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Favras

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Tout ce qui a été posté par Favras

  1. L'« allocation universelle » c'est le communisme soustrait de la valeur travail. Une égalité salariale mais sans travailler. Prenez le fameux drapeau rouge, retirez lui la faucille et le marteau pour les remplacer par la télécommande et le paquet de chips. On croyait que le plus stupide était derrière nous, mais plus ça va et plus les utopies sont dégénérées.
  2. Le concept fumeux de "racisme implicite" est dans la parfaite morale inquisitrice des bigotes sans-frontièristes. Au second tour vous n'avez pas voté pour Hollande comme votre seigneur Jean-Luc Mélenchon vous l'a consigné ? C'est drôle, on ne trouve plus âme qui vive sur cette terre qui ait voté pour François Hollande, c'est à se demander comment a-t-il été élu président de la république... Serez-vous éternellement (de) gauche au point de ne jamais comprendre que l'immigration fait entièrement partie de ce business ? Pourquoi diable croyez-vous que le patronat réclame toujours plus d'immigration ? http://www.marianne....on_a207126.html
  3. Dernière étude d'opinion réalisée par l'Ifop : 24% des Français trouvent que « les pouvoirs publics luttent efficacement contre l’immigration clandestine ». 37% des Français considèrent que « l'immigration est une chance pour la France ». 67% des Français affirment qu’« on en fait plus pour les immigrés que pour les Français». 86% des Français estiment qu’« il faut passer d’une immigration subie à une immigration choisie ». http://www.valeursac...ce20131113.html Article 2 de la Constitution française : Le principe de la République est : gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple. La République aurait-elle changé de peuple ?
  4. Je rappelle que c'est la IIIe République qui a pour cela inventé le mythe du "nos ancêtres les gaulois". Les penseurs de cette époque ont quelque peu ethnicisé la France en théorisant que le peuple descendait des Gaulois tandis que la noblesse était les Francs venus les asservir. Pour nationaliser la France, la IIIe République l'a épurée de ses identités régionales en les écrasant.
  5. La source de cette étude est le British Journal of Psychiatry. Vous pouvez mourir tranquille. Dans le monde réelle dont vous semblez ignorer à peu près tout, les femmes qui travaillent ont des enfants pour beaucoup, ce n'est pas antinomique. En effet. La législation considère à peu de chose près que l'enfant ne devient un être humain qu'à partir du moment où on le voit, c'est-à-dire à l'accouchement, ce qui justifie moralement qu'on puisse le tuer à l’intérieur du ventre et plus à l’extérieur. D'une minute à l'autre il passe de "rien" à "être humain". C'est une considération politique qui n'a rien de scientifique. Ma position sur ce sujet est purement rationnelle, la votre est purement idéologique. Vous étiez tout aussi humain dans le ventre de votre mère qu'en dehors, cher Blatte, malgré votre pseudo d'insecte. C'est faux. Le cerveau du nourrisson n'a pas fini de grandir et de se développer (sauf pour certains allez savoir [clin d’œil]). Le cerveau du fœtus se développe tout particulièrement à la 7ème semaine durant laquelle se forme le cortex, les deux hémisphères, l'écorce cérébrale et la matière grise ; l'enfant en gestation prend cinq mille neurones à la seconde, possède une activité cérébrale (tout le monde ne peut pas en dire autant) et un cœur qui bat (là non plus). En somme, la croissance d'un être humain commence dans le ventre de sa mère et ne s'achève que vingt ans plus tard. L'accouchement n'est qu'une étape parmi d'autres. Vous vous enfoncez. Parce-que vous croyez que ce n'est plus « l'élite » qui donne le ton de vos idées et de votre mode de vie ? Vous n'êtes qu'un modeste réceptacle de la Bonne parole diffusée sur toutes les chaines de télévision. Vous ne pensez pas en dehors du discours bien-pensant, brave émetteur de poncifs dont le numéro de sécurité sociale a plus de caractère que l'individu. La surpopulation concerne des continents comme l'Inde ou l'Asie et certainement pas l'Europe où le problème est inverse : on se meurt démographiquement, avec un mode de vie individualiste qui a sa part de responsabilité. Je vous ai adressé des sources historiques dont votre vulgarité et votre bêtise n'ont "rien à carrer". Les femmes qui avortent parce-que leur santé est mise en danger de mort sont une infime minorité, et chacun comprend ce cas de figure exceptionnel.
