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Tout ce qui a été posté par gegedu425
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Posté le 11-07-2005 à 16:11:22 answeranswer +Prévenir les modérateurs en cas d'abus La parabole de la grenouille ... LEÇON DE VIE N. 1 Il était une fois une course ... de grenouilles L’objectif était d’arriver en haut d’une grande tour. Beaucoup de gens se rassemblèrent pour les voir et les soutenir. La course commença. En fait, les gens ne croyaient pas possible que les grenouilles atteignent la cime et toutes les phrases que l’on entendit furent de ce genre : "Inutile !!! Elles n’y arriveront jamais!" Les grenouilles commencèrent peu à peu à se décourager, sauf une qui continua de grimper et Les gens continuaient : "... Vraiment pas la peine !!! Elles n’y arriveront jamais!..." Et les grenouilles s’avouèrent vaincues, sauf une qui continuait envers et contre tout … A la fin, toutes abandonnèrent, sauf cette grenouille qui, seule et au prix d'un énorme effort, rejoignit la cime. Les autres, stupéfaites, voulurent savoir comment elle avait fait. L’une d’entre elles s’approcha pour lui demander comment elle avait fait pour terminer l’épreuve. Et découvrit qu’elle... était sourde !
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J'informe pour ceux que ça intéresse que j'ai ouvert une section phrase philosophique j'espère qu'elle vous plairas
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J'ai besoin de votre participation pour tenir ce sujet s'il vous plait. Mettez quelque contes,allumez quelque bougies et faites briller un peu plus haut la flamme de la sagesse. Si vous savez qu'elle site ça intéresserez d'avoir des contes comme ceux ou qu'elle sites en écrivent n'hesiter a me contacté pour me fournir leur adresse. Vous pouvez évidemment vous servir de ces contes sur vos sites perso
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Tu seras un homme, mon fils Si tu peux voir détruit l’ouvrage de ta vie, Et sans dire un seul mot te mettre à rebâtir, Ou perdre en un seul coup le gain de cent parties Sans esquisser le moindre geste et sans soupir, Si tu peux être amant sans être fou d’amour, Si tu peux être fort sans cesser d’être tendre, Et, te sentant haï, sans haïr à ton tour, Pourtant te mettre à lutter et à te défendre ; Si tu peux supporter d’entendre tes paroles Travesties par des gueux pour exciter des sots, Et d’entendre mentir sur toi leurs bouches folles, Sans pour autant mentir toi-même d’un seul mot ; Si tu peux rester digne en étant populaire, Si tu peux rester peuple en conseillant les Rois Et si tu peux aimer tous tes amis en frères, Sans qu’aucun parmi eux ne devienne tout pour toi ; Si tu sais méditer, observer et connaître, Sans jamais devenir sceptique ou destructeur, Rêver, mais sans laisser ton rêve être ton maître, Réfléchir et penser, sans n’être qu’un penseur, Si tu peux être dur sans jamais être en rage, Si tu peux être brave et jamais imprudent, Si tu peux être bon, si tu sais être sage, Mais sans être jamais ni moral ni pédant, Si tu peux rencontrer triomphe après défaite Et recevoir ces deux menteurs d’un même front Si tu peux conserver ton courage et ta tête Au moment même où tous les autres les perdront, Alors tu seras un Homme, mon Fils.
