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Savonarol

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Tout ce qui a été posté par Savonarol

  1. Ben justement non, même l'idiot du village est capable de comprendre qu'on se paye sa tête. Donc non, ça ne nécessite pas "un certain intellect".
  2. Non plus non. Même le dernier des mongoliens peut être triste parce qu'on se moque de lui.
  3. Depuis quand il faut de l'intelligence pour être triste ? Comme je te comprends ! C'est une question de disposition d'esprit en fait. Perso, je préfère céder à la postérité une autre forme de leg. Le fait que vous soyez des femmes joue aussi énormément. Tout comme le fait que je sois un homme. Il y a aussi la transmission, mon père ne m'a pas légué de "modèle de paternité enviable" , bien au contraire.
  4. Oui j'étais tout ça, bien sûr, mais je n'en avais pas conscience, comme tous les enfants. (car les enfants sont bêtes) Oui bien sûr, je comprends tout à fait le rôle de l'instinct de reproduction là-dedans, mais justement j'en suis dépourvu. S'il s'agit vraiment d'un instinct ? Je n'arrive pas à voir l'enfantement autrement que rationnellement, précisément. Oui encore heureux. Du reste je subis un peu ceux des autres parce que tout ce que je viens d'écrire est absolument pas le genre de choses qu'il faut dire en société. Je suis un homme, d'ailleurs je me demande si une femme peut avoir le même genre de disposition d'esprit que moi à ce sujet ou si c'est plus un truc de mâle.
  5. Quand j'avais 20 ans, je disais à qui voulait l'entendre que jamais je n'aurais d'enfants. On me répondait que je changerai, qu'à 30 ans je ne dirais pas la même chose. A 30 ans, je n'en voulais toujours pas. On me disait que ça ne durerait pas, qu'à 40 ans j'en voudrais, que ça commencerait à me travailler. J'ai 41 ans et je n'en veux toujours pas. Pire, plus le temps passe moins je les supporte. Je veux dire, ok y a des enfants choux, à titre individuels je suis capable de m'entendre (si ça dure pas trop longtemps) avec les enfants de ma soeur ou ceux des amis, à faire bonne figure... Mais purée, le gosse cristallise sur sa personne tout ce que je déteste : bruyant, cruel, stupide, dépendant, surexcité... Alors ok l'être humain, comme tous les animaux, dispose d'un instinct de reproduction, mais quand même, c'est pas un hasard si on note que ce sont toujours les milieux les plus défavorisés - donc les plus bêtes - qui font le plus de gosses. En plus, d'un point de vue esthétique, le bébé humain est quand même carrément laid par rapport à un chiot, un ourson ou un chaton. Du coup je me demande, la volonté de faire des gosses, ça vient d'où chez les hommes ? J'arrive à peu près à comprendre pourquoi , perso, je suis totalement dépourvu de l'envie de me reproduire (absence de modèle paternel, concept de "couple" liberticide, idéal familiale cauchemardesque, conciliation avec le sexe faible laborieuse), mais vous, qui avez fait des enfants, franchement, qu'est ce qui vous a pris ? Un vide à combler ?
  6. J'ai une meilleure idée : je suggère la création d'un pays 100% dédié aux français de souche. On appellerait ça la France, qu'en dis-tu ?
  7. Savonarol

    Le racisme anti-blancs

    Plus sérieusement, c'est pas la question de savoir s'il est minoritaire ou non : il existe, et le problème vient du fait qu'on en nie bien souvent l'existence. Il existe mais c'est juste qu'il se manifeste différemment que le racisme anti arabe ou noir. Il est exercé par le sous-prolétariat de banlieue (la racaille) à l'encontre de ce qui est blanc, et plus largement de ce qui incarne la France identitaire (blanche et chrétienne) coupable à leurs yeux de leurs malheurs et de leur statut de parias. Du coup, produire une hiérarchie en disant "dans mon top 5 du racisme je mets le racisme anti blanc en 5eme position" c'est pas judicieux, car soit on admet que le racisme est un problème et on le combat, quelque soit sa forme, soit on est dans la croyance idéologique que seule une catégorie de la population mondiale ("les blancs") sont ontologiquement capables de racisme, ce qui est 1) faux 2) en soit une analyse... racisme des rapports humains.
  8. Savonarol

    Le racisme anti-blancs

    Une fois, je fouettais l'un de mes esclaves nègres tranquillement, et il s'est retourné vers moi pour me dire "Espèce de sale blanc ! Un jouw, tu paiewas pouw tes cwimes !" Alors camembert.
  9. Savonarol

