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Mite_Railleuse

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Tout ce qui a été posté par Mite_Railleuse

  1. Mais nous continuons toujours à nous reproduire ! De façon exponentielle et en écrasante majorité de manière ”naturelle”. Je ne comprends pas cette focalisation sur des cas particuliers, extrêmement minoritaires...
  2. Le ”wokisme”... Néologisme qui vient grossir la liste de ces mots fourre-tout que sont ”fascisme”, ”islamo-gauchisme”, ”féminisme”... Utilisés la plupart du temps dans une stratégie de l’épouvantail et dont la définition originelle s’est perdue dans des limbes partisanes. @hell-spawn Partant de ce constat, pourrais-tu donner ta définition, claire, du wokisme ? Qu’il n’y ait aucune ambiguïté sur la teneur de tes propos...
  3. Le meilleur de certains est le basique d’autres. Tout cela est bien nébuleux, comme d’hab. Des mot alignés les uns derrière les autres et qui ne veulent pas dire grand chose...
  4. En parlant de Barjavel, il y avait ”Ravage” dans une armoire à livres, je l’ai pris...
  5. Je crois que j’aurais dû grossir le NB, au lieu de le rapetisser
  6. Bah, il restera toujours le centre de votre cerveau ! NB pour notre ami @Leeberte: j’avais le choix entre réussir tous mes créneaux du premier coup ou avoir le goût du second, voire même au-delà, degré ! Je ne réussis pas tous mes créneaux du premier coup...
  7. Ouf tu m’as fait peur ! Je pensais que c’était empirique, et que tu pouvais nous en parler en connaissance de cause. Soulagée je suis...
  8. Ouais ! T’aurais tes ragnagnas tous les mois, tu devrais prendre la pilule pour pas avoir de moutards, tu chierais tes créneaux une fois sur deux, tu chialerais en regardant les films d’amoooooour, et tu degoulinerais devant un chaton... Tu veux dire que tu connais des gens qui veulent émasculer et nichoniser ?
  9. A quoi ça tient quand même ”être” un homme, une femme, ou pas ! A quelques poils...
  10. Pareil, je ne comprends pas ce laxisme ! Quels sont les raisons, arguments pour ne pas les expulser après un délai RAISONNABLE pour qu’ils puissent trouver autre chose ?
  11. Ouais, tous des barbares !! En revanche, je me suis laissé dire que Torquemada était un homme fort sympathique et que les ordalies et autres procès en sorcellerie étaient des spectacles des plus conviviaux...
  12. Putaing, y a du level ! La beaufitude en marche...
  13. C’est important de pouvoir ”se targuer” ?
  14. Ayéééé, retrouvée, merci !
  15. Bon aye, j’ai ma tablette Samsung et je rame un peu parce que chuis habituée à l’IPhone, mais j’imagine que je vais m’y faire... D’ailleurs je suis dessus et j’ai pas trouvé les accents que l’on peut rajouter sur le ”e”. Purée c’est vraiment pas intuitif pour moi et j’ai déjà fait une connerie. J’ai enlevé la barre du moteur de recherche sur la page d’accueil et je sais plus la remettre... C’te nouille quand même !!
  16. J’aime beaucoup « grosse promotion sur le linge de maison » !
  17. Oui, et effectivement, même s’il n’y a pas la chance de rencontrer un autre homme, ça apporte un autre prisme de lecture à celles et ceux qui ne conçoivent pas le bonheur et l’épanouissement d’un enfant sans son père, ou sans sa mère…
  18. J’imagine qu’il y aurait autant de situations que de personnes concernées…
  19. J’ai lu ça ce matin. Et j’ai trouvé bouleversant de justesse, tolérance, d’amour. C’est un pavé ! Mais un pavé magnifique… "Merci à toi de ne pas avoir voulu de ton enfant" : lettre au père biologique de mon enfant « Aussi étrange que cela puisse paraître, je suis particulièrement reconnaissante au père biologique de mon enfant de n’avoir pas voulu la reconnaître. Pourquoi ? Parce que j’ai découvert qu’un papa, cela pouvait se choisir. Que l’ADN était une chose, mais que l’amour en était une autre. Du coup de foudre au “Je ne suis plus sûr …" J’avais 23 ans quand je suis tombée enceinte de ma grande. Et, que vous le croyiez ou non, ce fut une enfant désirée, par les deux. Le coup de foudre. Ni plus, ni moins. Cela peut sembler banal voire carrément cliché, mais c’est pourtant ce qui nous est arrivé, à son père et moi. J'ai su, en le voyant pour la première fois, qu’il serait l’homme qui me donnerait un enfant. C’était inscrit en moi, en nous. Une évidence. Une attraction génétique. Les mois sont passés. Je vivais au Pérou avec lui. C’est lui le premier à m’avoir parlé d’un petit “nous deux”. Et il n’a pas fallu longtemps pour que je me laisse convaincre, abandonnant, un jour, ma pilule. Et