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Tout ce qui a été posté par Dompteur de mots
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En revanche, je ne me définis pas exactement comme un agnostique ni comme un croyant.
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C'est une excellente remarque. La théologie comme branche de la philosophie vaut en tant que questionnement ouvert sur les sentiments religieux qui habitent l'homme, sur leur signification, sur la nature et la signification des phénomènes religieux qui ont servi et qui continuent de servir de support à ce sentiment. Kierkegaard, qui est l'un de mes chouchous, est un parfait exemple de cela: c'est un chrétien assumé qui se réfère souvent aux textes sacrés dans ses écrits. Mais l'attitude de Kierkegaard est telle que sa foi apparaît comme l'une des sources de sa pensée (et on ne peut blâmer un homme sur le fait que sa pensée découle de ses propres sources n'est-ce pas ?), mais jamais comme une justification en tant que telle, ou comme un raccourci qui permettrait de sauter à quelque conclusion. Il n'a pas non plus le réflexe totalement idiot de soumettre la foi chrétienne à une quelconque évaluation - ontologique ou éthique. Le lecteur peut réfléchir avec Kierkegaard sans aucunement adhérer à la religion chrétienne. J'observe que c'est précisément dans la parcimonie, dans la retenue, dans la pudeur que ces questions sont les mieux traitées. Les hommes ont toujours fait trop de bruit autour des questions de foi. C'est aussi dans cette attitude de ce que, classiquement, on appelle la théologie naturelle (mais c'est un mauvais nom en ce qui me concerne) que j'invite Maroudiji à entrer. Maintenant, ça se complique lorsque la théologie devient une pure exégèse, ou le pur instrument de quelque confession. Évidemment, rien n'empêche un théologien exégète d'entrer çà et là sur le terrain de la philosophie. Comme c'est le cas pour l'homme de science (pensons à Descartes) ou d'art (pensons à Valéry), la science et l'art étant aussi des champs d'investigation essentiels à la philosophie. Si tu lis mon blogue, tu vas te rendre compte que je parle souvent de spiritualité, et que je ne me définis pas exactement comme un athée.
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Je ne suis pas certain de comprendre ce que tu veux dire. Un philosophe peut très bien étudier la pensée hindoue. Schopenhauer et Hegel entre autres s'y sont intéressés (d'une façon probablement maladroite). Tu sais ce qui serait intéressant ? Que tu résumes la philosophie de la B-H en termes philosophiques. Je crois comprendre qu'elle est apparentée au stoïcisme ?
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N'empêche que la spécialisation porte à l'étroitesse des vues, ne serait-ce que par l'effet d'habitude. Je dis bien "porte à" - ce n'est évidemment pas un lien nécessaire. Or, la société humaine actuelle a certainement une carence en frais de vue d'ensemble.
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Je ne me suis jamais moqué de la B-H, et je n'ai jamais affirmé que je n'avais rien à foutre des hindous ou de l'ouvrage en question. En fait, je ne doute même pas qu'il s'agisse d'un ouvrage exceptionnel. Malgré tout, je ne suis pas présentement intéressé à le lire. Peut-être un jour. Bien sûr que toutes ces disciplines sont interreliées. Mais ça ne les empêche pas d'avoir en même temps leur propre champ d'étude. La question "qu'est-ce que le bonheur": seule la philosophie en fait une étude. Et elle l'étudie en prenant appui sur toutes les autres disciplines. Seulement, son propre est de développer une vision d'ensemble. Ça n'empêche pas que l'on puisse à bon droit critiquer une bonne partie de la philosophie occidentale pour s'être vautrée dans un technicalisme éhonté.
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Tu doutes de mes compétences en matières philosophiques ?
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Le "touche à tout" te dirait qu'il n'est pas là pour toucher à ta voiture, mais seulement pour te dire que cette panne est une bénédiction, car le voyage est plus gai à pied.
