Promethee_Hades

Bonjour Marla, très gros bisous Il a baisé la mère de la fille qui s'est refusé à lui, n'ayant pas la femme il saute la mère. Imagine que je sois Stendhal, je te veux par ce que tu me fais bander comme un cerf, quoique je me demande qui donc ne banderai pas face à toi ? À oui un eunuque et encore, bon toi tu me vois, tu m'entends te dire mes grosses conneries, et tu me dis de passer mon chemin, de me casser. Bon bien je vois ta brave et charmante mère et qu'à défaut de toi elle fera parfaitement l'affaire et que je la nique.

Bien comme Stendhal avait contracté la vérole ou syphilis avec des femmes de petites vertue et qu'à l'époque on n'en guérissait pas malgré des traitement au mercure ou à l'arsenic, il fallut attendre la fin de la guerre et les antibiotique pour venir à bout du tréponème. D'ailleurs Nietzsche aussi avait contracté cette maladie il en est mort en hôpital psychiatrique au dernier stade. Lola faisant référence à Stendhal Bon là je file faire à manger et manger, ma femme à faim, et moi je vous dit pas j'ai l'estomac dans les talons

Bonjour Lola, bisous. Quand il a sauté sa mère il lui a pas refilé a vérole au moins ? Par ce que c'est super contagieux, et en plus on en meurt.

Bonjour Cassandre, bisous. Bien dis donc, tu m'offres le beau rôle. Bon bien comme c'est ton ressenti ton interprétation, je ne peux qu'apprécier.

Bonjour Swam, très grosse poigne de mains. C'est sans importance que j'ai compris, ce qui me marri, c'est que tu souffres inutilement, que tu gâche ta vie. Il n'est jamais trop tard pour quoi que ce soit tu le laisse envahir par la défaite, par le à quoi bon, par c'est inutile, en fait tu te suicide sentimentalement. Rien jamais n'est perdu la Mére de l'Amour c'est Vénus, c'est aussi une déesse guerrière elle provoque le conflit, pour la mériter faut se battre. Là tu dois te battre contre toi même par envers autrui. De toute façon faut triompher, rien n'est perdu tout est à gagner.

D'accord avec toi, enfin je le vois plus complexe que cela, tout ses propos outranciers, insultants envers la femmes, ne sont que le désespoir qu'il a de ne pas étancher sa soif d'amour. En provoquant cherchant des réactions, clame son désespoir en se cherchant en même temps lui même. Il veut un tout qu'il refuse de connaître, il est dans le paradoxe, dans sa propre souffrance si cramponne comme si c'était le moyen d'être grand fort, au dessus de la mêlée. Il se trompe complétement mais refuse de le voir.

Une très grande Dame, mais par ce lien il est bon de se souvenir de l'époque que beaucoup de jeunes ignore tout. http://avortement1es2tpe.blogspot.fr/2015_01_01_archive.html Mais là ou je la trouve la plus remarquable, que peu arrivent à faire c'est qu'elle a su passer au dessus de toute ses épreuves ces souffrances pour chercher à en faire le bien, elle a su transcender.

Bonjour Metal guru, poigne de mains. Non je ne m'imagine pas du tout Swam comme ça, c'est un gars qui cherche une transcendance dans l'amour, une sacralité, sa magie. Mais il ne s'offre aucun moyen pour y parvenir, même les rejettes.

Après bien il y a des amours des plus atypiques, ou zarbi , enfin à vous de juger.

Bonjour Tequila Moor, poigne de main. Bien il y a le choix entre ça Et ça

Pour l'Éléphant faut entendre les cris admiratifs des dames.

Bien un canasson, comme un âne d’ailleurs ou même un éléphant on la particularité que la longueur comme la grosseur de leur membre viril fait une cinquième patte, ça touche le sol.

Toujours avec cette histoire religieuse, bien je vous tire mon chapeau.

C'est simple cela s’appelle névrose d'échec, voici quelque lien sur le sujet https://fr.wikipedia.org/wiki/Névrose_d'échec http://www.vulgaris-medical.com/encyclopedie-medicale/nevrose-d-echec https://www.therapeutes.com/affections/nevroses/nevrose-d-echec http://psychoweb.fr/articles/psychologie-du-developpement/320-contexte-psychopathologique-de-l.html

Bonjour micro onde poigne de mains. Bien pas tout le monde, mais il y en a beaucoup qui s'y complaisent dans les galères, même à trois rangée de rameurs, les trirèmes.

