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Tout ce qui a été posté par -SyntaxError-

  1. Non mais à la base je reprenais le post de Mimosa où elle parlait de la perversion au sens psy, et donc pathologique du terme. C'est très clair pour moi. Savonarol reprend une de mes réponse à un post précis, et il l'emmène dans des contrées lointaines. Je ne réagis pas par rapport à ma propre morale, je réagis en fonction de la signification des termes employés, dans des contextes précis. En vrai, c'est pas moi qui a un problème de compréhension, c'est Savonarol qui s'approprie mes posts et les sort de leur contexte... J'avais oublié à quel point c'était fatigant.. Bon, je vois que Mimosa est revenu alors je retourne à mes moutons.
  2. La perversion au sens pathologique du terme sous-entend un acte immoral, non consenti. Un pédophile est un pervers. Un violeur, un tueur en série aussi. Ton type qui se fait fouetter et sa nana habillée en cuir ont une relation sado-masochiste consentie non? Justement, les mots ont un sens, ne qualifie pas de malades ceux qui ne le sont pas. Déviants c'est plus approprié. "Dans un sens général" bravo, tu viens de donner la définition du dico? Et donne moi la définition en psychiatrie maintenant. Tu n'as donc pas rien compris de ce que je t'ai dit... De quelle frontière entre malades et bien-portants parles-tu??? Bon et tout cela à jouer à la baballe alors qu'à la base j'attends la réponse concernant le rapport entre ce que disait Mimosa et la "théorie du genre"? Bonne nuit ça me fatigue
  3. Tout dépend. Si tous les protagonistes sont consentants, et prennent du plaisir à souffir, je dirais que non... Puisque dans ce cas de figure, aucun ne souffre réellement, et n'agit sous la contrainte. Je dirais que ce sont plutôt des pratiques déviantes, mais pas pathologiques. La perversion c'est justement lorsque l'autre ne prend pas plaisir à souffrir.
  4. Je me souvenais plus comment on écrivait "tchaper" vu que chez moi on le prononce "tiaper". Merci, j'aurais pas l'air con en demandant ça à mon grand-père. Va caguer! => va chier! Antchouliiiii=> OOOh putain!!!! (je ne l'entends plus beaucoup celui-là) Il était ataw!! (avec un grand geste) => Il était énoooorme (en fonction de l'énormité du geste)
  5. Je crois que ma réponse au post de Mimosa, au vu de la manière dont elle a présenté les choses: En mettant la religion au même rang que les sciences humaines et sociales, ma réponse était tout à fait adaptée, je trouve. D'ailleurs, la théorie du genre n'existe pas depuis 20 ans grâce à cette Judith Butler, elle existe depuis la moitié du siècle dernier, lorsqu'un psychosociologue a été le premier a utiliser la notion de genre. La perversion est un champ d'étude en psychanalyse. Les personnalités se classent en trois groupes. Les névrosés, les psychotiques, et les pervers. Elle n'est donc pas à mettre dans le même champ que l'orientation sexuelle, qui n'est pas une structure de personnalité. Dans la perversion il y a la notion de souffrance. Tout acte causé de manière répétitive et ayant pour but la jouissance par la souffrance (envers autrui ou envers soi-même) est une conduite perverse. La perversion est une pathologie, au sens psy du terme.
  6. Homo Sapiens n'a pas toujours été ce qu'il est aujourd'hui, et il n'a d'ailleurs pas toujours été...tout court... Je veux dire par là que les règles de vie en groupe ont évolué en même temps que ce qu'on appelle communément "l'homme". Elle ne sont pas arrivées comme ça, d'un coup, avec un mec sur fond de lumière blanche... Elles ont évolué. M'enfin il y a déjà un tel sujet dans la section religion. Tu connais maintenant ma position à ce sujet, je connais la tienne. On peut toujours aller y discuter, mais je préfère parler de la fameuse "théorie du genre". Je ne vois pas les rapports des réponses de Mimosa avec ce sujet. Ah effectivement, c'est normal vu que tu fais référence à une réponse qui était destinée à "Mimosa", et non pas à toi... Donc j'attends toujours la réponse de Mimosa et ses sources.... concernant ceci: Et après ce sera plus clair..
  7. Le mysticisme religieux et la morale religieuse ne sont pas dissociables, c'est justement ça la religion... Tu n'as pas dit croyance, tu as dit religion, nuance. Ce n'est pas la religion qui permet de définir des règles de vie en société, les règles sont inhérentes à la vie de groupe, et l'homme est un animal social, donc qui vit en groupe.. (et t'es au courant que le mariage entre cousins/cousines germain(es) est autorisé par la loi mais pas par l'Eglise par exemple?) Bon sens "sentiment de ce qui est raisonnable". Est-ce raisonnable de croire qu'un mec dirige tout de là-haut? Bref, c'est HS... C'est toi qui en parle, donc à toi l'honneur... Tu parles de perversion en psychanalyse, j'attends donc ta définition psychanalytique de la perversion, et non celle du Larousse... Un petit indice... On parle de structures, et on les classifie en trois groupes. Névroses, psychoses, et perversions. J'attends toujours tes sources... Mis à part ça, je ne vois toujours pas le rapport que tu vois avec la "théorie du genre"...