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Une condition nécessaire pour qu'une discussion philosophique puisse avoir lieu est la discutabilité des idées qui sont en jeu. Dans ton cas, la Bhagavad-Gita et les idées qu'elles contiennent ne paraissent pas discutables. Si elles l'étaient, alors nous pourrions comparer la Bhagavad-Gita à n'importe quel livre de philosophie. Évidemment, il te faudrait alors affronter tes insécurités.
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Je trouve ça formidable que tu me donnes tes références. Et je trouve aussi formidable la liberté que j'ai de ne pas m'y intéresser. C'est un forum de philosophie et non de théologie. Si tu veux discuter philosophiquement du contenu de la B-G, très bien (ce qui implique un minimum de mise en forme philosophique). Je n'aurai jamais la pédanterie de te discréditer parce que tu n'as pas lu tel ouvrage de philo. Maintenant, si tu veux y aller d'envolées théologiques alors ciao. Formidable. Mes compliments à J.W. Hauer. *** Ce que je sens, c'est que tu es intellectuellement insécure, et que tu as besoin de t'abriter derrière un rempart dogmatique. Lorsque l'on entre un tant soit peu dans ta forteresse, ce n'est que gamineries.
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Void
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...à déformer les faits, à sauter trop vite aux conclusions, à généraliser, à enfreindre les lois de la logique, etc. L'élégance de mon écriture est une accroche en elle-même. Je vais être politiquement correct dans ce cas: les gens qui ont ici développé une certaine maîtrise des règles élémentaires de la logique, qui ont développé une différence à cet égard, reconnaissent tous que Maroudiji fait souvent preuve de malhonnêteté intellectuelle. Il me semble l'avoir déjà vu. Je n'en ai pas de bons souvenirs. Peux-tu me rappeler l'adresse ? Arrête. Bientôt tu vas me le dépeindre comme une jeune vierge effarouchée... Ah bon ? Et pourquoi ne pas remettre en cause l'émergence de nos goûts et même envisager de les modifier ? Celui qui s'adonne à la philosophie ne le fait-il pas constamment au travers de son activité réflexive ? Évidemment, il ne faut pas envisager cette possibilité de cette manière idiote, selon laquelle on changerait de goûts comme on change de chaussettes. Ce sont des choses qui se font progressivement. À vrai dire, tu es précisément en train de discuter de goût avec moi. La raison est ce mode politiquement correct de l'esprit au travers duquel nous opposons précisément nos sentiments, nos états d'âme, nos goûts. Je ne suis même pas certain que la distinction du fond et de la forme tels que nous les envisageons ait quelque sens que ce soit. Ce que tu appelles ton fond, ton idée, la substance de ta réflexion, est précisément quelque chose que tu substantialises à tort. Ce n'est pas quelque chose qui se met en boîte. C'est comme essayer de mettre le vent en bouteille. Essaye: tu vas vite constater qu'aussitôt embouteillé, il disparaît comme par magie. C'est quelque chose qu'il faut laisser se manifester. L'idée bruisse au détour d'une tournure de phrase, dans le choix d'un mot particulier, dans la cascade d'une ponctuation bien choisie. Tiens: voici une passionnante lecture. Mon personnage agit comme un fantastique instrument de tri. Les esprits qui se présentent ici sans aucun recul sur leurs pensées, et donc sans la volonté de les remettre en question et d'en discuter honnêtement se hérissent rapidement sous le feu de mes insultes. Aux autres, toute cette grotesquerie saute aux yeux. J'assume, à ma manière.
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Non. La philosophie n'a pas une existence complémentaire à la science et elle n'a certainement pas pour but de compenser pour les effets néfastes d'un monde trop scientifique. En fait, si le monde est devenu plus froidement et scientifiquement implacable comme vous le dites, c'est parce que nous avons entretenu pendant longtemps et que nous continuons d'entretenir une philosophie qui accorde la préséance à la pensée scientifique. La philosophie étend sa réflexion sur le tout de la pensée, pas seulement les valeurs morales et humaines. Elle vise ultimement à saisir l'existence dans sa globalité. Je vous recommande de lire ce texte simple et accessible, chef-d'œuvre de mon cru.
