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Aux lectrices et lecteurs ,qui ont parcourus , mon blog , et mon dernier billet , l a Complice! je présente mes excuses , pour ce doublon , fausse manip! le retour en arrière s'avèrant complexe , un petit mot fera a n'en pas douter ! aussi bien l'affaire!! en vous remerciant , pour votre indulgence. Salutations amicales et ensoleillées du Roussillon !Ben
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Elle était là, invisible masquée par des nuages noirs, frangés de sa lumière diffuse, Signalant sa présence froide , et menaçante . La rue est sombre, seuls quelques lampadaires dispensent une chiche clarté . De vieilles façades décrépites, des volets aux couleurs de misères. La rouille des gonds, pleurent sur le murs, leurs longues larmes, couleurs de sang. Sur le trottoir humide, sale ; se découpe un rond de lumière ,que projete un ancien réverbère. Un chien sans pedigree ,ni maître , se soulage sans gène à son pied . Sous le regard réprobateur ,des poubelles alignées là comme à la parade . Certaines bâillantes sans vergognes donnant à voir leurs entrailles malodorantes , espérant , comme certains soirs . La visite nocturne de la faune nuisible ,et affamées , les locataires ,des égouts et sous-sols d’immeubles alentours. Le silence lui même, est ailleurs, dans une autre réalité . Sur les pavés disjoints et polis , s’affichent des éclaboussures de couleurs ,par saccades , issues d'une enseigne de bar sans âge, indiquant, ainsi le chemin , et un semblant d’existence. Un bruit étrange de succion, cadencé comme un métronome, se fait entendre . Quelqu’un marche sur le trottoir humide et encombré ,chaussé de baskets.sans doute . Entre deux nuages Elle apparait ,sa froide lumière , anime une longue et informe silhouette noire . La grosse clef de fer cliquete , faisant naviguer le pêne ,qui gémit et grince ,dans une serrure hors d’âge. Le demi vantail de la porte cochère ,craque sur ses gonds , le poids des ans. Un abat-jour de porcelaine , a la couleur indéfini, par la poussière accumulée, abrite une ampoule , ayant servie de vespasienne a des générations de mouches. Dans cette indicible clarté , apparaît une volée de marches ,en bois ,usées disjointes, menant aux étages . Un couloir étroit et bruyant, a la peinture écaillée par plaques, aux graffitis , plus ou moins ,obscènes et triviaux . Des portes en vis-à-vis, de couleurs foncées identiques marquées d’un chiffre ,peint au pochoir ,d’un blanc douteux . Dans cet espace , flotte quasi palpable un mélange d’odeurs tenaces . Soupe de légumes , fritures , d’urine ,tabacs froids, de sous-sols mal aérés, remugle du local aux poubelles , d’humanité en quelque sorte. La silhouette noire ne semble nullement incommodée par les odeurs, ni les bruits cacophoniques filtrants des portes et des cloisons. Trop attentive au grincement plaintif, que fait chaque marche sous son poids . Elle atteint le palier débouchant sur un autre couloir identique, à celui du rez-de -chaussée, mais moins bruyant. Elle sursaute , surprise par l’obscurité , la lumière palière vient de s’éteindre. Elle respire lentement pour contrer la montée d’adrénaline . De la poche son grand manteau , elle y plonge ,sa main droite gantée de cuir noir , pour en extraire un briquet, qu’elle allume. Camouflant la lueur trop vive.de la main gauche, pareillement équipée de cuir noir . L’ombre vérifie le numéro sur la porte ,éteint son lumignon laissant ses yeux s’accoutumer a la lumière ambiante . Avec une gestuelle parfaitement étudiée, Elle extirpe de sa bouche la clef mouillée de salive et l’introduit sans à-coups dans le verrou de sureté ,la porte s’ouvre sans un gémissement . Dans la petite chambre, l’air humide et froid, empeste le tabac blond et le parfum bon marché. Par la seule fenêtre dont le rideau de coton épais mal ajusté laisse , passer un rais de lune ,sa complice ! La silhouette s’immobilise , analysant les bruits extérieurs , d’un regard circulaire Elle fait l’inventaire minutieux de l’endroit. Le mobilier n’avait pas ruiné la propriétaire ; près de la fenêtre côté droit ,une table de camping sur laquelle subsiste les restes d’un précédent repas et deux chaises dépareillées, sur le dossier de l’une d’elle, des vêtements placés là sans ordre apparent, ceux d’une femme au vu d’un soutien-gorge déposé sur le siége et des collants blancs . A droite , perché sur quatre pieds métalliques un meuble de