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koadeg

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Tout ce qui a été posté par koadeg

  1. C'est à dire, pas réussir à l'insérer ? A mettre le lien ? Comme là : Annie Ernaux Une chose est sûre, je vais voir ce que je peux trouver comme autres livres
  2. Dans la catégorie"auteur lu pour la première fois" 4,5/5 J'ai adoré son style d'écriture. Je finis ce défi en beauté Ce n'est pas un roman. Plutôt un journal où elle jette des idées, des instantanés. Chaque entrée est très courte mais à chaque fois, c'est un concentré d'odeur, d'émotions, de visuels, de sons. Et pourtant, le sujet de départ n'a rien de glamour : pendant un an, elle décrit ses passages au Auchan des Trois Fontaines. Un centre commercial immense dont l'hyper en est le coeur. Les saisons passent ainsi que les populations. Ce livre date de 10 ans. Est il toujours d'actualité ? Oui bien sûr. Toutefois, le passage du covid et le développement du net sont quand même passés par là. Mais en fait, le sujet est-il important ? Franchement, ici, pas pour moi. Je me suis laissée bercer par la magie des mots. J'en veux d'autres et voir si je retrouve ce style dans ses autres ouvrages.
  3. 2/3 dans la catégorie "biographie d'une personnalité" Vraiment déçue par ce livre. L'idée de départ était pourtant intéressante : la vie de Sitting Bull vue par les indiens, et plus particulièrement par son arrière petit fils. Mais le livre commence par une trèèèèèèèèèès longue intro où la personne qui a permis la traduction de ce livre en français explique comment elle a rencontré Ernie Lapointe, l'arrière petit fils + l'interview de celui-ci + sa propre intro où il égratigne les autres "revendicateurs" de l'héritage de Sitting Bull. A la fin, il y a une assez longue annexe. Et au milieu le récit en lui même qui ne doit pas faire 100p. Ne surtout pas chercher l'intérêt historique de ce livre. L'auteur écrit la mémoire familiale entendue par sa mère qui l'a entendu par sa mère, dernière fille de Sitting Bull. C'est une mémoire orale mise en écrit : l'apprentissage de Sitting Bull pour en faire un guerrier, un sage, un chef. Son ascension au sein de sa tribu, sa générosité et son courage. Sa recherche de paix envers les blancs puis la guerre plus subie que voulue. Et enfin, la décadence où son propre peuple s'est retourné contre lui. Une description très rapide de chaque étape. Nous n'apprenons rien sur le peuple indien (quelque soit son appartenance, seulement les haines ou les rapprochement au moment des batailles, entre les différentes tribus), rien sur la vie dans les campements puis dans les réserves. Pour moi, à oublier !
  4. ah, zut. Je vais commencer "regarde les lumières mon amour". Ton comm n'est pas encourageant quoique... cela ne peut être pire que celui que je viens de finir ! Je reviendrai en parler plus tard.
  5. J'adore le foie gras. Quand je peux aller en Corrèze avant Noël, je vais dans une ferme à canard, près de chez ma mère. Mais comme c'est assez rare que je puisse me déplacer à cette période, j'ai pris l'habitude de le faire moi même : j'achète du foie cru chez le boucher et le prépare moi-même (épices et armagnac) une semaine avant Noël, le temps de maturation nécessaire. Il est excellent !
