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Tout ce qui a été posté par Savonarol
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Bah, j'ai toujours été dubitatif quant à la capacité d'un homme perpétuellement en campagne électorale et soumis à la roue du pouvoir à être honnête et intègre.
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Le racisme est généré par les problèmes sociaux : réglez les problèmes sociaux, et personne n'aura de raison de cristalliser son désespoir sur une couleur de peau ou une religion. Les riches blancs n'ont jamais eu envie de faire la peau aux riches noirs. "Riche" est par-delà toute couleur de peau et toute orientation sexuelle. C'est tellement évident que l'on a pas de raison d'être méchant si on a de quoi être heureux.
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http://youtu.be/YRErzmrer4E Pour ceux qui n'auraient pas regardé l'émission "des paroles et des actes" sur France 2, ce petit passage à propos des français, de leur foi en la politique et de leur confiance en la démocratie.
- 519 réponses
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- démocratie
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J'ai jamais prétendu que c'était facile, je me suis contenté de différencier la vie de la mort et de trouver la vie préférable à la mort. Et j'ai dit chatte
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C'est vrai que la mort est infiniment plus rapide à donner que la vie, le résultat est aussi beaucoup plus vivant. Poésie, naissance, défonçage de chatte, et avortement , dur de me faire une idée dans tout cet amour "Le niveau de conscience n'est pas ce qui décide de la vie ou de la mort des uns et des autres" < -Si ? J'ai toujours cru que c'était simplement la notion de vie qui désignait la vie et ce qu'on en faisait.
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Cyniques oui, décomplexés beaucoup moins. J'ai jamais eu l'impression de baigner autant dans une marre à puritains qu'en 2014.
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Que l'avortement n'est pas éprouvant ? J'ai lu le contraire tout au long du fil.
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Il a de la valeur de par son essence humaine. Le niveau de conscience n'est pas ce qui décide de la vie ou de la mort des uns et des autres, c'est pourquoi on n'éxecute pas les vieux atteints de la maladie d'alzeihmer, de démence précoce ou les handicapés mentaux, qui sont pourtant selon la même définition "des amas de cellules sans conscience".
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En effet, la vie est ce qu'on en fait, selon qu'on l'autorise ou non à exister et en fonction de quoi. C'est pour ça, pour ce regard qu'on a sur la vie, qu'on prend soin de nos enfants et qu'on enterre nos morts. Il y a un déférence et un respect naturel de l'homme pour lui-même, et quelque soit sa forme ou sa hauteur, un être humain est respecté pour ce qu'il est et pour ce qu'il représente, qu'il soit sénile ou nourrisson, conscient du monde ou à l'état végétatif, notre regard sur l'humanité construit ce que nous sommes. Où sont gravées les lois naturelles? Ca m'intéresse d'autant plus que la référence a un genre de droit naturel ne sort pas habituellement pas de la bouche de ceux de ton camp idéologique.
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Un droit naturel ? Ca pousse sur quel arbre ? C'est quoi "un droit naturel" ?
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C'est pareil, c'est pas parce que je suis un homme que tout à coup je devrais être motivé par un genre de haine aveugle du haut de mon point de vue mâle. Les responsabilités dont je parle pour la mère ne dispensent pas le père d'en avoir, et je ne considère pas l'enfant à venir comme moins important pour le père que pour la mère, simplement c'est la mère qui le porte, alors quand on parle d'IVG, il me semble logique de faire référence à la responsabilité de la mère puisque c'est elle qui avorte, et pas le père. Et j'ai pas besoin de m'être fait rouler dessus par un camion pour avoir un avis sur le code de la route. J'écris : En quoi souhaiter la vie pour tout le monde est un acte de haine envers celle qui la porte? Ca répond à ta question sur l'obligation d'un genre de choix entre le bébé et la mère- qui impliquerait que je privilégie l'un sur l'autre - là où je considère que c'est un choix entre vie et mort dans lequel le choix de la vie est gagnant pour tout le monde.
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Qu'est ce qui peut bien te faire croire que je libère le père de sa responsabilité de père dans ce que je t'explique de ce que je pense? Putain mais la lourdeur.
