à dénoncer la menace rouge, auraient en effet étendu leur sphère d'influence jusqu'aux frontières de la Russie. Ainsi, comme nous l'avons vu avec l'annexion de la Crimée en 2014, l'un des principaux objectifs géopolitiques de la Russie était de contrer l'expansion de l'OTAN. C'est ce qui motive les actions actuelles de la Russie envers l'Ukraine. Pas un désir de faire revivre l'ours russe ou de construire un nouvel empire. Mais un désir de se protéger et, dans le cas du Donbass ukrainien, de protéger les Russes ethniques vivant en Ukraine. Les craintes des Russes n'ont rien d'irrationnel. Pour commencer, ces dernières années, la Russie a vu l'OTAN renforcer son propre dispositif militaire en Europe de l'Est, en déployant des groupements tactiques multinationaux dans les États baltes, en envoyant des navires de guerre en mer Noire, en déployant des armes et en participant à des exercices militaires à grande échelle en Pologne. En outre, l'OTAN n'a cessé de réitérer son intention de faire de l'Ukraine un membre de l'OTAN. Pas plus tard qu'en octobre, le secrétaire américain à la défense, Lloyd Austin, a déclaré lors d'une visite en Europe que l'Ukraine et la Géorgie avaient une " porte ouverte sur l'OTAN ". C'est une provocation envers la Russie. La menace. La Russie réagit aux manœuvres politiques et militaires de l'Occident à sa frontière. Elle est défensive, pas offensive. Il y a donc tout lieu de penser que le ministère russe des affaires étrangères était parfaitement sincère lorsqu'il a demandé à l'OTAN de "désavouer officiellement la décision prise lors du sommet de Bucarest en 2008 selon laquelle" l'Ukraine et la Géorgie deviendraient membres de l'OTAN "pour résoudre la crise actuelle". Pour résoudre le conflit en Ukraine et dans les environs, l'Occident doit d'abord reconnaître son rôle dans la crise. Et peut-être pourra-t-elle alors comprendre la Russie plutôt que de la diaboliser. https://www.spiked-online.com/2021/12/15/russia-is-not-the-aggressor-here/

Si vous comprenez, alors vous souffrez toujours ? Une autre série de mensonges, sans faits ni preuves.

Encore une fois, juste une diarrhée verbale et, comme toujours, rien de concret. Buvez du Smecta, ça aide.

Avez-vous une mauvaise mémoire ou travaillez-vous selon la méthode de Joseph Goebbels : "Un mensonge répété mille fois devient la vérité" ? Il y a quelques posts, je vous ai déjà répondu à ce sujet. Je cite ma réponse spécialement pour vous. Depuis 5-6 ans, je n'ai pas vu un seul fait crédible pour étayer votre diarrhée verbale. Et tous les mensonges sont écrits en grosses lettres. Les menteurs pensent que cela aidera à convaincre les personnes naïves.

Et de 1991 à 2014, les États-Unis n'ont pas organisé de coup d'État en faveur des nazis ukrainiens, les nazis ukrainiens n'ont pas assassiné de citoyens russophones d'Ukraine, n'ont pas interdit l'enseignement et la communication en russe, n'ont pas érigé de monuments aux collaborateurs nazis allemands, etc.