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Histoire de paradis et d‘enfer Un homme et son chien marchaient le long d’une route. L’homme admirait le paysage quand tout à coup il réalisa qu’il était mort. Il se rappela sa mort et réalisa que son chien aussi était mort depuis des années. Il se demandait où le chemin les amènerait. Après un moment, ils approchèrent d’une grosse roche blanche. Elle ressemblait à une bille. Rendu au sommet, il vit qu’elle était fendue et qu’une lumière en jaillissait. Quand il s’approcha, il vit une route en or pur et une magnifique entrée. L’homme et son chien marchèrent jusqu’à la porte. Au fur et à mesure qu’ils approchaient, l’homme vit un autre homme assis à une table. Quand il fut assez proche, il demanda à l’homme : "Où sommes-nous ?" -"Vous êtes au paradis monsieur" -"Ça par exemple ! Est-ce que vous auriez de l’eau ?" -"Bien sûr! Entrez, je vais vous faire venir de l’eau froide dans un instant." L’homme fit quelques gestes et la porte ouvrit. -"Est-ce que mon chien peut entrer ?" demanda-t-il en pointant le chien. -"Désolé monsieur, mais nous n’acceptons pas les animaux." L’homme réfléchit et décida de reprendre le chemin. Après une longue marche, au sommet d’une colline, il croisa une route de terre qui le mena à une porte de grange qui avait l’air de n’avoir jamais été fermée. Il n’y avait pas de clôture. Alors qu’il s’approchait, il vit un homme appuyé sur un arbre qui lisait un livre. -«Excusez moi monsieur, est-ce que vous avez de l’eau ? -"Bien sûr, il y a une pompe un peu plus loin." Il pointa plus loin mais on ne voyait rien. -"Venez à l’intérieur, je vous la montre" -"Est-ce que mon ami peut venir ? -"Bien sûr, il doit y avoir un bol près de la pompe" Ils traversèrent la porte et virent une vieille pompe avec un bol à ses côtés. L’homme remplit le bol, prit une gorgée et donna le reste au chien. Quand ils eurent fini, ils retournèrent voir l’homme qui était toujours près de l’arbre. -"Comment appelez-vous cet endroit ?" -"Mais c’est le paradis" -"C’est bizarre. L’homme que nous avons rencontré un peu plus tôt a dit la même chose." -"Ah! Vous parlez du chemin en or et de la porte en perle ? Non, ça c’est l’enfer" -"Mais ça ne vous fâche pas qu’ils utilisent votre nom comme ça ?" -"Non, mais je comprends que vous me posiez la question. Nous sommes seulement contents qu’ils attirent les gens qui laissent leurs amis derrière."
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Les dix commandements paradoxaux 1. Les gens sont déraisonnables, illogiques et égocentriques. Aimez-les quand même. 2. Si vous êtes désintéressé, les gens vous prêteront des motifs égoïstes et calculateurs. Soyez désintéressé quand même. 3. Si vous réussissez, vous gagnerez de faux amis et de vrais ennemis. Réussissez quand même. 4. Le bien que vous faites aujourd’hui sera oublié demain. Faites le bien quand même. 5. L’honnêteté et la franchise vous rendent vulnérable. Soyez honnête et franc quand même. 6. Ceux qui voient grand peuvent être anéantis par les esprits les plus mesquins. Voyez grand quand même. 7. Les gens aiment les petites gens, mais préfèrent suivre les puissants. Luttez pour les petites gens quand même. 8. Ce que vous avez mis des années à bâtir peut être détruit du jour au lendemain. Bâtissez quand même. 9. Les gens ont besoin d’être secourus, mais certains se retourneront contre vous si vous les aidez. Aidez-les quand même. 10. Si vous donnez au monde le meilleur de vous-même, vous risquez d’y laisser des plumes. Donnez le meilleur quand même. Je rappelle icique c'est un forum participatif et que vous pouvez vous aussi postez vos contes ici.
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Voici l’histoire d’un père et son fils qui s’aimaient beaucoup Et qui vivaient en parfaite harmonie à la campagne. Jusqu’au jour où un conflit éclata entre les deux. Le père et le fils vivaient du fruit de leurs labeurs. Ils travaillaient et récoltaient ensemble. Ils avaient tout en commun. Tout commença par un malheureux malentendu entre eux. Mais peu à peu, le fossé se creusa jusqu’au jour où... Il y eut une vive discussion entre les deux. Puis un silence douloureux s’installa et dura plusieurs mois. Un jour quelqu’un frappa à la porte du fils... C’était un homme à tout faire qui cherchait du travail. Avez-vous quelques réparations à faire? Oui, lui répondit-il, j’ai du travail pour toi. Tu vois, de l’autre côté du ruisseau vit mon père. Il y a quelques mois il m’a offensé gravement et nos rapports se sont brisés. Je vais lui montrer que je peux aussi me passer de lui. Tu vois ces pierres à côté de ma maison? Je voudrais que tu construises un mur de deux mètres de haut, Car je ne veux plus le voir! L’homme répondit: Je crois comprendre la situation... Le fils aida son visiteur à réunir tout le matériel nécessaire. Puis, il partit en voyage le laissant seul pendant toute une semaine. Quelques jours plus tard, lorsqu’il revint de voyage, L’homme à tout faire avait déjà terminé son travail. Mais quelle surprise! Le fils fut totalement bouleversé. Au lieu d’un mur de deux mètres de haut, il avait plutôt construit un magnifique pont. Au même instant, le père sortit de sa maison et courut vers son fils en s’exclamant: -Tu es vraiment formidable! Construire un pont après ce que je t’ai fait! Je suis fier de toi et te demande pardon. Pendant que le père et son fils fêtaient leur réconciliation, L’homme à tout faire ramassa ses outils pour partir. Non attends ...Lui dirent-ils. Il y a ici du travail pour toi!». Mais il répondit: Je voudrais bien rester, mais j’ai encore d’autres ponts à construire. Soyons des bâtisseurs de ponts entre les humains afin de faciliter leur réconciliation. Ne construisons jamais des murs de séparation.
