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Darius3

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Tout ce qui a été posté par Darius3

  1. "Dans les faits, l'anti-racisme est un racisme comme les autres". Une expression intelligente. L'anti-mafia est une maffia comme les autres .L 'anti-pollution est une pollution comme les autres. Anti veut dire quand on est comme les autres. "Anti" veut dire "je suis comme les autres". Les antifascistes étaient des fascistes comme les autres. Brillant. Belle "analyse".
  2. Face à un terroriste islamiste vous proposez à une malienne un kleenex ? citation: Une prison a ainsi été créée, spécialement pour elles, pour abriter celles qui seront arrêtées en raison d’une tenue vestimentaire jugée non décente… Entendez par là que le port du voile est obligatoire. Pour manifester contre les mesures abusives de la police islamique et dénoncer le comportement de son chef, Mohamed Mossa, 200 Maliennes ont pris leur courage à deux mains et ont défilé dans la rue. La rage au ventre, elles ont dénoncé les arrestations abusives, le viol de certaines femmes par le chef de la brigade des mœurs islamiques, lequel semble prendre un malin plaisir à soulever les voiles des femmes pour voir quel genre de sous-vêtements elles portent… Je devrais leur dire qu'une femme intelligente et consciente leur propose un kleenex....
  3. Une seule race donc le terme de "race" est faux. Les études scientifiques basées depuis le milieu du XXe siècle sur la génétique ont montré que le concept de race n'était pas pertinent pour caractériser les différents sous-groupes géographiques de l'espèce humaine car la variabilité génétique entre individus d'un même sous-groupe était plus importante que la variabilité génétique moyenne entre sous-groupes géographiques[4],[5], on parle ici de moyenne entre sous-groupes face à l'éventail de possibilité génétique à l’intérieur d'un sous-groupe, bien entendu un individu est plus proche génétiquement d'un individu de son sous-groupe que d'un individu d'un autre sous-groupe, simplement car il y a plus de chance d'avoir une parenté avec un individu de son sous-groupe. Le consensus scientifique actuel réfute en tout état de cause la présence d'arguments biologiques pour légitimer la notion de race], C'est clair ? Un seul être humain: Homo Sapiens.
  4. Darius3

    Supersarko revient!

    Je suis d'accord. La Justice est loin d'avoir fini. Cela renvoie même au financement de la campagne de ce cher Balladur (Sarkozy ministre du budget, Porte parole . Et 1er du groupe Balladur. une citation sur les origines de Sarkozy peu connues Je vous emmène aujourd’hui sur les traces d’un personnage de roman. Un homme avec un destin étrange et mystérieux. Le père de notre président. CITATION: . UNE VIE: Tout commence en Hongrie, à la fin des années 1920. Le pays vient de déclarer son indépendance. C’est un régime fort qui se rapproche rapidement de l’Allemagne nazie. Les juifs, les communistes et les tsiganes sont pourchassés, comme dans le Reich voisin. C’est dans ce contexte que, dans un petit village hongrois situé 80 kms à l’est de Budapest, naît Pal, en 1928. Sa famille n’appartient pas à la noblesse, a seulement obtenu le droit d’ajouter le nom de son village à son nom, à la suite des services rendus par un ancêtre paysan qui s’est battu contre les Turcs. Les Sarkozy possèdent des terres, habitent une sorte de petit château. Pal remplit d’abord des fonctions électives à Szolnok, sa région natale. Il est tout jeune. En 1944, considérée comme appartenant à la classe des nantis, la famille nagybocsai Sarkozy est expropriée par l’URSS. Elle s’exile et erre dans l’Europe de l’après-guerre. Pal finit par se retrouver à Baden-Baden, en Allemagne. C’est là qu’il s’engage dans la Légion Etrangère. Il signe pour 5 ans. Il a à peine 16 ans. En 1948, il est à Marseille, démobilisé pour inaptitude. Grâce à son engagement dans la Légion, il peut prétendre à la nationalité française mais il s'y refuse. Pal ne souhaite pas devenir français. Il francise pourtant son nom (Pal nagybocsaï Sarkozy), et devient astucieusement Paul Sarkozy de Nagy-Bocsaî ! beau régime, bel exemple ....