  8. 1. Il y a une différence entre "différence" justement, et "différenciation". Tu saisis la nuance? 2. Depuis quand les religions sont dotées de bon sens???? Juste pour rappel "théorie du genre" ne veut rien dire... C'est un gros sac ou on met tout ce qu'on (et 'on' est un con, c'est bien connu) entend. Le genre est un concept qui vient justement des sciences sociales, et il est utilisé autant en sociologie qu'en psychologie, par tes chers psychanalystes. Le problème en fait, c'est que tu ne sais pas de quoi tu parles quand tu y fais référence... 1. bis. Les différences entre les sexes sont biologiques, la différenciation est socio-culturelle... C'est pas parce que tu habilles un garçon en bleu que c'est un garçon, tu comprends? Même si tu l'habilles en rose, il restera un garçon. Personne n'a jamais nié le fait qu'il faille un homme et une femme pour procréer. Le désir ne sous-entend pas systématiquement procréation, et inversement-proportionnel-vice et versa-etc... La famille est un fait socio-culturel... Tu es en train de t'enfoncer un clou (ou plusieurs) dans le pied... Tu pourrais me donner tes sources concernant la psychanalyse et la perversion stp? Premièrement, la psychanalyse n'a jamais démontré ce genre d'âneries, deuxièmement, tu confonds orientation sexuelle et perversion, un pervers peut être hétéro, homo, ou même bi, (inversement aussi). Tu pars beaucoup trop loin, tu mélanges tout, et là ça donne du grand n'importe quoi. ça faisait longtemps que j'avais pas mis les pieds sur le forum, je suis pas déçue...
  9. N'importe quoi. La fausse couche est un phénomène naturel et normal. Ce n'est pas une "anormalité" comme tu dis. Au contraire, bien souvent elle survient car l'embryon ne s'est pas développé "normalement". C'est la sélection naturelle... Plutôt que de subir une grossesse, un accouchement, ou un développement post-natal à risques , le corps rejette l'embryon. En ce qui concerne l'avortement, c'est le même principe, sur le plan psychologique. Après, on peut aussi être égoïste, et préférer risque un bébé congelé, noyé, ou balloté par les services sociaux, sans aucune certitude de réussite...
  10. Le mariage ne sert qu'à encadrer la famille. Pas besoin du mariage pour faire perdurer l'espèce, l'être humain s'en sortait très bien avant la création de l'union civile. Il y a de moins en moins de mariages, pourtant de plus en plus d'êtres humains, au point que notre planète est surpeuplée. Le mariage n'a strictement rien à voir avec la nature, tout comme le droit. Tu nous fais un globi-boulga entre la société, le droit, et la nature, tu ferais mieux de retourner dans la partie 'économie' du forum, la partie 'société', 'humain' c'est manifestement pas ton dada... Le mariage n'oblige en rien les époux à procréer, et la procréation est tout à fait possible et autorisée hors mariage, et heureusement. Ce n'est en aucun cas le fondement de la société. Tu prends comme exemple des rennes... Les animaux ne se marient pas que je sache. Tu assimiles donc la procréation au mariage ? Ne mélanges pas tout, ça devient vraiment du grand n'importe quoi. Les rennes n'ont pas besoin d'un tel contrat pour continuer d'exister, et pareil pour l'être humain. Tu raisonnes en terme de rien du tout, tes développements sont ceux d'un pseudo-apprenti-économiste qui s'est trompé de rubrique.. Il n'y a pas d'échelle de supériorité ou d'infériorité entre le droit et la société. La société fait le droit mais elle y est soumise. Nous raisonnons en termes de société ET de droit, quand tu raisonnes en termes de nature. Tout à fait, et ça ça te plaît pas hein ? Ça te plaît pas que tout le monde n'ait pas la même vision de la société que toi ? Ça ne te plaît pas que les gens actuellement au pouvoir fassent justement partie de tes 'opposants' ? Ben ecoute, c'est justement ça la société, c'est un truc hétérogène, plein d'individus différents qui doivent faire des concessions pour vivre ensemble. Faudrait que tu t'y mettes, ça doit être bilatéral, et non pas en sens unique.
  11. Le seul truc qui n'est pas "techniquement" possible hors-mariage, c'est probablement le divorce.. :D