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Un jour, une femme sort de sa maison et voit trois vieillards avec de longues barbes blanches, assis devant chez elle. Elle ne les reconnaît pas. Elle leur dit "Je ne pense pas que je vous connaisse, mais vous devez avoir faim, s'il vous plaît entrez et je vous donnerai quelque chose à manger." "Est-ce que les enfants de la maison sont là ?" ont-ils demandé. "Non, ils sont sortis." leur répondit-elle. "Alors nous ne pouvons pas entrer", ont-ils répondu. En fin d'après-midi lorsque les enfants reviennent de l'école, la femme raconte son aventure avec les trois hommes aux gamins. "Va leur dire que nous sommes à la maison et invite-les à entrer !" dirent-ils à leur mère. La femme sort et invite les hommes à entrer dans la maison. "Nous n'entrons jamais ensemble dans une maison," ont-ils répondu. Un des vieillards explique : "Son nom est Richesse," dit-il en indiquant un de ses amis et, en indiquant l'autre,"Lui c'est Succès et moi je suis Amour." Il a alors ajouté, "Retourne à la maison et discute avec ta famille pour savoir lequel d'entre nous vous voulez dans votre maison." La femme retourne à la maison et dit à son famille ce qui avait été dit. "Comme c'est étrange!!", s'exclament les enfants. "Puisque c'est le cas, nous allons inviter Richesse! La mère n'est pas d'accord. "Pourquoi n'inviterions-nous pas Succès? Votre père en aurait bien besoin dans ses affaires... La plus petite, qui suce encore son pouce, s'exprime à son tour: ''Veux mamours, veux mamours...'' Les parents fondent devant tant de câlinerie enfantine et la mère invite Amour à entrer...Amour se lève et commence à marcher vers la maison. Les deux autres se lèvent aussi et le suivent. Étonnée, la femme demande à Richesse et Succès : "J'ai seulement invité Amour. Pourquoi venez-vous aussi?" Les vieillards lui répondent ensemble : "Si vous aviez invité Richesse ou Succès les deux autres d'entre nous serions restés dehors, mais puisque vous avez invité "Amour", partout où il va, nous allons avec lui, puisque partout où il y a de l'Amour, il y a aussi de la Richesse et du "Succès" !
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Il était une fois, dans le royaume de Tsing Tâo, un jeune homme très curieux des réalités de l’existence. Un beau matin, il ne se réveilla pas. Arrivé dans le pays du non-retour, il questionna le premier homme qu’il rencontra, après plusieurs jours de marche. - Où suis-je, noble passant ? – En Enfer, pauvre voyageur. Et l’homme de repartir en répétant : “En Enfer… En Enfer…” Le jeune homme continua sa marche et arriva dans une grande salle à manger, perdue au milieu du désert. Le couvert était mis. Les bols remplis de riz parfumé et les cruches d’eau fraîche. Soudain une troupe bruyante fit irruption. Les guerriers se disposèrent autour de la table et commencèrent à manger… Mais les baguettes mesuraient plus de deux mètres chacune et les hôtes n’arrivaient pas à se nourrir sans se gêner mutuellement. S’ensuivit une bagarre générale où tous s’étripèrent. Le jeune homme s’enfuit. Il questionna un autre homme qu’il rencontra, après d’autres jours de marche. - Mais où suis-je donc, noble passant ? – Peut-être au Paradis, grand voyageur. Et l’homme de s’asseoir, en regardant l’horizon. Le jeune homme continua sa marche et arriva dans une grande salle à manger, perdue au milieu du désert. Le couvert était mis. Les bols remplis de riz parfumé et les cruches d’eau fraîche. Soudain une joyeuse équipe fit son apparition. Le jeune homme regarda les baguettes disposées sur la table… Elles mesuraient toutes plus de deux mètres… Les compagnons prirent place autour de la table et chacun d’eux donna à manger à celui qui était en face de lui grâce à la longueur des baguettes… Tous finirent le repas en chantant.