  5. Bien sûr la France agit aussi pour sa permanence économique. Mais dites moi: vous êtes une femme ? vous comprenez que les femmes maliennes soient heureuses d'avoir été libérées des agressivités islamistes ? des tortures ? des fouets ? des VIOLS ? citation " Dans la ville de Gao, reprise aux djihadistes le 26 janvier 2013, les groupes armés djihadistes se sont illustrés ces derniers mois par leur cruauté : 8 hommes amputés (d'une main ou d'un pied et d'une main), de nombreux crimes sexuels et le recrutement d'enfants soldats. Une femme rencontrée par la FIDH témoigne que « de nombreuses femmes ont été emmenées en brousse et violées là-bas ». « Ils escaladaient même les murs des maisons pour venir nous violer » ajoute-t-elle. Les femmes étaient obligées de se dissimuler totalement et il leur était interdit d'écouter la radio, de porter des bijoux, des crèmes, des mèches ou de fréquenter des hommes. « Même saluer un homme pouvait vous faire chicotter [battre] » témoigne une jeune femme." vous souhaitez que les troupes françaises retournent en France ? vous êtes une femme ?
  6. Les PDG de l'automobile "grassement payés" (c'est votre formule élégante) trouvent des solutions pour la crise de la vente automobile ? Les élus sont donc tant payés ? Ils sont plus riches qu'un non élu, Jean Marie Le Pen ? Exacte votre remarque. Cela fait du bien de lire parfois des choses justes. Les politiques qui ont appelé à voter pour Nicolas Sarkozy ne se plaignent pas ? Ils acceptent le retour de Nicolas ? déclaration de François Fillon: « Il faut repenser notre projet, on ne va pas dire aux Français qu 'on vient devant vous avec exactement le même projet que celui qui nous a conduit à l’échec à l’élection présidentielle' alors que le monde dans cinq ans aura profondément changé », Fillon se plaint ? Pire: il barre la route à celui qu'il a soutenu.
  7. On parlait de race par erreur scientifique en confondant une seule espèce humaine (indiquée par exemple par l'analyse génétique) avec les différences de couleur de peau, de taille, de culture, de civilisation . citation: "Les études scientifiques basées depuis le milieu du XXe siècle sur la génétique ont montré que le concept de race n'était pas pertinent pour caractériser les différents sous-groupes géographiques de l'espèce humaine car la variabilité génétique entre individus d'un même sous-groupe était plus importante que la variabilité génétique moyenne entre sous-groupes géographiques[4],[5], on parle ici de moyenne entre sous-goupes face à l'éventail de possibilité génétique à l’intérieur d'un sous-groupe, bien entendu un individu est plus proche génétiquement d'un individu de son sous-groupe que d'un individu d'un autre sous-groupe, simplement car il y a plus de chance d'avoir une parenté avec un individu de son sous-groupe. Le consensus scientifique actuel réfute en tout état de cause la présence d'arguments biologiques pour légitimer la notion de race[], ce qui la relèguerait à un concept morphologique, ethnico-social, culturel et politique[]. une ânerie vous dites ? s'il faut se contenter de croire ce que croyait le passé inutile de parler de l'Amérique. L'Europe et l'Orient l'ignoraient. Parler du monde entier c'est une ânerie ?
  8. Bon message très vrai; merci; ça fait plaisir de lire enfin un message pertinent.
  9. Dans une démocratie un Président élu finit son mandat. Quelle incompétence ? Proposez nous des solutions économiques, sociales, écologiques et miliaires. On attend. Merci Vous n'êtes d'accord sur rien ? Par exemple les maliens auraient du continuer à se faire amputer un bras ? une augmentation de 25% de l’allocation de rentrée scolaire par décret etc.
  10. "LA MONTEE EN PUISSANCE DU FN"...2 députés, dont c'est la première élection (sans expérience) et qui sont à l'écart du FN et non issus du cœur de ce Parti (un parti sans cœur que même Le Pen a méprisé quand le FN avait des problèmes financier, Le Pen n'en ayant pas mais n'ayant rien offert à "son"' parti)./ aucun sénateur. Bref LA MONTEE EN PUISSANCE. Visible. Celle de la bêtise. Un homme qui a eu une trentaine de condamnations se permet d'insulter un Député européen en public, à l'Assemblée ? Cohn Bendit aurait dû le mener en justice pour diffamation et trouble d'un lieu politique. On ne dépasse jamais la crise dans nos explications ? Et vous ? vous expliquez ?" Montée du FN dans d'autres pays" ? :smile2: Quel pays ? l'Islande ? la Nouvelle Zélande ? le Canada ? Offrez nous des exp^lications puisque vous les ordonnez de la part des autres. Onze banques françaises ont été condamnées, lundi 20 septembre, à près de 385 millions d'euros d'amende pour avoir illégalement coordonné leur tarification sur le traitement des chèques, a annoncé, lundi, l'Autorité de la concurrence dans un communiqué. Ces établissements ont été sanctionnés "pour avoir mis en place de manière concertée et avoir appliqué, de janvier 2002 à juillet 2007, une commission interbancaire indue de 4,3 centimes d'euro sur 80 % des chèques échangés en France, à l'occasion de la dématérialisation du système de compensation des chèques", a expliqué l'Autorité. L'Autorité a essentiellement sanctionné la commission dite "d'échange image chèque" (CEIC), mise en place en janvier 2002 pour compenser, selon les banques, la perte de trésorerie qu'induisait l'accélération du traitement des chèques. Amenées à libérer plus tôt les sommes réglées par chèque, les banques faisaient valoir qu'elles ne pouvaient donc plus les placer aussi longtemps qu'auparavant, ce qui entraînait une perte de revenus financiers. La CEIC a finalement été supprimée en juillet 2007, "sous la pression de l'enquête en cours", rappelle l'autorité administrative indépendante. Les banques sanctionnées sont le Crédit agricole, la Société générale, BNP Paribas, le Crédit mutuel, le Crédit industriel et commercial, le Crédit du Nord (groupe Société générale), LCL (groupe Crédit agricole), la Banque postale, BPCE, HSBC et la Banque de France. Le groupe BPCE, qui chapeaute les enseignes Banque populaire et Caisse d'épargne, a été le plus durement touché, avec une amende de 90,9 millions d'euros, suivi par le Crédit agricole (82,9). Les banques ont un mois pour interjeter appel de cette décision, lequel ne serait pas suspensif et ne dispenserait donc pas les banques sanctionnées de s'acquitter du montant de leur amende.
