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soisig

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Tout ce qui a été posté par soisig

  1. Si, elle cite les Africains et les Syriens. Remonte le sujet ! Je n'ai jamais mis en cause ce qu'elle dit de son vécu, ce que je mets en cause, c'est l'amalgame qu'elle en fait.
  2. Non, le racisme, ce n'est pas ça. Le racisme c'est haïr des personnes, pour leurs origines ou leurs couleurs. Et tel que tu en parles, en leur attribuant tous les maux de la terre et en précisant "l'immigration d'Afrique ou de Syrie ", tu tiens des propos clairement racistes. Par contre, tu as raison, il y a des milliards de racistes dans le monde, de toutes les origines, c'est selon moi la plaie de nos sociétés.
  3. Plusieurs membres de ma famille sont issus de l'immigration Africaine, et ce sont des gens très biens... Mais sans doute vas tu me dire qu'ils sont rares. Combien de cambriolages, vols, viols ... par de bon Français, en France et à l'étranger ? Je vis à la campagne, et nous n'avons quasiment pas d'immigrés, par contre, nous avons comme partout, des dégradations, du vandalisme, des gros dégueulasses qui jettent leurs détritus n'importe où ... Il n'y a pas une once de racisme en moi, donc forcément, je ne cherche pas l'origine des personnes qui nuisent à la société, je considère juste qu'il y a des gens bien, et d'autres non. Cataloguer l'ensemble d'un peuple et lui attribuer tous les maux d'une société, c'est du racisme et je trouve ça vraiment triste, car pour moi, le mélange culturel est une richesse pour les sociétés.
  4. Il y a des tas de faits divers racontant comment des migrants ont sauvé la vie de Français. Un fait divers n'est pas une généralité, donc on peut choisir le négatif, mais aussi le positif. La majorité des immigrés sont des gens très biens, qui sont venus en France pour vivre mieux, comme tant d'Européens se sont exilés à l'étranger, pour les mêmes raisons.
  5. Il n'y a pas que pour l'ENA qu'une partie des études se poursuit à l'étranger. Mon fils a poursuivi la moitié de ses études en facs étrangères et il n'avait pas terminé sa dernière année, qu'il avait le choix entre une dizaine de propositions d'embauche.
  6. C'est dingue cette propension que tu as, de toujours chercher la polémique, sur tous les sujets ... Tu fais partie de ces gens qui étalent ce qu'ils n'ont pas, sur les forums, histoire de se donner l'illusion d'une certaine importance. Inintéressant, je préfère, pour le plaisir de l'échange, te zapper ! Bonne continuation !
  7. tu sais, nombreux étudiants payent eux même leurs études, notamment en travaillant, s'ils sont à la fac. Si mes deux enfants avaient choisi un cursus aussi cher, ils auraient participé au remboursement de leur prêt.
  8. Non, ce n'est pas un crédit à la consommation comme un autre. Déjà, les taux d'intérêt n'ont rien à voir avec des crédits à la consommation et aucun crédit ne permet un premier remboursement, 6 mois après la fin des études, reporté, si le jeune n'avait pas trouvé d'emploi. Et vu que l'état ne prend pas en charge l'ensemble de ses étudiants, heureusement qu'il y a les banques pour prendre le relais. Notre système éducatif est très mal fait. On donne des sommes importantes aux parents, quand les enfants ne coutent pas grand chose en frais de scolarité, mais on ne donne quasiment plus rien, quand la scolarité coute réellement. De plus, on oublie systématiquement les tranches intermédiaires, qui sans être aisées, le sont trop pour bénéficier de la moindre aide. Au moins ces prêts ont le mérite de s'adresser à cette tranche de la population. Après, chacun est libre de prendre un crédit ou pas. Nous avons fait ce choix pour offrir à notre fils les études qu'il souhaitait, et nous ne le regrettons absolument pas.