  6. Si ce délai n'était qu'une méthode pour donner le temps à la génitrice que vous appelez abusivement "mère", alors il durerait tout le temps de la gestation du fœtus. Votre argument du droit à disposer librement de son corps est bancal, il ne tient pas debout puisqu'il s'arrête au bout de trois mois de grossesse. Si ce refus est volontaire, il découle de la liberté à disposer de son corps : c'est à dire à en faire ce que bon nous semble, y compris l'asservir. Et vous croyez que je vais me contenter de cette piteuse esquive ? Vos propos n'ont ni queue ni tête. Quel droit inaliénable a-t-on donné au fœtus qui empêcherait le commerce des mères porteuses au nom de la liberté de la femme à disposer de son corps ? C'est exactement ce que je dis. L'époque propose aux femmes un mode de vie individualiste – dans lequel l'aventure individuelle supplante absolument tout – et il faut pour cela que la fécondité soit parfaitement maitrisée, quitte à avorter pour ne pas changer son mode de vie. Le résultat, c'est que les femmes ayant avortés se retrouvent avec 81% de risques supplémentaires de manifester des problèmes mentaux, avec en outre le risque d’abuser de drogues qui grimpe à 230%, et celui d’avoir des comportements suicidaires à 155%. L'échec du féminisme contemporain a été de croire que la femme s'émanciperait par l'infanticide. Propos irrationnels qui sacrifient des centaines de milliers d'enfants en gestation pour une poignée émanant d'un viol. D'autant que pour la femme violée qui tomberait enceinte il est toujours possible d’accoucher sous x. On peut comprendre qu'une femme violée qui tombe enceinte ne veuille pas élever l'enfant, mais pourquoi cet enfant en gestation n'aurait-il pas le droit de vivre, en quoi est-il coupable de la manière dont il a été conçu ? Des tas de gens adoptés s'en sortent très bien dans la vie, et remercient sans doute le ciel de ne pas avoir été tués dans le ventre de leur génitrice. Par ailleurs, il y a largement assez de familles candidates à l'adoption pour se passer du massacre de deux cent mille fœtus par an. Dans votre logique utilitariste et anti-humaniste, on pourrait déclarer que dix innocents guillotinés valent mieux qu'un seul coupable libéré qui récidive. Et cette transition me permet de souligner le pseudo humanisme qui motive les pseudos progressistes contre la peine de mort, parce-que la vie est précieuse même celle du plus dégueulasse des criminels, motivation qui n'a plus la même tonalité quand il s'agit de sacrifier insensiblement la plus innocente des vies dans le ventre de sa mère sous le prétexte individualiste de l'émancipation de la femme.
  7. L'enfant prend conscience de lui même au stade dit "du miroir", c'est-à-dire entre un et deux ans. Votre raisonnement foireux considère par conséquent l'enfant de moins d'un an comme n'étant pas un être humain. http://www.cote-mome...-meme-c541.html M'en fous. Certes ; chacun contre-argumente avec ses moyens cognitifs. Quel rapport avec les hommes ? Vous divaguez en propos démagogues. Cette envolée pleine de ridicule va me permettre d'ouvrir un nouveau chapitre du débat. Les dégénérés contemporains sont en effet convaincus que l'avortement et la contraception (comme un bon nombre de symptômes typiques d'une civilisation en décadence) sont des progrès sociétaux. Il suffit d'un peu de recul historique pour se rendre compte du contraire. La contraception et l'avortement ont toujours plus ou moins existé, mais c'est dans la décadence des sociétés rongées par l'individualisme qu'elles connaissent une véritable inflation, ainsi la Rome de la République tardive et le monde hellénisé connurent ce piteux mode de vie (au moins chez les populations aisées), parmi les nombreux symptômes du déclin sociétal que nous vivons à notre tour et que les idiots prennent pour du progrès. David Engels fait le parallèle et raconte la baisse démographique de cette période, qui reflétait « un certain désintérêt pour la conception ou au moins l'éducation des enfants, au profit des plaisirs faciles et anonymes. (...) Ce style de vie ne peut être garanti que par l'utilisation de la contraception et de l'avortement. » Varron et Tacite en font par ailleurs la chronique.