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Pourquoi ma sympathie s'exercerait à l'aune de la mort de l'un des deux partis ? En quoi souhaiter la vie pour tout le monde est un acte de haine envers celle qui la porte? Tu ne comprends strictement rien à ce que je t'écris, est-ce que tu t'en rends au moins compte ? J'ai l'impression de parler avec une boîte de mécano qui cherche "la bonne combinaison" pour pouvoir rester en lisse avec ses 4 roues crevées.
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Quand une femme refuse une grossesse alors qu'elle n'encourt pas de risque de santé particulier parce que le pays où elle vit est doté d'un système de santé en bon état (pour l'instant) et qu'elle ne risque pas de se retrouver à la rue avec son enfant, quand son enfant peut être confié à l'adoption, mais qu'elle refuse quand même; on peut donc parler d'IVG de confort puisque c''est cela qu'elle privilégie. Ce qui ouvre une autre question " le confort est-il plus légitime que la vie?" Comme je l'ai dit, la pédagogie se fait en amont. Nous vivons dans une société de consommation, un monde narcissique ou le rapport à l'autre n'existe que par rapport à soi. C'est une mauvaise chose que de déresponsabiliser les gens, et en particulier lorsqu'une vie est en jeu. Après il y a tout un tas de questions connexes, genre la surpopulation, etc... Je ne suis pas contre étudier de réserver le droit à un enfant ( comme ce fut le cas en Chine) , par contre notre rapport à l'enfant qui autorise à qu'on en fasse ce qu'on en voudrait alors qu'il est déjà là; ça ça me gêne. Pourquoi ? Au nom de quel principe ? De quelle règle immuable ? De quelle loi sacrée? Rien n'est immuable, tout change. C'est parce que tu ne connais pas le sens des mots que tu emploies, comme beaucoup d'autres personnes d'ailleurs. Quand tu entends "confort" tu visualises un type dans un canapé avec un martini. Tu as l'image d'épinal du mot. Si tu ne veux plus que j'utilise "confort" pour nommer l'avortement qui se fait sans autre raison que le confort individuel de la mère potentielle à ne pas l'être ( c'est à dire qui ne risque ni la mort ni la pauvreté , ni l'ostracisation par la société) alors dis moi quel qualificatif il est confortable pour toi que j'utilise?
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C'est de ça qu'on cause avec black cat depuis le début.
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Je ne considère pas la grossesse comme une dégradation, à titre personnel j'ai beaucoup de considération pour le statut de mère. Ensuite, je sais bien que c'est le sentiment d'une bonne partie des gens de considérer la maternité comme une insulte ou une dégradation. Je pense l'inverse. Ce que je dis, c'est qu'il existe une alternative à la mort. Et ma position c'est que les alternatives à la mort devraient être prises en compte au lieu d'être balayée d'un revers de main, parce qu'élaborer sa manière de voir le monde autour du mépris de la vie me semble dangereux. On me parle de risque zéro, je dis qu'il n'existera jamais. On me parle de choix de la femme à être mère, je réponds qu'il existe l'adoption plutôt que l'IVG, pour peu qu'on ait à choisir entre l'un et l'autre. Et il n y a aucune contradiction là-dedans, l'adoption légale en France n'a pas attendu les lubies des gays pour être débordée en terme de demande.
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On en revient à ce que je dis sur une société qui ne se base jamais sur le risque zéro pour fixer le cadre de sa loi.
