Anna Kronisme

Etre quelqu'un de bien, c'est tellement suggestif et subjectif... Nous pourrions tous nous définir "bien" et "pas bien" et nos autres le pourraient également. Tu as donc bien fait de répondre à ma question même si elle semblait ne s'adresser qu'à une minorité. Je ne pensais pas que ce comportement pouvait être séduisant au-delà de l'adolescence. Me voilà bien sotte ! ^^ Très gros bisous itou, PH. L'Idiocracy, nous la voyons arriver bien gentiment. Ce film est une bible ou le prophétisme de Nostradamus, au choix. T'es pas flippé ? Oui, ça, je le sais... Je suis tellement à part que je me fatigue en aller-retours pour communiquer avec vous, les terriens. ^^ Je suis désolée pour vous, les hommes, que des femmes se comportent ainsi même si cela semble séduire bon nombre d'entre vous, je pense que cela doit en faire souffrir la majorité. Moi c'est pour ça que je ne mets pas avec une femme, elles sont trop cruelles !

De la réciprocité dans la façon de faire le pas. Tu veux que je t'agresse ? Non, pas le coup de foudre... Cette simultanéité ne pourrait survenir qu'entre deux personnes qui se fréquentent et pas entre deux inconnus. J'aimerais sortir du cadre binaire dans lequel je serais celle qui dispose ou celle qui propose ; sortir de la demande ou de la réponse... C'est trop "enfermant", cela laisse peu de liberté à une certaine pureté du sentiment amoureux car s'il faut formuler une demande ou y répondre, nous devons faire appel à la raison. Il existe bien des amours raisonnables mais, ne sont-ils pas faits pour mourir jeunes ?

Je ne crois pas que les couples formés par une femme entreprenante soient plus harmonieux que ceux dont l'homme est à l'initiative. Tous deux peuvent se tromper et faire le premier pas vers une personne qui ne leur correspond pas. J'en viens à penser qu'une histoire formidable pourrait naître d'un pas simultané et convergent... de la réciprocité.

Mais pourquoi faire ça ? Ne serait-ce pas une façon de "forcer" l'autre à aller dans une voie qui ne lui convient peut-être pas ? N'est-ce pas une perte de temps, finalement ? Ne pas se dévoiler de suite, d'accord mais pas pour être désirée ou désirable... Plutôt parce que l'autre doit être prêt à accueillir notre vérité, notre essence, notre être. Et cela ne survient que dans une relation existante, pas lors d'une simple approche sur un site de rencontres. Comme je suis curieuse et que ta réponse est succincte, j'ai trouvé ça : Comment se faire désirer J'ai une question pour les hommes "biens" : Aimez-vous ou aimeriez-vous qu'une femme se comporte ainsi avec vous, seriez-vous séduits et fous de désir ? Tu as encore tellement à apprendre, jeune gourgandin ! Je crois qu'ils sont fidèles à leurs engagements réciproques, au contraire. Le sexe hors couple ne devrait plus être nommé "Infidélité", c'est tellement faux... Pour te punir de ton ignorance, tu iras allumer le gros cierge du curé en récitant dix "Notre Père", agenouillée dans le confessionnal !

Je lis souvent ce conseil... Ça consiste en quoi, exactement se faire désirer ?

Quels sont les "autres problèmes" qui peuvent se poser avec d'autres combinaisons ? Et sinon, vivent les aprèm Terrasse-de-café-à-zieuter-et-commenter-tout-ce-qui-bouge en été, oui...

Je crois que la culpabilité, l'entourage et même "soi" pourraient se gérer plus facilement si le terme Infidélité n'était plus synonyme de relation extra-conjugale ou toute autre relation amoureuse et sexuelle en dehors d'un couple, marié ou pas. L'infidèle a cette connotation déiste (voire religieuse) qui ne permet pas réellement de désidéaliser "l'élu(e) de son coeur" (L'élu de son coeur ! Huhu !). Les relations amoureuses sont encore codifiées selon des croyances et des adorations abominables qui névrosent l'humain jusque dans son slip et sa petite culotte... La seule relation à trois qui pourrait poser problème, serait celle qui se joue entre vous, votre croyance et votre ignorance.