  8. Si vous n'y voyez pas une vie humaine, il n'y a pire aveugle que celui qui ne veut voir. Les statistiques démontrent que la généralisation de la contraception n'a pas fait diminuer le nombre d'IVG. Le caprice féministe de négocier une vie contre un mode de vie, c'est cela qui est déshumanisant. Élément de langage inepte qui démontre que vous ne comprenez pas les mots que vous rabâchez scolairement. La "disposition de son corps" est un concept fumeux qui donnerait droit à la prostitution, à un esclavagisme volontaire, au commerce des mères porteuses, au suicide assisté du premier venu, etc... C'est une tentative d'humour ?
  9. La sensibilité chez le fœtus Le sens du toucher est le premier sens à se développer chez le fœtus. Presque en même temps que ses premiers mouvements, c’est-à-dire autour de la 8ème semaine, le bébé commence à répondre aux stimulations tactiles. Au début, seulement les lèvres ont de la sensibilité, mais en peu de temps les joues et le front deviennent de plus en plus réceptifs aux stimulations. Vers la 11ème semaine, les paumes des mains deviennent sensibles au toucher et l’enfant commence à se toucher le visage. L'enfant peut être avorté jusqu'à 12 semaines, soit par voie médicamenteuse qui consiste à injecter un produit qui l'empoisonnera comme un rat, soit par voie chirurgicale qui consiste à l'aspirer du ventre de sa mère comme un déchet.
  10. Il y a des tas de gens qui naissent sans avoir été programmés, ni sur le calendrier, ni sur la liste de course pour le samedi, et ça n'en fait pas des damnés de la terre. Il y a même des orphelins qui ont une vie adulte plus heureuse que bien des fils désirés. Prétendre que tel fœtus mérite d'être avorté au nom d'un supposé bonheur qu'il n'aura pas est à la fois grossièrement présomptueux et farouchement totalitaire. La dictature du bonheur au nom duquel on tuerait avant la naissance ceux que l'on considérerait comme ayant un pourcentage de chance trop faible d'être heureux. Staline chez les Bisounours. Votre logique condescendante omet de considérer que la fécondité, contrairement à ce qu'on pense abusivement de nos jours, n'est pas un programme que l'on télécommande à loisir ; des femmes tombent enceintes malgré la prise d'une pilule, et d'autres mettent plusieurs années à avoir un enfant, mais ça n'est jamais par hasard, la psychanalyse considère que l'inconscient provoque ou bloque la fécondité en dépit de la raison et de son arsenal contraceptif. Le problème est de vouloir tout contrôler absolument, au point de considérer comme un contretemps à éliminer le fait de tomber enceinte sans que ça ne figure dans l'agenda. Qu'on cesse immédiatement le numéro des femmes qui avortent pour cause de viol, malformation de l'enfant ou mise en danger de leur vie, car ce sont là d'infimes minorités parmi la masse qui avorte par mode de vie, parce-que l'époque dans laquelle on fait croire que la fécondité se programme parfaitement les y encourage, en déshumanisant le fœtus pour banaliser sa mise à mort, et en négligeant les séquelles psychologiques qui s'en suivent.
  11. Les pauvres. C'est un comble. Elles qui mettaient tant de hardiesse à avorter, voilà qu'elles se retrouvent avec plein de « filles et petites filles ». D'ailleurs à cette époque, Simone Veil ne souhaitait pas la banalisation de l'avortement que nos fossoyeurs post-humanistes, nos morbides néo-progressistes défendent aujourd’hui par la déshumanisation du fœtus ; elle considérait clairement l'avortement comme un drame, et les partisans de la dépénalisation de l'avortement étaient convaincus que le développement des moyens de contraception réduirait le nombre d'avortements. Or le nombre d'IVG est resté constant, massif, malgré l'arsenal de contraceptifs qui s'est développé, malgré tout le flan-flan préventif et la consommation industrielle de latex à tous les gouts et à toutes les couleurs ; malgré la pilule du lendemain, du surlendemain et de la veille ; le stérilet et l'implant ; les spermicides et autres patchs, l'anneau vaginale, sans parler des impensables « capes cervicales », « diaphragmes » et autres « progestatifs injectables ». http://www.choisirsacontraception.fr/ Ce délai est purement arbitraire, il a d'ailleurs été allongé insensiblement en 2001. Avant trois mois le fœtus est une vie humaine, et après trois mois c'est toujours le corps de la mère. Incohérence argumentative : arguments avortés. Soit nous vécûmes deux siècles et demi en opposition avec nos Droits de l'Homme, soit vous réinterprétez ceux-là à votre guise. La "disposition de son corps" érigée en sacro-saint principe devrait donner libre droit à la prostitution, à un esclavagisme volontaire, au commerce des mères porteuses, mais également au suicide sans que personne ne tente de s'y opposer, etc... Justifier 200 000 avortements à l'année en brandissant les 1% de femmes violées, voilà un cas d'école en matière de démagogie. La "bonne moralité" est la moralité moderne : celle qui considère l'avortement comme un progrès féministe intouchable. Ici le « bien-pensant » c'est vous. Quand il s'agit d'assumer la vie d'un enfant, la féministe grogne qu'il a été fait à deux ; mais quand il s'agit de décider de sa mort prématurée, c'est son corps et rien que son corps...
