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Marine Le Pen tombe le masque sur la société qu'elle imposera si elle est élue
Favras a répondu à un(e) sujet de PASDEPARANOIA dans Politique
On se cache derrière une jeune fille ? Et alors ? Que la patrie (en l’occurrence la France) soit catholique ne veut pas dire que le catholicisme est français. Le catholicisme est universaliste, la doctrine de l’Église est de rassembler au delà des nations. Dans le camp d'en face également, et l’Église romaine déplorait que des catholiques se fassent la guerre. -
Vous confondez tout. Les études d’opinion qui disent que la majorité des Françaises trouvent qu'il y a trop d'avortement, et que l'adoption à la naissance serait une bonne alternative pour en baisser le nombre, elles sont données dans les pages précédentes. Quant aux dégâts psychologiques après l'IVG, c'est une étude du très pompeux British Journal of Psychiatry, donnée elle aussi à plusieurs reprises et dont il existe un sujet consacré, qui montre que l'avortement provoque chez les femmes 81% de risques supplémentaires de manifester des problèmes mentaux. En outre, le risque d’abuser de drogues grimpe à 230%, et celui d’avoir des comportements suicidaires à 155%. Je rappelle que Simone Veil elle-même considérait que l’avortement restait un drame, elle n'a jamais eu la bêtise et l’inhumanité de dire – comme d'autres ici – que c'est l'anodine extraction d'un "tas de cellules". Mais Blatte veut se faire plus féministe que les femmes... Ces deux définitions excluent le nourrisson qui n'a pas encore de conscience morale, ni la conscience de lui-même et encore moins une conscience sociale. Personne ne lui nie pourtant sa qualité d'être humain. Le nourrisson n'est pas plus une "personne" selon ces définitions que ne l'est un fœtus, elles ne sauraient donc justifier l'avortement sans justifier par là même l'infanticide du nourrisson. CQFD.
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Nelson Mandela fut un grand homme : il réussit à renverser le racisme, c'est-à-dire à le retourner contre les blancs... Les Blancs diplômés quittent le pays, chassés par l’insécurité, les brimades diverses et la surfiscalité ; ou bien ils se replient dans la région du Cap, seule province échappant encore à la mainmise de l’ANC et à sa gestion clanique, dogmatique et corrompue. Il n'en fallait pas moins aux sadomasochistes européens (toujours avides de se flageller, ça donne des couleurs) pour en faire leur héros. On peut parler de la structure du passé en disant le racisme, tandis qu'on ne peut parler pertinemment de la jungle du présent sans dire les racismes ; Madiba a multiplié les racismes comme Jésus a multiplié les pains – premier miracle (et il y en a bien d'autres !). Il faut rendre hommage à la ségrégation raciale sans laquelle Mandela n'eût quitté l'insignifiance. Misère relative ? Le chômage touche environ 40 % des actifs et le revenu de la tranche la plus démunie de la population noire, soit plus de 40 % des Sud-africains, est inférieur de près de 50 % à celui qu’il était sous le régime blanc d’avant 1994. En 2013, près de 17 millions de Noirs ne survécurent que grâce aux aides sociales, le Social Grant. Le climat social est empoisonné par les criantes inégalités nourries par les « Black Diamonds », ces nouveaux riches noirs, profiteurs insatiables et corrompus qui ont fait main basse sur l’économie du pays, affichant avec insolence un luxe ostentatoire. L’Afrique du Sud s’est classée parmi les 5 pays « les moins performants » du continent sur la base de la croissance moyenne annuelle, devançant à peine les Comores, Madagascar, le Soudan et le Swaziland, quatre pays en quasi naufrage. Les victimes de l'esclavage (aboli en 1833) auraient beaucoup aimé l'Apartheid (débuté en 1948) en comparaison. Les exhalaisons de l’idolâtrie "Madiba" minimisent la situation actuelle et exagèrent celle d'avant 1994. Les perroquets de presse ne cessent d’affirmer qu’en1994, grâce à Nelson Mandela, la transition « pacifique » a pu se faire, en Afrique du Sud, ce qui aurait permis à la majorité noire de succéder sans cataclysme à la minorité blanche. Là encore, la réalité est autre car le véritable artisan de cette révolution politique fut le président De Klerk.Trahissant toutes les promesses faites à son peuple, ce fut en effet lui qui hissa Nelson Mandela au pouvoir : - après avoir brisé la résistance des nationalistes afrikaners, - après avoir désintégré une armée sud-africaine que l’ANC n’était pas en mesure d’affronter, - après avoir empêché la réalisation d’un État multiracial décentralisé, alternative fédérale au jacobinisme marxiste et dogmatique de l’ANC.
