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Tout ce qui a été posté par Savonarol
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Ca voudrait dire que la nature aurait tendance à s'auto-réguler en produisant des homosexuels dans une famille qui serait déjà grande, je trouve que c'est intéressant. C'est en effet un des résultats possibles à terme, mais comme la couleur de cheveux, la couleur des yeux etc.... Si les parents, un jour, peuvent "choisir" ce que sera leur enfant, ils peuvent donc également choisir son orientation sexuelle ( si elle est innée donc )
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Selon une étude datée de 2011, l'homosexualité féminine ne serait génétique qu'à 25%. Contrairement aux hommes, l'orientation sexuelle des femmes serait davantage déterminée par des facteurs sociaux et culturels. Le site du Monde rappelle qu'en 2010, des chercheurs de l'Université de Liège pensaient avoir tranché la question. L'homosexualité serait génétique et ne pourrait donc en aucun cas relever d'un choix ou d'une quelconque déviance psychologique, affirmait alors le chercheur Jacques Balthazart à l'occasion de la parution de son livre Biologie de l'homosexualité. On naît homosexuel, on ne choisit pas de l'être. La question a récemment été reposée en d'autres termes par une journaliste du site Live Science, Natalie Wolchover : «Les femmes hétérosexuelles sont beaucoup plus susceptibles de tomber enceintes que les femmes lesbiennes. Donc, en terme d'évolution, elles ont davantage de chances de transmettre leurs gènes.» Elle estime par conséquent que «les gènes qui rendent les femmes homos devraient se volatiliser du patrimoine génétique» au fil des générations. «Cela soulève la question suivante : pourquoi existe-t-il des femmes homosexuelles ?» Nathalie Wolchover une étude datée de 2011 qui établit que le lesbianisme est génétique à 25%. Cette étude révèle que des sœurs jumelles identiques (qui partagent donc 100% de leur ADN) ont plus de chances d'être toutes les deux lesbiennes que des «fausses» jumelles qui n'ont que 50% d'ADN en commun. «Ce qui prouve que, tous les facteurs environnementaux étant par ailleurs égaux, les gènes comptent», écrit Nathalie Wolchover. Les scientifiques ont élaboré une théorie pour expliquer comment l'homosexualité masculine se propage d'une génération à l'autre. En résumé, les chercheurs ont constaté que les mères et les tantes (uniquement du côté maternel) d'hommes gays ont tendance à avoir une descendance plus vaste que les mères d'hommes hétérosexuels. Selon cette même théorie, les facteurs génétiques qui favorisent l'homosexualité masculine favoriseraient aussi la fécondité des parentes d'hommes gays. Même s'ils ne s'expriment pas chez elles, les mères et tantes d'hommes gays qui transmettraient tout de même à leurs rejetons mâles les gènes favorisant l'homosexualité. Read more at http://www.atlantico.fr/decryptage/certaines-femmes-sont-lesbiennes-facteurs-genetiques-sociaux-homosexualite-homosexuelles-innee-acquis-gays-gay-pride-pierre-roub-397204.html#ovF31UHkV2d6H1hy.99
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Ils proposent quoi , les gens de ton bord grandfred ? Je veux dire, y a du concret à part vandaliser des quartiers de temps en temps? Vous savez que la politique c'est du réseau, et le votre ?
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Ca c'est on ne peut plus vrai, plus je vieillis et plus je me rend compte de l'immense travail fourni par le pouvoir pour terroriser les gens tout en faisant entrer dans leur inconscient que c'est "normal" . Je me rassure en me disant que j'ai grandi dans les années 90 et que jusqu'au milieu des années 2000, on avait encore un peu de liberté.
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Un des problèmes est la contradiction totale dans le port d'arme défensives comme les bombes lacrymo ou les matraques électriques; livre à la vente, mais qui risque à la comparution directe en cas de port.
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Barbarie ordinaire à Évry : un atroce fait divers chez Valls
Savonarol a répondu à un(e) sujet de Savonarol dans Actualités - Divers
Hahahaha :smile2: Comment dirait l'autre -
J'avoue que cette mesure dans la volonté de contre-pouvoir me dépasse.