  12. Ouvrir un compte joint ce n'est pas la même chose que la communauté de bien, et apparemment tu n'es pas au courant qu'un testament peut être contesté, contrairement aux droits découlant du veuvage sous le régime de la communauté de biens. Tu n'as pas de couples mariés/divorcés dans ton entourage? Tu vis dans une grotte? La communauté de bien représente quelque chose de fort sur le plan de le confiance pour les époux qui la choisissent. Mais au vu de ce que cela t'inspire, tu ne te mariera jamais n'est ce pas? Puisque le mariage ne sert à rien... D'ailleurs, même pour les hétéros il ne sert à rien... Que ce soit pour le partage des biens, ou pour la reconnaissance du gosse, tout peut se faire hors mariage comme tu l'as si bien dit.
  13. Je t'invite donc à lire Mein Kampf, et l'illustration de Djizus/Yeats/Pound et donc nulle et non-avenue... Elle montre surtout qu'il n'a rien compris au sens de ma phrase. Je ne vois pas de qui tu parles. Ce que je vois, c'est que t'es tellement à cran, que t'es contraint de changer de pseudo régulièrement. Depuis que je suis inscrite sur ce forum, c'est déjà le troisième que je vois passer. Et dès tes premiers posts, t'es grillé. Tu es très prévisible. J'te le fais pas dire. C'est quoi le petit nom de ta prochaine personnalité?
  14. Tu veux dire par cette phrase?: Cette phrase que tu as mis en gras? Même en gras, t'as du mal à la comprendre? Achète toi des yeux... Peut-être que ça t'évitera de devoir changer de pseudo tous les mois... Tiens, d'ailleurs, joli pseudo ce coup-ci. Tu connais le film Pound? Il devrait te plaire. Tu le vaux bien... Tes interprétations foireuses d'une phrase aussi simple et claire (pour ne pas dire limpide) me laissent sans voix. T'es complètement à côté de la plaque. Je te fais un développement, histoire que tu comprennes bien qu'il n'y a aucun sous-entendu dans mes propos, ni aucune interprétation farfelue à y apporter. Ce que je dis par cette phrase, c'est que ce n'est pas le combat, ni la victoire qui font l'individu. Ce sont les raisons qui le poussent à combattre. On peut très bien combattre en faveur de quelque chose de "bien" pour de mauvaises raisons, ou combattre quelque chose de "mal" pour de bonnes raisons, avec de bonnes intentions. Les notions de bien et de mal peuvent varier d'un individu à un autre, sauf lorsque l'on est dans le cadre légal, là, c'est tout le monde au même rang. Et que je sache, l'homosexualité n'est pas illégale. M'enfin, tu es complètement hermétique à ce genre de choses, cela ne m'étonne pas que tu n'y piges rien. Tu me parles du nazisme et d'Hitler, le nazisme est puni par la loi, et tu es bien innocent de penser que la seule raison du combat d'Hitler était la survie de l'Allemagne. Donc en plus de n'avoir rien compris à la phrase, et de la déformer, de lui prêter un sens qu'elle n'a pas, tu l'illustres très maladroitement. M'enfin soit... Convaincre la skyzophrénie personnifiée est un combat vain (même s'il est mené avec de bonnes intentions)
  15. C'est dingue, c'est la première fois que je te lis et tu me fais déjà beaucoup penser à un autre forumeur, ou plutôt à deux autres... Qui ne sont malheureusement plus parmi nous. Il est beau le tien de combat hein, tout comme celui des antis d'une manière générale... Peu importe que le combat paraisse beau aux yeux de tout le monde ou pas, ce qui compte ce sont les raisons qui nous y poussent.
  16. Les maladies graves/mortelles, ou bien dégénératives ne touchent pas seulement les personnes âgées et/ou grabataires. Il y a des enfants, des ados, des jeunes adultes, et aussi des nourrissons en fin de vie, ou atteints de maladie incurables. Ton exemple du papy manque cruellement de réalisme.:) Ou plutôt ne prend en compte qu'une facette de la réalité. Et que fait-on de la difficulté de la personne malade? "c'est eux qui l'ont voulu"? As-tu déjà vu une personne que tu aimais agoniser? Dans le cas que tu cites, la personne il n'y a pas de consentement éclairé possible, je pense que ça devrait être la base d'une loi sur l'euthanasie, le consentement. Sinon, les personnels soignants en psychiatrie n'ont qu'à décimer leurs patients les plus durs, impunément, histoire d'être tranquilles hein... :)
  17. Le droit de vie ou de mort? C'est un concept qui m'échappe... Le droit n'est pas quelque chose de naturel, c'est une création humaine, et qui n'est pas immuable. Nos droits changent tous les jours :) Quand le combat est vain, et qu'on a déjà vu un ou plusieurs proches mourir lentement, dans des souffrances que même les médocs ne peuvent pas soulager (ou alors ils sont tellement dosés que ça les plonge quasiment dans un coma artificiel jusqu'à la fin) et qui ne demandent qu'une chose, c'est que ça s'arrête, comment être contre l'euthanasie?
  18. -SyntaxError-