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Je ne peux croire que vous accordez de l'importance à ces facéties ! De quel droit appelez-vous cela un "contentement" ? Qu'est-ce qui vous rend convaincue que mon attitude ne découle pas d'une exigence auto-imposée, d'un long sacrifice, d'un pénible travail intérieur ? Vous êtes bien attachée à vos petits préjugés. Humilité vient du latin humilis: humus (terre) et ilis (relation à). L'homme humble a les deux pieds sur terre, il sait effectivement se regarder tel qu'il est. Non seulement dans ses faiblesses, mais aussi dans ses forces. On associe trop souvent l'humilité à la modestie, alors que lien entre les deux n'est certainement pas nécessaire. On peut être modeste par feinte, ou par impératif moral, c'est-à-dire parce que l'on est convaincu que l'homme juste est modeste, peu importe les circonstances. On associe aussi trop souvent la timidité ou la tempérance à l'humilité, alors qu'il s'agit de choses complètement différentes. Il faudrait plutôt dire que par définition, l'homme timide n'est absolument pas humble. Finalement, l'humilité est un réalisme appliqué à soi-même. Mais il ne suppose pas une attitude extérieure précise. Une fois que l'un a trouvé en lui la force de se regarder tel qu'il est, qui sait de quel personnage il accouchera dans le théâtre du monde ?
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D'accord avec quoi ? Il n'a rien, rien dit. C'est une véritable bouillie de généralisations qui ne se rattachent à rien de tangible. "Ces intellos", "ces philosophes"... ça ne veut rien ça ! C'est comme dire "ces vénusiens", "ces coloquintes à la graisse de hérisson", "ces orang-outang trapézistes" ... C'est un collage d'affirmation simili-choc qui insultent votre intelligence. Et vous en redemandez ! Eh bien mâchouillez-la bien votre moulée à cochons.
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... auquel correspond évidemment tout ce qui critique Maroudiji.
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Qu'est-ce que vous appelez "humilité" ? Comment le philosophe humble se comporte-t-il ? L'humilité peut prendre des chemins bien différents selon les êtres. Mon humilité m'interdit de faire mine que mes pensées découlent de la plus froide et de la plus stricte faculté de raisonner. Je suis un être de passions et je tiens à ce que cela se manifeste dans tout ce que j'écris, quitte à tremper dans l'impudence, quitte à m'aliéner certains lecteurs. Très peu pour moi l'image du sage à la tranquillité bovine. Comprenez-vous cela petite sotte ?
