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Pourtant des solutions existent, reste à avoir la vraie volonté de règler les problèmes: https://fr.wikipedia.org/wiki/Hypothèse_de_la_vitre_brisée

J'ai mal lu, j'ai cru qu'il s'agissait du nouveau manuel à l'intention des policiers qu'il est question d'equiper de cameras en plus de matraques, dont le titre est: "Sodome et Go pro". (ok, je sors...)

La verité est impermanente, fluctuante, insaisissable. Tel celui qui puise un seau d'eau dans un fleuve, ce que l'on aura dans le seau sera un peu d'eau, pas le fleuve.

A la Fillon: " Vous parlez de matraque brute ou nette? ", parce-que ça change tout...

Moralité, ne pas confier de matraque à des trous du cul qui ne savent pas s'en servir...

Et accessoirement à entendre,

Marpletree evoque plus haut les 4 accords toltèques. C'est vrai que les relations humaines seraient grandement meilleures en appliquant ces règles qui paraissent si simples. Mais hélas l'égo, toujours lui...

Oui voila, tout simplement. A la base, pour la plupart c'est bien ce qui prime. Viennent ensuite d'autres arguments qui confortent l'idée, mais au depart la question est simple. Pour ou contre la peine de mort pour des êtres innocents.

Complètement d'accord avec ça. Avouons par là même qu'il ne s'agit pas de la voie la plus confortable. Me faire traiter d'abruti par un tel illustre personnage est un délice de fin gourmet...

C'est certainement plus confortable de se complaire dans la cécité mentale pour pouvoir engloutir sans scrupules et sans remords de la bonne viande.

Les vaches redécouvrent le bonheur de paturer... Si ça c'est pas de l'anthropomorphisme. Soyons genereux, offrons du bonheur à nos esclaves. Elles pleureront de bonheur de nous donner leurs petits, leur lait et pour finir leurs carcasses. Mais pour des maîtres aussi gentils on ne compte pas... Et elle finit par se poser la question de savoir "qu'est-ce que cela veut dire travailler pour un animal?" C'est la meilleure celle-là. L'eleveur qui travaille pour l'animal, c'est nouveau, ça vient de sortir...

Un orateur parle du pouvoir de la pensée positive et des mots. Un participant lève la main :- Ce n'est pas parce que je vais dire bonheur, bonheur, bonheur ! que je vais me sentir mieux, ni parce que je dis malheur, malheur, malheur ! que je me sentirai moins bien : ce ne sont que des mots, les mots sont en eux-mêmes sans pouvoir... L'orateur :- Taisez-vous espèce d'idiot, vous êtes incapable de comprendre quoi que ce soit ! Le participant, comme paralysé, change de couleur et s'apprête à faire une répartie cinglante :- Pour qui vous prenez-vous espèce de... L'orateur lève la main : - Je vous prie de m'excuser. Je ne voulais pas vous blesser. Je vous prie d'accepter mes excuses les plus humbles. Le participant se calme. L'assemblée murmure, il y a des mouvements dans la salle. L'orateur : - Vous avez la réponse à la question que vous vous posiez : - Quelques mots ont déclenché chez vous une grande colère. - D'autres mots vous ont calmé. - Comprenez-vous mieux le pouvoir des mots ?

Oui, bien sûr, les mots sont des flèches et avant de lacher une flèche il vaut mieux se rappeller qu'elle ne peut se rattraper. Par contre, pour son propre bien être, lorsque ce que dit quelqu'un de soi nous heurte, on a tout interêt avant de réagir à examiner ça en prenant du recul, à entendre ce qui est vrai même si c'est deplaisant, et de faire de ce moment déplaisant une opportunité d'avancer. Mais c'est pas facile...

En règle génerale pourtant, ce sont les choses que l'on aime pas entendre sur soi dont nous avons le plus besoin.

Voila, il nous faut endosser un masque social ( persona) bien necessaire pour se presenter en société et pour s'adapter à elle.

En, l'occurence on ne vend rien, on cède, c'est pire. La personne qui se prostitue de cède en rien sur son désir. Celle qui " s'offre" pour faire plaisir alors qu'elle ne le desire pas cède oui, et cela n'est pas sans repercutions en terme d'image de soi. C'est pour cela que je trouve le terme prostitution non adapté.

Mais bien sûr. S'adapter au groupe demande une certaine souplesse et quelques facultés d'adaptation. On a le langage pour nous y aider, ce qui tombe bien comme faculté pour les animaux sociaux que nous sommes.

D'abord il nous faut sortir d'oû l'on nait pour tenter d'aller vers ce que l'on est. Ensuite, on est jamais vraiment, tout au plus on tend à être. Le pire danger est de croire que l'on est tant que l'on est que ce que l'Autre nous a assigné comme rôle.

Oui, cette humilité consistant en la conscience justement que notre propre conscience est loin d'être au top,

Ben justement, peut-être que les réponses à ce genre de questions sont d'ordre psychologiques plus que de choix philosophiques. L'experience de Asch ou celle de Milgram par exemple illustrent bien qu'un individu se soumet très facilement à une autorité, un groupe, et perd au passage enormement en terme de conscience, au point de se deresponsabiliser completement.

Ben en gros tu as le comportement individuel de tes semblables et le comportement collectif de ceux-ci. Pour faire simple plus un individu tend vers l'individuation, plus son niveau de conscience augmente. Plus le même individu se fond dans un groupe, plus son niveau de conscience baisse. Il suffit de voir ce type normal tout seul se transformer en un holligan sanguinaire quand il rejoint son groupe pour le constater. Maintenant, tu l'utilises toi même, le mot " semblable". Il implique evidemment que ce qui est vrai pour ses semblables est vrai pour soi.

Ben si, tu poses la question des echanges avec l'autre. A quoi ça sert, comment ça peut te "polluer", etc... Enfin oui , peut-être que je ne comprends tout simplement pas ce que tu écris, c'est possible aussi.

Ben, c'est le terme prostitution qui me semble mal choisi. Si le sens de ton post porte sur l'interêt que l'on a les uns les autres à echanger, ou que tu trouves que ces echanges se reduisent à quelque chose de négatif, je pense que c'est le mot perversion plutôt que prostitution qui me semblerait convenir.