puis, à la première tentative, la petite graine s’est installée. Lui qui rêvait d’avoir une petite fille était tout fier. Je me souviens de lui, à la première écho, à deux doigts de tomber dans les pommes quand il a entendu son petit cœur battre. Il en est ressorti tout chose, en pleurant de joie, dansant dans la clinique, clamant haut et fort à tous qu’il allait devenir papa. Et pourtant. Pourtant, aussi évident que le fait qu’il serait celui qui me ferait devenir maman, je crois qu'il était tout aussi évident qu’il ne serait pas le père de ma fille. Par “père”, j’entends celui qui l’élève, qui s’inquiète pour elle, qui met sa propre vie entre parenthèse pour son bonheur. Et puis un jour, il me l’a dit : “je ne suis plus sûr de vouloir être père”. Comment réagir ? Je ne dis pas que ma réaction a été la meilleure qu’il soit. Je ne prétends pas avoir la réponse à cette phrase, lâchée entre la poire et le fromage. Mais ce que je sais, c’est que je l’ai écouté. Et compris. Je l’aimais, cet homme. Plus que tout. Et parfois, je le pense sincèrement, quand on aime quelqu’un, il faut savoir le laisser partir. Il se peut que votre compagnon, que cela fasse 1 ou 15 ans que vous soyez avec, vous lâche un jour cette phrase. Il se peut, bien-sûr, que cela soit une passade, une interrogation. Et c’est là tout le mal que je vous souhaite ! Mais il se peut également, comme pour moi, que vous sentiez au plus profond de vos entrailles que non, il n’est définitivement pas prêt. J’aurais pu, j’imagine, insister. Attendre. Faire preuve de patience. Espérer un changement d’avis une fois qu’il aurait vu sa bouille. Lui dire qu’il devait, coûte que coûte, au prix de son bonheur, assumer. Parce que c’est ça que font les hommes : ils assument. Mais je l’aimais trop pour ça. Je le voyais angoissé à l’idée de devenir père, d’avoir cette responsabilité à vie. Une intime conviction qui me laissait croire qu’il ne s’agissait pas d’une passade, mais d’une peur ancrée en lui. De cette peur qui se lit dans le regard de celui qu’on aime. Et contre laquelle on ne peut rien. Alors, je ne vais pas vous le cacher, c’est en larmes que nous nous sommes quittés. Pas d’amertume, rien de tout ça. Nous nous sommes embrassés, pour la dernière fois, un 6 juin. C’était à l’aéroport. Il a embrassé et caressé mon ventre puis a tourné les talons. Je suis rentrée en France. Comprendre et accepter En rentrant en France, j’espérais encore (un peu) qu’il me rejoigne, comme il me l’avait promis. Mais je savais, au fond de moi, dans le cœur même de notre bébé qui grandissait, qu’il ne viendrait pas. Les contacts ont commencé à être de plus en plus tendus. Moi, j’étais là, avec mon ventre qui s’arrondissait, les premiers coups de bébé qui me faisaient réaliser que j’allais devenir mère. Et lui qui me parlait de sa vie, là-bas, dans son monde. Son quotidien, ses soucis. Le clivage. Je ne sais pas si ce fut en une minute ou en plusieurs mois, mais un jour, ce fut une évidence. Il ne viendrait pas. Et je ne lui en voulais pas. Jamais je n’aurais pu l’obliger. Je l’aimais pour celui qu’il était. Et il était libre. Et non, je ne pouvais pas lui en vouloir d’être cet homme-là. D’avoir cru être capable. D’avoir pensé (et espéré) être prêt. Et un jour, j’ai accepté. Accepté qu’il ne soit qu’un père biologique. Accepté qu’il ne l’aime pas comme un papa aime sa fille. Je sais que dans son cœur, il y aura toujours une place pour elle. Mais il n’était pas fait pour être père. Ce n’était pas le moment et ce n’était pas moi qui ferais de lui un père épanoui. Il n’a pas souhaité reconnaître sa fille. Et, sans mauvais jeu de mot, c’est aujourd’hui moi qui lui en suis reconnaissante. Merci, du fond du cœur. Expliquer à l’enfant On me demande, lorsque je parle de mon histoire, si ma fille est au courant. Et, à chaque fois, je suis étonnée de cette question. Oui, elle sait. Elle sait que son papa biologique et sa maman se sont aimés. Elle a toujours su. Il n’y a rien de tabou dans son histoire : elle a été désirée. Elle sait que son papa de sang n’était pas prêt. Mais qu’elle a été tellement désirée qu’il est impossible que son papa n’ait pas une place pour elle dans son cœur. J’ai gardé nos photos, nos vidéos. Pour qu’elle sache d’où elle vient. Pour qu’elle le connaisse, même s’il est peu probable qu’elle le rencontre un jour. Pour qu’elle entende le son de sa voix. C’est elle qui, un jour, du haut de ses 5 ans, m’a dit “on ne peut pas forcer les gens”. Si, on pourrait. Mais en les rendant malheureux, en ne faisant d’eux plus que de pâles copies d’eux-mêmes. Sans âme. On peut, les garder à coup de peur. On peut, à coup de menaces. De tribunaux. De pensions alimentaires qui les ruineront. “Ils ont voulu des enfants ? Ben qu’ils assument !”