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Les deux millénaires (minimun ) de génies, d'écrivains, de poètes, de philosophes, de compositeurs et de stratèges te remercient de leur rendre hommage à travers leurs couilles ^^ Et la poignée de femmes qui a su marquer la postérité te remercie de leur dénier leur talent au profit d'une oppression de la bite sur le vagin qui les aurait muselées, elles et leur génie.
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Faut savoir, soit je suis un masculine qui avance masqué, soit j'avance à découvert et dans ce cas y a rien de subliminal.
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Et alors j'aurais la même réaction de dépit si je voyais quelqu'un écrire " Marx mdrrrrr il avait une barbe et il buvait :lol: " Et Remi Gaillard n'est pas un philosophe, mais après tout tu peux très bien rire devant ce que tu ne comprends pas plutôt que devant ce qui est fait pour. C'est une démarche classique du désespoir.
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La population d'origine immigrée en France est conditionnée par deux choses : 1) la religion (l'islam ) qui est patriarcale, mais surtout qui est très pratiquée (contrairement au catholicisme déclinant en France et relégué au rang de folklore ) 2) La sous-culture US du ghetto, c'est à dire le rap, la promotion du pognon, de la femme-objet, de la compétition de force et de narcissisme (moi j'ai un gros flingue, moi j'ai une grosse bagnole, moi j'ai une belle bimbo etc) Les français d'origines immigrés (du Maghreb ici ) sont imprégnés des deux cultures. La première est leur racine, c'est la culture de leur père et de leur grands-parents qu'ils continuent de voir au bled en vacances, la culture de la tradition qu'ils retrouvent lors des mariages et des enterrements ou des fêtes religieuses musulmanes. La seconde est la culture dont on leur a appris à se revendiquer pour lutter contre "l'occupant" (comprendre : le colon blanc raciste) ; pour bien le comprendre il suffit d'écouter les textes des raps sur ces 20 dernières années Le mélange des deux, qui en plus sont antagonistes ça donne : l'irrespect du rappeur qui se croit victime mélangé à la culture patriarcale d'origine. Ce qui fait que dans l'inconscient de ce type; la blanche / française, en plus d'être une" fille de colon" ( politique de la repentance) est une "sale pute" qui discrimine le fils d'immigré qui la drague et qui par dessus le marché a quelques bribes d'une éducation où il est dit que la femme est soumise à l'homme. C'est toujours un problème de haine de soi, quelque soit le sens dans lequel on le tourne.
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Tu considères que Caroline Fourest est raciste lorsqu'elle pointe du doigt le patriarcat importé par l'islam ( et donc par l'immigration) en France qui génère du sexisme et de l'homophobie?
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J'ai pas tout lu de Nietzsche, par contre j'ai pas de culture philosophique académique, ce qui fait qu'aucun prof de philo ne m'a expliquer comment le prendre, mais c'est vrai que lorsque j'ai parlé de Zarathoustra à une amie qui est spécialiste des questions de philo, elle m'a dit que j'aurais mieux fait de lire cette oeuvre-ci en dernier parce qu'elle était le fruit de réflexions apportées dans certains de ses autres ouvrages ( que je n'ai pas encore lu ) Mais Zarathoustra est particulier, c'est rédigé comme une Bible. Ca a un sens quasi dogmatique (c'est presque plus de la poésie que du concept, c'est peut être pour ça qu'on hésite parfois à ranger Nietzsche chez les philosophes, et qu'on le dit plutôt penseur ) Il y a environ 12 ans, j'ai lu "par delà bien et mal" , mais j'étais trop jeune intellectuellement pour bien le comprendre, par contre Zarathoustra, ça me fascine. Il y a un magnétisme qui me capte dans chaque verset, j'ai l'impression de comprendre au mot tout ce qu'il dit. C'est pas souvent que ça me fait ça. J'ai trouvé la manière que Nietzsche avait d'aborder toutes ces questions, par l'intermédiaire de Zarathoustra, très intelligente, très pédagogique. Et finalement bien moins ambigüe qu'un texte biblique. Je m'avance à dire ceci : je crois qu'il y a certaines choses qu'on ne peut comprendre dans Zarathoustra qu'après avoir été éprouvé par la vie, et si on l'a été. Ce qui arrive forcément si on est un être profond, et dont qu'on se rapproche de la catégorie du surhomme qu'il tend à nous faire devenir. En fait, je crois qu'un être heureux risque de mal comprend ce texte parce qu'il me semble être écrit dans le but de considérer le bonheur comme quelque chose de non-nécessaire, voire de nuisible à la quête de l'homme pour devenir un surhomme. Digression pour digression ... Ca peut n'être qu'une impression, mais j'ai vraiment l'impression de le suivre à chaque mot qu'il écrit.