    Le racisme anti-blancs

    Ce qui est infiniment grave, avec le racisme anti-blanc, c'est qu'une large partie de la population va jusqu'à nier son existence, ce qui n'est pas le cas pour le racisme anti-noir, anti-arabe ou anti-juif.
  10. Je m'indigne également lorsqu'on s'indigne que je m'indigne.
  11. S'indigner à bon compte, de manière anonyme sur les réseaux sociaux, c'est avoir l'impression d'exister un peu quand on n'existe pas du tout. C'est le versant "public" des lettres de délations pendant l'occupation, et c'est même pire d'une certaines manière car c'est fait devant tout le monde, sans honte. Si Twitter était une ville et moi un chef de guerre, j'ordonnerais qu'on passe la ville au napalm.
  12. On dirait un film d'horreur sérieux, le vieux curé décharné qui ne veut pas lâcher l'enfant à ... SACRIFIER AUX FORCES DU MAAAAAL HAHAHAHAHA Ouais mais c'est twitter, c'est à dire un asile psychiatrique à ciel ouvert. (métaphoriquement parlant)
  13. Oui je suis d'accord que des gamins handicapés ont bien le droit, eux aussi, d'avoir des parents normaux. Ce qu'il serait intéressant de savoir, c'est si les couples homos acceptent ces propositions d'enfants handicapés... ou pas. Et je ne parle pas d'aptitude, mais de cadre. Faut pas être bien futé pour élever un gosse. L'humain est tout de même programmé pour ça, reste que l'intéret du gosse est tout de même d'avoir les meilleurs repères que peut lui offrir un paradigme d'élévation, donc de connaître la bivalence maternelle et paternelle. Ce qui moi me navre, c'est qu'on a beau le dire, les gens en face s'en foutent. Peu importe la réalité tant que leur position gagne à la fin.
  14. Trouve moi un couple homo qui a adopté par les voies légales françaises. La réalité c'est qu'au delà de l'idéologie, tout le monde sait qu'idéalement, un gosse qui grandi avec son papa et sa maman c'est le mieux qu'il puisse avoir. Donc forcément, le gamin en adoption se verra toujours confié de prime abord à une famille standard, équilibrée, où il pourra être élevé par un père et une mère. Et c'est pas illogique, les pédopsychiatre soulignent depuis toujours l'importance de la structure familiale dans le développement de l'enfant, l'importance du modèle maternel et paternel, l'importance de leur complémentarité pour structurer le gosse. Alors même si des psychologues d'Etat ont été payés pour venir faire la promotion du mariage pour tous en 2013, sur les plateaux de TV, même ceux là sont vite retourner professer la réalité après ça. Oki..
  15. C'est pile dans le sujet au contraire. Les homosexuels représentant un segment de marché pour le secteur du business de l'adoption, depuis qu'ils ont le droit d'adopter. Il y a toujours eu des meurtres, des viols, des actes de barbaries, c'est pas pour ça qu'on doit s'assoir dessus et encore moins les légaliser. Franchement, l'argument de "ça a toujours existé" me dépasse.
  16. La loi ne précise rien du tout mais ça reste comme ça si tu passes par le système d'adoption classique en France. Et même comme ça y 'a un temps d'attente super long, genre 7 ans. Ca veut pas dire qu'un couple gay sera refusé, mais il sera juste placé sur les listes d'attentes dans le cas hypothétique ou plus aucun couple classique ne soit en mesure d'adopter. Et comme bien sûr ça n'arrivera pas (au vu de la demande)... C'est pour ça que les gays adoptent à l'étranger, dans le quart monde et veulent à ce point que la GPA soit légalisée. Tant qu'il y a des couples capables de fournir à un gamin une mère et un père, j'imagine que le système de l'adoption française ne voit pas au nom de quoi il refuserait cette opportunité à un gosse. Et il a raison.
  17. C'est pas pour ça que c'est bien d'encourager la chose.
  18. En l'occurrence, l'étude dont je parle était une étude commandée par le lobby gay. C'était la leur, à eux. Simplement leur manière de l'interpréter était assez particulière, comme je l'ai expliqué. C'est un peu comme si moi je commande une étude pour connaître le prix des betteraves, on me dit "c'est 5 centimes pièces" et moi je conclus " la betterave est donc un légume excessivement cher, que seuls les millionnaires peuvent se payer". Après je rends MA conclusion et on dit "ah, vous voyez bien que les études disent que les betteraves sont chères".
  19. Y'a pas un seul argument religieux dans tout ce que j'ai écrit.
  20. C'est faux, bien sûr. La manière que le lobby gay avait d'interpréter les soi-disant études qu'il commandait était particulièrement tronquée et hypocrite. J'en avais déjà parlé il y a peu, mais genre une étude montre que les enfants élevés par des couples homos développe 25% de plus de dépressions et de tendance à prendre de la drogue, et la dite étude de conclure "il n y a donc aucune différence entre les enfants élevés par des couples hétérosexuels et ceux élevés par des couples homos". L'idéologie aveugle ceux qui la défendent. C'est même à ça qu'on la reconnait.
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