  6. une liste "fantôme" : le fantôme de Canterbury, Oscar Wilde L'étrange vie de Nobody Owens, Neil Gaiman Maison hanté, Shirley Jacksons la série Mediator de Meg Cabot (plus ado) Hel, Graham Masterton Adagio pour une ombre, Marion Zimmer Bradley J'en ai d'autres mais pas encore lu. Je peux toujours donner les titres si vous voulez, suivant le style (gentil ou vilain fantôme )
  7. dans la catégorie « livre que je ne pensais pas lire » 3/5 je ne suis pas fan des auteurs écrivant sur leur vie. Mais j’avoue que le titre m’a interpellé. Alors pourquoi pas lire ce livre qui fait référence à LA maladie à la mode ces derniers mois. Qu’est ce que l’araignée ? C’est l’endométriose, comme le crabe est le cancer. l’endométriose est une maladie orpheline, c’est à dire qui ne se soigne pas. On dit qu’en moyenne 1/10 femme en est atteinte et sur ces 10 femmes, une va subir l’enfer, essentiellement dû aux très fortes et handicapantes douleurs. C’est son parcours qu’elle décrit. Ses périodes où elle veut affronter la maladie en essayant divers traitements, alternant avec les périodes « autruche » où il faut vivre comme si tout va bien. Les dépressions, les traitements lourds, les difficultés au quotidien (social, boulot, intime…), son envie de maternité. Tout y passe, sans tabou dans une maladie qui en contient pourtant beaucoup. son récit est entrecoupé d’études journalistiques, d’histoire de femmes atteintes et d’Histoire de la maladie et de la perception des maux des femmes depuis le XIXe. Je n’ai pas trop accroché à la dernière partie. Je comprends, au vu de son parcours, cette méfiance envers le corps médical mais, même si elle tempère ses propos, on a vraiment l’impression que 99% des médecins sont vendus au business laborantin. Mais pour les personnes qui veulent en apprendre un peu plus sur cette maladie, qui ont une personne atteinte dans son entourage, ce livre permettra certainement de se faire une idée de ce qu’elle endure au quotidien.
  8. Moi aussi je triche je n’aime pas non plus les biographies de stars. Déjà que je viens de finir une autobiographie, que je ne lis jamais, vais pas m’infliger une double peine. Nomeo donc j’ai choisi la vie de Sitting Bull raconté par son petit fils. Comme Sitting Bull a souvent eu son personnage au cinéma, on va dire que ça colle
  9. Livre lu à cause de la couverture : 3.5/5 J'ai été attiré par la couverture qui m'a fait penser à "Clochemerle", un livre offert par ma mère quand j'étais ado et que je n'avais pas réussi à lire. Le fait que ce livre me soit offert et que je ne puisse le finir, c'est bête mais j'ai toujours culpabilisé. Donc j'ai choisi ce livre en grande partie à cause de ça.... et aussi parce que ça se passe en Corrèze Donc, nous voici dans en petit village du canton de Tulle en 1903. Les socialistes viennent de gagner les élections mais l'ancien maire conservateur les a fait casser et une nouvelle élection est attendu dans 6 mois. Que faire pour se démarquer ? faire venir le progrès sous la forme de l'électricité. C'est pendant ces 6 mois que nous allons suivre les villageois et leur avis face à ce progrès pas du tout voulu, qui amuse, qui fait peur, qui révèle surtout les petits travers de chacun. Un petit côté "Don Camillo". J'ai bien aimé la description très précise des personnages qui les rendent très vivants. Pas le livre de l'année mais un bon divertissement et certaines scènes qui ne changent pas d'un siècle à un autre, dans les petites communes. J'attaque "le livre que je ne pensais pas lire" grrrrrr à celui qui a choisi cette rubrique J'ai choisi un témoignage, ce qui je ne lis jamais parce que je déteste. On va voir si j'arrive jusqu’au bout !
  10. donc cela reviendrait à dire que pour toucher le maximum de personnes, il faut accepter de faire son cinéma, son buzz, voire aller contre ses idéaux ? Boycotter c'est prendre le risque de créer une émission poubelle encore plus pourrie ? Es tu sûr que les personnes regardant ce genre de spectacle s'intéressent à la politique ? Je ne sais pas pourquoi mais j'ai juste cette expression qui me vient en tête "donnons leur du pain et des jeux et le peuple sera content" ! Toujours le tirer vers le fond pour le modeler, l'abrutir ? Je m'éloigne du sujet mais j'ai vraiment du mal avec ce genre d'émission qui n'existe que parce que des gens la regardent et la publicisent. Comme toujours dans ce cas, ce n'est pas le vendeur que je critique mais l'acheteur.