Un petit prince aux gants blancs (même s'il n'a rien d'un Sacré de Birmanie), il est très mignon et semble vif d'esprit. Un bon compagnon pour les 15 à 20 prochaines années. Mais son nom "Nuggets", quand même... C'est comme ma voisine qui appelle sa chatte Pupuce... :gurp:

"Aimer, c'est vouloir donner quelque chose que l'on n'a pas à quelqu'un qui n'en veut pas !" "De la frustration naît le désir et du désir naît la frustration." Un certain monsieur L. Juste pour faire un peu de complétude... ^^ Ma façon de faire assèche le débat ? Première fois que je lis une chose pareille et première fois également que l'on me dit ce que je devrais dire. Enfin, pas tout à fait... Tu ne serais pas la réincarnation de Au temps pour moi, à tout hasard ? Je te laisse faire les questions et les réponses. **smiley sec**

L'irritation et l'agressivité n'apparaissent que dans ton esprit, swam. Je suis beaucoup plus explicite en la matière lorsque cela se manifeste chez moi. Ta question est la suivante : "La nature du désir est-elle différente chez les hommes et chez les femmes ?" Je demande une précision "du désir" afin de proposer une réponse à cette question qui est assez pertinente et tu me réponds vaguement que traiter l'un ou l'autre ou même les deux, c'est pareil. C'est de la confusion, oui ou non ? Lorsque je t'ai posé la question, la première fois, j'ai écrit "Ne me réponds pas les deux puisque dans ta question initiale, il est question de la nature du désir." puis j'ai effacé en pensant que tu saurais bien faire la distinction, je t'ai fait confiance. Ce que je constate, c'est que tu ne connais pas la différence entre les deux et que tu ne cherches pas à la connaître... tu ne veux pas apprendre. Tu réagis au lieu d'agir. C'est dommage. Je ne suis toujours pas irritée ni agressive et je prends en compte ta requête mais, c'est à toi que reviendra la délicate tâche de m'éviter.

Etre déstabilisée par quelqu'un qui maîtrise la situation et qui sait de quoi il parle, oui. S'il n'y a pas d'obligation de distinguer le désir sexuel et le désir amoureux alors, bonne confusion.

C'est déstabilisant, cet aller-retour entre le désir sexuel et le désir amoureux... Tu souhaites définir lequel ?

La vie est injuste. Imagine comme nous aurions été heureux... :wub: Tu aurais passé la majeur partie de tes journées à m'amuser et pour te récompenser de me rendre si épanouie, je t'aurais offert des cours de rugby. Tu serais devenu beau et charismatique, osant enfin parcourir, durant tes périodes de congés, les salles d'attente afin de remettre les enfants récalcitrants dans le droit chemin. Toutes les mères moches du pays auraient désiré que tu souilles leur chiffonnade de jambon et tu te serais senti admiré. Oui, la vie est injuste...

Je suis d'accord, Mite_Railleuse. Mais avoir Savonarol comme bouffon personnel et peut-être même lui trouver une autre utilité, ce serait un peu la vie rêvée d'une reine. :blush:

Huhu ! Si j'étais une reine, je t'emploierais comme bouffon. ^^

Moi, je n'ai pas d'amis mais si j'en avais, ils auraient l'esprit ouvert.

Moi, je n'ai pas d'amis mais si j'en avais, ils seraient invalidants.

Je comprends mieux ce bonheur que tu évoques dans le titre... C'est beau d'être amoureux. :blush:

Kutta utilise le verbe crier à mauvais escient, à mon sens. Il y a beaucoup de confusion autour de certains mots employés dans ce sujet car l'auteur l'a lui-même induite. Notre culture est encore gorgée de barbarisme et elle se palpe salement à chaque instant.

