-
Compteur de contenus
120 -
Inscription
-
Dernière visite
Type de contenu
Profils
Forums
Blogs
Calendrier
Vidéos
Quiz
Movies
Tout ce qui a été posté par AK-47
-
Si rien n'est vrai alors la logique n'est pas vrai. De surcroît les valeurs de vrai et de fausse ne veulent plus rien dire. Il y a une (énorme) différence entre efficace et véridique.
-
Rien n'est vrai car tout est basé sur des énoncés indémontrables.
-
Rien n'est vrai.
-
Le science n'est qu'une petite partie d'un ensemble plus grand et ainsi de suite.
-
C'est nul d'imposerle modèle Européen aux autres, on dirait un peu une "seconde colonisation" en plus subtil (c'est-à-dire de manière diplomatique, avec des pression: pas un combat direct...).
-
Fort heureusement l'univers ne suit pas la raison.
-
Bref, c'est ce qu'il y a de plus probable.
-
Je vois pas le rapport... L'économie des pays pauvres (c'est-à-dire dans la grande majorité: les pays d’Afrique) se développe mal à cause des groupes djihadistes présent sur leurs sols et des phénomènes de spéculations économique. Je ne vois pas du tout le rapport avec l'emploi ?
-
C'est ça.
-
Tu sais au moins ce qu'est la transition démographique ? L’espérance de vie n'a aucun impact sur ça.
-
Non, je parlais seulement de la transition démographique. La population mondiale augmente seulement parce que beaucoup de pays (dont les pays émergents) sont dans leur pleine phase de transition démographique. Si la Terre se limitait au pays Européen, avec un taux de mort/naissance "équilibré", alors il n'y aurait pas de problème. Et cet équilibre "mort/naissance" va être atteint à un moment où un autre au niveau mondial, lorsque une majorité de pays seront dans le "nouveau régime". Ce n'est pas de l'écologie, c'est de la géographie. Les courses ne sont en soient pas irrationnelles car elles sont des activités. Sinon, quand bien même, toute notre évolution serait irrationnelle => Pourquoi fabriquer une voiture puisqu'on peut marcher à pieds ? Pourquoi manger des hamburgers alors qu'il a beaucoup de soja ? Tout ça c'est irrationnel. Le problème ne vient pas de là, le problème vient d'une mauvaise distribution des ressources: mondialement. Et le but actuellement et que les pays les plus pauvres arrivent à un stade où ils sont suffisamment développées pour croître -économiquement, géographiquement, ect.- de manière autonomes dans la mondialisation. Comme pour un fermier et son potager: lorsqu'il n'a pas de graine, au début, il ne peut pas développer son potager. A partir du moment où il a le "minimum minimorum", c'est-à-dire des graines, de l'eau, ect. Il peut espérer avec une bonne gestion développer de manière autonome sont potager. C'est un peu le même principe: tout comme il faut un investissement de départ pour fonder une entreprise. Donc, là on en est à un stade où les pays pauvres doivent se développer.
-
Je ne comprends pas trop. Si tu te place dans un référentiel, (dans la tête d'une personne lambda), elle aura une manière de penser particulière, cette manière c'est son absolu à elle (par exemple si elle croit en Dieu mais elle peut tout aussi bien ne pas croire en Dieu). Or, cet absolu est relatif (pas tout le monde a la même façon de penser. Si il n'existait qu'une homme dans l'univers capable de se poser la question nous n'aurions qu'un absolu mais là c'est relatif, c'est à dire que ça dépend du référentiel dans lequel on se place. Au contraire, la vitesse de la lumière dans le vide est un absolu puisqu'elle ne dépend pas du référentiel dans lequel on la mesure... Du coup, je comprends pas trop ta remarque ?