Les États-Unis préparent l'Ukraine comme un sacrifice pour "contenir" la Russie 13:23 / 26.11.2021Colonel MossadComplain8551 Les allégations d'une invasion imminente de l'Ukraine par la Russie se succèdent depuis un mois à un rythme soutenu. Dans un premier temps, ces déclarations n'émanaient que des États-Unis et ont été démenties en Ukraine même, mais Kiev est ensuite passé sous le radar et a commencé à parler d'une invasion militaire. La main du marionnettiste dans cette histoire est évidente et le scénario d'une guerre totale dans l'est de l'Ukraine est réel, car les États-Unis ont besoin d'entraîner la Russie dans un nouveau conflit international majeur afin de compenser leur propre affaiblissement. Le fait que l'Ukraine sera détruite par ce conflit n'a aucune importance pour les Américains. Le président américain Joseph Biden s'est rendu à l'hôpital il y a une semaine et a cédé temporairement ses pouvoirs à la vice-présidente Kamala Harris. À cette époque, la cote de popularité de Biden était tombée à 36 %. Il s'agit de la plus forte baisse de popularité d'un président américain nouvellement élu depuis la Seconde Guerre mondiale. La déception suscitée par le président élu il y a un an est due à des raisons tant économiques que politiques. Le pays de l'économie de marché de référence est confronté à un déficit soviétique classique : les États-Unis connaissent des ruptures d'approvisionnement et une hausse des prix, et 62 % des Américains en rendent Biden responsable. Dans la vie politique américaine, l'acquittement de Karl Rittenhouse, 18 ans, qui a tiré et tué deux émeutiers noirs l'été dernier au plus fort du mouvement Black Lives Matter, a eu un effet de bombe. La nouvelle de l'acquittement a déclenché une nouvelle vague de protestations aux États-Unis. À cela s'ajoute la mémorable et honteuse fuite des Américains d'Afghanistan. Enfin, la crise de légitimité, lorsque la moitié de l'Amérique a considéré que l'élection du président Joe Biden était une fraude, n'est pas terminée. C'est dans ce contexte qu'il faut considérer les incantations hypnotisantes des grands médias américains et des hauts fonctionnaires de Washington selon lesquelles la Russie prépare une invasion de l'Ukraine. Le sujet, qui est désormais l'un des plus discutés de l'agenda international, ne vient pas de Kiev, mais d'au-delà de l'océan. Depuis le mois d'octobre, les médias américains sont inondés d'articles sur "l'amassement de troupes russes à la frontière de l'Ukraine". Le plus intéressant est que, dans un premier temps, les autorités ukrainiennes ont balayé ces publications d'un revers de main et les ont même niées. Ensuite, les responsables de Washington ont déjà déclaré haut et fort : l'Ukraine est préparée à une attaque ! Le porte-parole du Pentagone a envoyé un signal à Kiev : les États-Unis observent "une augmentation inhabituelle de l'activité militaire russe près de l'Ukraine". Kiev a également " joué les idiots " : il a osé démentir le Pentagone. Le secrétaire du Conseil national de sécurité et de défense (CNDS), l'attaché de presse du président Zelensky, l'état-major ukrainien - tous ont répété l'un après l'autre qu'il n'y avait aucune concentration de troupes russes près des frontières de l'Ukraine. Les Russes procèdent à des exercices planifiés, tandis que les médias américains (et le Pentagone ?) se livrent à une désinformation et à une pression informationnelle et psychologique. KIEV, 12 novembre. Le secrétaire du Conseil national de sécurité et de défense de l'Ukraine (NSDC), Oleksiy Danilov, a déclaré dans une interview accordée à LIGA vendredi que les autorités du pays ne disposent d'aucune donnée sur la concentration de troupes russes près de ses frontières. Le président ukrainien Vladimir Zelensky a répondu à la question de savoir s'il y aurait une guerre avec la Russie, a rapporté la chaîne Telegram Vesti.ua. "Il me semble que nous sommes en guerre depuis huit ans. Pour ce qui est de la grande échelle, je crois qu'aujourd'hui certains médias sont alarmistes à ce sujet. Nous contrôlons pleinement nos frontières et nous sommes parfaitement préparés à la situation", a déclaré M. Zelenskyy. Les mots concernant l'information et la pression psychologique sont essentiels. Les "têtes parlantes" à Kiev ont indirectement confirmé que les États-Unis créent un mythe d'escalade à la frontière russo-ukrainienne et font pression sur l'Ukraine pour qu'elle accepte ce mythe et fasse de l'escalade dans le Donbas une réalité. Bien entendu, un pays qui a abandonné sa souveraineté et est tombé sous le contrôle de l'extérieur ne peut résister longtemps à une telle pression. Selon toutes les indications, le 20 novembre, Washington a juré entre ses dents, appelé Kiev et expliqué à ses pupilles sous-développées ce qu'elles auraient dû compter sur les signaux publics il y a un mois. Les États-Unis ont besoin d'une escalade de la tension à la frontière de la Russie, et l'Ukraine ne pourra pas se soustraire à ses responsabilités à cet égard. Les yeux de Kiev ont alors été magiquement ouverts sur la "menace militaire" près de la frontière orientale. La désinformation des médias américains (et du Pentagone) est immédiatement devenue la vérité en dernier ressort. L'inévitabilité d'une invasion russe en Ukraine est désormais une question de foi. Seul un "zradnik", un "agent du Kremlin", pourrait nier sa préparation. Les prévisions concernant le moment où la Russie attaquera l'Ukraine se multiplient comme des champignons après la pluie. Aux premières gelées, en janvier-février, au Noël catholique, au Noël orthodoxe. Les responsables du ministère ukrainien des Affaires étrangères, du SBU et des services de renseignement militaire craignent une invasion. Cela s'appelle une prophétie auto-réalisatrice. C'est-à-dire une prévision qui détermine l'évolution des événements, car le prévisionniste fait tout ce qui est en son pouvoir pour qu'elle se réalise.