  11. Oui, j'apprécie votre message. "Issus du pétainisme" n'est pas seulement une opinion personnelle, c'est une réalité historique. Citation: les fondateurs du FN Les fondateurs proposent la présidence à Jean-Marie Le Pen qui s'était retiré de la vie politique pour se consacrer à sa société d'éditions (la Serp) après la dissolution des Comités Tixier le 23 janvier 1966, ce qui avait marqué la dislocation et l'émiettement de l'extrême droite en plusieurs partis éphémères. Le 5 octobre 1972 a eu lieu le congrès constitutif du Front national pour l'unité française, communément appelé Front national, l'élection de Jean-Marie Le Pen comme président et du journaliste François Brigneau comme vice-président. Parmi les fondateurs du nouveau mouvement, on pouvait relever les personnalités suivantes : Léon Gaultier, professeur d’histoire, ancien membre de la Waffen-SS, membre fondateurs du conseil national du Front national[1], sans avoir de responsabilité particulière. Pierre Bousquet, secrétaire général du Parti de l'Unité Française et ancien de la division SS Charlemagne. Trouvant le Front national trop modéré, il partira en 1981 pour fonder le Parti nationaliste français ; Emmanuel Allot dit François Brigneau, ancien sympathisant socialiste membre du Parti frontiste puis milicien, condamné pour collaboration avec les nazis, puis à Ordre nouveau, journaliste à Minute et au Crapouillot, cofondateur avec Antoine Blondin et Pierre Boutang de nombreux journaux comme La Dernière lanterne qui deviendra La Fronde et enfin Rivarol, ancien des Comités Tixier[2]. Il participe en octobre 1973 à la scission du FN qui donnera naissance l'année suivante au Parti des Forces Nouvelles, rival pendant plusieurs années du FN, auquel il reviendra en 1979 sans y jouer de rôle important pour le quitter de nouveau en 1999 ; Dominique Chaboche, ancien de Occident ; Jean-Maurice Demarquet, ancien membre de la 1re division française libre, Croix de guerre 1939-1945 André Dufraisse, ancien secrétaire adjoint de la CGT de Nice puis collaborateur, membre du Parti populaire français (PPF) et de la LVF ; François Duprat, journaliste et ancien de Ordre nouveau, diffuseur du négationnisme, assassiné en 1978. Les auteurs du crime n'ont jamais été retrouvés ; Pierre Durand ; Roger Holeindre, ancien de l’OAS, alors président du Parti de l'Unité Française ; Alain Robert, pour Ordre nouveau et le GUD, quitte le FN dès 1973 pour fonder le PFN. Aujourd'hui membre de l'UMP ; Victor Barthélemy, ancien membre du Parti communiste français, du Secours rouge international et employé à l'Internationale communiste, rejoint ensuite LVF, puis secrétaire général du PPF (voir son livre de mémoires Du communisme au fascisme), l'un des deux animateurs français avec Maurice Bardèche du Mouvement social européen, partira en mai 1978 . Bien sûr, Le Pen a essayé de faire oublier ses "amis" . Les français les ont oubliés et certains croient que le FN, Jean-Marie et Marine sont des possibilités nouvelles de démocratie. 2002 le score de Le Pen c'est le plus faible score au deuxième tour depuis l'élection de Pompidou.
  12. Darius3

    Supersarko revient!