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Voila deux petit conte que je vous offre pour noël ^^ Miroirs Un homme, très imbu de lui-même, fit recouvrir de miroirs tous les murs et le plafond de sa plus belle chambre. Souvent, il s'enfermait là, contemplait son image, s'admirait en détail, dessus, dessous, devant, derrière. Il s'en trouvait tout ragaillardi, prêt à affronter le monde. Un matin, il quitta la pièce sans refermer la porte. Son chien y pénétra. Voyant d'autres chiens, il les renifla. Comme ils le reniflaient, il grogna. Comme ils grognaient, il les menaça. Comme ils menaçaient, il aboya et se rua sur eux. Ce fut un combat terrible: les batailles contre soi-même sont les plus féroces qui soient! Le chien mourut, exténué. Un ascète passa par là, tandis que le maître du chien, désolé, faisait murer la porte de la pièce aux miroirs. - Ce lieu peut beaucoup vous apprendre, laissez-le ouvert. - Que voulez-vous dire? - Le monde est aussi neutre que vos miroirs. Selon que nous sommes admiratifs ou anxieux, il nous renvoie ce que nous lui donnons. Soyez heureux, le monde l'est. Soyez inquiet, il l'est aussi. Nous y combattons sans cesse nos reflets et nous mourons dans l'affrontement. Que ces miroirs vous aident à comprendre ceci: dans chaque être et chaque instant, nous ne voyons ni les gens, ni le monde, mais notre seule image. Voyez cela, et toute peur, tout refus, tout combat vous abandonneront. "Dis-moi, combien pèse un flocon de neige ?", demanda la mésange à la colombe. "Rien d’autre que rien", fut la réponse. Et la mésange raconta alors à la colombe : "J’étais sur une branche d’un sapin quand il se mit à neiger. Pas une tempête, non, juste comme un rêve, doucement, sans violence. Comme je n’avais rien de mieux à faire, je commençais à compter les flocons qui tombaient sur la branche où je me tenais. Il en tomba 7'000'000'000. Lorsque le 7'000'000'001ième tomba sur la branche et, rien d’autre que rien, comme tu l’as dit, celle-ci cassa." Sur ce, la mésange s’envola. La colombe, une autorité en matière de paix depuis l’époque d’un certain Noé, réfléchit un moment et se dit finalement : "Peut-être ne manque-t-il qu’une personne pour que tout bascule et que le monde vive en paix !" Joyeuse fêtes P.S: offrez des contes, car je commence a épuisé mes réserves
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bienvenu a demsky je dédis a tout les élèves qui se sont fait insulté par de petits caïds notoire . J'en ai encore eu un exemple frappant aujourd'hui. Ne leur faites pas le plaisir d'être blessé mais ayez pitié d'eux. Sur ceux le conte. Injures Le Bouddha enseignait partout où il passait. Or, un jour qu'il parlait sur une place de village, un homme vint l'écouter parmi la foule. L'auditeur se mit bientôt à bouillir d'envie et de rage. La sainteté de Bouddha l'exaspérait. N'y pouvant plus tenir, il hurla des insultes. Le Bouddha demeura impassible. L'homme, fulminant, quitta la place. Comme il avançait le long des rizières à larges enjambées, sa colère s'apaisait. Déjà, le temple de son village grandissait au-dessus des rizières. En lui monta la conscience que sa colère était née de la jalousie et qu'il avait insulté un sage. Il se sentit si mal à l'aise qu'il rebroussa chemin, décidé à présenter des excuses au Bouddha. Lorsqu'il arriva sur la place où l'enseignement continuait, la fouls se poussa pour laisser passer l'homme qui avait insulté le Maître. Les gens incrédules le regardaient revenir. Les regards se croisaient, les coudes étaient poussés pour attirer l'attention des voisins, un murmure suivait ses pas. Lorsqu'il fut suffisamment près, il se prosterna, suppliant le Bouddha de lui pardonner la violence de ses propos et l'indécence de sa pensée. Le Bouddha, plein de compassion, vint le relever. - Je n'ai rien à vous pardonner, je n'ai reçu ni violence, ni indécence. - J'ai pourtant proféré des injures et des grossièretés graves. - Que faites-vous si quelqu'un vous tend un objet dont vous n'avez pas l'usage ou que vous ne souhaitez pas saisir? - Je ne tends pas la main, je le prends pas, bien sûr. - Que fait le donateur? - Ma foi, que peut-il faire? Il garde son objet. - C'est sans doute pourquoi vous semblez souffrir des injures et des grossièretés que vous avez proférées. Quant à moi, rassurez-vous, je n'ai pas été accablé. Cette violence que vous donniez, il n'y avait personne pour la prendre.