  12. Aucunement, vous êtes hors sujet. Votre assertion était de dire précisément que c'est à cause de la télévision et non de leur expérience que les Français pensent des immigrés asiatiques qu'ils s’intègrent mieux que les immigrés africains et arabes. Cette assertion, vous n'avez strictement rien pour la démontrer, et pour cause c'est impossible. Rien de plus qu'une remarque en l'air : un poncif de pilier de comptoir contre des médias supposément de droite (alors que au passage, l'immense majorité des journalistes est de gauche selon toutes les statistiques disponibles sur la question). C'est-la-faute-à-TF1 est une moisissure argumentative en bonne et due forme.
  13. Qui pleurait nos morts ? À quoi bon une guerre contre l'Allemagne pour défendre nos intérêts nationaux et récupérer l'Alsace-Lorraine, puis une seconde avec une vaine libération et une vaine indépendance, pour finalement renoncer à la souveraineté nationale et se soumettre volontairement et pacifiquement à l'Union européenne dominée par l'Allemagne. Le vrai scandale pour les morts de la première guerre mondiale et de la seconde, c'est la politique de renoncement national qui rend leur sacrifice inutile, le démantèlement de notre souveraineté par le PS et l'UMP depuis plusieurs décennies ; l'indépendance si chèrement défendue par le sang de nos ancêtres et si indifféremment vendue à Bruxelles par l'outrecuidance de nos contemporains. Là il y a de quoi pleurer pour les morts.
  14. Des sifflets ? La gauche récolte ce qu'elle a semé
  15. L'Ombre d'un doute a raison, c'est au président de la république que revient de commémorer le 11 novembre, et non à ce François Hollande dont j'ignore quelles sont les fonctions. Trop souvent cet homme apparait là où on s'attendrait à voir le président, j'ai remarqué cela depuis l'année dernière. Quelle différence ?
  16. Dans une société multiculturelle, certaines communautés d'immigrés s'en sortent mieux que d'autres précisément parce-que toutes les cultures ne se valent pas.
  17. Je vous retourne la remarque quant à l'influence médiatique que vous prétendez supérieure à celle du vécu. Cette mise en scène s'exprime autant dans le pathos de l'antiracisme dès qu'une enfant de douze ans quelque part en France parle de banane, dès qu'une famille de clandestins est expulsée, ou quand une femme en burqa se considère agressée par un contrôle d'identité.