  11. Bon voilà ! pour avoir un avis sur la question, j'ai essayé de regarder la vidéo sur la 1ere page. Pas pu aller jusqu'à la fin. J'ai plus l'impression de voir des règlements de comptes entre 2 anciens collègues. Déjà, mon contexte : je ne connaissais pas Boyard et ne regarde jamais cette émission, donc je suis neutre (et ce n'est pas cet extrait qui va m'inciter à la regarder ). Par contre, je pense qu'insulter un élu, quel qu'il soit, c'est insulter ses électeurs. De plus, si j'ai bien compris, cet élu n'est plus chroniqueur. Comment a t-il quitté la société ou pourquoi l'a-t'il quitté ? D'après ce que j'ai pu comprendre entre 2 hurlements, c'était pas spécialement en de bons termes. Maintenant, la vidéo : Boyard critique Bolloré mais pas uniquement. Bolloré fait parti d'une brochette de noms mais c'est uniquement sur celui-ci que le chroniqueur réagit. Je n'ai pas retenu d'insultes de la part du député mais il n'a rien fait pour apaiser le débat. Peut-être que quelqu'un avec plus d'expérience aurait su le mener. Mais même pas certaine. Au moment où j'ai arrêté la vidéo, ce n'était qu'un brouhaha incompréhensible. Conclusion : je me demande comment on peut autoriser ce genre d’émission qui n'apporte absolument rien. Boyard a raison en disant qu'il est là en tant qu'élu et non ancien chroniqueur et en tant qu'élu, il a droit à la parole. Il est bien évident que la migration est dû aux mauvaises conditions de vie en Afrique et oui, c'est un secret de polichinelle, que des grands industriels français liés aux présidents africains, sont une des causes de cet appauvrissement. Maintenant, ce député, qui a travaillé sur la chaine, donc en connait les rouages, devait bien se douter que critiquer le grand patron, ça n'allait pas passer. Fallait-il qu'il boycotte la chaine comme l'a suggéré le chroniqueur ? Est-ce vraiment la seule émission qui permette de faire connaitre ses idées ? ce député a t-il l'envergure d'animer un véritable débat politique dans un média "sérieux" ? Bien que je trouve le comportement des 2 protagonistes absolument pas correct (déjà, comment instaurer un débat si la parole de l'autre n'est pas pris en compte. Ça sert strictement à rien de parler en même temps, juste à se discréditer), je reste quand même sur ma première impression : le chroniqueur ne doit pas insulter l'invité. Il y a 1000 façons de faire connaitre son avis autre que par un "ferme ta gueule".
  12. koadeg

    Qu'écoutez-vous en ce moment ?