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C'est parce que cette population rom là, nomade, est celle qui pose problème, c'est de celle-là qu'on parle. Pourquoi si ça me parait évident à moi, cela ne le serait pas pour d'autres ? Cette lubie de la précision, comme si on ne comprenait même pas ce qu'on voulait dire, c'est vraiment dans l'air du temps. Utiliser des mots comme "stigmatisation" ou "racisme" , je m'en rend compte, ne sert finalement qu'à endiguer le discours de l'autre, celui qui dit "mais attendez, il y a un problème" et à qui on répond "fais bien gaffe à ce que tu vas dire" au nom de la sacro-sainte angoisse envers la généralité. Et on finit par confondre généralité et totalité. C'est un travers que ne comprennent pas les roumains, par exemple, avec ce sujet. Eux, lorsqu'ils évoquent les tziganes et leur comportement délinquant, ne se voient pas confrontés à une digue morale qui les forcerait à préciser leur propos comme si ils avaient le cul sur un tamis, jusqu'à ce que la moindre petite présomption de racisme soit filtrée. Je crois que les gens ont peur d'eux même, et que c'est pour ça qu'ils se noient dans la décorticage et oublie que la généralité sert d'outil dialectique alors que la "précision" noie le débat dans le détail.
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Alléluia !
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@bonobo C'est de ça qu'on discute : si le "droit" à avorter ne se base plus que sur des éléments de conforts, et non sur une réelle mise en danger de la femme qui porte l'enfant, alors il n'est pas anormal de reconsidérer ce "droit" à l'aune de ce qu'est devenu le monde.
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Le fait que l'adoption existe et que les demandes sont toujours plus fortes que l'offre implique qu'il n y a pas d'imposition d'un enfant à sa mère, simplement de la responsabilité de mener sa grossesse à terme.
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C''était l'objet de ma démonstration : lorsqu'on parle des roms, on parle de ce par quoi ils caractérisent leur communauté ( le nomadisme ) et par quoi ils font l'actualité (la mendicité claudiquante, les petits larcins etc) On ne parle pas d'une communauté qui ne pose pas de problèmes en la nommant sur l'origine de ce qu'elle est. Ce n'est pas que la majorité des gens pensent ou non que les roms ne sont que nomades, c'est que les roms qui font l'actu ne sont que les roms nomades, mais les médecins sédentarisés. Si bien qu'il est à peu près compris par tous qui est pointé du doigt lorsqu'on parle des roms en France en 2014, et à quel type de population on fait allusion. Est-ce le cas ici ? Est ce aux populations nomades qu'on a donné le droit de voter dans les municipalités ? Je ne sais pas, ça n'est pas précisé dans l'article. Mais qui parle des roms sédentaires? Personne; ils ne font pas l'actu; c'est à dire qu'ils ne se caractérisent pas en tant que rom puiqu'ils sont sédentaires. C'est toujours comme ça; on ne parle jamais des gens qui ne causent pas de problèmes. Une des manières de faire le tri et d'éviter l'amalgame serait de parler des Tziganes, puisqu'un Tzigane est par définition nomade et ne l'est plus lorsqu'il devient sédentaire.
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Il est grand temps de dénoncer haut et fort Vladimir Poutine. D’abord sur le plan économique. Car qu’a-t-il fait depuis 15 ans, concrètement ? Le pouvoir d’achat des Russes : il a doublé. L’inflation : passée de 100 % à presque rien. La balance commerciale : largement redressée et désormais excédentaire. Le taux d’emploi : en très forte hausse. La dette publique : passée de 90 % du PIB à 10 %. La pauvreté : divisée par 2. Bref, les chiffres parlent d’eux-mêmes : un échec lamentable. Au niveau politique : des élections régulières, de gros succès électoraux – bien loin de la situation de nos alliés en Chine ou en Arabie Saoudite. Évidemment, sa côte de popularité n’est jamais descendue sous les 65 % d’opinions positives, et elle est remontée à 80 % actuellement – tout ceci étant prévisible vu les chiffres économiques catastrophiques précédemment avancés. D’ailleurs, on se rend bien compte que les chiffres sont évidemment truqués, Obama plafonnant à 40 %, Hollande étant descendu à 15 %, et le taux d’approbation du Congrès américain venant de réussir l’exploit d’atteindre un seul chiffre, avec 9 % de satisfaction des Américains. La suite de l'article
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Tu comprends même pas ce à quoi tu réponds. Quand je parle de CONTEXTUALISER et que tu me parles de l'EGYPTE ANTIQUE, à quel moment tu BUGUES?
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Une vraie fabrique à pépites. (mais qui colle parfaitement à toute la logique de mort du personnage qui la défend)