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L'avantage d'être intelligent, c'est qu'on peut toujours faire l'imbécile, alors que l'inverse est totalement impossible.»
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Juste une petite citation aujourd'hui « La gentillesse est le langage qu'un sourd peut entendre et qu'un aveugle peut voir. » Et bienvenu au nouveaux voila bien longtemps que je n'en avait pas eux PS: Je ne pense pas que nous devions donner le nom des auteurs de contes car ,pour moi , la sagesse est anonyme "Certains sont jugés grands parce que l'on mesure aussi le piédestal."
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Au lecteur qui passe par hasard ou a celui qui suivait ce fil. Je manque de temps pour rédiger autant de contes qu'avant . Si j'ai créé ce sujet c'était pour que les gens partage alors je ne vous demanderais qu'une choses :partageais Faite nous lire, aimer ,rêver. Aujourd'hui je vous quitte sur une phrase: ''Si tout mes amis devait sauter d'un pont, je ne sauterais as avec eux. Je serais en bas pour les rattraper.''
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Le Royaume de Sabou avait un puissant chef du nom de Moro. Non seulement Moro était puissant mais en plus il était détenteur su sceptre de, un bâton magique permettant de diriger la foudre. Un jour, Moro sentit la fin de sa vie arriver. Il fit venir ses enfants afin de leur parler : - Mes fils, écoutez-moi ! Je suis devenu faible, il faut que le plus courageux d’entre vous me remplace. Pour que je choisisse mon successeur, il faut que chacun me conte son œuvre la plus fantastique. Le premier de ses fils pris alors la parole : - Père, tu te souviens lorsque les envahisseurs ont attaqué notre Royaume. Moi seul les ai combattus et les ai mis en déroute avec pour seule arme mes mains alors qu’ils étaient fortement armés et nombreux. Le deuxième fils parla à son tour : - Père, tu te souviens lorsque les lions de la grande forêt ont attaqué notre peuple. Moi seul ai osé les combattre et les ai mis à mort avec comme seul arme mes poings. Ce fut alors au tour du troisième enfant de Moro : - Il est vrai que nous avons été attaqués par des envahisseurs et par des lions. Moi, je ne les ai pas combattus seul et ni avec mes mains. J’ai pris mes meilleures armes et appelé l’armée ce qui a permis de vaincre les lions et de repousser nos agresseurs. Le vieux chef, après l’audition de ses trois enfants réfléchit pendant longtemps et déduit que l’enfant le plus courageux était celui qui avait dit la vérité c’était à dire son troisième fils. Moro l’appela et lui dit : - Puisque tu as dit la vérité, tu es le plus courageux. Je te remets le sceptre de Viziok qui te permettra de diriger le royaume de Sabou une fois ma fin venue. Ses deux autres enfants apprirent alors à leurs dépens que dire la vérité est souvent l’acte le plus courageux qui existe en ce monde.