    "sa" peut pas être pire ? "sa" c'est quelle langue ? "sa" m'étonne....Je ne commente même pas la manière dont cette agrégée d'orthographe agresse un président élu. C'est quoi "ça" réflexion politique ? "Sa" me fait un peu de "paine"...:)
  13. Un militant rigolo du FN qui n'ose pas trop le dire....Confondre UMP et PS va vous faire des amis chez les partisans de l'UMP. Ceux du PS savent déjà. Au boulot, pour une pause (i y a des cadres de de Gauche et des cadres de Droite, aucun souci) et allumer l'écran nous permet de rigoler. Continuez à écrire s'il vous plait !
  14. Vous connaissez bien Le Pen ? L'héritage de 30 millions de francs de Jean-Marie Le Pen Il est de notoriété publique que le leader du Front national est issu d'un milieu très modeste. Ses parents habitant la Bretagne étaient issus des couches populaires. Sa mère était couturière tandis que son père était marin pêcheur. En 1942, il mourut en mer, son bateau explosant sur une mine. Jean-Marie Le Pen devint donc un « pupille de la nation ». Ce n'est donc pas grâce aux biens de ses parents qu'il a pu devenir richissime, c'est plutôt grâce à un autre héritage. Il rencontre dans les années 1970 un certain Hubert Lambert, héritier en partie de la dynastie des ciments Lambert. L'homme est fasciné par Jean-Marie Le Pen au point de voir en lui un futur chef d'Etat. Pour l'aider dans son accession au pouvoir, Hubert Lambert va lui financer son parti, le Front National. Avant de mourir, à l'âge de 42 ans, celui-ci établit une douzaine de testaments, dont un à l'adresse de son protégé. Il lui fait don d'une somme colossale, estimée à 30 millions de francs. Pourtant, un cousin d'Hubert Lambert, ayant lui aussi hérité de sa fortune, se sent lésé. Il aurait bien envie de lui faire un procès mais après avoir calculé les risques, se récuse, comme d'ailleurs Jean-Marie Le Pen. Chacun voit l'intérêt de s'arranger à l'amiable plutôt que de passer devant un tribunal où ils risqueraient de sortir tous deux perdants, Hubert Lambert ayant d'autres cousins non concernés alors par ces parts d'héritage. Les deux hommes trouvent donc un arrangement : Jean-Marie Le Pen hérite de la maison de Saint-Cloud. Le Canard enchaîné rapporte que le chef du FN aurait fait quelques autres héritages, beaucoup moins considérables que celui de Hubert Lambert, mais permettant de grossir son immense fortune. Jean-Marie Le Pen est extrêmement riche. Il possède une immense propriété à Saint-Cloud dans le parc de Montretout, une maison familiale à la Trinité, un portefeuille d'actions, des liquidités et la moitié des parts d'une société de champagne. Pourtant, à en croire sa déclaration d'impôt, il ne paierait que 1643 euros d'ISF, correspondant à un patrimoine de 1 million d'euros. C'est plus que Ségolène Royal, certes, mais bien moins que le président de la République, Nicolas Sarkozy. La somme est dérisoire lorsque l'on calcule les différentes sources de richesse du président du Front National. Dans son numéro daté du 21mars 2007, Le Canard Enchaîné a mené l'enquête pour savoir d'où vient la fortune de Jean-Marie Le Pen et la raison pour laquelle il paye si peu d'impôts. Selon le journal, celui-ci doit tout simplement beaucoup d'argent au fisc. En populiste policé, le Le Pen 2002 semble avoir pris ses distances avec les compagnons de route bien encombrants et les frasques de son parcours d'aventurier de la politique. Le Point a ouvert quelques- uns de ses placards. « Les collabos de Le Pen » Le président du Front national, qui jure avoir pris la route des maquis du Morbihan à l'âge de 17 ans, n'a jamais manqué de mettre en avant les anciens résistants membres du FN : Michel de Camaret, compagnon de la Libération, le colonel Etienne François, grand officier de la Légion d'honneur, Robert Hemmerdinger, Roger Holeindre... Proche lui-même de l'ancien nazi belge Léon Degrelle, Le Pen se montre en revanche beaucoup plus discret sur les anciens du régime de Vichy et autres admirateurs de l'Allemagne hitlérienne étroitement mêlés à