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Merci de me faire me sentir moins seul
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Certains biographes pensent que c'était l'effet de la syphilis, dans les deux cas, il aura pensé avant de devenir fou. (peut être trop, ça aura usé son esprit) http://www.lexpress.fr/culture/livre/nietzsche-en-proie-a-la-folie_771964.html
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Ses écrits l'ont rendu immortel. Et les tiens? Et puis la citation d'éléments hors contexte, c'est vraiment nul comme démarche. C'est malhonnête.
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Qu'est ce que la folie sinon la perception de la liberté du berger par le troupeau ?
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Nietzsche, mon p'tit pote
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Ah mais j'en ai autant au service des hommes, tu crois quoi ? Que je suis monocentré sur la femme ? Tu me lis très mal. Si je portais un masque, je ne serais pas ici en philo, je raconterais de la merde en politique, ce que tu as envie d'entendre, pour que tu me suives. Ca impliquerait que je ne dise pas ce que je pense moi; mais ce que tu crois que tu as envies que j'écrive.
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Ca viendra...
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Chez la femme tout est une énigme : mais il y a un mot à cet énigme : ce mot est grossesse. L’homme est pour la femme un moyen : le but est toujours l’enfant. Mais qu’est la femme pour l’homme ? L’homme véritable veut deux choses : le danger et le jeu. C’est pourquoi il veut la femme, le jouet le plus dangereux. L’homme doit être élevé pour la guerre, et la femme pour le délassement du guerrier : tout le reste est folie. Le guerrier n’aime les fruits trop doux. C’est pourquoi il aime la femme ; une saveur amère reste même à la femme la plus douce. Mieux que l’homme, la femme comprend les enfants, mais l’homme est plus enfant que la femme. Dans tout homme véritable se cache un enfant : un enfant qui veut jouer. Allons, femmes, découvrez-moi l’enfant dans l’homme ! Que la femme soit un jouet, pur et menu, pareil au diamant, rayonnant des vertus d’un monde qui n’est pas encore ! Que l’éclat d’une étoile resplendisse dans votre amour ! Que votre espoir dise : « Oh ! que je mette au monde le Surhumain ! » Qu’il y ait de la vaillance dans votre amour ! Armée de votre amour vous irez au-devant de celui qui vous inspire la peur. Qu’en votre amour vous mettiez votre honneur. La femme du reste sait peu de choses de l’honneur. Mais que ce soit votre honneur d’aimer toujours plus que vous êtes aimées, et de ne jamais venir en seconde place. Que l’homme redoute la femme, quand elle aime : c’est alors qu’elle fait tous les sacrifices et toute autre chose lui paraît sans valeur. Que l’homme redoute la femme, quand elle hait : car au fond du cœur l’homme n’est que méchant, mais au fond du cœur la femme est mauvaise. Qui la femme hait-elle le plus ? — Ainsi parlait le fer à l’aimant : « Je te hais le plus parce que tu attires, mais que tu n’es pas assez fort pour attacher à toi. » Le bonheur de l’homme est : je veux ; le bonheur de la femme est : il veut. « Voici, le monde vient d’être parfait ! » — ainsi pense toute femme qui obéit dans la plénitude de son amour. Et il faut que la femme obéisse et qu’elle trouve une profondeur à sa surface. L’âme de la femme est surface, une couche d’eau mobile et orageuse sur un bas-fond. Mais l’âme de l’homme est profonde, son flot mugit dans les cavernes souterraines : la femme pressent la puissance de l’homme, mais elle ne la comprend pas. — Alors la vieille femme me répondit : « Zarathoustra a dit mainte chose gentille, surtout pour celles qui sont assez jeunes pour les entendre. Chose étrange, Zarathoustra connaît peu les femmes, et pourtant il dit vrai quand il parle d’elles ! Serait-ce parce que chez les femmes nulle chose n’est impossible ? Et maintenant, reçois en récompense une petite vérité ! Je suis assez vieille pour te la dire ! Enveloppe-la bien et clos-lui le bec : autrement elle criera trop fort, cette petite vérité. » « Donne-moi, femme, ta petite vérité ! » dis-je. Et voici ce que me dit la vieille femme : « Tu vas chez les femmes ? N’oublie pas le fouet ! » — Ainsi parlait Zarathoustra.