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Nelson Mandela : quel bilan ? Le pays est plus divisé, plus cloisonné, plus éclaté que jamais. En moins de deux décennies, Nelson Mandela, président de la République du 10 mai 1994 au 14 juin 1999, puis ses successeurs, Thabo Mbeki (1999-2008) et Jacob Zuma (depuis 2009), ont transformé l’Afrique du Sud, un temps excroissance de l’Europe à l’extrémité australe du continent africain, en un Etat du « tiers-monde » dérivant dans un océan de pénuries, de corruption, de misère sociale et de violence dans lequel surnagent quelques secteurs ultraperformants, mais de plus en plus réduits, le plus souvent dirigés par des Blancs : - Selon le Rapport Economique sur l’Afrique pour l’année 2013, rédigé par la Commission économique de l’Afrique (ONU) et l’Union africaine (en ligne), pour la période 2008-2012, l’Afrique du Sud s’est classée parmi les 5 pays « les moins performants » du continent sur la base de la croissance moyenne annuelle, devançant à peine les Comores, Madagascar, le Soudan et le Swaziland (page 29 du rapport), quatre pays en quasi naufrage… La suite de l'article
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- Afrique du Sud
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Léonarda aurait rendu sympathiques aux yeux du téléspectateur les exactions du roi Joffrey.
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Maurras ne croyait pas en Dieu. biiiip Ignoreriez-vous donc que c'est la Révolution française qui autorisât l'inceste jusqu'alors prohibé, et jusqu'à ce que Napoléon remette de l'ordre. La République – comme vous l'apprend Moriarty (et il a beaucoup à vous apprendre) – autorise toujours le mariage entre cousins germains, vous avez donc l'air fine à brocarder Louis XIV et sa "cousine germaine"... En vérité, le Droit canon est beaucoup plus strict que le Code pénal en matière de mariage consanguin, que ce soit dans les peines encourues ou dans les exceptions faites. Du reste, il y a des degrés de parentés très différents que l'on amalgame sous le mot d'inceste ; on ne peut considérer moralement et scientifiquement une union entre cousins germains pareillement qu'une union entre frère et sœur ou entre ascendant et descendant. Le siècle de Louis XIV fut sans doute l'apogée de la civilisation française, et il serait pour le moins ignare de prétendre que le Roi soleil y fût étranger. Cependant, peut-être nous expliquerez-vous que François Hollande est particulièrement apte à gouverner ? Commander non, influencer oui. C'est une différence notable entre un Louis XIV et un Staline, quand Louis XIV prend des mesures contre la famine qui ravage le pays parce-qu'il craint Dieu au dessus de lui, tandis que Staline qui est athée et ne craint rien ni personne au dessus de lui organise volontairement une famine pour éliminer des millions de gens. De s'américaniser en somme.
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Certes. Les Américains en ont déjà fait le remake.