l'histoire du FN. Léon Gaultier. Cet ancien lieutenant Waffen SS a fondé une maison de disques, la SERP, avec Le Pen en 1963. Il fut membre du conseil national du FN dès sa création, en 1972. André Dufraisse. Ex-membre du Parti populaire français et de la Légion des volontaires français (LVF), c'est à son engagement sur le front de l'Est sous l'uniforme allemand qu'il dut son surnom de « Tonton Panzer ». Membre du bureau politique du Front national de 1972 à sa mort, chargé du recrutement des chefs d'entreprise, André Dufraisse fut aussi le compagnon de Martine Lehideux, actuelle présidente du groupe FN au conseil régional d'Ile-de-France, elle-même nièce de François Lehideux, ministre de l'Industrie de Pétain. A la mort de « Tonton Panzer » en 1994, Le Pen prononça sur le parvis de l'église de Saint-Nicolas-du-Chardonnet un bref hommage au défunt, avec lequel il avait milité depuis 1956. François Brigneau. Cet ancien milicien, qui connut les geôles de Fresnes au temps de Brasillach, fut vice-président du FN à sa création. Editorialiste de National Hebdo , condamné plusieurs fois pour incitation à la haine raciale, il a pris ses distances au moment de la scission mégrétiste. Roland Goguillot, alias Roland Gaucher, s'occupa pendant la guerre des jeunesses du RNP de Marcel Déat, qu'il suivit à Sigmaringen en 1944. A la Libération, il prit le pseudonyme de Roland Gaucher. Journaliste à Minute , Gaucher-Goguillot fut fondateur en 1972, puis membre du bureau politique du Front. Grand spécialiste du PCF, il a sensibilisé Le Pen à l'efficacité des techniques militantes communistes. Il sera conseiller régional FN de Franche-Comté et directeur de National Hebdo jusqu'en 1993. Pierre Bousquet, premier trésorier du FN, décédé en 1991, était un ancien caporal de la division Charlemagne. Victor Barthélemy, secrétaire général du Front national de 1973 à 1978, décédé en 1985, fut le secrétaire de Jacques Doriot, chef du PPF. Il a été membre du comité central de la Légion des volontaires français (LVF). Gilbert Gilles fut de tous les combats de l'extrême droite. Aujourd'hui retraité et auteur de livres sur la Seconde Guerre mondiale, il ne cache rien de son passé : « J'ai été à la Waffen SS et adjudant de la division Charlemagne, j'ai combattu en Ukraine du Nord et purgé quatre ans et demi de prison pour appartenance à l'OAS : nous avions fait sauter les pylônes à haute tension à Sarcelles un jour où de Gaulle devait y faire un discours. » En 1984, Gilbert Gilles devint le chargé de mission de Le Pen (qu'il tutoie) afin de récolter des fonds en Afrique, mais fut écarté par Jean-Pierre Stirbois. Bonne lecture et songez toujours à voter pour Le Pen avant qu'il nous quitte et sa felle qui n'est même pas députée.
  15. Oui c'est tout à fait vrai. Une "politique" mise en place comme une héritière qui s'annonçait Présidente et qui n'est même pas députée, qui perdra peut-être son immunité de députée européenne (voulait être élue dans le Parlement Européen ( alors qu'elle fait semblant d'agresser Hollande en lui demandant de quitter l'Union européenne) car elle est poursuivie par la Justice. Mais dans ce domaine elle est encore en retard sur le borgne qui a connu une trentaine de condamnations diverses . Un parti qui n'a que 2 députés (leur première élection__ donc expérience politique discutable, et assez loin du cœur du FN) et aucun sénateur. Bref un parti en grande progression comme les pro-FN l'écrivent sans rire dans cette discussion démarrée par un fan du FN... bref un "hussard noir" c'est l'uniforme ordonné par Heinrich... "Le FN plus populaire que jamais". Ben oui ça se voit dans les élections. Merci Transporteur, ça fait du bien de lire parfois des messages cohérents et réalistes. Et pour répondre paisiblement à celle qui m'a agressé et reproché que je remercie des intervenants pertinents , ON EST LIBRE pas seulement de jeter les insultes que je reçois mais manifester sa reconnaissance, sa gratitude envers celles et ceux qui dialoguent de manière intelligente.