    Les suicides

    La mort et le manque en général sont sources d'une grande tristesse. Ce qui diffère d'avec le suicide (certains suicides, car tous ne sont pas incompris) ce sont les sentiments d'incompréhension et d'impuissance, et la culpabilité. Et ta copine elle veut une baffe? Si quelqu'un te parle du fait qu'il culpabilise de ses envies suicidaires, tu trouves ça pertinent de sortir ça? Certes, ce qu'elle a dit est censé, mais faut adapter le dialogue à la situation non? Essaie deux secondes de t'imaginer dans la tête d'un suicidaire, plutôt que de voir l'acte de ta position. Arrête de voir le monde avec tes oeillères, et accepte le fait que certaines personnes voient les choses sous un autre angle que le tien, même si toi tu ne le conçois pas. ... Toi t'es à baffer, c'est certain. Non, dire que le suicide est un acte de courage, c'est reconnaître que se donner la mort est probablement quelque chose de difficile. Sois honnête, tu n'as pas peur de la mort? Tout le monde en a peur. Des jeunes idiots comme tu dis, y'en a toujours eu, et y'en aura toujours. Ils ne représentent pas tous les suicidés.
  19. -SyntaxError-

    Les suicides

    Le suicide n'est pas plus une tristesse que la mort en général, quelle que soit sa cause. Je pense que ce que tu veux dire, c'est que le suicide peut être plus difficile à vivre, et donc source d'une plus grande tristesse, pour ceux qui restent. Donc on en revient toujours à la même chose... La manière dont l'entourage vit le suicide d'un proche. Donc le suicide est peut-être une tristesse pour toi plus que la mort en elle-même, mais c'est quelque chose qui t'es propre, c'est une vision personnelle. Et alors, ça te fait peur? :) Un suicidaire met fin à ses souffrances. C'est comme le début d'une nouvelle vie. M'enfin, nous ne sommes pas dans leur tête, donc comment pouvons-nous nous permettre de les juger, et de juger leurs actes? Et alors? Personne n'a dit ici qu'il fallait pousser un suicidaire à passer à l'acte, et ne pas l'aider. Mais dans de très nombreux cas, t'as beau aider, être là, il n'y a rien à faire, le jour fatidique arrivera. Et non, le suicide n'engendre pas que des regrets. N'importe quel décès de proche engendre des regrets, quelle que soit la cause de la mort. Qu'est ce qu'on aurait pu faire, qu'est ce qu'on ne lui a pas dit? etc etc... Quand un de tes proches se suicide, tu en deviens forcément beaucoup plus attentif aux autres, même si tu l'étais déjà auparavant. Et tu relativises, tu parviens à mieux profiter de la vie, de chaque jour, et surtout des gens que tu aimes. Il faut toujours retirer le positif du négatif. C'est une question de bon sens, et surtout de sérénité. Les gens qui ressassent, qui se questionnent, qui culpabilisent, qui en veulent aux défunts, vivent dans la rancoeur et les regrets. Question de bon sens... Je ne suis pas égoïste, et je suis toujours en vie... :) Je comprends pas où tu veux en venir.
  20. -SyntaxError-