. Mais je ne pouvais pas. Ce n’était pas moi. Contraindre cet homme que j’avais aimé à devenir père ? C’était hors de question. Jusqu’au jour où il est arrivé, son père. Mais pas celui qu’on attendait. À vrai dire, nous n’attendions rien. “Ben, c’est mon papa !” J’aimerais, pour le côté dramatique de l’article, vous dire que nous avons passé notre vie à nous lamenter, à attendre que quelqu’un vienne, nous deux, nous sauver. Paraît que ça fait vendre. Mais non, et je m’en excuse d’avance, mais ce n’était pas le cas. Pendant 4 ans, nous avons vécues heureuses, nous avions notre petit chez-nous, nos fou-rires, on partait en vacances, tout allait bien dans notre petit monde. Et un jour, il est arrivé, ce vieux copain de Fac. Et nous avons commencé à passer du temps ensemble. À trois, sans arrière-pensée. Il m’appelait de plus en plus. J’aimerais vous dire que ce fut le coup de foudre, entre lui et moi. Mais ce serait vous mentir. Et puis, quand il appelait, c’était avant tout pour savoir comment ma puce allait. Et on a commencé à se rendre l’un chez l’autre pour les vacances, d’un bout à l’autre de la France. 10h de route. Puis ils ont commencé à papoter, les deux. À se faire des sorties. “Non, mais reste-là, j’m’en occupe. Repose-toi, ça ne me dérange pas”. Et sans qu’ils s’en aperçoivent, ils se sont mis à parler un langage qui n’était pas le mien. Le leur. À eux deux. Celui que personne d’extérieur ne peut comprendre. Chaque séparation était de plus en plus difficile. Un jour, alors que nous étions retournées chez nous, ma puce s’est mise à dessiner des croix, sur des collines. En maternelle, la maitresse s’est posée des questions. C’était celle de la montagne qu’il y avait en face de chez lui. Et où ils étaient montés, rien qu’eux deux. C’est ce jour-là que nous nous sommes posés la question de notre avenir à nous. D’homme et de femme. De potentiel couple. Et puis, l’évidence était là, juste sous nos yeux. Et l’amour a grandi. C’est très rapidement qu’elle l’a appelé “papa”. C’est elle qui nous a uni. Et c’est lui qui, chaque matin, se lève pour lui faire son petit-déj. Lui qui s’inquiète pour elle. C’est l’un des rares papas à aller la chercher à l’école, tout fier qu’il est de sa fille. Ils s’étaient, tout simplement, choisit. C’est pourquoi je voulais te remercier de ne pas avoir voulu reconnaître ce petit bout de vie qui grandissait en moi. Je te remercie de ne pas avoir fait semblant, d’avoir continué ta vie. Finalement, d’avoir eu cette peur. Aujourd’hui, elle a 6 ans. Chaque matin, c’est lui qu’elle appelle. Et c’est lui qu’elle regarde en dernier avant de s’endormir. Et lui, il est tellement fier quand il en parle. Elle a tes yeux en amande, mais son sourire, ses mimiques, ses expressions, sa façon de voir le monde. Et elle est belle. Sur les photos, elle lui ressemble. Sois-en convaincu, elle est heureuse. Et bientôt, son petit frère va naître. Il n’est pas seulement le fruit de l’amour de ses parents. Il l’est de nous trois. De cette confiance mutuelle, de notre famille. Je suis fière, si tu savais, de lui offrir cela. Pour vous mesdames Mesdames, Si le papa biologique ne souhaite pas continuer l’aventure avec vous, vous avez bien des options. Je ne dis pas qu’il y en a une mieux que l’autre, qu’il faut tenter de le convaincre ou, au contraire, le laisser partir. La vie n’est ni toute noire, ni toute blanche. Et on a le droit de vaciller entre deux teintes. On a le droit, dans la vie, d’être pluriel, de ne pas –ne plus- savoir. Moi, il pensait vraiment être prêt. Mais il a vite compris qu'il ne l'était pas. Je pense sincèrement qu’un père absent est, finalement, bien plus bénéfique qu’un père qui ferait semblant. Et j’en connais, de ceux qui regrettent leur vie d’avant mais qui restent “parce qu’il faut rester”. On a trop souvent tendance à se reposer sur les gènes, sur un simple ADN. Mais, croyez-moi, si vous êtes dans la situation dans laquelle j’ai été, alors je vous promets que, sans le chercher, sans même le voir, un autre homme pourrait entrer dans votre vie. Et tout ce que je vous souhaite, c’est d’en trouver un comme le mien. »
  20. Mite_Railleuse

    Loser

    Putain mais fais simple ! « On pourrait se faire un resto de temps en temps, qu’est-ce que t’en penses ? »
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