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La démonstration n'est qu'un instrument du philosophe. Ce n'est aucunement son but, sauf pour celui qui a une conception étriquée de la philosophie. Je prends un aphorisme de Nietzsche, pratiquement au hasard: La vertu la plus noble. — Dans la première phase de l’humanité supérieure, la bravoure est considérée comme la vertu la plus noble, dans la seconde la justice, dans la troisième la modération, dans la quatrième la sagesse. Dans quelle phase vivons-nous ? Dans laquelle vis-tu ? Le philosophe vise ici à faire réfléchir, tout simplement. Faire réfléchir: voilà ce que pourrait être l'essence de la philosophie. Faire réfléchir et donc, par le fait même, donner une structure à la réflexion. Le point d'interrogation est l'arme privilégiée du philosophe, bien plus que la démonstration. Et prenez garde: parfois, les points d'interrogation sont dissimulés à l'intérieur de phrases qui ont toutes les allures d'une proposition affirmative. Je cite mon fantastique blogue: En termes philosophiques, il nous faudrait dire qu’il n’y a pas de réflexion qui vaille, qui puisse vraiment nous transporter, sans l’imperfection qui se manifeste par exemple dans l’ambiguïté ou l’émotion; que l’on aurait tort de juger de la profondeur d’une réflexion à l’épaisseur de sa cuirasse rationnelle – qui somme toute la rend lourdaude, mais bien plutôt à sa propension à nous faire visiter les ténèbres qui cernent le théâtre où se meut le philosophe. C’est pourquoi j’affirmerais que la réflexion philosophique ayant atteint le sommet de sa plénitude ne peut être qu’une interrogation déguisée, qui laisserait à la pensée à la fois le sentiment de satisfaction d’avoir suivi une trajectoire rationnelle complète en bonne compagnie, et l’impression déstabilisante d’avoir été, en bout de ligne, laissé seul devant un monde obscur à découvrir. Les philosophes qui œuvrent d'abord et avant tout à démontrer ne sont que d'horribles crapauds. Mais n'allez pas trop vite à condamner tous les raisonnements philosophiques. Encore un exemple de Nietzsche: Ce qui est d’abord nécessaire. — Un homme qui ne veut pas se rendre maître de sa colère, de ses accès de haine et de vengeance, de sa luxure et qui malgré cela aspire à devenir maître en quoi que ce soit est aussi bête que l’agriculteur qui place son champ sur les bords d’un torrent sans se garantir contre celui-ci. Voilà un raisonnement philosophique. Ça ne s'appuie pas sur un lien de causalité rigoureux comme le ferait un raisonnement scientifique. Avez-vous remarqué qu'un point d'interrogation se cache dans ce raisonnement ? Il nous invite à réfléchir. Mais pourtant, diriez-vous que cela est détaché de l'expérience ?
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Pourquoi pas ? Peut-être que j'ai aussi décidé de me consacrer à mon blogue parce que le forum ne me satisfaisait plus. Évidemment qu'il n'est pas le seul responsable. Mais ces quelques approximations nous permettront d'arriver plus vite au but le plus pressant: amoindrir le ridicule capital de sympathie de cet ornithorynque. Je suis l'ouverture d'esprit en personne. Et je peux soutenir une joute argumentative très longtemps, même si les arguments qui me sont présentés sont des plus ineptes. Laisse-moi juger. Je savais que le mot "élite" ferait sourciller. Je me suis fait plaisir en l'utilisant. Si je dis que Lionel Messi fait partie de l'élite du football mondial, ça heurte ta vertu ça ? Ça ne veut pas dire que je pense que Lionel Messi a une valeur supérieure en tant qu'être humaine. Ça veut juste dire qu'il a une habileté supérieure à pousser un ballon avec ses pieds. C'est la même chose en philo: si je dis que tel ou tel bisounours fait partie de l'élite du forum, ça ne veut pas dire que je pense qu'il a une valeur supérieure en tant qu'être humaine. En fait, ça ne veut même pas dire que je pense qu'il a une intelligence supérieure, au sens le plus global de ce mot. Ça veut juste dire que je pense qu'il a un savoir-faire supérieure en la matière: habileté à manier des concepts, à construire des raisonnements qui n'enfreignent pas toutes les lois de la logique, à tisser des liens avec les grands courants philosophiques, à prendre du recul, etc. Or, en la matière, Jedino, Quasi et toi-même faites partie d'une certaine élite. Et Maroudiji, même s'il possède une certaine érudition, est un cancre avéré. Cynique en plus. Ah ! Profitons-en pour déboulonner ce bon vieux mythe ! Oui, les goûts se discutent. Et il est agréable, souhaitable et utile d'en discuter. Que serions-nous si les goûts ne se discutaient pas ? N'est-il pas infiniment précieux d'effleurer le sentiment, l'état d'esprit d'un homme dont la pensée diffère de la nôtre; de se commensurer, de se comparer, de glisser des yeux farfouilleurs au sein d'un domaine qui nous est étranger, ne serait-ce que pour voir s'il se trouve là des créatures dont la présence nous siérait finalement, malgré un premier mouvement de recul instinctif. Pratiquement tout ce que j'aime aujourd'hui, en matière par exemple de musique, de littérature, de philosophie ou même de relations humaines me provient du fait que les goûts se discutent. Déjà, nous sommes tous deux éminemment différents. Te rejette-je ? Suis-je hostile ou indifférent à ton égard ? Très peu pour moi ces labyrinthes d'hypocrisie et de cynisme. D'ailleurs, je ne pense pas avoir de devoirs envers qui que ce soit ici - outre ceux qui se rapportent à la bonne marche des relations humaines.