Vous avez, comme toujours, un peu tort. Le discours de Maduro auquel j'ai fait référence a été prononcé le 4 janvier. Et vous citez : "Covid-19 : première livraison de vaccin Covax au Venezuela Écrit par Le Figaro avec AFP Publié le 07.09.2021, 23:31 "Le Venezuela a reçu mardi sa première livraison de vaccins Covid-19 par le biais du mécanisme international Covax, après des mois de controverse et une guerre de déclarations. Quelque 700 000 doses du vaccin chinois Sinovac ont été livrées à Caracas, mettant de côté des mois de différends concernant les retards de paiement et de livraison dans un contexte de sanctions financières internationales." Selon vous, "les retards de livraison des satellites ne sont pas dus à un problème financier", alors que votre source indique exactement le contraire.

Pendant six ans, vous avez maintenu le Venezuela au bord de l'abîme, maintenant vous l'avez mis en enfer. Ils doivent vous payer grassement pour ça, hein ? Vous décrivez de façon si émouvante la misère des pauvres citoyens du Venezuela, en rejetant tous leurs malheurs sur Maduro, mais vous passez sous silence les véritables responsables de cette misère. Ce sont vos maîtres qui ont "gelé" les fonds du Venezuela dans leurs banques et ne les distribuent même pas pour acheter le vaccin Covid. Les autorités vénézuéliennes ont demandé aux États-Unis, au Royaume-Uni et aux pays de l'UE de dégeler les fonds publics de la république pour acheter le vaccin contre le coronavirus, mais elles ont essuyé un refus. "Nous avons exigé qu'on nous donne l'argent pour acheter le vaccin par l'intermédiaire de l'Organisation mondiale de la santé. Ils ont refusé", a déclaré M. Maduro lors d'un discours diffusé sur la chaîne de télévision Venezolana. Selon M. Maduro, les fonds dont la République avait besoin pour acheter le vaccin "ont été gelés et volés en Angleterre, au Portugal, en Espagne et aux États-Unis".

En dehors de ha ha, des noms d'adversaires ? Pas les voleurs qui ne reçoivent pas d'argent des États-Unis et de leurs laquais, etc.

Quels opposants en Russie ont été tués, battus ou emprisonnés ?

Bonjour, chanou ! Je ne fais pas beaucoup de progrès en français. Ça doit être le traducteur qui s'améliore. La Russie a sauvé la Syrie du sort de la Libye et pour cela, la Syrie a permis que 2 ou 3 bases soient louées à la Russie. Les États-Unis ont envahi le pays sans décision de l'ONU, sans le consentement du gouvernement syrien. Et avoir jusqu'à 15 bases là-bas. Pour quoi ? L'agence de presse turque Anadolu a dévoilé l'emplacement de dix sites des forces spéciales américaines et françaises en Syrie. Le Pentagone dénonce des "risques inutiles" pour les forces de la coalition. https://www.france24.com/fr/20170720-anadolu-turquie-ankara-localisation-troupes-americaines-francaises-coalition-syrie http://cont.ws/uploads/pic/2017/7/56789.jpg Et ce, uniquement dans le nord-est de la Syrie, dans les zones pétrolifères. "La démocratie." Pourquoi les États-Unis développent-ils leur arsenal militaire dans des régions riches en pétrole, dans des pays si éloignés des États-Unis ? Et vous aimeriez que la Russie soit dirigée par l'alcoolique Eltsine et que les citoyens russes fouillent dans les décharges à la recherche de nourriture. Merci, nous avons vu assez de cette "démocratie" et nous n'en avons pas besoin.