Est-ce que l'enfant a peur lorsque tu lui cries dessus, oui ou non ? N'est-ce d'ailleurs pas le but ? Lui faire craindre une sanction qui survient toujours quand tu ne sais pas contrôler tes nerfs ?

Voilà, merci Feuille. Crier, c'est violent. Tu peux rationaliser avec amour durant 40 pages, ça ne changera rien. Tu cries pour avertir d'un danger, pour effrayer un ennemi, pour extérioriser ta colère et ta rage, etc. Le seul moment où nous pourrions adjoindre le terme "amour" au cri, ce serait durant l'acte sexuel mais, l'humain, cet animal rugissant, sait jouir sans aimer. Donc, lorsque tu cries sur un enfant, il ne comprend pas que tu l'aimes, il a peur.

Ah ! C'est une manie... Je ne savais pas comment nommer cet acte récurant qui m'agace également.

Mais je ne tiens absolument pas à ce que autorité et violence soient synonymes, au contraire ! J'interviens sur ce topic pour faire prendre conscience à certains, dont toi, que la conduite de cet homme n'était en rien de l'autorité mais de l'autoritarisme car il a utilisé la violence (cri) pour contraindre l'enfant à agir selon son bon vouloir. Et les applaudissements des autres personnes prouvent que la violence est encore assimilée à l'autorité. Il y a un juste milieux entre "Ferme ta gueule sinon je vais t'en mettre une !" et "Mon petit coeur, exprime-toi, tu es mon ange adoré.". Que tu considères que traiter un enfant respectueusement sans lui hurler dessus ou le menacer soit de l'angélisme prouve que ton étroitesse d'esprit est réduite au trou de gland par lequel sortira ton éminente culture lorsque tu auras fini de te branler. Ne t'essuie pas avec ton surmoi, c'est sale... :blush:

Je ne fais que donner un avis, également. Si tu y lis de l'agressivité, sache que je suis entièrement responsable de ce que j'écris mais en aucun cas de ce que tu comprends et c'est justement sur ce que tu comprends de ce que j'écris qu'il y a une interrogation qui se transforme en affirmation : tu ne sais pas réellement lire. Je ne remercie pas tes parents. ^^ Là, tu devrais percevoir de la moquerie, en toute logique. [Aide providentielle] Ton avis, que tu ne faisais que donner (comme tous les gens qui participent à ce forum), consistait à conseiller les mères de calmer leurs (je te cite) "petits tyranneaux" sous peine de se faire cracher au visage dans un futur proche. As-tu la moindre idée de ce qui donne "naissance" à un enfant tyrannique ? De son comportement précis et de son développement en tant qu'adulte ? De ses rapports avec sa famille et la Société ? Ne te sens pas obligée de répondre, c'est une façon de te faire admettre que tu t'exprimes sur un sujet que tu ne comprends pas (et en partageant ton expérience personnelle de l'éducation, tu prouves que cela est tout à fait logique). Tu fais donc partie de ces gens qui donnent leur avis, sans qu'il serve à faire évoluer quoi que ce soit. C'est ce que j'appelle un crachat. Mais le tien était joli, y avait une petite tête jaune qui rigole. Celle qui n'a pas eu de chance te salue. " :) "

Si crier sur quelqu'un n'est pas de la violence... Qu'est-ce donc ? Ah oui, de l'autorité... Le gars avait tout bon en le tenant par les épaules, en le regardant dans les yeux et il aurait pu lui dire de se taire d'un ton calme mais ferme, ça aurait parfaitement fonctionner. Mais non, il a fallu qu'il lui crie dessus. C'est un idiot violent qui ne sait pas plus se contrôler que cet enfant. "Kevin, fils de con, arrête de dire des gros-mots, p*tain de m*rde !"