    Où dois-je aller ? Where am I to go? Qu'est-ce que je dois faire? What do I have to do? Des frontières tout autour de moi, il n'y a aucune chance de choix Borders all around me, there's no chance for a choice Né dans ce monde, dans un pays en guerre Born in this world, in a war stricken land Je ferai ce que j'ai à faire et j'irai où je peux I will do what I have to do and go where I can Les murs que nous construisons, nous les abattons The walls that we build we are taking them down Lignes imaginaires de corruption et de cupidité Imaginary lines of corruption and greed Les murs que nous construisons, nous les abattons The walls that we build we are taking them down La surpopulation n'est pas qu'une excuse Overpopulation isn't just an excuse Cherchant un endroit où je peux avoir mes propres droits Searching for a place where I can have my own rights Partout autour de moi il y a la mort dans l'air Everywhere around me there's death in the air Je veux trouver un moyen de faire un changement dans ma vie I want to find a way to make a change in my life Je ferai ce que j'ai à faire et me battrai jusqu'au bout I will do what I have to do and fight till the end Les murs que nous construisons, nous les abattons The walls that we build we are taking them down Des lignes imaginaires qui ne nous permettront pas de vivre Imaginary lines that won't allow us to live Les murs que nous construisons, nous les abattons The walls that we build we are taking them down Nier toutes les règles et tous leurs abus Denying all the rules and all their abuse Non! No! Non! No! Ce ne sera pas comme ça It won't be this way Non! No! Non! No! Ça ne peut pas être leur chemin Can't be their way Fierté! Pride! Fierté! Pride! Ils ne brouilleront pas notre fierté They won't blur our pride Je, je dois rester en vie I, I must stay alive À la recherche d'un terrain pour construire une maison sécuritaire Looking for the ground to build a home that is safe Ils rendent la planète petite et ils n'ont aucun contrôle They make the planet small and they have no control Partout où tu vas, ils ont un œil sur tes pas Everywhere you go they have an eye on your steps Je vais courir où je dois courir et me cacher où je peux I will run where I have to run and hide where I can Les murs que nous construisons, nous les abattons The walls that we build we are taking them down Explorer différents domaines pour grandir dans nos cœurs Exploring different fields so we grow in our hearts Les murs que nous construisons, nous les abattons The walls that we build we are taking them down Exploiter tous les mensonges pour défendre notre propre espèce Exploiting all the lies to defend our own kind Non! No! Non! No! Ce ne sera pas comme ça It won't be this way Non! No! Non! No! Ça ne peut pas être leur chemin Can't be their way Fierté! Pride! Fierté! Pride! Ils ne brouilleront pas notre fierté They won't blur our pride Je, je dois rester en vie I, I must stay alive Guerres frontalières Border wars Guerres frontalières Border wars Un crime de plus, traversant les lignes, piégé à l'intérieur One more crime, crossing lines, trapped inside État d'esprit, jamais aveugle, destin délié State of mind, never blind, fate untied Non! No! Non! No! Ce ne sera pas comme ça It won't be this way Non! No! Non! No! Ça ne peut pas être leur chemin Can't be their way Fierté! Pride! Fierté! Pride! Ils ne brouilleront pas notre fierté They won't blur our pride Je, je dois rester en vie I, I must stay alive Guerres frontalières Border wars Guerres frontalières Border wars Un crime de plus, traversant les lignes, piégé à l'intérieur One more crime, crossing lines, trapped inside État d'esprit, jamais aveugle, destin délié State of mind, never blind, fate untied
  13. Oups désolée pour les fautes, les mauvaises tournures de phrases et autres. Je suis passée par le téléphone sans me relire tout en discutant. Et comme en ce moment je suis assez fatiguée, mon attention n’était pas au rdv. Pauvre Jane, ce n’est pas lui faire honneur
  14. 4,5/5 Dans la rubrique : dans ma pal depuis longtemps « Catherine Morland » de Jane Austen. Cela faisait longtemps que je n’avais pas lu J. Austen. At cela faisait longtemps que je voulais lire son premier roman. C’est un auteur (j’arrive pas à féminisé !) que j’aime beaucoup, non pour les histoires d’amours, que je passe rapidement mais pour son ironie, sa description des personnages, surtout les plus farfelus ou ambigüe. Donc, là, nous avons son premier roman et le quatrième que je lis. C’est bizarre. C’est différent et en même temps on retrouve les trames de ses futurs ouvrages. Chose que je n’ai plus retrouvé dans sa narration, c’est ce détache face à son personnage principal (héroïne) et le fait de s’adresser à ses lecteurs. Le fait aussi que le personnage qui cherche un parti argenté au détriment de l’honneur est une femme. Et comme toujours, très bon moment en sa compagnie.
  15. Aurélie Valogne, je crois que c’est l’auteur lu pour le précédent défi. Mais pas ce livre. Après vérification, c’est ça : né sous une bonne étoile. Pas le roman de l’année mais j’avais bien aimé. C’était l’histoire d’un petit garçon rêveur que ces instits ont catalogué comme cancre. Sauf un. Si mes souvenirs sont bons, j’avais dénoncé ce manichéisme. Mais dans l’ensemble, j’ai bien aimé l’histoire.
