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Tout ce qui a été posté par Verax
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Un objet physique serait-il une propriété? Avoir de l'espace ou être dans l'espace serait une propriété, mais l'être simplement, est-ce une propriété?
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Ce fut fait lors de la toute première réponse du topic, et je n'ai pas écarté cette propriété pour autant, même que je me suis dit favorable à l'idée. Cependant, la masse est une propriété, et cette propriétés s'acquièrent avec le temps. Alors je pars avec un point d'espace, un point comprenant tout l'espace, la chose réduite au point ou si on lui enlève quoi que ce soit, le moindre petit rien, elle ne sera plus une chose. C'est ce que définit l'expression ''la moindre des choses''. Je pars de la moindre des choses, et lorsqu'elle se met à évoluer, il ne peut apparaitre que des émanations liées à ce phénomène. La masse est une de ces émanations, ne reste plus qu'à mettre des noms sur celles-ci au fur et à mesure de leur apparition.
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C'est justement ce que j'appelle du pinaillage sur les détails, tu pinailles toi-même sur des détails sans voir la question de fond. Ce n'est pas tout le monde qui serait capable de mettre en mots leur ressenti, qui passerait d'une esquisse à une autre en croyant que les mots de l'autres refléterait mieux leur pensée que ce qu'ils pourraient eux-même en dire. N'es-tu pas toi-même à même de comprendre cela, lorsque tu viens affirmer que tu ne crois pas que Dieu existe sans pouvoir dire ce que ce serait, ce qui revient à dire que tu ne sais pas ce que c'est, mais que tu n'y crois pas quand même? N'est-ce pas la même chose, l'incapacité de dire dans tes mots ce que tu ressens en te fiant à ce que les autres pourraient apporter de mieux que toi?
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Personnellement, je trouve affreux tout ce pinaillage sur des détails alors que je vois l'évolution justement comme un processus de création en bonne et due forme. Tout ceci se ramène uniquement à une croyance toute simple, certains pensent que l'évolution ne suit pas un but, qu'elle est enveloppé d'une aura d'absurdité opaque, qu'elle n'a de sens que d'être sans rien de plus, alors que d'autres pensent qu'elle n'est pas là par pur hasard et reflétant ce hasard dans toute sa pureté. Elle suit des mécanismes que les scientifiques tentent de déterminer de leur mieux selon les moyens limités qu'ils ont en leur possession, extrapolant en fonction d'informations qui se réduisent souvent à l'état de bribes appelant plus à la l'imagination qu'à la réalité. Pourtant, ce mécanisme appelant à la production du vivant à partir du non-vivant est lui-même représentatif de l'évolution des conditions déjà présentes dans la ''nature'', telle une programmation suivant lentement et sûrement son cours. Or, qui peut dire que la génétique, son code et son affirmation ne serait pas justement un programme qui se déroule? Qu'elle n'est pas justement la suite logique d'un programme plus vaste et qui dépasserait l'entendement?
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La sagesse, c'est ce que l'on perd aussitôt que l'on dirait qu'on l'a! :p
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Et bien, vois-tu, je suis celui qui te dira que toutes les portes sont à franchir. Qu'il n'y a pas de bonnes ou de mauvaises portes, qu'il n'y a que des portes. En cela, je ne suis pas aimable. Si toutes les portes de mon monde te sont ouvertes, alors ouvriras-tu toutes celles du tien en retour, accepteras-tu d'être semblable à moi tout en n'étant pas moi, de ne pas laisser la muraille de ton égo me cacher la vue? Ce rien dont je te parle Genesiis, ce n'est pas ce ''ne rien'' que tu comprends, c'est juste la moindre des choses et non nulle chose, après tout ce temps, toutes ces pages, laisserais-tu encore le néant envahir ta compréhension?
