janacek
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(pas tout à fait acoustic acoustic hein, désolé....) et bonsoir.
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http://www.youtube.com/watch?v=94NU-W-KgxI
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Magma, rare par ici, te remercie Bruit. Rien à voir, te dis tout de suite :
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Et bonne fin de soirée.
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Bonsoir Decade 63 http://www.youtube.com/watch?v=Nzb62We2GqE et Bonne soirée tous.
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...de celui qui me fait rire à en pleurer et... Et des mots bleus comme des maux bleus qui nous éclabousses... ...d'un bleu citron, quand la nuit le bleu nous fait une trêve et que ton sourire fait grève. ...sur son trapèze Mon chien bleu ne verra jamais les ours blancs dansaient sur les bleus glaciers, dans l'air bleuâtre saturé aux ultra violet de son ... Et bleu comme l'enfer, blue velvet, bleu Matisse et bleu Mïro .... et encore bleu de Kieslowsk Bleu quoi : et si t'es pas contente, la sourie verte tu te la remet dans ta (.......) bleue
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je vous laisse avec ceci : et bonne soirée à tous.
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Bein justement, HardGamer90, celle-ci fêtera dans quelques jours ses 50 ans, alors bonne anniversaire "Madame" .... On dit souvent que les Américains sont restés de grands enfants. Rien de plus logique, lorsque l'on voit la profusion de jouets bien désirables que l'Oncle SAM leur a proposé à la fin des sixties. L'époque consacre l'âge d'or des grosses cylindrées survitaminées, en particulier, des ces fameuses "muscles cars", un genre automobile propre aux États-Unis, né dans le prolongement de la Ford Mustang ( quoique on pourrait en dire un peu plus là dessus et ravir ce titre à la Mustang mais ce serait trop long, alors laissons lui cet apanage ). Bref, dis ou quinze plus tôt, les enfants du baby-boom recherchaient encore le grand frisson dans les expériences bon marché. Ils se bricolaient, au fond du garage familial, durant les week-end, d'improbables engins surpuissant, à partir du vieux pick-up Ford laissé à l'abandon par le grand père. On assistait alors à l'émergence de Hots-rods, un mouvement voué à devenir un véritable phénomène de société. Phénomène qui prit un essor tel que l'équipe marketing de Ford, encouragée par leur vice-président Lee Lacocca, estima, à juste titre, qu'il pourrait représenter à court terme une véritable "niche" commerciale. Il serait dès lors judicieux d'être parmi les premiers à proposer à cette jeunesse éprise d'une certaine "fureur de vivre", un modèle répondant à ses attentes... L'idée essentielle va consister à faire "bien et pas cher", en recyclant à bon compte des organes mécaniques éprouvés sur d'autres modèles (à commencer par la modeste Falcon qui lui offrira sa structure, ses trains roulants et sa base mécanique), pour abaisser notablement le prix de revient du futur projet et le rendre très accessible à une clientèle n'ayant pas encore de gros moyens. Afin de séduire cette "cible" particulièrement soucieuse d'affirmer une image différente, le cahier des charges imposera de donner au futur produit une identité forte, capable de rivaliser avec celle des petites sportives européennes, alors très en vogue aux USA. Présentée à New Work en avril 1964 en coupé "hard top" 4 places, la nouvelle Mustang fait mouche, d'emblée. Son style ravageur plaît, bien au-delà de la jeunesse yankee. Elle offre ainsi une certaine polyvalence, avec quatre "vraies" places et son coffre digne de ce nom, le tout étant décliné dans un format "compact" (4.61 m de long), à même d’intéresser la "ménagère" en quête d'une petite voiture. Le tout s'affichant à un prix de lancement imbattable (moins de 2 400 $ !!! ), même si celui-ci demeure très théorique tant les options s'avèrent nombreuses, tentantes et forcément onéreuses. La liste concerne en premier lieu la "salle des machines" qui débute paisiblement avec un placide 6 cylindres en ligne de 2.8 litres d'à peine 100 ch (issue de la Falcon) pour culminer avec un V8 4.2 litres de 164 chevaux, en passant par un autre V8 de 3.2 litres donnant 120 chevaux. Version 1964 Cette gamme plutôt sage se verra très vite coiffée par un V8 au potentiel plus affirmé, un 289 ci (4.7 litres) délivrant, au chois, 210 ou 225 chevaux (et jusqu'à 271 chevaux en version HP). De quoi donner à la mustang ses premiers galons de sportive (ce qui n'était pas sa vocation première) et attirer à elle des pilotes anonymes comme des célébrités, notamment en France, où un bataillon de Mustang, retravaillé par le spécialiste anglais Alan Mann, s'impose au Tour Auto 1964 en catégorie "Tourisme" (ce résultât aura des répercutions importantes en Europe). La Mustang prendra mêm le départ du Monté-Carlo 1966 portant cette fois les couleurs de Ford France avec Jean Louis Trintignant (clin d’œil appuyé au film "Un homme une femme") . Devenu le modèle "tendance" par excellence, très prisé dans notre pays par le show-biz, les chanteur "yé-yé" et le cinéma, la Mustang va chercher à satisfaire le plus grand nombre en multipliant les versions. Outre un séduisant cabriolet et le classique coupé, une superbe version fast-back 2+2 vient rapidement compléter la gamme en fin d'année 1964. Mais la vraie chance de Mustang sera de croiser bientôt la route du "sorcier" Carroll Shelby ( père, entre autre de l'AC COBRA ). C'est lui qui, le premier, aura l'idée d'en faire une "muscle-car" digne de ce nom ..... etc etc. Mustang "Shelby" GT 500 1967 Bonne anniversaire et encore 50 ans