-
L'existence de quantités mesurables ! On peut mesurer la chaleur, l'intensité lumineuse. Par contre, on ne peut pas mesurer la "quantité de froid" ou la "quantité d'ombre". On ne peut pas dire que l'ombre et le froid existe, du moins pas dans le même sens que la chaleur et la lumière existent. Ils n'existent pas indépendamment. On ne peut pas dire qu'il y est de l'ombre sans la présence de lumière. Pas tout à fait, sur une échelle de temps conséquente et en considérant la population mondiale et en négligeant certains détails. Globalement (grossièrement), on peut dire que c'est homogène, théoriquement, en considérant tous les paramètres ça ne l'est pas. Théoriquement, c'est relatif, globalement c'est à peu près la même norme. Mais ce n'est qu'une approche globale et non une analyse fine.
-
Il va bien arriver un moment donné où l’excédent naturel va s'équilibrer mondialement.
-
J'ai pas fait gaffe Cassandre :)
-
Surement pas pour y vivre. Au mieux pour y travailler, ou entreposer.
-
Dans le fond, on a tous envie d’asseoir notre opinion, pour une question de fierté, d'autant plus si ça fait longtemps qu'elle infuse en nous (études, réflexions), peut être a-t-on l'impression d'avoir "perdu du temps" ? Une belle démarche, est de reconnaître ces pulsions, bien que sans les enfouir, les transformées...
-
Surtout que l'excellence -dans cette matière là spécifiquement- ne signifie pas grand chose dans la mesure où le but n'est pas de tendre vers une norme : "l'excellence" mais plutôt d'innover et de voir autre chose -plus loin, ou dans une direction différente-.
-
L'imagination est plus importante que la savoir ! :) Ce type de comportement est assez inutile puisqu'il ne vise qu'à se sentir supérieur. Une véritable démarche pour vouloir progresser est d'expliquer son point de vue en expliquant aux autres intervenant les termes/concepts qu'il a employé car généralement, c'est très abordable. Bien sur, en toute modestie.
-
Ça ne changerait pas grand chose niveau pollution : il faudrait toujours se débarrasser de nos déchets. En plus ça serait extrêmement coûteux (c'est comme vouloir faire de la culture de soja en Sibérie: c'est possible mais c'est coûteux)... x)
-
Le mal est l'absence de bien. Tout comme le froid est l'absence de chaleur et l'ombre l'absence de lumière. Le mal, le froid, l'ombre n'existent pas d'eux mêmes, ceux sont des mots pour caractériser l'absence d'une quantité. Maintenant la question est de savoir quand pouvons nous parler de "mal" et parler de "bien". Il devrait y avoir un palier où il n'y aurait tellement pas de bien qu'on serait obligé d'affirmer que c'est mal. Le problème, c'est que ce "palier" est variable selon l'être. Quelqu'un peut avoir une certaine "tolérance", alors que d'autres non. Par exemple, un non croyant peut très bien tolérer de la part d'un musulman qu'il ne fasse pas le ramadan tandis que pour un autre musulman c'est plutôt mal car cette personne se définit comme étant un musulman mais ne respecte pas les règles et peut donc le voir comme un "outrage" en tant que musulman. Il y a des millier d'exemples par rapport aux époques et aux lieux. Par exemple, avant, les religieux pensaient que ce qu'ils appelaient "l'hérésie" étaient le mal absolu tandis que maintenant c'est beaucoup plus flexible. Pareil, si on considère une famille arabe et une famille Allemande, par exemple, elles n'auront pas le même "palier".
-
Dans ce cadre là, tout est pure croyance. Suffit de définir ce que on appelle "preuves" et "indices" et si c'est suffisant pour déterminer la valeur de vérité de telles propositions. Si je définis que tous les indices (par exemple, le fait je voie mon ordi en ce moment) ne sont pas suffisant pour déterminer la valeur de vérité de telles propositions alors je suis en droit d'affirmer que mon ordi, malgré le fait que je le voie, si il existe, cela ne relève que de pures croyances. En généralisant à tout, on se rend bien compte que le concept est inutile.
-
Ces limites existent sinon on ne serait pas en train d'en parler ! Certains géographes pensent que le pic pétrolier serait atteint dans quelques décennies, c'est pas si loin que ça.
-
Le fait est que le mal n'existe pas de lui même.