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On argumente en faveur de l'allocation universelle que c'est un investissement dans la consommation des ménages qui se répercutera positivement dans l'économie. Je corrige donc mon propos : l'allocation universelle possède une seule et unique contrepartie : consommer. Nous étonnerions-nous de voir sous cet angle que des libéraux soutinssent ce projet ? Nous passons d'un monde dans lequel le travail mérite salaire à un monde dans lequel la consommation mérite salaire. « La consommation mérite salaire » est la maxime de l'allocation universelle qui rémunère pour le seul mérite d'être un consommateur. Et les idiots utiles du consumérisme nous vantent l'affaire avec les mots ronflants de citoyenneté et de solidarité, quelle farce !
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Cette phrase ne veut pas dire grand chose. Celle-ci non plus. À quelle échelle parle-t-on et à quelle période se compare-t-on ? Pour la France, les inégalités salariales ont considérablement baissé au XXe siècle. Voici un graphique sur la part du revenu des 10% de français les plus riches dans le revenu total, données récoltées par Thomas Piketty et Camille Landais : À l'échelle mondiale, l'« extrême pauvreté » (c’est-à-dire un revenu inférieur à 1,25 dollar par jour et par personne selon la définition de la Banque mondiale) s'est très nettement diminuée ces trente dernières années : http://www.inegalite....php?article381 Bientôt Magus nous expliquera qu'il est anticonstitutionnel de s'opposer à l'allocation universelle. Entre un "caractère social" et un assistanat généralisé, il y a une marge. La protection sociale ce n'est pas l'assistanat universel, cessez de vous mettre le CNR et le général de Gaulle dans la poche. Les préoccupations sociales n'étaient pas jadis dissociées de la valeur travail ; l'allocation universelle ne défend pas le travail : elle le dévalorise en rémunérant sans contrepartie. On est à mille lieues de la méritocratie républicaine. L'allocation universelle un élan de solidarité ? On achète la paix sociale en arrosant tout le monde à défaut d'être capable de recréer des emplois. Aucune allocation ne donnera la dignité que donne un travail – même modeste.
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Marine Le Pen tombe le masque sur la société qu'elle imposera si elle est élue
Favras a répondu à un(e) sujet de PASDEPARANOIA dans Politique
Quelle patrie ? Le catholicisme est universaliste, lui attribuer la défense de la "patrie" est ignare. -
Si l'on veut "étouffer l'esprit démocratique" il ne faut surtout pas sortir de l'Union européenne, mais bien au contraire y rester sagement – les Commissaires européens s'occupent du reste.
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Il n'y a jamais eu autant d'aides sociales et d'associations humanitaires diverses qu’aujourd’hui. « Le monde tend vers l'angélisme et il n'a jamais été plus satanique. » Michel Serres
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La richesse n'est pas la différence en soit mais le rassemblement des individus autour de la nation en dépit des différences. Ceci est très intéressant. En Haute-Savoie vous étiez entouré de blancs et pourtant vous ne vous êtes jamais senti étranger, car l'assimilation est possible lorsque l'individu est en minorité à l'intérieur d'une majorité dans laquelle il s'assimile ; tandis qu'en ville la population immigrée est trop nombreuse pour être assimilée à la population française : elle forme par le nombre une communauté et à terme un communautarisme. L'assimilation est le droit à l'indifférence : être considéré comme un Français comme les autres grâce à la pleine adoption du mode de vie et de la culture des Français. C'est le modèle traditionnel d'intégration, qui ne concerne plus grand monde. Le multiculturalisme est le droit à la différence : exalter et cultiver ses origines ou celles de ses parents, et par conséquent se les faire rappeler éternellement. C'est le modèle qui domine hélas aujourd'hui la société. Ces modèles sont opposés ; on ne peut avoir tout et son contraire. En quittant la campagne pour rejoindre une grande ville, vous êtes passé du monde d'hier à celui d'aujourd'hui. Un métis de Haute-Savoie se sent donc moins étranger en France qu'un métis de Seine-Saint-Denis, parce-que dans le premier cas il est le produit de l'assimilation et dans le second cas il est le produit du multiculturalisme.