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Si les fleurs étaient en verre ... Robert Desnos, Man Ray, Paul Mercer Je possède une étoile de mer (issue de quel océan?) achetée chez un brocanteur juif de la rue des Rosiers et qui est l'incarnation même d'un amour perdu, bien perdu et dont, sans elle, je n'aurais peut-être pas gardé le souvenir émouvant. C'est sous son influence que j'écrivis, sous la forme propice aux apparitions et aux fantômes d'un scénario, ce que Man Ray et moi reconnûmes comme un poème simple comme l'amour, simple comme le bonjour, simple et terrible comme l'adieu. Man Ray seul pouvait concevoir les spectres qui, surgissant du papier et de la pellicule, devaient incarner, sous les traits de mon cher André de la Rivière et de l'émouvante Kiki, l'action spontanée et tragique d'une aventure née dans la réalité et poursuivie dans le rêve. Je confiai le manuscrit à Man et partis en voyage. Au retour, le film était terminé. Grâce aux opérations ténébreuses par quoi il a constitué une alchimie des apparences, à la faveur d'inventions qui doivent moins à la science qu'à l'inspiration, Man Ray avait construit un domaine qui n'appartenait plus à moi et pas tout à fait à lui... Qu'on n'attende pas une savante exégèse des intentions du metteur en scène. Il ne s'agit pas de cela. Il s'agit du fait précis que Man Ray, triomphant délibérément de la technique, m'offrit de moi-même et de mes rêves la plus flatteuse et la plus émouvante image". ( Robert Desnos)
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Hooo devant la centrale, un nouveau "pas ya son" oui je sais "pas" cotille et "pas" sérieux, mais "pas" comme les autres en même temps, longue vie et plein de "il ne faut" et de "faux" pas à ce topic
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Bonsoir Decade 63, bonsoir tous. Célèbre pour ses concert s'étalant sur quelques 10zaines d'heures, Robert Rich nous invite ici a ouvrir la fenêtre ... en attendant moi je vais fermer mes volets bye tous et bonsoir Enregistré sur un piano AB Chase année1925, et en impro' permanente pendant 2 mois, des micros furent installés tout autour de l'instrument dans l'attente des moments spontanés de l'artiste Robert Rich, un superbe album.
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( Wahnfried est un projet musical que Klaus Schulze a créé, pour s’évader de son personnage princier des kermesses planantes, en 1979 avec Time Actor.. Il s’agit d’un groupe où Schulze est un musicien, comme les autres, qui s’inspire des courants musicaux actuels, pour infiltrer une approche plus commerciale. De cette façon, Schulze dissocie ses activités musicales, de façon à ne pas berner ses fans. Comme Phil Collins avec Brand X, comme Edgar Froese avec Tanger….ouuups Excusez! Drums’n’Balls est le dernier Wahnfried et il faut vraiment manquer de subtilité dans le jugement pour ne pas remarquer le style de Schulze qui est omniprésent à longueur de l’opus. Ce qui expliquerait que ce soit le dernier. De toute façon, les différents styles et les prochaines compositions de Schulze seront tous prétextes à ses innombrables coffrets et ses rééditions qui apportent des pièces en prime, comme sur celui-ci. Drums’n’Balls, la pièce titre, est une expérience rythmique avec de solides, et de très belles, percussions sur des synthés flottants, mais des claviers au style funk, qui hachure les notes sur des échantillonnages vocaux, tant masculins que féminins, que Schulze adore extirper .Pas de rythme, seulement des percussions qui animent un beat morcelé par de constants arrêts sur des percussions et effets percussives latines. Amants de percussions, c’est la pièce idéale. Percussy défile sur un montage sonore, strié de strates vicieuses et bruyantes sur un beau rythme groovy et une basse synthétique moulante. Le synthé flotte sur de belles nappes aux mouvances discrètes. Ce n’est pas la pièce la plus près du répertoire de Schulze, car House of India est une superbe folie séquencée qui draine un rythme nerveux sur des collages vocaux inouïe. Du Schulze en grande forme. etc etc : http://www.andersramsell.com/#!// ) Magnifique 4éme pièce :
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12 597 "petites" aquarelles peintes à la main, pour 35 minutes d'un film "culte" : ici (dispo en HD 1080) : ou sur le site officiel (connexion et navigation pas très facile, mais d'autres choses aussi à voir) http://www.andersramsell.com/#!//
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http://www.youtube.com/watch?v=c-UHRnMz4Ls