    Les suicides

    Non, la mort n'est pas la fin de la vie. Tu sais ce qu'est la mort? Tu sais ce qu'il y a après? Personne ne sait. On peut considérer la mort comme la continuité de la vie. La mort n'est pas non plus une tristesse. Tout ça est purement et simplement culturel. Dans certaines cultures on fête les morts, on les célèbre. Chez nous, on les pleure, et on sombre dans une pseudo-dépression. Pour les personnes qui se suicident, la mort n'est pas une fin. Tout dépend de la manière dont tu perçois, et dont tu vis ta propre vie. Ne généralise pas ta propre vision de la vie et de la mort, chacun en a sa propre conception. J'ai toujours autant de sympathie pour ma tante, et je la trouve extrêmement courageuse d'avoir pointé le canon du fusil en direction de sa tête pour passer un cap qu'elle avait décidé de passer. Ma famille en a souffert et en souffre toujours, mais dire qu'elle a été lâche et égoïste, c'est oublier que l'on a été impuissants. Aujourd'hui au moins, elle ne souffre plus. Chacun sa vision des choses... Cela ne sert à rien de ressasser, de se questionner, de leur en vouloir, de ruminer... Au final, nous nous mettons nous-mêmes en position de souffrance en adoptant ce genre de réactions. Nous ne comprenons pas, et nous restons sur nos positions, bloqués par notre propre vision de la vie. Nous nous torturons alors que notre vie continue. Faut arrêter un peu là, y'a un moment faut mûrir et arrêter de traiter le suicidé d'égoïste, parce tu l'es tout autant.
  21. -SyntaxError-

    Les suicides

    Les personnes suicidaires ne sont pas forcément des malades mentaux ou des personnes isolées... Tout ça peut se jouer en une minute, n'importe qui, une seconde, un passage à vide et ils passent à l'acte, alors que si dix minutes de plus s'étaient écoulées peut-être qu'ils ne l'auraient pas fait. Sinon, quand j'entends dire que se suicider est un acte lâche et égoïste, ça me fait dresser les cheveux sur la tête. Ma tante s'est mis une décharge de fusil de chasse dans la tronche, si bien qu'on a évidemment pas pu la voir au funérarium. Je défie quiconque de se mettre le canon d'un fusil devant la gueule sans avoir la peur de sa vie. Se suicider demande du courage. Je peux comprendre que des gens préfèrent mettre fin à leur vie, et ne plus rien ressentir, plutôt que de continuer à vivre. La mort fait peur, surtout à ceux qui restent. Nous voyons la mort comme une fin, un truc horrible, l'arrêt de notre vie, nous qui la vivons bien... Mais pour eux la mort n'est pas la fin de la vie, c'est simplement la fin d'une souffrance. "Lutter contre le suicide", même la prévention contre le suicide, ça ne signifie rien... Les causes sont diverses et variées, les signes également, et ne sont pas forcément perceptibles. C'est du cas par cas...
  22. Beaucoup plus de quoi? Toujours rien alors? Bon, ben comme tu passes ton temps à troller, mais que tu es incapable de me mettre devant mes contradictions, la conclusion est vite faite... Tous les participants au topic pourront donc se faire leur propre opinion.
  23. Toi, et LaurentEssonne, (quelles références!!!) J'en suis presque flattée... Quand je vois que Vous n'êtes pas fichus de comprendre des phrases simples, je ne me fais pas de soucis... Ben alors, dis moi ce qui est absurde dans ce que je dis au lieu de continuer de troller, sans apporter le moindre début d'élément à tes affirmations... Je suis gentille, je te re-copie-colole mon post, afin que tu l'aies sous les yeux, et que tu puisses m'expliquer ce qui est contradictoire... Aide-moi à devenir plus intelligente stp, montre-moi mes absurdités ...
  24. C'est justement là qu'est l'importance de la dimension affective de la sexualité chez l'enfant. Les enfants ont des coups de coeur, ils "tombent amoureux", cette différence peut donc être ressentie très tôt, dès les premiers émois affectifs... De là à dire un âge précis, y'en a probablement pas... Si quelqu'un se rappelle de ses premiers coups de coeur... moi c'était à la primaire...
  25. Pardon? Non mais au lieu de troller, tu serais capable de me dire ce que tu ne comprends pas dans mon résumé? Me dire où est la contradiction? Ou au moins répondre à ma question? Penses-tu comme LaurentEssone qu'un enfant ne peut pas se sentir différent sur ce plan là? Au moins, ça serait constructif.
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