  16. Juste une citation sur le bilan juridique: D'après les renseignements généraux, il y a eu 1 513 faits racistes et antisémites déclarés, dont 361 violents en France en 2004. Ils étaient 833 en 2003 et 1313 en 2002. Les faits antisémites sont les plus nombreux (950 en 2004) dont 199 actes violents. La région parisienne est la plus affectée. Les actes antimaghrébins ont connu une forte augmentation en 2004 (563 faits parmi lesquels 162 violents). Les profanations de cimetières et les atteintes aux mosquées se sont multipliées[6]. Pour sa part, la Commission nationale consultative des droits de l’homme dresse pour l’année 2007 un tableau des manifestations de racisme, antisémitisme et xénophobie. La diminution des actes racistes et antisémites constatée en 2005 et 2006 semble se poursuivre, ces derniers sont en outre de plus en plus pris en compte par les autorités judiciaires. Les violences et menaces à caractère raciste et xénophobe sont pour l’année 2007 en baisse de 9 %, les personnes d’origine maghrébine étant les plus touchées à la fois par les actes racistes (68 % de la violence raciste est dirigée contre la communauté maghrébine) et les menaces racistes (60 % du volume global). Le rapport constate que la lutte contre l’antisémitisme porte ses fruits : 386 faits ont été recensés en 2007 contre 571 en 2006 (- 32,5 %), après une nette augmentation entre 2005 et 2006[7]. Le Roi Torture a dû oublier le réel.... :smile2:
  17. Ce n'est même pas le second, c'est le premier. 2 députés élus pour la première fois. Une grande expérience politique. Citation de 2005: "Présent depuis les élections législatives de 2003 au Sénat, le Front national vient de perdre ses deux sénateurs. " Un parti très puissant...N'ayant pas l'ombre d'un doute. Sieg Heil Ombre Von Doute ! :smile2:
  18. Citez nous la règle officielle qui impose le tutoiement. S'il n'y a pas de règle on peut dire ce qu'on veut: l'intelligence est de REGLE sur le net ! Une fois de plus, comme d'habitude, vous avancez des affirmations irréelles(le tutoiement est de rigueur sur le net) sans pouvoir les justifier et sur le sujet des messages incohérents qui font rire mes collègues lisant sur l'écran sur notre lieu de travail. Un café, lire quelques messages: l'ombre d'une cervelle. Bon courage Monsieur.
  19. Proposez un chauffeur....une chauffeuse ? une chauffeuse marine ? elle n'est même pas député.:smile2: Indiquez nous le chauffeur et la voiture que vous proposez avec REALISME.
  20. Et la Justice a condamné QUI ? quand Le Pen insulte Daniel Cohn Bendit à l'Assemblée Européenne devant tout le monde (et devant les caméras) qui agresse qui ? Vraiment vous ne voulez pas admettre la REALITE . Lisez les condamnations de Le Pen dans sa vie et vous verrez. CITATION: Janvier 1960 : condamné pour des menaces de mort proférées à l'encontre d'un commissaire de police . 8 novembre 1995 : condamné à un redressement de 1,4 million de francs pour « oublis de plus-value boursière et sous-estimation de loyer ». Condamnations pour coups et blessures[modifier] 27 avril 1964 : condamné pour coups et blessures volontaires ( citation Le Monde, 21 janvier 1992). 16 janvier 1969 : condamné à trois mois de prison avec sursis et 20 000 F de dommages-intérêts pour coups et blessures volontaires par le Tribunal de grande instance de Paris ( citation Le Monde, 21 janvier 1992). 2 avril 1998 : condamné à deux ans d'inéligibilité (réduits à un an par la cour d'appel, qui ajoute 8 000 F d'amende) et trois mois de prison avec sursis par le Tribunal correctionnel de Versailles pour « violences en réunion » et « injures publiques » (faits requalifiés par la Cour d'appel en « violences sur personne dépositaire de l'autorité publique dans l'exercice de ses fonctions ») pour avoir agressé la maire et candidate socialiste Annette Peulvast-Bergeal (qui portait son écharpe d'élue) lors des législatives de 1997[68]. Le 23 novembre 1999, la Cour de cassation a rejeté son pourvoi[69],[70]. Par une décision du 10 mai 2001, la Cour européenne des droits de l'homme a déclaré irrecevable sa requête fondée sur la violation de l'article 6 de la Convention européenne des droits de l'homme[71]. Jusqu'en avril 2011, Jean-Marie Le Pen a été condamné 18 fois pour ses propos. 14 janvier 1971 : rejet par la Cour de cassation de son pourvoi contre l'arrêt le condamnant, pour apologie de crime de guerre, à deux mois de prison avec sursis et 10 000 francs d'amende[72]. La pochette d'un disque édité par la Serp affirmait : « La montée vers le pouvoir d'Adolf Hitler et du Parti national-socialiste fut caractérisée par un puissant mouvement de masse, somme toute populaire et démocratique, puisqu'il triompha à la suite de consultations électorales régulières, circonstance généralement oubliée »[73]. La Cour écrit que « L'ensemble de cette publication était de nature à inciter tout lecteur à porter un jugement de valeur morale favorable aux dirigeants du parti national-socialiste allemand […] et constituait un essai de justification au moins partielle de leurs crimes »[74]. 