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Voici un de mes contes préféré : Un de mes conte zen favori Dans le village de mon conte, il y avait un homme très très riche qui possédait tout, absolument tout. Il avait un fils et tout les dimanche soir ils montaient tout les deux en haut de la colline qui surplombait le village et ils regardait le coucher de soleil, la ville la foret, les champs de blé et l'horizon la bas loin. Le riche disait alors à son fils : -Regarde mon fils, regarde la ville, la foret, les champs de blés et l'horizon, là bas loin. Un jour, tout ça, ce sera à toi. Et dans ce village, il y a aussi un homme pauvre qui n'a absolument rien. Lui aussi, il a un fils et tout les dimanche soir ils monte tout les deux en haut de la colline qui surplombez le village et ils regarde le coucher de soleil, la ville la foret, les champs de blé et l'horizon la bas loin. Il dit alors a son fils : - Regarde
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Voila un petit conte qui est inspiré d'une histoire que j'avais lue il y a lomgtemps. J'éspére ne pas l'avoir trop massacré. Enfin bon le principale du méssage y est je pense. bonne lecture Il était une fois une ile ou tous les sentiments vivaient ensemble. Un jour, l'ile se mit à couler alors chacun prépara un bateau et partit, sauf l'Amour ; l'Amour voulait rester jusque au bout. Lorsque l'elle eut presque complètement sombré l'Amour se décida à appeler à l'aide. La Richesse passa à côté de l'Amour et lui dit : -je te prendrais bien, mais mon bateau et déja plein d'or et de trésor, je n'ai pas de place pour toi L'Amour vit alors l'ego qui passait non loin sur un magnifique navire et elle l'appela ; alors l'ego lui dit : -tu es tout mouillé, je ne peux te prendre, tu pourais tout salir. L'Amour appela alors le bonheur, mais celui-ci était tellement heureux qu'il ne l'entendît pas Avec ses dernières forces, elle appela la tristesse, mais celle-ci lui dit : -désolé, l'Amour, mais je ne peux te prendre, je suis si triste que j'aie besoin d'être seul. L'Amour résigné, ne vit pas arrivé un navire qui lui offrit de monter à bord. Elle fut tellement heureuse qu'elle ne demandât pas pourquoi il était deux vieillards sur cette humble barque, l'un d'entre eux ramant pour leur permettre d'atteindre la terre ferme. Une fois que les deux vieillards furent partis L'Amour se rendis compte qu'elle ne savait pas qui ils étaient, elle alla alors trouver le savoir et lui demanda : - Qui son ce qui mon aidé ? -C'était la sagesse et le temps -Et pourquoi étaient ils sur le même bateau ? Pourquoi mon ils aidés ? - C'est car la sagesse vient souvent avec le temps et seul la sagesse est capable de comprendre à quel point l'Amour est important dans la Vie. P-S: J'ai adoré l'histoire de l'aigle et du poulet
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Cela faisait longtemps déja que je voulais écrire un conte optimiste, mais j'ai eu tellement de mal que j'ai dû m'inspirer d'un que j'ai lu il y bien longtemps. En espérant qu'il vous plaira. Il était une fois... Un homme qui avait un vieil ane. Cette ane était vieux,usé par une vie de dur labeur et fatigué. Un jour l'ane tomba dans un puis abandonné et l'homme decida qu'il allait enterré l'ane ici plutot que le sortir. Il alla chercher une pelle et se mit à remplir le puits. L'ane pensa qu'il n'y avait rien à faire pour se sortir de la alors, il s'allongea et ne tarda pas a etre recouvert de terre. Mais, en un autre lieu un ane semblable, tomba dans un trou semblable au puits et son maitre décidas de l'enterrer lui aussi. Le maitre partit donc cherché une pelle et se mit à remplir le trou de terre. Mais l'ane s'ébrouait a chaque pelleté de terre ,la faisant tomber. Petit à petit, il monta sur la terre qui s'accumulait sous ces sabots et réussie a sortir du puits.