  16. J'avoue ne pas avoir lu sa bibliographie mais oui, en effet j'ai vraiment cru que c'était son 1er. En tout qu'à c'est l'effet que ça donne. Je suis vraiment désolée d'être passée à côté de ce livre parce que j'ai vraiment aimé sa plume. Il faudra que je retente avec un autre roman. Mais plus tard.
  17. Dans la section "livre dont l'action se déroule à l'étranger" je suis incapable de lui donner une note ! J'ai pensé l'arrêter plusieurs fois et pourtant j'avais envie de continuer. Un livre des plus bizarre que j'ai eu l'occasion de découvrir. En fait, il y a 3 livres en 1 : livre 1 : L'histoire d'Aaliya. C'est son histoire que nous suivons, par bribes, mélangeant passé et présent. Mariée à 16 ans, répudiée à 20 par un mari impuissant. Passionnée de livres, devenue libraire par hasard et traductrice de romans du monde entier en arabe via la traduction anglaise et française que personne n'a jamais lu. Nous découvrons progressivement la vie des personnes qui gravitent autour d'elle et nous la découvrons elle-même. Pour moi, la partie la plus intéressante. J'aurais aimé qu'elle soit plus développée, qu'on entre plus dans la psychologie des personnages, dans son interaction avec Beyrouth avant/pendant/après guerre. livre 2 : les digressions. Malheureusement souvent, parfois heureusement, le livre est pour moitié entrecoupé par les digressions de l'auteur. Ces digressions sont censées être le fait d'Aalyia mais elles sont trop "masculines", trop personnelles à mon goût pour être vraiment intégrées au roman : littérature, poésie, philosophie, politique, société, musique.... Tout y passe. La plupart du temps, ça coupe la progression du roman sans rien ajouter. Parfois, je me suis laissée entrainer par la plume envoutante d'une digression, par son chant, sa justesse. Pour moi, l'auteur aurait pu faire un deuxième livre de toutes ces pensées. Très intéressantes mais pas forcément ici. livre 3 : les citations. Là, ça devient carrément pénible ! Un peu, ok, mais une à deux citations par page, ç'est trop. Certes, le roman parle d'une dévoreuse de livres mais pourquoi balancer des tonnes de citations ? Oui, Aalyia a aimé ce livre parce que..., oui ce livre lui rappelle.... cet individu est une caricature de X du roman Y de... Perso, j'aurais trouvé ces explications plus appropriées que ces citations toutes les 3/4 lignes. Alors oui je suis déçue par rapport au 4e de couverture. Je pensais découvrir le destin d'une femme seule vivant pour les livres au milieu d'un monde patriarcal et en guerre. C'est bien l'histoire mais elle est noyée. Je ne dis pas que je n'ai pas trouvé le roman plaisant, poétique par la tournure qu'emploie l'auteur. Dommage que ces ajouts coupent l'élan de lecture.
  18. Dans la catégorie « un livre que j’ai envie de lire depuis longtemps » 4/5 Pour la petite histoire, j’ai ce livre depuis longtemps mais je n’osais me lancer dans la lecture pour une raison stupide. il y a très longtemps, je regardais XFiles, urgences et …. Docteur Quinn. J’avais retenu un épisode particulier où l’héroïne n’arrive pas à trouver la solution au problème donné dans cet épisode, à savoir trouver une famille d’accueil pour les orphelins du train. Je croyais que cette histoire de train était sortie de l’invention du scénariste. Aussi quand j’ai vu ce titre, me suis dit qu’en fait, cela avait dû vraiment exister. Mais à chaque fois que j’allais le lire, ça me renvoyait à Docteur Quinn et on va dire que depuis j’ai un peu évolué ! Toutefois, la rubrique du défi correspondait bien à ce livre. Alors pourquoi pas ! Et j’ai bien fait. Me suis régalée à suivre ces deux jeunes filles, l’une en 1929 et l’autre en 2011. Deux orphelines que la vie a bien égratigné. L’une irlandaise, l’autre à moitié indienne. Deux jeunes filles intelligentes ayant appris à se méfier des adultes. Une belle rencontre. Même si je déplore qu’il y ait pas trop de détails sur leurs échanges. On devine juste que la vie décrite et en fait racontée à la plus jeune. Mais dans l’ensemble, belle histoire et un bel hommage à ces 200 000 et quelques orphelins de la côte est envoyés à travers l’Amérique dans des trains pendant des décennies.