11 mars 1986 : condamné au franc symbolique par le tribunal d'Aubervilliers pour « antisémitisme insidieux »[réf. nécessaire]. La peine est confirmée en appel le 9 juillet. Jean-Marie Le Pen s'en était violemment pris à des journalistes juifs ou d'ascendance juive : « Je dédie votre accueil à Jean-François Kahn, à Jean Daniel, à Yvan Levaï, à Elkabbach, à tous les menteurs de la presse de ce pays. Ces gens-là sont la honte de leur profession. Monsieur Lustiger me pardonnera ce moment de colère, puisque même Jésus le connut lorsqu'il chassa les marchands du temple, ce que nous allons faire pour notre pays. » Et il leur accordait comme circonstance atténuante de n'avoir « appris le français que récemment ». 27 mars 1986 : reconnu coupable d'apologie de crimes de guerre, dont la déportation, pour l'édition d'un disque sur lequel on peut entendre « un hymne du parti nazi » et « Vive Hitler ». 16 novembre 1987 : condamné à 3 000 F d'amende et 8 000 F de dommages-intérêts à verser au Mrap pour « provocation à la haine, la discrimination et la violence raciale » par le tribunal de Paris à la suite de la distribution d'un tract lors des élections municipales de 1983. Condamné lors du même procès à 5 000 F d'amende pour « provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence raciale » pour ses propos lors d'une l'émission télévisée du 14 février 1984, selon lesquels « le monde islamo-arabe » constituerait un « danger mortel ». Peines confirmées par la cour d'appel de Paris (11e chambre) le 29 mars 1989. 8 juin 1993 : Cassation partielle[75] de l'arrêt de la cour d'appel de Paris du 29 mars 1989 en ses dispositions portant condamnations pénales et civiles du chef du délit de provocation à la discrimination raciale (condamnation concernant les propos tenus lors de l'émission télévisée). Pour la cour d'appel, Le Pen « met l'accent sur le « monde islamo-arabe qui actuellement pénètre dans notre pays » et le « danger mortel » pour les Français de se voir ainsi « colonisés » ; que de tels propos sont de nature à créer dans l'esprit des Français l'idée qu'ils sont menacés dans leur identité même par la présence sur leur territoire de musulmans venant du tiers monde, à faire naître envers ce groupe déterminé, à raison de sa religion des réactions de rejet et à provoquer des actes discriminatoires voire de violence » alors que, pour la Cour de cassation, « les expressions reprochées au demandeur ne désignaient aucune personne ou aucun groupe de personnes autre que des populations étrangères indéterminées, n'étaient de nature à inciter le public ni à la haine, ni à la violence, ni à la discrimination raciale et n'avaient pas dépassé les limites du droit à la libre expression sur le phénomène de l'immigration, la cour d'appel a dénaturé les propos incriminés et fait une fausse application de l'article 24 alinéa 6 de la loi du 29 juillet 1881 » Janvier 1991 : condamné par le tribunal de grande instance de Lyon, pour « trouble manifestement illicite à l'ordre public », à retirer tous ses affiches et tous ses tracts faisant référence au sida[76]. La cour d'appel de Lyon confirme[réf. nécessaire] la condamnation pour « utilisation du terme SIDA pour stigmatiser l'immigration qui représenterait un danger aussi grave que la maladie porte une atteinte intolérable à la dignité des malades, qui ont droit au respect et à la solidarité et également une atteinte intolérable à la dignité des populations immigrées ». 18 mars 1991 : condamné par la cour d'appel de Versailles pour « banalisation de crimes contre l'humanité[réf. nécessaire] » et « consentement à l'horrible[réf. nécessaire] » pour avoir déclaré : « Je me pose un certain nombre de questions. Et je ne dis pas que les chambres à gaz n'ont pas existé. Je n'ai pas pu moi-même en voir. Je n'ai pas étudié spécialement la question. Mais je crois que c'est un point de détail de l'histoire de la Deuxième Guerre mondiale. [...] Si, c'est un point de détail au niveau de la guerre ! Voulez-vous me dire que c'est une vérité révélée à laquelle tout le monde doit croire ? Que c'est une obligation morale ? Je dis qu'il y a des historiens qui débattent de ces questions. » Jean-Marie Le Pen doit verser 10 F au MRAP, 100 000 F aux neuf autres associations s'étant portées parties civiles. Il doit faire publier le jugement à ses frais dans cinq quotidiens nationaux, à concurrence de 15 000 F, et dans cinq hebdomadaires, à concurrence de 30 000 F. En outre M. Le Pen est condamné aux dépens et doit verser, au titre de l'article 700 du code de procédure civile, 1 000 F à chacune des dix associations[77]. 27 mai 1992 : condamné pour diffamation par le tribunal de grande instance de Paris à 1 F symbolique de dommages-intérêts à Jean-Christophe Cambadélis. Jean-Marie Le Pen avait qualifié le député PS d'« ancien — ou toujours — trotskiste, et ami des organisations terroristes allemandes » (Le Monde, 7 juin 1992). 