  9. Tout dépend du cursus. Selon les études, les bourses ne couvrent, au mieux, que la moitié des frais. Quand un jeune a le potentiel et s'il est issu de conditions modestes, ce serait dommage de ne pas saisir la chance donnée de poursuivre ses études. Avant, les études étaient réservées aux familles qui pouvaient les financer. C'est bien que le contexte de naissance ne soit plus une fatalité.
  10. Déjà, dans la plupart des cas, ce sont les parents qui payent le prêt étudiant et les étudiants ne sont endettés que lorsqu'ils entrent dans la vie active, où ils sont sensés avoir des revenus suffisants pour le rembourser. Si ce n'est pas le cas, il y a des solutions pour étaler la dette, voire la reporter. ça dépend de la banque, ou plus précisément, de la conseillère du moment. Quand mon fils a choisi son cursus d'études, nous avons vite compris que nous ne pourrions assumer financièrement, sans passer par un prêt, car nous n'avions pas terminé de payer notre prêt immobilier et nous avions aussi un prêt automobile en cours. Nous sommes donc allés à notre banque pour faire une demande de prêt étudiant. l'entretien fut très rapide, car la conseillère nous a dit que les prêts étudiants ne pouvaient excéder 30 000€, or il nous en fallait 40. Et quand j'ai demandé comment financer la dernière année, cette imbécile a répondu "il ne la fera pas". Nous nous sommes donc renseigné directement auprès de l'école qui nous dit de nous adresser à la BNP, banque partenaire de l'école. C'est ce que nous avons fait, et la, nous sommes tombés sur une autre bonne femme, tout aussi imbécile que la première. Elle a tenu compte de notre taux d'endettement, au jour de l'ouverture de la demande de prêt, alors que les prêts auraient été soldés, au moment du remboursement, et le prêt fut refusé. Nous sommes donc allés à la société générale, et la, enfin, nous sommes tombés sur une conseillère, qui s'est attardée sur le cursus, avant de s'attarder sur notre potentielle solvabilité, et nous avons obtenu le prêt. Ce qui nous chagrinait, c'est que le taux d'intérêt était de 4,5%, alors que la banque partenaire proposait un taux à 2%. Nous nous sommes donc rendus à la BNP, d'une autre ville, et la, ça tombait bien, car la conseillère était celle qui justement gérait les prêts étudiants de l'école de mon fils. Nous avons donc obtenu le prêt sans aucune difficulté. ça dépend des banques et de leurs politiques. Récemment, je suis allée à la banque, afin de pouvoir virer sur le compte de mon fils, le solde de son prêt étudiant, et clôturer nos comptes, vu que nous sommes en banque en ligne, depuis deux ans. Nous avons discuté avec le conseillé de la banque, et il a reconnu que nombreux partaient en banques en lignes et que le pourcentage de jeunes aillant une bonne situation était faible. Ils travaillaient désormais à changer leur politique de fonctionnement, afin de s'adapter aux nouveaux besoins et à rendre leur banque plus attractive.
  11. Il suffit de remonter tes posts ! C'est dingue cette propension que tu as à considérer que ta petite expérience de vie vaut pour tous ! Sors un peu le nez de ton nombril, il y a un monde qui gravite autour de toi ! Non, il ne suffit pas de faire des études de qualité pour obtenir un prêt étudiant, et encore moins une carte gold ! Oui des jeunes restent sur le carreau parce que leurs parents n'ont pas les moyens de financer leurs études et que les banques refusent de les aider. Si l'X ou l'ENA sont des cursus porteurs, beaucoup d'autres le sont aussi mais ce n'est absolument pas le critère de toutes les banques pour accorder un prêt. Dans beaucoup de cas, les banques ne s'occupent pas de savoir si le métier est porteur ou pas, elles regardent la situation financière des parents, au moment de la demande du prêt, voire refusent le prêt parce que les parents ont encore un crédit immobilier sur le dos, ou autres prêts, qu'ils n'auraient pourtant plus, au moment du remboursement. Si des mesures sont mises en place pour tenter de réduire les inégalités, c'est bien parce qu'elles existent !