chevet,sur ce dernier un radio- réveil diffusant, un léger halo de lumière bleutée, un téléphone portable émét un signal de réception de sms de couleur verte , un verre d’eau quasi vide et un tube de somnifères. L’Ombre pousse un léger soupir de satisfaction devant cette découverte. Elle comprend pourquoi la jeune femme dans le lit devant Elle s’agite que modérément , sans drogue dans une telle ambiance sonore, s’endormir relève de l'exploit. Elle observe la jeune femme étendue sur le dos , recouverte d’un simple drap. Elle avait une tâche à accomplir. L’heure , n’ést pas à l’attendrissement pour l'Ombre ,elle a une réputation , àfaire valoir , c'est une professionelle. Plié en deux pratiquement Elle leve son bras droit , toujours ganté de noir durant une fraction de seconde , un long éclat métallique traversa le rayon lumineux que lui offre généreusement sa complice . Par deux fois le bras s’abat, éclaboussant de rouge le blanc du drap. COUPEZ !! ON LA GARDE - OK C’EST DANS LA BOITE !! Allez on se bouge il reste des extérieurs à terminer, go! go !! ture écaillée par plaques, aux graffitis , plus ou moins ,obscènes et triviaux . Des portes en vis-à-vis, de couleurs foncées identiques marquées d’un chiffre ,peint au pochoir ,d’un blanc douteux . Dans cet espace , flotte quasi palpable un mélange d’odeurs tenaces . Soupe de légumes , fritures , d’urine ,tabacs froids, de sous-sols mal aérés, remugle du local aux poubelles , d’humanité en quelque sorte. La silhouette noire ne semble nullement incommodée par les odeurs, ni les bruits cacophoniques filtrants des portes et des cloisons. Trop attentive au grincement plaintif, que fait chaque marche sous son poids . Elle était là, invisible masquée par des nuages noirs, frangés de sa lumière diffuse, Signalant sa présence froide , et menaçante . La rue est sombre, seuls quelques lampadaires dispensent une chiche clartée . De vieilles façades décrépites, des volets aux couleurs de misères. La rouille des gonds, pleurent sur le murs, leurs longues larmes, couleurs de sang. Sur le trottoir humide, sale ; se découpe un rond de lumière ,que projete un ancien réverbère. Un chien sans pédigrée ,ni maître , se soulage sans géne,à son pied . Sous le regard réprobateur ,des poubelles alignées là comme à la parade . Certaines bâillantes, sans vergognes donnant à voir leurs entrailles malodorantes , espérant , comme certains soirs . La visite nocturne de la faune nuisible ,et affamées , les locataires ,des égouts et sous-sols d’immeubles alentours. Le silence lui même, est ailleurs, dans une autre réalité . Sur les pavés disjoints et polis , s’affichent des éclaboussures de couleurs ,par saccades , issues d'une enseigne de bar sans âge, indiquant, ainsi le chemin , et un semblant d'éxistence. Un bruit étrange de succion, cadencé comme un métronome, se fait entendre . Quelqu’un marche sur le trottoir humide et encombré ,chaussé de baskets.sans doute . Entre deux nuages Elle apparait ,sa froide lumière , anime une longue et informe silhouette noire . La grosse clef de fer cliquete , faisant naviguer le pêne ,qui gémit et grince ,dans une serrure hors d’âge. Le demi vantail de la porte cochère ,craque sur ses gonds , le poids des ans. Un abat-jour de porcelaine , a la couleur indéfini, par la poussière accumulée, abrite une ampoule , ayant servie de vespasienne a des générations de mouches. Dans cette indicible clarté ,apparait une volée de marches ,en bois ,usées disjointes, menant aux étages . Un couloir étroit et bruyant, a la peinture écaillée par plaques, aux graffitis , plus ou moins ,obscènes et triviaux . Des portes en vis-à-vis, de couleurs foncées identiques marquées d’un chiffre ,peint au pochoir ,d’un blanc douteux . Dans cet espace , flotte quasi palpable un mélange d’odeurs tenaces . Soupe de légumes , fritures , d’urine ,tabacs froids, de sous-sols mal aérés, remugle du local aux poubelles , d’humanité en quelque sorte. La silhouette noire ne semble nullement incommodée par les odeurs, ni les bruits cacophoniques filtrants des portes et des cloisons. Trop attentive au grincement plaintif, que fait chaque marche sous son poids . Elle atteint le palier débouchant sur un autre couloir identique, à celui du rez-de -chaussée, mais moins bruyant. Elle sursaute , surprise par l’obscurité , la lumière palière vient de s’éteindre. Elle respire lentement pour contrer la montée d’adrénaline . De la pôche son grand manteau , elle