3 juin 1993 : condamné à 10 000 francs d'amende par la Cour d'appel de Paris pour « injure publique » au ministre de la Fonction publique de l'époque, Michel Durafour, appelé « monsieur Durafour-crématoire » (Le Monde, 5 juin 1993). Le 7 décembre de la même année, la Cour de cassation a rejeté son pourvoi. 15 novembre 1996 : condamné par le tribunal de grande instance de Mont-de-Marsan à 10 000 F de dommages-intérêts pour avoir tenu des propos ayant « gravement porté atteinte » au président du tribunal d'Auch (Le Monde, 17 novembre 1996). 6 janvier 1997 : condamné à 6 000 F d'amende et 1 F symbolique de dommages-intérêts par la première chambre civile du tribunal de grande instance de Strasbourg pour avoir qualifié l'association Ras l'front de « mouvement de tueurs de flics » (Le Monde, 10 janvier 1997). 4 juillet 1997 : condamné à 5 000 F d'amende par la 17e chambre du Tribunal de Grande Instance de Paris pour avoir traité le président de SOS-Racisme, Fodé Sylla, de « gros zébu fou » lors d'une conférence de presse[78]. 26 décembre 1997[79] : condamné à 300 000 F de consignation pour diffusion du jugement dans des journaux, à verser entre un franc symbolique et 5 000 F de dommages-intérêts à onze associations plaignantes, et à payer leurs frais de justice par le Tribunal de grande instance de Nanterre pour « banalisation de crimes contre l'humanité, consentement à l'horrible », pour avoir dit lors d'une conférence de presse en compagnie de Franz Schönhuber, le 5 décembre 1997 à Munich, que « dans un livre de mille pages sur la Seconde Guerre mondiale, les camps de concentration occupent deux pages et les chambres à gaz dix à quinze lignes, ce qui s'appelle un détail ». Le 10 septembre 1999, la cour d'appel de Versailles confirme la peine[80]. 9 septembre 1998 : condamné au franc symbolique pour avoir présenté une tête en carton à l'effigie de Catherine Trautmann lors d'un meeting du Front national en mai 1996. Le tribunal parle d'une « mise en scène macabre et choquante évoquant l'image de la mise à mort par décapitation visant d'une manière certes symbolique mais intolérable à l'élimination de l'intéressée », et estime que « l'agressivité de cette mise en scène est de nature à susciter envers Catherine Trautmann un climat d'hostilité excédant les limites admissibles d'un débat d'opinion dans une société démocratique »[réf. insuffisante][81]. Novembre 1998 : condamné par le tribunal de grande instance de Nanterre à 10 000 F de dommages-intérêts à l'Union des étudiants juifs de France pour avoir déclaré « Je crois à l'inégalité des races », lors de l'université d'été du FN, le 30 août 1996[réf. insuffisante][82]. 10 juin 1999 : condamné à 12 000 DM (environ 6 000 €) d'amende par le tribunal d'instance de Munich pour incitation à la haine raciale et apologie de crime de guerre, i.e. « le point de détail » (MRAP, avril 2002) 2 avril 2004 : Le tribunal correctionnel de Paris condamne Jean-Marie Le Pen à 10 000 euros d'amende pour provocation à la haine raciale, en raison de propos tenus sur les musulmans, dans une interview au quotidien Le Monde parue un an auparavant, le 19 avril 2003 (il avait déclaré notamment « Le jour où nous aurons en France, non plus 5 millions mais 25 millions de musulmans, ce sont eux qui commanderont. Et les Français raseront les murs, descendront des trottoirs en baissant les yeux. »). 24 février 2005 : La cour d'appel de Paris confirme la condamnation de Jean-Marie Le Pen à 10 000 euros d'amende pour incitation à la haine raciale. Jean-Marie Le Pen devra également verser 5 000 euros de dommages-intérêts à la Ligue des droits de l'homme (LDH), qui était partie civile ; la Cour a en revanche déclaré irrecevable la Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme (Licra)[83]. Cette décision sera confirmée le 11 mai 2006[réf. nécessaire] par la chambre criminelle de la Cour de cassation. Par une décision du 20 avril 2010, la Cour européenne des droits de l'homme a déclaré irrecevable, pour défaut manifeste de fondement, la requête de Le Pen fondée sur les articles 6 et 10 de la Convention européenne des droits de l'homme[84],[85],[86].[*]8 février 2008 : condamné à 10 000 € d'amende et à trois mois de prison avec sursis pour complicité d'apologie de crimes de guerre et contestation de crime contre l'humanité, en raison de propos publiés en 2005 dans l'hebdomadaire Rivarol, qualifiant l'occupation allemande de « pas particulièrement inhumaine » (Affaire Le Pen - Rivarol). Le 21 janvier 2009, la Cour d'appel de Paris confirme le précédent jugement et condamne Jean-Marie Le Pen à 10 000 euros d'amende et à trois mois de prison avec sursis pour ses propos minimisant les crimes commis par l'occupant nazi sous l'Occupation, et notamment le massacre d'Ascq. Bonne lecture. Lire c'est COMPRENDRE.
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