  12. Tu as entièrement raison DDR. Tous les jeunes ont les moyens d'accéder aux plus hautes études, et ceux qui n'y accèdent pas sont des bouffons ! Et du coup, lançons un appel aux jeunes issus des milieux défavorisés, ne devenez plus ingénieurs, chefs de projets, développeurs ... ne poursuivez plus d'études porteuses en master ... car selon DDR, ce ne sont pas des études de qualité pour vous.
  13. Sans être interdits bancaires, il faut déjà compter les familles monoparentales, à qui on accorde pas de prêt, car il n'y a qu'un revenu au foyer.
  14. Non non ... il y a des tas de parents qui se voient refuser un prêt étudiant, déjà s'ils ne sont pas propriétaires, s'ils n'ont pas des revenus suffisants pour être garants, et encore plus, s'ils ont déjà des prêts en cours, même si ces prêts seront remboursés au moment ou le jeune est sensé commencer à rembourser son prêt. S'il suffisait d'avoir un cursus de qualité, pour obtenir un prêt et avoir une carte gold, aucun jeune ne serait obligé de renoncer à ses études, faute de financement.
  15. Non, les banques n'accordent pas facilement des prêts étudiants, même si le cursus est de qualité.
  16. Oui, une bourse de 6000 €, quand l'année coute 10 000, il manque encore 4000€ et pour ce qui est du logement quasiment gratuit, pour rappel : seuls 8 % des étudiants bénéficient d'un logement géré par le CROUS.
  17. tu ferais bien de lire l'article, rien à voir avec ce que tu écris !
  18. Ou la frustration de voir que d'autres que lui, obtiendront ce que lui n'a pu obtenir... le grand principe du "j'en ai chié alors tout le monde doit en chier ! "
  19. Qu'est ce qui te permet d'affirmer qu'ils n'auraient pas passé le cap de l'oral ? Considères tu que si tu es fils d'ouvrier, tu es plus con que la moyenne ? Je trouve ton raisonnement absurde.
  20. Quand tu es en master, tu ne peux pas travailler pendant les vacances ou le soir. Tes journées de cours, c'est 8 heures et beaucoup de travail à fournir. Quand aux vacances, c'est un mois sur toute l'année, comme un salarié, et je te garantis que le jeune a bien besoin de se reposer un peu. Demander à un jeune de travailler pour financer ses études, selon le cursus, c'est comme si on demandait à un salarié, après sa journée de travail, de se rajouter deux heures de travail intellectuel, puis encore des heures de travail, physique cette fois. De plus, même s'il y a des cursus moins chers, et avec moins d'heures de cours, comme les facs, ce qui coute cher c'est l'ébergement. Tout le monde ne vit pas dans une ville universitaire. Les études de mon fils ont couté 40 000€, hors hébergement et alimentation. Si nous n'avions pas eu les moyens de financer, il aurait se choisir un autre cursus, et je trouve ça vraiment désolant que des jeunes ne puissent suivre les études qu'ils veulent, surtout quand le cursus amène à des métiers porteurs.
  21. Je ne suis pas d'accord. Il y a des tas de cursus qui ne sont pas accessibles à tous, faute de moyens des parents.
  22. Si ça te donne des boutons, que Macron fasse des trucs que tu ne peux contester, tu as l'option d'aller voir un dermato, plutôt que de troller systématiquement, avec ce genre d'intervention à la con.
  23. Qu'est ce qu'elle nous emmerde celle la, qu'elle aille s'installer dans son pays d'origine, la France en a marre de se sentir esclave de telles conasses !
  24. Non, je suis d'accord avec toi, les gestes barrière ne sont pas suffisants. Prenons un simple exemple, on nous dit d'éternuer dans notre coude. Or notre coude est contaminé, si nous sommes porteur du covid. Doit t'on supposer que le virus reste sagement dans notre coude ? je ne pense pas
  25. Désolée Plouj, mais je ne comprends pas ce que tu écris
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