y plonge ,sa main droite gantée de cuir noir , pour en extraire un briquet, qu’elle allume. Camouflant la lueur trop vive.de la main gauche, pareillement équipée de cuir noir . L’ombre vérifie le numéro sur la porte ,éteint son lumignon laissant ses yeux s’accoutumer a la lumière ambiante . Avec une gestuelle parfaitement étudiée, Elle extirpe de sa bouche la clef mouillée de salive et l’introduit sans à-coups dans le verrou de sureté ,la porte s’ouvre sans un gémissement . Dans la petite chambre, l’air humide et froid, empeste le tabac blond et le parfum bon marché. Par la seule fenêtre dont le rideau de coton épais mal ajusté laisse , passer un rais de lune ,sa complice ! La silhouette s’immobilise , analysant les bruits extérieurs , d’un regard circulaire Elle fait l’inventaire minutieux de l’endroit. Le mobilier n’avait pas ruiné la propriétaire ; près de la fenêtre côté droit ,une table de camping sur laquelle subsiste les restes d’un précédent repas et deux chaises dépareillées, sur le dossier de l’une d’elle, des vêtements placés là sans ordre apparent, ceux d’une femme au vu d’un soutien-gorge déposé sur le siége et des collants blancs . A droite , perché sur quatre pieds métalliques un meuble de chevet,sur ce dernier un radio- réveil diffusant, un léger halo de lumière bleutée, un téléphone portable émét un signal de réception de sms de couleur verte , un verre d’eau quasi vide et un tube de somnifères. L’Ombre pousse un léger soupir de satisfaction devant cette découverte. Elle comprend pourquoi la jeune femme dans le lit devant Elle s’agite que modérément , sans drogue dans une telle ambiance sonore, s’endormir relève de l'exploit. Elle observe la jeune femme étendue sur le dos , recouverte d’un simple drap. Elle avait une tâche à accomplir. L’heure , n’est pas à l’attendrissement pour l'Ombre ,elle a une réputation à faire valoir , c'est un professionnel. Plié en deux pratiquement Elle lève son bras droit , toujours ganté de noir durant une fraction de seconde , un long éclat métallique traversa par deux fois, le rayon lumineux que lui offre généreusement sa complice , éclaboussant de rouge le blanc du drap. COUPEZ !! ON LA GARDE - OK C’EST DANS LA BOITE !! Allez on se bouge il reste des extérieurs à terminer, go! go !!
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Depuis , un certain temps et sans ménagements , , je cherche ! et ce n'est pas,faute de chercher ! Devant l'absence de résultats ,j'en suis rendu a faire le siége du net , Qui sait? Avant les fêtes de fin d'année j'avais entrevu , un espoir , avec la tenue de la foire de la St Martin à Perpignan . Espérant parmi ses nombreux exposants , y dénicher , mon bonheur . Alors que je parcourais les allées, parfois à contre-sens , affrontant les chalands et leurs remarques souvent , peu amènes .Une parade , sans aucuns signes particuliers ,attira mon attention .Une vendeuse, le l'abordais , formule de politesse adéquate et sourire cajoleur . Pas le temps d'achever , l’énoncé de ma quête , que l'aimable vendeuse , l'air désolée , mais souriante , m'explique avec geste a l'appui , c'est le sud ici, qu'elle vient de céder le dernier article, d'époque , dés l'ouverture de la foire.--- Ne soyez pas déçu me confit-elle souriante,pour dissiper ma déception ! ---Songer que mon acheteur, aprés son acquisition , a été pris à parti par une personne , qui désirait la même chose .Proposant de lui racheter le double!! refus ! discussions !propositions de partage , refus , échange de mots peu aimables , bousculades , échange de coups ! interventions , des gardiens de la paix. Aussi , pour avoir prit le temps de m'écouter, me sussure-t-elle,tout sourire ! je vous donne une information , qui vous évitera de vaines recherches sur le foirail. Je suis ! pardon! j'étais la dernière , disons le dernier stand, qui en possédait encore. Je venais de réaliser , combien cette "chose" était devenue , précieuse et rare, tant chez les jeunes , que les anciens! Si par un heureux hasard , vous en dénicher les contre-façons n'étant pas admises . Agissez avec tact et délicatesse , elle ne supporte pas d'être brusquée ! Pardon! son nom , vous n'avez pas trouvé ! PATIENCE !!!voyons. Pour être parvenu, jusque là ! vous n'en n’êtes pas totalement dépourvus bravo! Il faut bien admettre que cette vertu , loin d'être petite, est de moins en moins pratiquée ! Et mal vue ! Aujourd'hui il faut être “Speed” ou rien! A votre avis???