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Et bien, il semble que la mer soit enfin calme et que le vent ait tourné au beau fixe. J'aurais bien aimé recevoir une autre proposition en ce qui concernerait la moindre des choses, mais je reste avec l'objet physique nommé espace comme rien de départ. Puisque je sais d'où je pars, que je sais exactement dans quoi je m'embarque, je peux maintenant passé à la seconde étape, définir ce que serait ces ténèbres qui me font face, l'inconnu. Alors puisque je part de la moindre des choses, que je me fais aussi petit que la moindre des choses, que tout ce qui est à ce moment se résume à l'espace et rien d'autre, je ne peux donc que faire face à tout ce qui n'est pas, et ça, ce ne pas la moindre des choses pour la moindre des choses que je suis, je propose donc d'appeler cet ensemble, celui de tout ce qui n'est pas, le temps. Le temps n'est pas encore, car rien ne s'est encore passé, tout ce qui est n'a pas encore connu rien de différent, tout est encore et toujours au beau fixe, du pareil au même. Le temps représentera donc l'ensemble de tout ce qui n'est pas encore, il inarnera ce qui sera prochainement, et ce ne sera pas la moindre des chose à comprendre pour l'espace. Je propose donc de voyager à bord du vaisseau espace, et je me propose de donner une place suffisante au temps pour lui permettre d'être. Êtes d'accord pour dire que le temps n'est pas la moindre des choses, qu'il est le visage et l'incarnation de la différence, qu'il comprend tout ce qui n'est pas encore? Sinon avez-vous autre chose à proposer?
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L'ennui, c'est que rien n'est pas presque rien, si tu lui enlèves ne serait-ce qu'un iota alors il ne reste plus rien, si tu lui ajoutes ne serait-ce qu'un iota, tu te retrouve avec plus que rien, et comme tout c'est plus que rien, ben tu peux te retrouver avec tout sans t'en rendre compte. Il faut savoir faire la part des choses. Presque, c'est déjà une énorme différence en soi. Muraille d'égos? Et si je savais ne pas être aimable et que je l'acceptais, m'accepterais-tu pour ce que je suis vraiment? Ouvrirais-tu les portes de ton monde à quelqu'un que tu serais incapable d'aimer si les siennes t'étaient grandes ouvertes en retour? Entendons-nous bien, ne pas être aimable ne veut pas dire être détestable, il suffit souvent de renvoyer l'image de ce que l'autre n'aime pas en lui-même pour ne pas être aimable à ses yeux.
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L'important, c'est qu'il y ait une note, bonne ou mauvaise, ça dépend de ton ambition. Comme le but était de te faire comprendre rien, et que rien n'est qu'une partie du tout, alors c'est une bonne chose que tu n'aies pas compris tout alors qu'il est question de rien. Étrangement, et le plus sérieusement du monde, je dirais que puisque ce rien est l'espace même, alors il est le quelque part résumé en un seul endroit. Il ne peut donc que se propager dans ce qu'il n'est pas, dans les ténèbres qui l'entourent, dans ce qui n'est pas, dans le nulle part. Le rien est l'endroit. On n'en part pas, on part avec lui. Puisque ce rien est quelque chose à la base, la moindre des choses, alors on part assurément de quelque chose. Puisqu'il est déjà tout ce qui est en partant, alors il n'a qu'à se partager pour donner une place à tout ce qui n'est pas, c'est tout ce dont a besoin cet autre tout pour être enfin en place. On y arrivera avec le temps, on fera assez de place dans ce petit rien d'espace pour y faire entrer ce qui n'est pas. On ouvrira les vannes du barrage et les flots de l'abîmes engloutiront les ténèbres. Ce pouvoir, notre imagination en est garrant, ne reste qu'à lever l'auto-censure qui la brime. :)
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Évidemment, si ''on'' part de rien, c'est qu'il n'y a pas rien, il y a ''on'', c'est déjà pas rien. On est ce rien au départ. Le titre pose question, ça va de soi. Lorsque je ne veux rien, je ne veux pas autre chose, je ne veux tout simplement pas. Même chose lorsque je ne dis rien, je ne dis pas quelque chose, je ne dis tout simplement pas, alors que si je dis rien, je dis un mot. ''Ne'' représente la négation, ''ne rien'' pour être la définition de ''nulle chose'' implique la négation de quelque chose, deux mots pour deux mots, le premier est la négation et le second est la chose. Plus précisément, tu peux dire que tu n'es pas parti de l'échelle, tu peux dire que tu es parti grâce à elle, avec elle. J'ai noté quelque chose, alors t'as une note. Ça te va? Tu trouves ça bon? :)
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C'est ce que sous-entend ce topic Genesiis. Que tout cet univers n'est qu'une forme prise par l'espace, que tout n'est fait que d'espace, que tout n'est que transformation de l'espace. En résumé, nous ne sommes pas dans l'espace, nous sommes de l'espace.