  19. Dans la catégorie "livre dont j'ai entendu parler" 3.5/5 J'ai eu des difficultés avec les 1eres pages. Déjà, parce que j'avais du mal à me détacher de mon précédent livre et puis un chat qui parle, bof ! Et je suis entrée dans le livre, avec les répliques caustiques de Nana (le chat), la galerie de personnages vu sous différents angles, j'ai commencé à m'attacher. J'ai beaucoup aimé la psychologie des personnages, humains ou animaux. J'ai beaucoup aimé la description des voyages en une seule phrase. Très poétique et bon exercice littéraire. Et j'avoue que ça faisait très longtemps que je n'avais pas pleuré comme ça lors de la lecture d'un roman. Rien qu'à écrire ces lignes, je sens les larmes qui reviennent
  20. dans la section « histoire de fantômes ». 4/5 dans les critiques, il est dénommé « olni ». Pour objet littéraire non identifié. Je me suis dit que c’était une sorte de putaclic pour livres. Et bien non ! C’est exactement ça !!! Un olni. C’est un roman mais il n’y a pas de narration. Sauf vraiment dans la toute dernière partie. Il y a beaucoup de correspondance mais ce n’est pas un roman épistolaire. Cela peut paraître décousu mais ça se tient du début à la fin (bien qu’il n’y a pas de début !). pour l’histoire, un européen hérite d’un manoir hanté en Virginie, USA. Il est accompagné par une ado qui est censée le protéger et qui est muette. Point. Nous n’en savons pas plus. Même le personnage principal n’a pas de nom. Il est simplement désigné par A. toute l’histoire se construit autour des descriptions d’enregistrement vidéos et audio ; d’extraits de livres ou de rapports ; de documents quelconques, comme une facture de téléphone. L’histoire mêle fantômes, société secrète, énigme, enquête policière, ésotérisme. Mais tout s’imbrique dans les dernières pages. Si j’analyse, ce n’est pas une histoire extraordinaire et pourtant je vais avoir du mal à passer à un autre livre. Il faut que je prenne quelque chose de complètement différent.
  21. A t-il lu toute la série ? Etait-il du même avis que moi sur ce 4e opus ? J'avoue qu"à chaque fois je passe un bon moment avec cette série. Ça fait pas dans la dentelle, ça c'est sûr, mais c'est un bon divertissement. Enfin c'était le cas jusque là. J'espère juste que c'est un raté et que les prochains retrouveront la pêche des 1ers
  22. pas si à jour tu as raté pour moi dans la catégorie thriller "le livre de la mort" d'Anonyme J'ai commencé "le monde caché d'Axton house" dans la catégorie "histoire de fantômes". Trop tôt pour en parler mais pour le moment, c'est spécial et génial. Toutefois, j'attends les fantômes. Pour le moment, juste une ombre et on sait pas si c'est une illusion ou un esprit. A suivre...
  23. 3/5 pour « le livre de la mort » dans la section thrilleur 4e de la série bourbon kid. A mon goût le plus mauvais. Une intrigue qui met du temps à apparaître, des situations moins caucasses que dans les précédents volumes, jusqu’à aller jusqu’à des longueurs de narration. Je verrai au suivant si c’est une erreur de parcours ou si c’est la série qui s’essouffle. en plus j’aime pas la couverture
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