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Le nourrisson n'a pas encore conscience de lui même : avoir un système nerveux ne suffit pas à la conscience de soi. Néanmoins, que l'adulte ait un corps plus complet que le nourrisson, et que le nourrisson ait un corps plus complet que le fœtus, cela ne rend pas le nourrisson moins humain que l'adulte ni le fœtus moins humain que le nourrisson ; ce n'est qu'une échelle de croissance, la vie humaine ne se mesure pas à la taille de l'être. Je parle de la majorité des femmes en m'appuyant sur des enquêtes d'opinion, tandis que d'autres parlent en s’appuyant sur le vide de leur intuition. Comme le porcin dans ses excréments. La définition de personne sortie de quel chapeau ? En dehors de la conscience de soi qui est précisément définie dans sa teneur et son déroulement, il n'y a aucune "définition de personne" décrivant une "conscience tout court" avec un âge de commencement à la minute de la naissance. D'ailleurs, aucune des inepties que ce cher Batte déblatèrent à bout de smileys n'est soutenue ni démontrée par une quelconque source. Il n'y a que la politique qui définit arbitrairement l'homme à partir de sa naissance, et ce cher Blatte semble confondre la science – qui le dépasse – d'avec la politique.
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Remarque gluante de niaiserie sirupeuse...
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Les apôtres de la diversité vous demandent vos origines avec un bienveillant paternalisme parce-qu'ils aiment les basanés comme leurs aïeux aimaient l'exotisme des expositions coloniales. Vous êtes un Français d'origine savoyarde. Ceux qui vous invitent à être fier de vos origines marocaines sont des imbéciles, car le Maroc est le pays d'origine de vos parents mais ce n'est pas le votre : tout ce qu'il y a de marocain chez vous est une vague couleur de peau, ce ne serait donc qu'une fierté raciale que d'exalter en votre nom les origines de vos parents, ce qui n'est pas très "républicain" dans l'âme. Il y a des héros dans l'Histoire de France auxquels vous pouvez vous identifier. Vous êtes un assimilé comme l'était Napoléon Bonaparte : il ne tient qu'à vous d'être un patriote, et peut-être un jour qui sait l'empereur des Français.
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Le fameux "droit à la différence" et son exaltation des racines a anéanti le droit à l'indifférence des assimilés.
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Une main d’œuvre étrangère qui ne touchera pas l'allocation pseudo universelle servira de roue de secours quand les idéalistes réaliseront qu'on ne ramasse pas les poubelles pour la gloire.
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Magus ne devrait pas croire qu'il est à contre-courant, même si sa cause rencontre quelque résistance due aux restes de bon sens qui subsistent vaguement par delà l'hébétude généralisée, car l'allocation universelle me semble être un aboutissement de l'individualisme qui n'en finit pas de gagner la société post-soixante-huitarde. Pour s'en convaincre, le plat philosophe Baptiste Mylondo et Magus avec devraient relire Nietzsche, chapitre 21 du Gai savoir, pertinemment intitulé Aux théoriciens du désintéressement. Même s'il n'est pas toujours au service du capital le travail est toujours au service de la société ; nous sommes donc rémunérés pour un travail au service de la société quel qu'il soit – vouloir cette rémunération sans la contrepartie du service rendu à la société qu'est le travail relève d'un aboutissement délirant de l'individualisme. L'insertion sociale. Dans ce sens, l'accès au logement me semble être une utilité appréciable. La subsistance, une vie décente, la réduction des inégalités en matière d'accès aux études... Soit il n'a pas compris la question, soit il le fait exprès pour éviter d'y répondre. Je vais donc resituer. Vous dites que l'utilité sociale d'un individu ne doit pas être réduite à son activité salariale ; très bien, je vous demande en ce qui concerne les actuels chômeurs, dans leur temps par trop libre, quelle est l'utilité sociale de leurs activités ? Et celle-ci est-elle grande au point d'inviter davantage de personnes à suivre leur mode de vie par l'allocation universelle ? Au reste, les difficultés que vous voulez éradiquer sont aussi nécessaires à la croissance du caractère humain que le mauvais temps à la croissance de l'arbre. En plus de l'individualisme qui triomphe à vouloir toujours plus de droit avec toujours moins de devoir vis-à-vis de la collectivité (jusqu'au salaire sans travail), l'allocation universelle (c'est-à-dire l'éradication de la pauvreté par l'assistanat) relève de cette délirante aseptisation sociétale du négatif. Les pauvres ne seront plus pauvres : ils seront gâteux et torchés par l’État, privés d'ambitions car privés de nécessités. Cette aseptisation de la société infantilisera l'individu qui passera directement de la charge de ses parents à celle de l’État.