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Les droits décident toujours à la mesure de ce qu'est l'individu. Par exemple, militer pour "le droit d'un homme à être enceint et à porter un enfant" est une stupidité sans nom, pourtant je suis sûr qu'il y en a déjà pour défendre ça. Qu'il y ait eu des excès dans la culture d'autrefois, c'est indiscutable. Qu'au nom de ces excès il faille sombrer dans l'excès inverse, c'est à dire renier notre nature pour ne devenir que des individus interchangeables assignables aux mêmes tâches, je dis non. La nature des femmes les pousse à enfanter, c'est leur nature. On peut tout faire pour leur rendre leur nature agréable, pour les rendre fières d'être de cette nature mais il est malsain de tenter de les convaincre qu'elles ne sont pas ce qu'elles sont. Le vrai droit des femmes, l'ultime, serait de salarier la femme qui décide d'être mère et de ne se consacrer qu'à ça. Les féministes ne le demandent même pas parce qu'elles partent du principe que cet état de fait est une réduction de la femme (puisque la femme dans l'esprit de la féministe est un homme et que la différence est une discrimination ) C'est un combat de nature philosophique et même spirituel, qui trouve ses racines dans la haine de soi et de sa nature profonde. La perpétuelle volonté de culpabiliser les individus pour les opposer les uns aux autres. Et c'est un peu plus complexe que le droit ou non de faire la vaisselle et le ménage...
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Desproges disait " Plus je connais les hommes plus j'aime mon chien, plus je connais les femmes moins j'aime ma chienne ! " :D
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La vidéo virale d'un bébé encore dans son sac ammiotique déchaîne les passions sur internet
Savonarol a répondu à un(e) sujet de Savonarol dans Actualités - Divers
Disons que la question de tuer ou non peut se discuter à partir du moment où l'on assume de tuer. (ce que peu de gens font) -
Une femme est son essence à mes yeux, c'est à dire ce que je ne suis pas. Une mère, une épouse, une protectrice, la paix, le refuge. C'est comme ça que j'envisage une femme, ça n'est pas une question de chromosomes comme dit crabe-fantôme ou d'égalité, c'est une vision du monde qui se base aussi sur la logique et l'intime conviction. Et si tu me répondais que je suis masculiniste, je te ferais la même réponse que lorsqu'il s'agit de politique : j'ai une vision globale de la politique (je suis marxiste) non identitaire ou sexuée. Mais je n'ai pas honte d'être un homme et j'estime qu'il n y a pas de honte à être une femme et à assumer sa nature au lieu de vouloir à tout prix lutter contre elle. Je ne comprend pas cette obsession à vouloir imiter l'autre plutôt que de s'épanouir dans sa nature. C'est à mon sens dangereux d'aller contre soi pour des raisons politiques, c'est à dire de bâtir un monde autour de présupposés égalitariste, et de se presser à renier sa nature (et à renier même l'existence de sa nature) pour devenir uniforme. Ca rejoint assez bien le topic sur la haine de soi par ailleurs.