Vous aussi, vous avez une mémoire sélective. Pouvez-vous me dire qui a demandé aux États-Unis et à ses laquais d'envahir la Syrie ? Peut-être que c'était une décision de l'ONU ? Non. Le gouvernement syrien a-t-il demandé ? Non. Vous souvenez-vous de ce qu'est devenue Raqqa après que les États-Unis et leurs laquais l'aient bombardée ? Non ? Je vous le rappelle. Des milliers de Syriens sont morts dans leur ville en ruines. Comment les soldats américains, britanniques et français osent-ils parler de "frappes chirurgicales" ? Écrit par Kate Allen, Directrice d’Amnesty International Royaume-Uni Au Kosovo, en Irak et en Syrie, les États-Unis et leurs alliés ont tenté pendant des années de faire croire à des "bombardements ciblés" et à des "frappes chirurgicales". C'était un mensonge dans le passé, et c'est toujours un mensonge aujourd'hui. Lorsqu'un grand nombre de bombes et de missiles sont utilisés contre des villes densément peuplées comme Mossoul ou Raqqa, des centaines, voire des milliers de civils sont tués. j’ai fait ce que les armées américaine, britannique et française refusent de faire : je suis allée à Raqqa pour voir de mes yeux ce qui est arrivé à cette ville à cause des bombardements massifs menés par la coalition dirigée par les États-Unis entre juin et octobre 2017. C’était la première fois que je voyais une ville dans un tel état de destruction. Ce qui était détruit, ce n’était pas uniquement un quartier, mais presque toute la ville. Rappelez-vous Dresde pour vous faire une idée de ce que j’ai vu. Rue après rue, ce ne sont qu’immeubles évidés et sans fenêtres. Des kilomètres de décombres. Des tas de métal tordu. Rien que des ruines. https://www.amnesty.fr/conflits-armes-et-populations/actualites/raqqa-en-ruines-telle-une-version-moderne-de-dresde

Bien sûr que oui. Pas vous personnellement et pas les gens ordinaires d'Italie, de France. Mais vos dirigeants ne feront rien pour les sauver. Sauf les discussions, les condoléances, etc.

Après avoir lu les messages, il y a une certaine ambivalence. D'une part, il n'y a pas eu de fuite aussi précipitée de l'armée américaine, pas même au Vietnam. En Afghanistan, l'armée américaine a abandonné tous les équipements et les armes que les talibans ont obtenus. D'autre part, Joe Biden a déclaré que l'armée américaine avait pleinement accompli sa mission. Se pourrait-il que la mission de l'armée américaine ait été d'amener les Talibans au pouvoir ?

Je ne fume pas du tout. Je ne suis pas un financier, et j'ai pris les données d'ici : https://ru.wikipedia.org/wiki/Список_стран_по_ВВП_(ППС) https://fr.xcv.wiki/wiki/List_of_countries_by_GDP_(PPP) Ce sont les données des années passées. Aucune projection pour 2021.

Merci pour le coup de main. Si j'étais né et élevé en France, je connaîtrais toutes les subtilités de la langue française. Quant à Gorbatchev, il est aimé par beaucoup en Occident et par très peu de personnes qui vivaient et vivaient sur le territoire de l'EX-URSS.

Êtes-vous offensé et inquiet pour Gorbatchev?

Le sens de " bâtard " dans le Wiktionnaire : 1. Animal non consanguin, familier, dépréciatif, sans race ; un croisement. 2. Personne insignifiante, sans valeur. 3. enfant illégitime. Choisissez le point n° 2.

Vous trouverez ci-dessous le PIB (PPA) tel que calculé par la Banque mondiale et le Fonds monétaire international (en milliards de dollars internationaux). Part mondiale en % pour 2020. Russie - 3,11. France - 2,28. Italie - 1,87.