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Il y a des mauvais parents qui adoptent ? Il y a aussi des mauvais parents qui désiraient leurs enfants et les ont eu naturellement. À la différence que les gens qui adoptent sont plus surveillés que le commun des parents. Du reste, nul ne peut juger de l'intérêt d'une vie, même en présupposant du bonheur de l'enfance. Voici à ce propos un article intéressant à l'attention des hygiénistes du Bonheur Parfait : Faut-il connaître le malheur dans l'enfance pour espérer une vie adulte riche en succès ? C'est la question que se sont posés Victor et Mildred Goertzel en se penchant sur la vie de 700 personnalités diverses et variées, de Einstein à Gandhi en passant par Churchill et Freud. Le but affiché des psychologues était alors d'identifier les faits liés à la vie privée qui avaient contribué aux entreprises remarquables que ces personnes avaient pu mener dans leur vie. Résultat intéressant, ils sont 525 sur 700 à avoir connu une enfance difficile entre pauvreté, troubles familiaux et parfois violences parentales. Les auteurs de l'étude avancent une raison principale à cela : plus que le simple désir de revanche sociale, c'est le fait d'avoir observé leurs parents se débattre dans des situations complexes qui motive leur aptitude à triompher. "L'adversité peut abattre une personne, ou donner à d'autres l'envie de se battre", commente Victor Goertzel. Le bien-être n'est pas forcément l'environnement le plus propice car "il a tendance à ne plus susciter aucune rage de vaincre". "On s'habitue à son confort et on s'emploie juste à en faire le minimum pour le maintenir", renchérit Mildred Goertzel. Les biologistes désignent ce phénomène comme étant le "principe d'adversité". Il s'applique également aux animaux et aux plantes qui finissent souvent par dépérir dans des conditions trop favorables. "Nous possédons un instinct de survie qui ne demande qu'à s'exprimer ou à se taire", explique Victor Goertzel. Une enfance trop facile aurait donc tendance à réprimer cette résistance naturelle que nous portons en nous. Sur le plan psychologique, nous façonnons notre personnalité dès l'âge de cinq ans, quand nous commençons à être capable de penser et de réfléchir. Les parents qui se démènent pour offrir à leurs enfants tout ce dont ils ont besoin ne sont pas à blâmer. Il ne faut en aucun cas provoquer la dureté de la vie. Soit le milieu familial est en difficulté, soit il ne l'est pas. Évidemment, il ne s'agit pas de commencer à maltraiter un enfant dans l'espoir qu'il figure plus tard parmi les génies de l'humanité. En outre, de nombreux psys conseillent d'apprendre aux petits que rien n'est acquis dans la vie, qu'il faut toujours produire un effort pour obtenir ce que l'on veut. Agir ainsi, c'est tout simplement les préparer à l'âpre réalité de la vie. http://psychologie.a...malheureuse.asp
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Quelle excellente utilité sociale y-a-t-il dans les activités des bénéficiaires du RSA et de l'allocation chômage qui justifierait qu'on étende leur situation à d'autres par l'intermédiaire de l'allocation universelle ? Pour comparer la dette publique actuelle et celle de 1958, un graphique vaut mieux que des balivernes... Si la dette a pris des proportions qui ne sont plus remboursables, ça n'a pas toujours été le cas sous la Ve.