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Il était une fois… Un grand magicien. Ce magicien était plus érudit qu'aucun autre homme sur cette terre et il étudiais depuis l'âge de 5 ans. Il était étais capable de changer le plomb en or, de contrôler le feu et de soigner les plus graves blessure d'un seul mot. Alors qu'il se rendait a la biblioteque Alexandrie pour y lire de précieux manuscrit il dut passer un fleuve. Ne trouvant pas de pont il se résigna a empruntait la barge avec un passeur. Pendant que celui ci le faisait traversé le magicien se mit a lui posé des questions sur divers problèmes chimique -Je n'entend rien a tout cela,monsieur;répondit le passeur. -Mais enfin vous ne vous intéressez donc a rien Et le magicien continua son interrogatoire,posant des questions de plus en plus simple. Lorsque il se rendit compte que le passeur savait a peine lire il s'exclama -Les gens sans éducation ne devrait pas être mieux traité que les animaux dont il ne font rien pour se différencier !! Vous devineré sans problème que a suite du voyage fut plus tendu et plus un mot ne fut échangé. Alors que le la traversé touchait a sa fin (La berge n'était qu'a cent mètres) les éléments se déchaînèrent soudain et la barge se mit a tanguer fortement -Il va falloir nager jusque a la rive,prévint le passeur alors que le bateau commençait a se remplir d'eau. -Mais…Je ne sais pas nager autre conte -Je vais t'apprendre a frapper par derrière -frapper par derrière ? Mais il n'y a aucun honneur a cela -Il n'y a pas d'honneur a tué quelqu'un petit aucune gloire a retirer de la mort jamais
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Un célèbre consultant en ressources humaines démarra un jour un séminaire de gestion du temps avec quelques objets devant lui. Quand les participants furent tous installés, il prit sans dire un mot un grand bocal vide et le remplit à ras bord avec des pierres d'environ 5 cm de diamètre. Il demanda ensuite aux participants si le bocal était plein. Tout le monde fut d'accord pour dire que c'était bien le cas. Le consultant prit ensuite une boite pleine de petits cailloux et les versa sur les pierres. En secouant le bocal, les cailloux remplirent les vides entre les pierres. Il reposa la même question aux participants. Ceux-ci rigolèrent, et dirent que cette fois le bocal était vraiment plein. Il prit alors une boite pleine de sable et la versa dans le bocal. Bien sûr le sable s'infiltra et remplit tout l'espace disponible. A ce moment-là, il procéda à un tour de table pour demander à chacun des participants quelle était à ses yeux la véritable leçon à tirer de cette expérience. La plupart d'entre eux étaient des cadres de haut niveau appartenant à d'importantes entreprises multinationales. Aussi se fendirent-ils tous assez logiquement d'une belle tirade d'où il ressortait le plus souvent qu'en se pressant soi-même suffisamment le citron, on pouvait remplir sa journée avec beaucoup plus de choses qu'il n'y paraît au premier abord... Après avoir remercié tout le monde pour sa contribution, le consultant reprit : "Maintenant, je voudrais que vous vous imaginiez que ce bocal représente votre vie. Les pierres représentent les choses importantes: votre partenaire, vos enfants, votre santé, votre activité - les choses qui, si rien d'autre n'existait, feraient que votre vie serait quand même remplie. Les cailloux représentent les autres choses qui, sans être les plus importantes, comptent tout de même dans votre échelle de valeurs, telles votre emploi actuel, votre statut social, votre maison, votre voiture. Le sable, quant à lui, représente tout le reste, toutes les petites choses sans importance. Si vous commencez par remplir le bocal avec du sable, il n'y aura plus de place pour rien d'autre. La même chose est valable pour votre vie : si vous dépensez trop de temps et d'énergie sur les petites choses, il n'y aura plus de place pour les choses importantes. Demandez-vous d'abord ce qui compte vraiment pour vous, puis efforcez-vous d'y porter la plus grande attention. Ainsi, jouer avec vos enfants, prendre le temps de passer une visite médicale annuelle, aller dîner au restaurant avec votre partenaire peuvent représenter un bon début de programme de gestion du temps. Ainsi, il vous en restera toujours assez (de temps) pour gérer votre carrière, nettoyer la maison, donner une soirée, ou vous amuser. Occupez vous avant tout des choses qui comptent vraiment. Le reste n'est que du sable."
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Les mots s'ils ne sont pas peser ne sont autres que de vulgaires sons
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Je n'ais pas encore fini mon compte optimiste vous devrez vous contentez de ça pour le moment Il était une fois... Un grand empereur. Ce grand empereur avait très a cœur les conditions de vie de son peuple alors il voulu recruter un premier ministre sage et savant. Il fit passer de grand teste dans tout son empire jusque a n'avoir plus que trois candidats. Tout trois était de grand érudits aussi fut il impossible pour l'empereur de choisir l'un d'entre eux; Il les mit alors dans une pièce et déclara:''Le premier de ces trois hommes a sortir de cette pièce sera mon premier ministre''. Aussitôt deux des savants saisir plume et parchemin et commencèrent de long calcul, se levant de temps a autres pour observé rapidement la serrure. Le troisième après avoir méditer de longue heure se leva, tourna la poigné de la porte et sortie. Merci d'avoir lue