J'en ai connu aussi, mais de deux genre, ceux qui avait une poisse mais n'y pouvaient rien de rien, puis ceux qui s'y complaisaient , la cherchant même histoire d'exister à travers cette poisse, de se faire plaindre, quand ils essayaient pas de vous emmener avec eux. Pour le premier cas , c'était un ami qui avait cinquante ans quand j'en avais 20, il prenait son destin à la rigolade. Comme j'étais un grand chanceux, que je portais chance à ceux qui me côtoyais, c'est ce que tous me disais tu es un porte bonheur. Quand il rédigeait ces lettres il me demandait d'être à coté de lui, et parait que ça marchait. Il n'avait que des petit boulots à la con , en pleine trente glorieuse. Un jour il est convoqué pour un emploi qu'il a postulé, mais le patron le reçoit le soir, à 17H il discute le patron l'embauche, il est content un bon salaire un bon travail, mais le patron lui dit je vous embauche vous commencez demain matin, maintenant je vais fermer. Le lendemain au matin il se pointe, vois les pompier, l'usine dans la nuit avait brûlé, elle était réduite en cendre.

Bonjour Petit pois, très gros bisous. Tout a fait raison , entièrement d'accord avec toi.

La vie est une expérience grandiose, celle de notre vie, nous n'en voudrions pas nous ne naîtrions pas, elle commence pour nous tous au moment de notre naissance en sortant du ventre de notre mère dans un cri.

Ou là, bien c'est par ce que certains dont moi même, à l'approche de la mort, on voit toute notre vie repasser dans tout les sens, on voit le pourquoi nous avons commis tel actes, même insignifiant, c'est une sorte de super ultra psychanalyse, dont nous sommes le propre thérapeute, comme nous n'avons plus rien à perdre ni a gagner, nous sommes intransigeant avec nous même, nous jugeant comme nous avons jugé autrui. C'est la vraie prise de notre conscience de tout nos actes. C'est ce que les croyances appelle le jugement dernier, mais le juge c'est nous même, pas du tout quelqu'un d'autre. Après comme avant on peut en dire des choses, du post mortem, mais c'est Hors Sujet, pour ce fil.

Bonjour Out of Paprika, bisous. Tout a fait Bonjour Quérida, gros bisous. C'est l'histoire aussi de Bernard de Palissy, qui s'est entêté alors que tout le monde le dissuadait, il était certain de retrouvé le secret de l'émail des romains, il a brûlé tout ses meubles au grand dam de son épouse, et il a réussi.Toute l'histoire est composé de certain qui s'opposent à tous tant pour la réussite, que pour la déchéance comme le montre si bien Quérida.

Chacun voit midi à sa porte, la mienne est de ne tenir pas compte de l’appréciation d'autrui, sauf de très rare personnes des amis qui sont là, pour que je perde pas les pédales. Je ne regarde pas chez eux, mais j'écoute leur appréciations, tout comme je peux lire les tiennes, j'en tiens compte aussi. Par contre je sais pas si j'ai réussi ma vie, in petto, je le saurai probablement à mon dernier souffle, mais je suis content de ma vie qui fut exceptionnelle, elle serait à refaire, je la referai, j'ai aucun regret.

C'est très loin d'être suffisant, on peut très bien ne ressentir aucune frustrations ( j'ai jamais vue le cas, la vie nous frustre toujours à un moment quelconque ) mais admettons que nous n'en connaissions aucune de frustration, c'est pas ce qui prouve que l'on réussisse sa vie. Pour les grand anciens c'était avoir accompli son destin,pour les modernes c'est avoir triompher dans son moi, sa personnalité.

Bonjour Pep psy, poigne de mains. C'est l'histoire du gamin qui s'approche du feu, c'est super beau, puis sa réchauffe bien, le feu c'est bon, puis il décide de mettre la main dedans et là ça brûle, ça fait mal ( enfin excepté ceux qui ne ressente aucune douleur physique ) Bien il a appris à connaître le feu, par une bonne comme une mauvaise expérience. Toute notre vie est ainsi, connaître.

Bonjour Swam, très grosse poigne de mains. Bonne ou mauvaise, bien c'est toujours en premier cas par apport à sois même, secondairement dans le milieu social, mais si on a une certaine force de caractère on tend vers le sur homme, ou la sur femme, bien on s'en cague complétement du milieu social, il n'a aucune importance ce n'est que des moutons qui vont aux abattoirs. La réussite de la vie, c'est un vaste débat, c'est vraiment à l'appréciation de chacun, comme de ses rêves, même ses cauchemars. J'imagine que l'on peut réussir sa vie qu'avec de mauvaises expériences, une fois la chose comprise, pourquoi aller vers une réussite ( c'est triompher sans gloire ), on change de registre. Puis bon la personne qui choisit la vie monastique, ou la vie d’ermite et qui s'y complaît dedans à réussi sa vie, tout comme le paysan, ou n'importe qu'elle activité. Après réussit on vraiment sa vie, c'est dans le relatif qu'il faille voir ça. Puis pour est ce que la vie est une réussite, bien la vie c'est toute la nature c'est aussi tout le cosmos, je suis trop con pour te répondre si c'est une réussite, franchement je n'en sait rien. Mais rien qu'au niveau de l'espèce humaine, je m'interroge sur ses buts.

Bonjour Malpetree, bisous. Tu prônes le pharmacos, à ce que je vois pour la réussite, pour la bonne expérience.