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L'existence, c'est un concept. L'existence n'existe pas. Qu'est-ce t'en penses?
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Que l'espace change de forme ou non, ça reste l'espace. Peu importe qu'il interagisse ou non, qu'il évolue ou non, ça reste l'espace. C'est le temps qui ne passe pas pour lui, il ne pourra jamais dire qu'il était l'espace et qu'il le sera, il l'est en permanence, qu'il le veuille ou non, c'est sa réalité. Ça ne lui pose pas problème du tout, il est ce qu'il est. Il est comme toi, condamné à être ce qu'il est, ça te pose problème de ne pas pouvoir être ce que t'es pas? D'être ce que t'es en permanence?
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Y'en a pas, je pars de ce qui existe, faut te dire que ça a toujours existé, de toute façon si y'a pas d'espace alors je vois pas ce qui pourrait exister avant puisque ça n'aurait pas de place pour exister et que ça ne prendrait pas de place, pour être présent, faut bien l'être quelque part, sinon c'est présent nulle part, alors autant dire que ça n'existe pas. Pas de verbe, juste un nom. L'existence d'une bulle de rien est en soi une statique qui n'est pas rien, c'est la moindre des choses. L'existence n'est pas la bulle, c'est ce que la bulle a et qui lui permet d'être.
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En effet, c'est du HS, purement et simplement, c'est ce qui définit le fait de ne pas parler du sujet proposé, et c'est encore pire quand le sujet dont on parle en HS serait le sujet qui a proposé le sujet. On est en philo là, pas en psycho de bas-étage, alors, mes petites précieuses, allez vous faire voir ailleurs ou participez, y'a une question posée, elle demande ce que serait la moindre des choses pour vous? Avez-vous autre choses à partager que votre petite frustration et votre propension exagérée à vous prendre pour d'autres? J'en doute.
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Prends un peu de ton temps pour apprivoiser la chose, imagine toi la procédure, c'est pas un interview là, c'est un espace de réflexion. Je t'ai dit que t'avais le choix, t'as toute liberté pour avoir des idées, si tu préfères l'immobilité, parce que la sphère est compacte, alors laisse-la dans cet état d'immuabilité, mais comme c'est pas ce que tu peux observer en réalité, alors tu peux choisir de la faire évoluer en lui donnant un mouvement quelconque. Tu peux même lui donner un libre-arbitre si tu veux, tu peux même te mettre à la place de cette sphère, l'être, et voir sa fracture comme le premier mouvement possible voulant que quelque chose se passe là où rien ne se passait, comme un éveil. Je t'ai donné la limite à respecter, l'axe de symétrie, je te demande seulement de ne pas perdre un seul iota de ce volume qui t'est confié, tu peux jouer avec comme il te plaira. Si tu veux du tout cuit dans le bec, ben va te falloir attendre, y'a pas de presse, la sphère est incompressible dans l'état où elle est, alors ça sert à rien. Ne reste plus qu'à décompresser, profites-en.