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Négliger le remboursement de la dette en laissant entendre que la Ve république a toujours été surendettée, c'est ignorer la bonne tenue des comptes sous la droite gaullienne, ou bien c'est le savoir et en faire fi (mais vous seriez incapable d'une telle malhonnêteté n'est-ce pas ?). On est donc assurément dans l'achèvement de la valeur travail traditionnelle, qui déjà se portait pâle. Baptiste Mylondo est un plat philosophe qui veut « reconnaitre l'utilité sociale » de végéter aux frais de la princesse. L'auteur est un spécimen d'extrême gauche partisan de la décroissance et de l'assistanat ; remballez vos insipidités sur "le cœur de la théorie du capitalisme".
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Ce n'est pas parce-qu'un enfant n'a pas été programmé dans l'agenda qu'il ne sera pas aimé ; il faut arrêter de s'illusionner avec le mythe de la fécondité maitrisée à 100% qui légitime l'avortement de masse. Aussi, il existe toujours la possibilité d'adoption à la naissance : les candidats à l'adoption sont très nombreux, il est tout-à-fait possible de réduire sensiblement la boucherie des deux cent mille avortements par an. La grande majorité des femmes trouve qu'il y a trop d'IVG en France. L'adoption à la naissance est à la fois responsabilisant pour la génitrice qui prendra moins à la légère ses entrailles quand elle décide d'avoir un rapport non protégé si tel a été le cas, l'adoption à la naissance augmentera d'un tiers les naissances que l'IVG soustrait depuis des décennies et que l'on compense démographiquement par une immigration massive, et enfin l’adoption à la naissance réconciliera l'humanisme avec le féminisme qui jusque là déshumanisait le fœtus pour justifier sa boucherie. Source ? L'avantage à se contredire est que cela donne raison une fois sur deux, c'est le meilleur moyen qu'a trouvé ce pauvre Blatte pour se rapprocher de la vérité. La société ne culpabilise pas les femmes qui avortent, bien au contraire : l'IVG est banalisée et les voix qui s'y opposent en France sont minoritaires et marginalisées. D’abord parce-que c'est Blatte qui soulève cette objection et non les femmes, ensuite parce-qu'aucune étude ne l’étaye tandis que le contraire a été avancé par quelques unes. La conscience de soi a été définie entre un et deux ans durant le stade dit "du miroir". Le nourrisson de moins d'un an n'a donc pas plus conscience de lui que le fœtus, c'est un fait. Ce malheureux Blatte pourra tenter vainement encore dix pages de déshumaniser le fœtus en martelant comme un sourd le faux argument de la conscience : son insipidité est prouvée.
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Voltaire, Essai sur les mœurs et l'esprit des nations, 1756. Flatteur. Appelez-moi Favras.
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Ah oui ? À quel moment ? Qu'est-ce que cela veut-il dire ? Et a-t-on déjà vu pareille affabulatrice ? La galanterie s'adresse aux dames. Vous voyez une dame quelque part ? Je ne vois pas de dame par ici. « L'époque royale » et « sous les rois » ma mignonne sont des termes qui amalgament l'antiquité tardive, l'age féodal, le Moyen Age, la Renaissance, et les restaurations sous l'époque contemporaine. Il y a des limites à l'amateurisme. La nation n'est devenue une notion juridique qu'à partir de la Révolution française, mais on parlait de la nation française bien avant. Pas plus amusant que d'aller chercher Philippe V d'Espagne. Ça l'est si l'on considère que la France est une race, ce que personne n'a prétexté jusque là. L'immigration n'existait pas à cette époque, et encore moins l'immigration extra-européenne. Charles Maurras eût été ravi de l'apprendre...