  18. On considère actuellement que l'individu existe à partir de sa naissance, il est donc reconnu en tant qu'être humain à partir de l’accouchement ; comme si un enfant parce-qu'il est dans le ventre de sa mère n'était pas encore humain, comme si l'humanité n'était accordée qu'aux êtres parfaitement constitués alors même que des enfants naissent sans être parfaitement constitués ; la vérité est que moins on le voit, plus il est petit, et moins il serait humain, jusqu'à légitimer moralement sa mise à mort. À huit semaines, toutes les structures majeures, incluant les mains, les pieds, la tête, le cerveau, et d'autres organes sont présents, mais ils continuent à se développer et deviennent de plus en plus fonctionnels. Quand l'étape fœtale débute, un fœtus mesure environ 30 millimètres de long, et son cœur bat déjà. Le fœtus arrive à plier la tête, et effectue des mouvements qui impliquent tout le corps. Le cerveau montre des signes d'activité dès le 54e jour. Une empreinte digitale commence à se former et est un peu visible à ce stade. Le fœtus continue de se déplacer et bouge désormais plus précisément certains organes moteurs tels que les bras ou les jambes, des mouvements de hoquet, de respiration, d'étirement et de bâillement sont aussi observables. (...) À partir de la 9e semaine le fœtus peut plier ses doigts autour d'un objet, plier les jambes ou encore courber les orteils en réponse à un contact sur le pied pour s'en éloigner. Le visage est bien formé et possède un aspect plus humain. Les paupières sont fermées et le resteront pendant plusieurs mois encore. La différenciation des organes génitaux mâle ou femelle devient prononcée. Des « bourgeons » de dents apparaissent, les membres ont continué de grandir et sont minces, de plus les globules rouges sont produits dans le foie. Des cheveux fins – appelés lanugo – apparaissent sur la tête. L'appareil gastro-intestinal forme le méconium, premières selles du fœtus. Les premiers signes mesurables de l'activité électroencéphalographique se produisent durant la 12e semaine. Vers la fin de cette étape, le fœtus atteint environ la taille de 15 centimètres. Le délai d'avortement en France va jusqu'à 12 semaines. Fœtus de 12 semaines. Pas humain ? Vous apprendrez pour commencer que le délai d'avortement tue jusqu'au fœtus. Des minorités – qui n'ont jamais cessé d'exister par ailleurs. Du reste si vous croyez que l'avortement est une bonne solution, c'est que vous ignorez les lourdes répercutions sur la santé mentale que ça entraine. Le British Journal of Psychiatry (BJP) a réalisé une étude selon laquelle les femmes ayant subi un avortement ont 81% de risques supplémentaires de manifester des problèmes mentaux. En outre, le risque d’abuser de drogues grimpe à 230%, et celui d’avoir des comportements suicidaires à 155%. http://www.forumfr.c...ale.html?hl,ivg
  19. Ce sont les deux faces d'une même pièce. Il n'y a pas d’inclusion sans exclusion aussi vrai qu'il n'y a pas d'intérieur sans extérieur. Quand la distinction en la capacité de s'intégrer devient "positive" pour les asiatiques, elle est par comparaison inévitablement "négative" pour les africains et arabes. Tu as oublié le terme d'exclusion pour la définition de discrimination, oubli intentionnel je pense. Quand on tronque une définition on lui fait dire ce que l'on veut, et là c'est de la propagande. C'est la définition du Larousse mon garçon : http://www.larousse....scriminer#25754 La "protection des étrangers" une "valeur républicaine" ? À force de confondre la république et le socialisme, vous allez fâcher des gens avec la république... Et l'expérience personnelle des gens ça n'existe pas ? Si peu de Français ont rencontré des problèmes avec des asiatiques et davantage avec des africains et des nord-africains, c'est la faute à BFMTV ?
  20. La personne qui se cache derrière le pseudo de jimmy45 est obsédée par le racisme au point d'entendre des voix. Bientôt la voix lui demandera de libérer Orléans des racistes, de les bouter hors de France, et tout ça se terminera par un barbecue géant dont il sera le méchoui, le dindon de la farce halal.
  21. Discriminer : Établir une différence entre des personnes ou des choses en se fondant sur des critères distinctifs. Si je dis que les immigrés de la communauté asiatique sont mieux capables de s'intégrer, je discrimine les immigrés des autres communautés de fait, par définition. Et si j'explique pourquoi selon moi les Arabes, les Africains et les Roms s'intègrent mal, je fais alors une critique négative de certaines communautés d'immigrés susceptible d'inciter à leur mépris. Il n'en faut pas plus au Mrap pour porter plainte contre Manuel Valls pour "incitation à la haine raciale", simplement parce-qu'il a dit que les populations roms avaient "des modes de vie extrêmement différents des nôtres et qui sont évidemment en confrontation" avec les populations locales. Quel rapport avec la république ?
  22. Comment peut-on voter à ce sondage sans être discriminant, puisqu'il s'agit précisément d'établir une différence entre des communautés selon des critères distinctifs, et comment peut-on expliquer selon nous pourquoi telle communauté s'intègre mal sans que cela n'incite éventuellement au mépris de celle-ci ? Nous sommes typiquement dans le genre de cas où les concepts fumeux du politiquement correct contre « la discrimination » et contre « l'incitation à la haine » bâillonnent littéralement le débat. Cela tombe bien, c'est fait pour.
  23. Dire des idioties est une chose, l'assumer en est une autre. Faut-il un dictionnaire des synonymes sous la main du nécessiteux pour qu'il sache qu'un brassage est autrement dit un métissage ?
  24. Ces civilisations n'ont absolument pas disparues pour avoir refusé le "métissage".
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