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Le bateau que t'as manqué se résume à ça : Ça parle de la moindre des choses, pas de nulle chose. T'es crocheté sur le néant, c'est pas le sujet, le néant n'est pas rien. T'as qu'à parler de rien, pas de ''ne rien'' mais bien de quelque chose, de la moindre des choses, c'est une bagatelle pourtant. T'as manqué le bateau où il n'y a rien, ce n'est pas rien ce bateau, c'est le bateau où il n'y a rien. T'as choisi le néant, ce n'est pas un bateau, t'es dans le bateau qui n'est pas un bateau, perdu dans le néant, dans le faux, dans l'absence de compréhension. Perdu dans ta fourberie et ta prétention. Je te l'ai suggéré, va relire l'introduction, refais tes classes, et si tu comprends pas, ben pose des questions pertinentes, ça va t'aider à comprendre. Tu sais la différence entre toi et Théia? Théia sait dans quel bateau elle ne veut plus s'embarquer, toi, t'en a aucune idée. Elle peut toujours changer d'idée, puisqu'elle en a une, toi tu peux pas, puisque pour ça faudrait que t'en aies une, alors fais-toi une idée ou passe ton chemin.
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Sincèrement, je te le redis encore une fois, lis l'intro. Tu va peut-être finir par comprendre. Alors arêtes de faire ta précieuse et redescend de ton piédestal.T'as manqué le bateau, c'est tout.
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Tiens donc, revoilà la petite précieuse! Quand on n'a pas d'arguments, on commente. T'es un faible l'ami, un petit perroquet qui se croit philosophe. Pour ta question, ben il semble que ça t'est tombé dans l'œil, alors c'est que c'est efficace, même si c'est pas là que je visais, je m'en contente. :p Tu vois Théia, c'est exactement ce que je te disais lorsque je parlais d'impertinence, de manquer le bateau. CQFD et il en donne encore une fois la preuve.
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Où t'as vu ou lu que cette bulle avait été créée?
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Et non, je ne me sentais pas le besoin de dire que je n'irais même pas jusqu'à affirmer que l'empathie est naturelle chez les chimpanzés, je me sentirais doublement prétentieux. T'es encore et toujours prisonnier du vague! Qu'est-ce qui est une activité courante chez les humains, aller à la bibliothèque ou ne pas payer pour un service? Pourquoi les animaux auraient un problème de motricité? Parce que ce serait animaux ou parce qu'ils vieillissent? T'as toujours le même problème avec les propositions, tu vois pas que quand t'as deux propositions dans une, nier une seule n'est pas pertinent. Faut être plus précis l'ami. Alors, dans ta proposition sur l'intelligence des chimpanzés, ben t'es prétentieux en disant qu'ils le feraient naturellement, et t'es prétentieux en ne leur accordant pas d'intelligence pour expliquer qu'ils le feraient naturellement, sans compter que t'es prétentieux de ne pas voir tes erreurs et en disant aux autres qu'ils devraient toujours avoir un doute raisonnable. Ben non, c'est juste que je suis pas normal, je fais pas ce à quoi on s'attendrait de moi. :p
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Tu les fractures comme tu veux, c'est pas important, en autant que tu n'en perdes pas une goutte. La règle sera simplement de ne rien perdre de ce qui t'es confié. Le pourquoi et le comment se rejoignent en effet, si tu les fractures comme tu veux, c'est parce que tu le veux, parce que ça ne dépend que de ton bon vouloir. Tu choisis la taille et le nombre, ces choix t'appartiennent, en autant que tu ne perdes rien de ce qui t'es confié, tu fractures autant de fois que tu veux et tu les arranges comme tu veux, c'est toi qui fixes les limites et qui donne la forme que tu veux à l'ensemble. Tu peux pas dire que je suis contraignant, je te demande juste ne pas perdre un seul iota de ce qui t'es confié.