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Pas question de faire une halte ,la côte Balagué, que je grimpe d'habitude rapidement et plusieurs fois par jour aujourd'hui , je peine,un point de coté me coupe le souffle et me fait souffrir. Je dois passer la porte du même nom. Vestiges incontournables des anciennes murailles de la ville , porte de marbre blanc et bleu pour accéder à la ville haute qui protégeait la ville d’Elne et sa cathédrale romane . Mais j’ais encore à parcourir une grande partie, de la rue de la Paix débutant à droite pour être rendu à mon rendez-vous. La douleur devient vraiment atroce , mes yeux commençent à s ‘embués de larmes mais est-ce la douleur ? J’en doute ? c’est et plus, j’y pense , la honte! tout simplement pour la première et unique fois je serais absent au Rituel, Impossible ! inconcevable !! Cette simple idée me galvanisa , ma décision fut !j’y serais !! quitte a ramper pour y arriver. Le Rituel pourquoi ce nom ? En fait je serais bien en peine de l’expliquer ,c’était, tout compte fait un rite, qui concernait qu’ une seule personne. Je dois cependant reconnaître que nous filions doux avec "l’Abia Albina "Grand-mère Albine et pour cause. .Les’’ Parolers’’ les chaudronniers en Français une très grande famille, quatre filles quatre garçons, tout ce joli monde ayant épouses et maris , je vous laisse imaginer ! une moyenne de trois enfants par couple . pas question de plaisanter quant à la propreté et la politesse, il y avait pour cela de bonnes raisons ,la notoriété des Parolers, grand- père exerçait , et ce dans toute la région , un métier disparut à ce jour ,qui consistait à rétamer des ustensiles de cuisine et réparer brocs ,seaux, pots à lait, arrosoirs se déplaçant dans une charrette, qui contenait son outillage ,ainsi que de quoi dormir quand il se trouvait trop loin de la maison. Chose qui survenait quant " l’Ametlla," nom de la mule l’Amande ,c’était sa couleur de robe , qui tirait l’attelage en avait décidé ainsi. Mais cette célébrité était due en grande partie à l’Albina Parolèra pour son don de guérisseuse ,connue même hors du département . L’Albina petite bonne femme ( 1m57) toute vêtue de noir tradition oblige ,dés l’âge de dix-huit ans ,au décès de son père adoptif qu’elle conservera jusqu’à sa mort a quatre-vingt douze ans ). Aujourd’hui encore je m ’imagine que je vais la croiser , sur le parvis de la cathédrale. Disparues ses silhouétes de noir vêtues , des regrets ? Non pour les silhouétes , mais que de tendresse, pour celles qui les animaient! Toujours souriante, affable , serviable, disponible pour tout un chacun , sans à prioris d‘aucunes sortes. La seule chose à craindre d’elle, et ceux grands et petits, était son regard noir et pénétrant forçant le respect ,sans élever la voix . Sans compter sa vitalité communicative, toujours en action cuisine, conserves , confitures le tricot, et les immanquables offices à la cathédrale voici rapidement brossé le portrait D’Alba Marina ( Aube Marine ) ma grand-mère( l’abia) et ma marraine, de baptême ( padrina ) C’était elle la bénéficiaire du rituel. L’objet du Rituel ? Tout simplement sa chevelure , d’une blancheur extraordinaire , qui touchait largement le sol, une curiosité en somme. Le Rituel , en lui-même consistait à démêler coiffer , cette imposante masse de cheveux, pour en faire de longues tresses. Qui allaient servir à construire un étrange échafaudage maintenu par bon nombres d’aiguilles, et serait en toute fin, recouvert de la grande mantille noire,remplaçant l’ordinaire fichu noir journalier. C’était là la seule coquetterie qu’elle s’accordait, avant de se rendre à vêpres , ou les fêtes carillonnées. Un mystère demeure toujours dans son entier pour toute la nombreuse famille, et jusqu’à ce jour. Pourquoi ? Mimi sa dernière née ! Moi , premier petit fils, de sa troisième fille, étions les deux seuls à porter la main sur sa chevelure . Nul le sauras jamais .!! Et a ce jour la question est et restera , j'en ai peur sans réponse. La porte , du cellier a peine ouverte, je me précipite dans l’escalier de bois , bruyant qui méne à l’étage, suant, essoufflé le cœur battant la chamade ., pour apercevoir , devant la cheminée , mon aïeule ,ma tante Mimi , devisant tranquillement , et m’entendre dire d’un ton moqueur par ma grand-mère :tu es en avance d’un jour !estimat fillet méu !! Je suis certain que de là haut, elles en rigolent encore ! La nostalgie! c'est grave?docteur!!!
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Je voulais juste vous dire...
BenPocaCosa a répondu à un(e) sujet de pep-psy dans Aide et Suggestions
C'est effectivement un site agréable ! dommage qu'il pratique , la discrimination !! handicapé et septuagénaire je suppose que cela fait tache dans le forum? Car impossible de poster , malgré de nombreux posts pour signaler ce fait , silence radio! Cette fois ! peut être ? se sera la bonne ???