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Question: est-ce que les problèmes auxquels s'intéressent les mathématiques sont les mêmes que les problèmes auxquels s'intéresse la philosophie ? Autre question: est-ce qu'on peut faire l'économie des problèmes auxquels s'intéresse la philosophie ? Qu'importent les autres sections ?
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Avec impudence, assurément. Maintenant, est-ce que l'impudence est humoristique par essence ? Je crois que oui. Cet humour peut être cynique s'il marque un rapport de domination réel. Or, je ne suis pas cynique, du moins j'aime à le penser. Toutefois, je suis réellement excellent dans les matières philosophiques. Et en même temps, je ne le pense pas vraiment, car il est de la nature du philosophe d'admettre son ignorance. Mais le réalisme m'intime de... Mais je ne peux le... Bon Dieu ! Disons que mon impudence est feinte, mais que cette feinte recèle quelque vérité, qui à son tour n'est qu'un artifice dissimulant une vérité encore plus profonde. En fait, il y a tant de niveaux à mon humour que j'ai peine moi-même à comprendre le sens profond de ce que j'ai écrit. En tout et pour tout, je vous conseille de m'accorder le bénéfice du doute. Riez donc de ma fraîcheur, de ma gaîté ! Riez de ma dextérité philosophique !
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Maroudiji a fait fuir le meilleur intervenant du forum (après moi): Tison. Moi-même, je me suis distancié (ce qui est en soi une catastrophe intellectuelle pour vous tous). Et maintenant c'est au tour de Aliocharverkiev qui, malgré ses défauts, savait au moins de quoi il parlait, ce qui est loin d'être le cas de tout le monde ici. Les autres intervenants qui font partie de l'élite du forum, par exemple Quasi-modo, Jedino ou Déjà-utilisé, ont tous pris position, me semble-t-il, contre la médiocrité philosophique de Maroudiji, sa malhonnêteté intellectuelle et son attitude semi-trollesque. Pour moi, c'est bien le pire intervenant du forum. Aliocharverkiev m'est 1000 fois plus sympathique.
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Maroudiji est une espèce de semi-troll médiocre. Je vous recommande tout simplement de ne pas lui accorder d'attention. Il n'y a aucune personne saine d'esprit qui lit vraiment ce qu'il écrit ici.
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As-tu la référence ? J'aimerais bien voir ça !
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Oui ! Nous, hommes ignorants, ne sommes finalement guère plus que des enfants, et Aliocharverkiev va nous illuminer par la lumière de sa vérité ! Vous comprenez ? Vous comprenez ? Pouvez-vous seulement comprendre, petits péquenots méprisables ?
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Qu'est ce qu'un sujet philosophique ?
Dompteur de mots a répondu à un(e) sujet de metal guru dans Philosophie
Mon idée a déjà été exposée un peu plus haut en des termes simples et précis. La simplicité d'un homme qui sait de quoi il parle et qui respecte l'intelligence des péquenots qui nous lisent. Votre excuse pédagogique pour dire n'importe quoi est bonne pour nourrir les cochons. D'ailleurs, vu la manière dont vous avez sophistiquement éludé mon objection, je me demande comment on peut vous faire confiance.
